Les chiens, le cheval et moi par Laurence02

Les chiens, le cheval et moi par Laurence02

Quel superbe été j’ai passé cette année ! Les plaisirs sexuels que j’ai découvert pendant cet été sont les plus jouissifs que j’ai jamais connu.

Mais pour commencer, je vais me présenter. Je m’appelle Laurence, j’ai vingt-trois ans. D’après les gars qui me connaissent, mes trois plus grandes qualités sont que je suis gentille, que je suis belle et que je sens bon. J’ai les cheveux châtains et les yeux bruns. J’adore le sexe.

Quand j’étais encore chez mes parents, j’ai eu à l’âge de 19 ans des relations incestueuses avec eux, et cela ne m’a nullement traumatisé, j’en garde même un excellent souvenir.

Quant à moi, mon petit copain m’a laissée tomber après deux ans de vie commune. Je vis donc en ville dans un appartement avec mes deux chiens, Rex et Prince, deux bergers allemand. Ils ont cinq ans.

C’était le matin. C’était ma dernière semaine de travail avant ma semaine de vacances. J’étais très heureuse. Je me suis levée et je suis allée déjeuner. Je travaille de soir et je suis secrétaire. Après avoir pris mon petit déjeuner, je suis allée me doucher. J’ai ouvert le robinet et j’ai tiré le levier pour que l’eau jaillisse. J’adore sentir l’eau couler sur ma peau. Ma main descendit doucement vers ma chatte et j’ai commencé à la caresser. Mais je fus prise d’une grosse envie de pisser, je laissais alors le jet d’urine couler sur mes cuisses, j’en recueillit un peu dans mes mains, et m’en badigeonnait les seins puis je me léchait les mains.

Mais après l’envie de pipi, vint l’envie de caca, je m’accroupis dans le carré à douche et poussais pour faire sortir une jolie petite merde. Je me baissais afin de pouvoir la lécher. Hum, elle avait très bon goût ce matin !

Je me suis de nouveau rincée, puis essuyée. Puis je me suis sortie du carré, et couchée sur le sol et j’ai fait entrer deux doigts dans ma chatte.

Je commençais à pousser de petits gémissements quand, à ma grande surprise, la porte de la salle de bain, que je n’avais pas bien poussée, s’ouvrit et que mes deux chiens entrèrent. Ils s’assirent devant moi et ils me regardèrent. Et pour moi, qu’importe ! Ce sont deux chiens, ça ne changera pas grand-chose pour eux si je me masturbe devant eux. J’ai donc continué ce que j’avais commencé. Mes deux chiens se levèrent alors. Ils vinrent sentir mon corps, mes aisselles, mon cou, mon ventre mes seins et ma chatte. Là, ils sortirent leur langue et commencèrent à me lécher.

Je fus surprise sur le coup. Mais très vite, j’ai décidé de les laisser faire. Après tout, je me disais que ces deux males vivaient avec moi depuis assez longtemps pour avoir le droit de profiter de mon corps, même si c’était des chiens. En vérité, leurs langues me faisaient un bien fou, plus agréable que la langue d’aucun homme. Ils s’occupaient de mon clitoris comme s’ils avaient fait cela toute leur vie. L’idée que je me faisais lécher la chatte par deux chiens déclencha chez moi un orgasme. J’écartai mes grandes lèvres pour permettre aux chiens d’avoir accès à mon vagin. Ils lapaient tous mon jus d’excitation.

Je gémissais de plaisir et mes chiens redoublaient de vigueur. Mon vagin était plein du mélange gluant de leur bave et de ma mouille.

Je voulais que mes chiens me baisent. J’avais déjà vu quelques vidéos sur Internet ou des femmes se faisaient couvrir par leur ami à quatre pattes. Mes chiens avaient été attirés par mon odeur de chienne en chaleur. Je me suis donc relevée et je me suis mise en position de levrette, le cul juste devant le museau de Rex. Il comprit aussitôt mon intention et grimpa sur moi. Mes bras ont fléchit un peu sous le poids de mon chien sur mon dos. Après quelques tentatives ratées, mon chien réussit enfin à trouver l’entrée de mon vagin et s’y enfonça. Il m’arracha un grand cri de plaisir. Il accéléra son mouvement de va-et-vient en moi. Je sentais son pénis canin palpiter dans mon vagin. Il me défonçait comme si j’étais une chienne. En fait, j’étais leur chienne, à Prince et à Rex. Ce dernier continuait à me baiser avec force et vigueur. Sa bite était un peu plus grosse que celle de mon ex. Je jouissais comme une folle, j’allais à la rencontre de son sexe. Je sentais son ventre frotter sur mon dos.

Tout d’un coup, Rex ralentit la cadence et j’ai commencé à sentir le nœud de son sexe gonfler dans mon vagin. Il l’étira au point que mon vagin était étiré de la grosseur d’une pomme et le nœud était étanche.

Le sexe de mon chien était coincé dans ma chatte. Je ne m’étais jamais aussi bien senti de toute ma vie. Prince approcha de moi. Tout d’un coup, j’ai senti le nœud dégonfler et le sperme commencer à s’écouler de ma foufoune. Mais aussitôt que Rex fut débarqué, Prince embarqua sur moi et me pénétra à son tour. Son pénis me procurait encore plus de plaisir que celui de Rex. Il était plus puissant, plus fort et il me fourrait avec plus de force. Son pénis sortait complètement de mon vagin et y repénétrait avec une force capable de donner un orgasme à chaque coup. Je criais mon plaisir.

Mon chien augmenta la cadence. J’haletais, je jouissais. J’eus un orgasme dévastateur. Prince augmenta sa vitesse. J’ai eu encore un orgasme encore plus puissant que les autres. Prince ralentit à son tour. Son nœud gonfla et je fus de nouveau prisonnière d’un chien. Je sentais le sperme s’écouler en moi. Rex s’approcha alors de façon à ce que son pénis soit à la hauteur de ma bouche. Je l’ai senti, ça sentait bon. J’ai commencé à le sucer. Le tableau devait être beau à voir ! Moi, qui avait le pénis d’un chien coincé dans ma chatte et qui était en train d’en sucer un autre ! J’ai arrêté de le sucer juste avant son orgasme car je ne tenais pas à avoir son nœud coincé dans ma bouche. Le nœud dégonfla après vingt minutes. Je m’étais assis et je regardais la rivière de sperme s’écouler de mon vagin. Je vis alors que Rex voulait sortir pour aller pisser. J’ai alors son sexe en bouche et Rex pissa dans ma bouche. J’avalai tout le contenu avec délectation. En voyant cela, Prince vint sur moi et me pissa sur le ventre et les seins.

J’eus un petit orgasme. J’ai ensuite pris une deuxième douche et je me suis lavée les dents deux fois de suite pour enlever l’odeur de la pisse. La nuit venue, au lieu de dormir dans leur coin, mes chiens dormirent dans mon lit et ils dorment toujours avec moi depuis ce moment.

Depuis cette aventure, je me suis aperçue que les hommes ne m’intéressaient plus. Par contre, à la vue d’un pénis de chien, je devenais trempée en deux secondes.

Chaque fois que mes chiens me voyaient, leur pénis entraient en érection. Et moi, chaque fois, je me déshabillais pour me faire baiser par mes deux chiens. Un matin, encore toute nue, je faisais mon lit, quand je me suis penchée pour effectuer le dernier ajustage de mon couvre lit, j’ai senti un gros poids tomber sur mon dos. Prince avait décidé de me baiser, sans que je lui donne la permission ! Néanmoins, ma chatte s’humidifia en deux fractions de seconde et j’ai pu apprécier cette superbe baise que m’offrait Prince. Prise par surprise, mon plaisir en était décuplé. Prince me fourrait encore mieux que d’habitude. Je sentais son pénis glisser dans mon vagin. J’haletais et je transpirait tellement j’avais chaud.

C’était vraiment la première fois que je ressentais autant de plaisir à être baiser par un animal et pourtant, c’était nettement plus agréable qu’avec un homme. Le nœud de mon chien gonfla dans mon vagin.

Pendant cette période, je me suis mise à réfléchir. Mes chiens, maintenant, n’attendaient plus que je leur disent de venir pour embarquer sur mon dos et me fourrer.

Je me demandais s’il fallait que je les punisse ou que je les laisse faire. Quand le nœud dégonfla et que la rivière de sperme s’écoula de mon vagin, je me suis dit que je les laisserais faire après tout, cela ne me procurait que du plaisir !

C’était le vendredi. Ma dernière journée de travail avant d’aller passer la semaine chez mon frère. Le matin, après une bonne baise avec mes deux chiens, je suis allée les porter au chenil pour la semaine. Le soir venu, je suis allée travailler. La patronne dit alors :

– Ecoute Laurence, ce soir, tu seras seule, Patricia est souffrante.
– Pas de problème.
– Et j’aimerais te demander un service. Il y a des rénovations chez nous et j’ai amené mon chien ici. Pourrais-tu regarder avant de partir s’il ne manque de rien ?
– D’accord.
– Merci Laurence et bonnes vacances !

Quelle chance ! A partir de onze heures, je serai seule avec un chien. J’allais probablement me payer une petite partie de baise avec le chien de la patronne. La soirée avançait, le concierge était parti. Je suis donc aller chercher le chien et je l’ai amené dans mon bureau. C’était heureusement un male, à peine plus petit que mes chiens. J’ai commencé à le flatter en lui parlant :

– Alors mon beau, as-tu déjà baisé une fille ? Je t’offre la chance ce soir.?

Je me suis mise toute nue. Je ne voulais pas me faire prendre en levrette. Je voulais sentir son odeur, sentir son corps sur mes seins.

– Allez mon beau, viens faire l’amour avec moi !

J’étais toute mouillée. Le chien me lécha la chatte quelques instants. Ensuite, il grimpa par-dessus moi et il me pénétra. Je ressentais beaucoup plus de plaisir dans cette position ! En plus de sentir les mouvements du pénis du chien dans mon vagin, je sentais son ventre frotter sur mes seins. Le chien me pénétrait avec fougue.

Son pénis palpitait en moi. Il frottait sur mon clitoris et il épousait les formes de mon vagin. Je regardais l’heure. ça faisait déjà 45 minutes que le chien me baisait. J’avais orgasme après orgasme. Le nœud se gonfla et le chien fus pris dans mon vagin. Pendant ce temps, j’ai collé mon nez sur le corps du chien et je sentais son odeur, une senteur qui m’excitait au plus haut point. Le nœud resta gonflé pendant une heure. Mon ventre avait commencé à gonfler ! A ma grande surprise, quand le nœud se dégonfla, au lieu de se retirer, le chien entama une deuxième baise ! J’étais aux anges !

Il n’y avait presque pas de sperme qui s’écoulait de mon vagin. Le chien glissait facilement en moi. Je n’avais jamais connu de baise aussi longue ! Je soulevais mon bassin pour aller à la rencontre du chien. J’avais l’air d’une vraie chienne ! J’eus un orgasme encore plus puissant que je ne l’aurais jamais imaginée. Le nœud recommença à gonfler. J’ai regardé ma montre. Trois heures en ligne ! J’ai regardé le chien et je lui ai dit :

– Quel baiseur exceptionnel tu fais?.

Ensuite prise par un violent désir, j’ai approché mes lèvres et je l’ai embrassé sur la gueule. Comme il haletait, nos langues se sont mélangées dans un baiser fougueux. J’attirais sa langue dans ma bouche et j’aventurais la mienne dans sa gueule. Ma salive et sa bave se mélangeaient. J’ai eu un orgasme. Ensuite, j’ai caressé mon ventre pendant quelques minutes. Ensuite, le nœud a dégonflé, le chien s’est retiré et j’ai regardé cette énorme quantité de sperme s’écouler de mon vagin pendant quinze bonnes minutes. Ensuite, j’ai fait le ménage et je suis partie.

Sur le chemin du retour, je suis passée par les ruelles pour gagner du temps. J’ai vu un chien. Je recommençais déjà à mouiller. Je voulais me faire baiser par l’animal en pleine ruelle. Je me suis déshabillée et j’ai présenté ma chatte au chien. Il a tout de suite senti mon odeur de chienne en chaleur et il est monté sur moi et m’a pénétré d’un seul coup. C’était divin ! Je le sentais aller et venir en moi et j’étais certaine qu’il y avait du monde qui pourraient me voir.

Peu m’importait, j’étais prête à tous pour qu’un chien me baise. Il continuait de s’enfoncer en moi, toujours plus loin. Son nœud était près de mon vagin. Son nœud gonfla en moi. Mon vagin était rendu assez élastique au nombre de nœuds qui gonflait en moi par jour. La rivière de sperme s’écoula de mon intimité lorsque le nœud dégonfla et je suis vite retourner chez moi pour dormir quelques heures.

Le lendemain après-midi, je suis arrivée chez mon frère. Il m’accueillit avec joie.

Après le souper, je me suis retrouvée seule avec lui dans le salon. Il me raconta un tas de trucs…

– Et toi Laurence quoi de neuf ?
– Ah ! Eh bien, ça va toujours bien à mon travail. Je n’ai pas de copain mais, je n’en aurai plus jamais.
– Pourquoi ?
– Parce que j’ai découvert la zoophilie et que c’est trop agréable.
– QUOI ?
– Pas si fort, il n’y a qu’à toi que je veux le dire. Un matin, alors que j’étais très excitée sexuellement, j’ai baisé avec mes chiens et j’ai adoré cela. Même que j’ai baisé le chien du patron quand j’étais seule au bureau vendredi. Une baise de trois heures ! Y a-t-il des chiens par ici ?
– Non, le seul animal qu’il y a dans les environs, c’est mon cheval.
– C’est un mâle ?
– Oui. Laurence, tu ne veux tout de même faire l’amour avec mon cheval ?
– Pourquoi pas, puisqu’il n’y a aucun chien.
– Oui mais c’est encore plus dégueulasse qu’un chien ! Avec tout ce qu’il y a dans l’écurie, c’est bien plus sale qu’un chien !
– Marc, tu ne fais que m’exciter davantage. Tu n’as rien de prévu aujourd’hui ?
– Non.
– Parfait, je vais en profiter pour me faire fourrer par ton cheval. Mais j’aimerais tout de même savoir ce que tu penses de moi après ce que je viens de te dire.
– Je te considère comme une salope et comme une chienne. Mais je t’aime quand même.
– Si tu me retraites de salope et de chienne, je vais avoir un orgasme ! ?
– N’importe quoi !
– Au fait, dis-moi, tu suces toujours la bite de papa ?
– Oui, je n’ai pas changé mes habitudes.
– Et il t’encule ?
– Oui et il fait ça très bien !
– Et tu oses me traiter de salope !

Ça l’a fait rire !

Mon frère était parti. J’ai attendu quelques instants. Ensuite, je suis allée à l’écurie. J’ai tout de suite commencé à mouiller en voyant l’étalon. C’était un animal avec des muscles puissants. Je suis monté dessus pour aller faire une petite promenade avant de passer à l’acte. Mon frère a un immense terrain. Ça faisait une demi-heure que je promenais. Nous sommes retournés à l’écurie. J’ai alors dit au cheval :

– Alors mon bel étalon, ça te dirait de baiser une fille ?

Dire ce genre de phrase m’excite. Je me suis mise toute nue et je suis allée sous le cheval et j’ai commencé à le caresser près du fourreau. Le pénis en sortit. Il était gigantesque ! Il faisait au moins 45 centimètres de long et cinq centimètres de diamètres. Je le caressais avec mes mains. Il était humide et collant. J’ai collé mon nez dessus. Ça sentait bon, ça sentait vraiment bon ! Comment vous n’avez jamais senti une bite de cheval, je vous le conseille ! J’ai alors commencé à lécher de haut en bas l’énorme tige de chair. Je suçais le plus gros pénis de ma vie, je ne pouvais même pas le prendre complètement en bouche.

Ma langue caressait chaque centimètre du pénis animal, mon nez sentait l’odeur chevaline. Le cheval éjacula alors sur moi. J’étais pleine de sperme. Je voulais qu’il me baise immédiatement ! Il y avait une botte de foin collée sur une table. J’y ai emmené le cheval, je suis montée dessus et je me suis mise en position de levrette. J’ai pris le pénis du cheval et j’ai commencé à l’introduire dans mon vagin. C’était vraiment gros. Je craignais qu’il me déchire. Mais je voulais aller jusqu’au bout. Mais le cheval sentit que son pénis avait commencé à pénétrer un vagin tout chaud. Il donna alors un grand coup de butoir. J’ai crié de douleur. Le cheval me défonçait littéralement. Son pénis butait contre le fond de mon vagin. Le plaisir et la douleur se mélangeait mais le plaisir prenait le dessus. Je ressentais encore plus de plaisir avec le cheval qu’avec les chiens. Il faisait de puissants va-et-vient en moi et je criais ma jouissance. Je ne pouvais me défaire de l’éteinte du cheval.

Quand il éjacula qu’il se retira, je suis resté couché là un instant, pour reprendre mes esprits. J’ai regardé le cheval. Son pénis était déjà prêt à refonctionner. Je l’ai immédiatement réinséré dans mon vagin. Le cheval me pénétra avec une plus grande force encore que la première fois. Je sentais son pénis frotter mon clitoris et heurter avec puissance le fond de mon vagin. Je criais sans retenue, sans me soucier que quelqu’un me découvre dans cette position. C’était trop bon de se faire fourrer ainsi. J’ai eu un orgasme d’une telle puissance lorsque le cheval éjacula qu’il me fallut une dizaine de minutes pour m’en remettre. Ensuite, comme à ma première expérience canine, j’ai vu que le cheval allait pisser. J’ai alors dirigé le bout de son gland vers ma bouche et j’ai bu toute son urine.

Voilà mon histoire !

Alor fantasme, rêve, réalité ? Qu’importe du moment que cela vous a excité !

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6 réponses à Les chiens, le cheval et moi par Laurence02

  1. Nolan dit :

    N’importe quoi ! Et pourquoi pas un diplodocus pendant que vous y êtes ?

  2. manu dit :

    quelle grosse bite c’est très bien, j’aime

  3. salope12 dit :

    [Modération] Nous invitons l’auteur de ce commentaire à nous le renvoyer dans une langue compréhensible par les humains. Merci d’avance.

  4. Volver dit :

    Se faire pénétrer par un cheval ? Vraiment ?

  5. Lucia dit :

    Le sujet est très mal abordé dans ce texte, je trouve

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