Une sortie en mer 11 – Le Retour – soir par Lovelace

Une sortie en mer
11 – Le Retour – soir
par Lovelace

A l’aide de Pierre et Yann, nous fixons des toiles le long des chandeliers, de chaque côté du cockpit. Ainsi, nous ne serons plus visibles de l’extérieur, si nous sommes sur les coussins. J’ordonne donc :

– A partir de maintenant, personne ne baise à l’extérieur du cockpit !
– Bien commandant ! Ironise Lucie, qui pour montrer comme elle est obéissante, s’agenouille devant moi, au centre du cockpit, me saisi la queue et la soulève pour me bouffer les couilles.
– Hummmm, miam, miam ! J’ai faim, moi ! S’exclame-t-elle.

Elle m’allonge le nœud et une fois bien durcit, elle se retourne :

– Allez, mon petit, viens donc te détendre ici.

En appui sur ses genoux, les reins creusés pour bien tendre ses fesses qu’elle prend à deux mains. Elle les écarte et dit :

– Vas-y, encules moi fort !

J’obtempère et entre, comme un soudard, d’un seul trait. Elle aime cette introduction virile et le fait savoir par un couinement. Alors, je ressors totalement et recommence 5 ou 6 fois. Son cul reste ouvert et j’agrémente le jeu d’un « coup de chapeau » – « chat » – « pot » – un coup devant, un coup derrière.

– Hoouuu, c’est bon çà, vas-y, n’arrête pas.

Elle a prit appui des deux mains au bord de la banquette, bras tendus, tête rejetée en arrière. Elle doit être belle vue de profil, avec les courbes harmonieuses qu’elle dessine. Est-ce cela qui excite Alice ? En tout cas, cette dernière vient se poster jambes ouvertes devant Yann qui bande déjà fort, et s’assoit sur lui, s’enfonçant sa verge jusqu’au fond de son cul. Pierre est debout devant elle et elle s’applique à redonner vie à son gros chibre en l’enveloppant de ses lèvres, tout en l’astiquant de la main droite, la gauche malaxant ses couilles.

– Attendez, dit-elle, j’ai envie de sentir la bite de Pierre dans mon cul !

Elle se retourne, déculant Yann et se retourne à genoux sur la banquette. Le passage a été bien préparé et Pierre n’a aucun mal à enfiler ses 25 centimètres de chair dans la rondelle accueillante.

Yann, la bite à la main, cherche où il pourrait bien la mettre ! Les seuls orifices accessibles sont le cul de Pierre et le mien ! Après tout, il y a prit goût depuis le début du week-end, et nous aussi du reste ! Il se place derrière Pierre, présente son gland turgescent devant l’orifice et pousse.

– Çà rentre tout seul, s’étonne-t-il.
– Ok, mais fais doucement, dit Pierre
– Normal que çà rentre bien, avec tout ce qu’on se met depuis vendredi ! Leur dis-je

Leur petit train est formé ! Yann essaye d’imprimer la cadence, le mouvement ressemble à un soufflet d’accordéon, mais l’amplitude de Pierre est plus grande et très rapidement, Yann n’arrivant pas à creuser suffisamment les reins, quitte l’agencement et décule.

Çà fait deux fois qu’il se fait éjecter de la scène. Je lui fais signe de venir; Lucie est en grande forme, bien déchaînée. Il se place sur les coussins devant elle. Elle l’embrasse fougueusement et monte d’un cran en posant ses genoux de chaque côté de Yann, sur les coussins et s’empale sur la bite raidie. Je me relève, m’avance et me réintroduit dans l’anus dilaté. Cette fois, Yann ira au bout et, dans un long spasme, très vite, crache sa semence. Nous ne bougeons plus et je sens, à travers la paroi, battre la verge de Yann, comme un cœur après l’effort. Pierre, de son côté à encore allongé l’amplitude de ses pénétrations. Il sort ne laissant à l’intérieur que le bout du gland et s’enfonce jusqu’à la garde. C’est impressionnant ! On entend claquer ses couilles sur la chatte d’Alice qui n’en peut plus.

– Ho, putain, que c’est bon. Dit-il, j’ai la bite en feu !
– hooo, ouiiiii ! Je viens, t’arrête pas, je viens ! Haou, ouiiiii ! S’exclame Alice.

Elle part dans un orgasme foudroyant, détrempant complètement les couilles de Pierre de son foutre abondant. La scène et surtout, les propos des filles achèvent de faire monter la pression et, j’explose en même temps que Lucie :

– Ha, haaa, que c’est bon, nom de D.., s’exclame t’elle, j’ai le cul en feu ! !

Elle s’écroule, d’un coup, dans les bras de Yann, repue et, du fait, je me retrouve éjecté de son cul si accueillant. Il reste ouvert, laissant s’écouler mon sperme.

Alice, après son orgasme, s’est avancée pour extraire Pierre et s’est retournée. Face à lui, elle saisi la bite tendue, à deux mains et branle fougueusement le membre raide.

– N’arrêtes pas, je viens ! Annonce pierre
– Oui, viens, je veux te boire !

Et elle ouvre grand la bouche pour récupérer son éjaculation qu’elle avale avidement. Elle lève les yeux et le regarde, un grand sourire éclairant son visage. Elle est aux anges ! – nous le sommes tous. Pendant tout ce temps, poussés, depuis le départ, par une brise de sud-ouest, nous avons bien avancé et je vois déjà, poindre les contours de Noirmoutier. Il est encore tôt et je demande à mon équipage lubrique :

– Voulez-vous faire un stop à Noirmoutier ou bien on rentre direct ?
– Faire un stop, Ok, mais pourquoi faire ? Demande Alice, on est bien en mer, on peut s’éclater. Au port, en pleine journée, à part aller se balader, on peut rien faire.
– Et si on restait pour la nuit et qu’on ne rentrait que demain matin ? Après tout personne n’a d’obligations, non ?
– A part le fait que Viviane sera toute seule à la maison ce soir, rien ne m’oblige à rentrer, dit Pierre.
– Ha, oui, c’est vrai ! Viviane rentre de garde aujourd’hui, reprend Alice. Ne soyons pas égoïstes, on rentre, ce serait pas sympa de la laisser seule.
– Ok, on continue.

Nous nous regardons et rions de nous voir, avachis dans le cockpit, les filles, les jambes écartées, offrent à nos yeux, leurs orifices béants, Lucie maculée du sperme s’étant écoulé de son cul et de sa chatte; Alice à le cul encore grand ouvert. Et nous ! Les queues pendouillantes, les glands rougis d’irritation, gonflés, nous sommes obscènes ! Quelle orgie ! Et bien sûr nos conversations vont de pair avec le spectacle. Ce sont des comparaisons lubriques, sur nos attributs, l’aspect de nos sexes, les propos tenus pendant nos ébats.

– Quel cul tu te trimballes, dit Lucie à Alice, une vraie gare TGV
– Tu peux parler, toi, côté cul t’es peut-être moins éclatée, normal t’as eu que des petites bites ! Mais ce sperme qui coule partout ! Ta chatte on dirait un vielle moule à la crème !
– Ho, les filles ! C’est bon, vous êtes deux bonnes salopes et il n’y en a pas une pour rattraper l’autre, dis-je
– Toi le champignon lubrique tu t’es vu : tout recroquevillé avec ce gros chapeau rouge par dessus, on dirait un bolet Satan !
– Sympas ! S’exclame Pierre
– Hé le mammouth ! Sans toi, on serait plus présentables ! Partout où tu passes tu laisses des trous d’obus. Doit être sacrément avachie de l’entrejambe ta femme !
– Non, elle fait beaucoup de muscu
– Alors elle doit avoir un gros clito, dit Lucie, plus gros que celui d’Alice ?
– Nettement, oui, au moins on a à croûter quand on l’a en bouche ! Répond Pierre.
– Dis que je suis mal foutue !
– Non, le tien est normal, petit, mais normal, comme les bites de mes potes, quoi !
– Elles sont petites, mais elles sont bonnes, le reprend Alice. Je serais bien incapable de compter le nombre de fois ou j’ai joui depuis le début de la croisière !
– Moi non plus dit Lucie, c’est impressionnant, j’ai l’impression que, depuis samedi, je suis en orgasme permanent, en fait : je suis l’orgasme !
– C’est vrai qu’une fois mise en route, on t’arrête plus ! Dit Yann
– C’est à cause d’Alice, elle m’a montré la voie.
– C’est çà, dit que je suis une nymphomane ! Avant le début du week-end, je n’avais eu qu’une expérience à trois, une seule fois et c’était il y a longtemps !
– C’est vrai, dis-je, comme nous, nous n’avions jamais eu d’expériences avec des hommes, avant.

Tout en devisant, nous occupons nos mains : Lucie se tripote les mamelons, les caresse, les pince du bout des doigts, puis se prend le sein à pleine main, Yann quant à lui saisi le bout de peau recouvrant son gland et tire dessus (souvenir d’hier ?) en secouant négligemment , Alice se caresse le clito, enserrant entre le majeur et l’index le capuchon et en le faisant rouler entre ses doigts, Pierre tient son sexe à la base, au ras du pubis et le secoue d’un air totalement détaché; Pour ma part, je me caresse les couilles, tirant sur la peau, les prenant à pleine main, les étirant, bref tout le monde occupe son environnement sexuel d’une main nonchalante, et maintien ainsi de façon tout à fait détachée une certaine tension qui, liée aux propos tenus, tient plus de l’excitation latente.

Il fait chaud, très chaud et, pour faire diversion, je propose qu’on se rafraîchisse avec la douche de pont. Nous voilà tous réunis, debout, à l’arrière du bateau, nous arrosant. Pierre, pour qui le jet semble ne pas suffire, récupère un sceau muni d’une corde dans un coffre et, le jette à l’eau, le récupère plein et nous arrose avec. Nous sommes complètement trempés. Je prends un gel douche spécial mer dans le compartiment situé près de la douchette de pont et nous nous savonnons les uns les autres, sans distinction de sexe. C’est ainsi que je me retrouve à savonner les fesses et l’entrejambes de Lucie et le service trois pièces de Pierre ! Une fois tous bien ensavonnés, nous reprenons le jeu de l’arrosage. Il ne nous reste plus qu’à nous faire sécher par notre ami Soleil !

En dix minutes, par le cagnard qui règne, c’est chose faite et nous voilà revigorés, redynamisés par le traitement. Nous reprenons le cours de nos conversations tendancieuses :

– Alors ta femme, c’est Musclor ? Demande Lucie à Pierre
– N’exagérons rien, mais çà fait un peu plus de 5 ans qu’elle pratique la muscu et il est vrai que son corps est vraiment sculpté.
– Et çà te fait quoi ? Es-tu plus attiré par les muscles ou par les formes moelleuses ?
– Elle n’est pas vraiment moins « moelleuse », répond t’il. Disons que quand elle raidit ses muscles çà se sent, c’est du béton.
– Et son clito, il est comment ? On m’a dit que les femmes qui font de la muscu ou du fitness, on le clito qui grossit.
– C’est vrai, je confirme ! Elle a le clito qui a doublé de volume depuis que je l’ai connue et je trouve çà assez excitant, surtout quand, bien rasée, elle porte un maillot près du corps; on le devine sous le tissu.
– Elle doit être excitée en permanence, avec le frottement ?
– Disons qu’elle entretien un état latent d’excitation
– J’aimerai bien voir çà, dit Alice
– Tu verras sûrement bientôt. Quand elle aura vu le film de nos exploits, je suis quasiment sûr qu’elle voudra partager ce genre de moments.
– Et qu’est-ce-qu’elle aime pas ? Ou est-elle comme nous à tout essayer ?
– Je crois qu’elle aurait tendance à être comme vous, en moins «extrémiste» !
– Tu parles ! Avec l’engin qu’elle a dans son lit tous les soirs ! Si elle aimait pas les extrêmes, elle t’aurai sûrement pas gardé et épousé !
– Là, interviens-je, Lucie n’a peut-être pas tord.
– En tout cas, dit Alice, moi j’aime bien le gabarit ! Les femmes disent toujours que c’est pas une question de taille, qu’il vaut mieux une petite habile, qu’une grosse fainéante, j’en passe et des meilleures, n’empêche que quand tu as çà en toi, tu le sens ! Et si en plus le mec sait s’en servir, tu prends un super pied.
– Tu veux dire que tu vas plus prendre ton pied avec moi ?
– Mais non, mon amour, ne mélanges pas tout. Je te parle de plan cul, pas d’amour. De la pure sensation physique et que physique. Tu peux prendre ton pied à courir un marathon, c’est pas pour autant que tu prendras pas ton pied à t’empiffrer d’une bonne choucroute !
– Jolie la comparaison ! S’exclame Lucie et, en se caressant la chatte : je veux pas du marathon, mais je veux bien m’empiffrer de choucroute ! Enfin surtout de saucisse !
– Hummm ! Tu as raison, reprend Alice en basculant son bassin en avant et s’enfilant un doigt dans le cul : une bonne saucisse, qu’elle soit accompagnée de choucroute ou de potée, çà me va !
– Tiens, goûte la mienne dis-je en lui tendant mon sexe.
– Non, toi je connais, viens Yann
– Je me tourne vers Lucie, mais elle est déjà en train de goûter celle de Pierre.
– Bon et bien moi je vais manger des moules ! Dis-je, en me jetant sur celle de Lucie.

Je gobe le clito, le malaxe entre mes lèvres, descend lécher la vulve, remonte attraper le clito, que je mordille, lèche, absorbe, jusqu’à ce que les premiers gémissements arrivent. Là, je m’applique et au moment où elle va jouir, je la quitte et file m’occuper de celui d’Alice.

– Salaud, reviens, j’allai jouir bougre de con !

Alice se marre :

– Allez, tu as raison, mon clito a besoin de toi, lèches moi bien, fais moi jouir !
Je recommence le même manège avec Alice.
– Mais t’es un vrai connard, lance t’elle, je suis à bout moi, reviens j’ai besoin de jouir !
– Allez-vous faire voir, salopes ! Çà vous apprendra à croire que vous dirigez tout !

Mes deux amis mâles, se marrent; ils ont eu tord ! Ils se font envoyer bouler, alors qu’ils sont bien excités. Çà n’empêche qu’ils se marrent. Les filles aussi, du reste ! Mais elles font semblant de jouer les frustrées.

Elles jouent la pièce à fond !

Elles se rapprochent, s’embrassent, se mettent en 69 et se lancent dans une partie de broute minet exceptionnelle. Mais, elles ont beau utiliser leurs doigts, elles n’arrivent pas à combler l’espace qui s’est ouvert grâce à leur orgasme. Leurs chattes sont dégoulinantes de foutre, bien ouvertes, mais rien pour les remplir ! Et, foutredieu, elles ont en envie :

– Allez, les gars, on rigolait, venez, on fera ce que vous voudrez, mais bon sang, venez nous remplir ! Je vous promets que vous prendrez votre pied comme jamais, mais nom de Zeus, baisez-nous !
– Pia, pia, pia ! Çà vous apprendra à parler trop et nous rabaisser, maintenant débrouillez-vous !

On dit çà, mais on n’a qu’une envie : nous précipiter et les prendre, dans tous les sens ! Nos bites sont tendues comme des arcs. On fait les marioles, mais on n’en mène pas large. On se regarde pour savoir qui va lâcher le premier. Ha, l’amour propre du mâle !

Finalement, c’est Yann qui craque le premier; il se précipite sur Alice, lui soulève les jambes, les écarte, elle se laisse faire, un grand sourire lui barrant le visage, et se fait mettre d’un coup, brutalement.

– Houuu, ouii ! Hummm, que c’est bon ! Mon salaud, tu as intérêt à tenir jusqu’à ce que je vienne, allez astique, vas-y à fond.

Lucie la regarde, dépitée, envieuse, tourne la tête vers nous et nous supplie du regard. On se regarde Pierre et moi et, ensemble on se jette sur elle.

– C’est vraiment pour te faire plaisir, hein !

Oui, on n’a pas craqué, seulement on veut pas qu’il y ait de jalousie entre vous deux !

– D’accord, d’accord, mais allez-y, prenez moi !

On la soulève, je m’assied, Pierre la repose sur ma queue dressée, elle s’empale :

– Hooo, Ouiiiiii ! Qu’est-ce que c’est bon, Hummmm, à fond ouii !
– Attend, lui dit Pierre, le meilleur arrive !

Il pointe son gland devant l’entrée anale, pousse et entre le gland

– Haaaaaaaa ! Ho c’est fort, çà, allez entre bien, je vous veux tous les deux, vas-y, vas-y ! !
J’arrive, ma cochonne, et il pousse et entre d’un coup jusqu’à la garde.
– Nom de Dieu, c’est bon ! ! Ho, Alice, j’en ai plein le cul, c’est bon
– Je sais, je connais ! Répond Alice, une pointe de jalousie dans la voix. Viens Yann, prend moi le cul. Elle se met par terre et remonte ses jambes, bien écartées, derrière sa tête, offrant ses deux orifices à la vue de tous, dans une posture vraiment obscène, s’ouvrant le trou du cul avec ses doigts.
– J’arrive ! Et Yann prend sa queue pour la baisser vers le trou béant et entre à fond, écrasant ses couilles sur les fesses d’Alice.

Lucie qui ne peut (ou ne veut) se retenir, se laisse partir. Pierre encore plein de ressources, rejoint Yann. Il voit, sous lui, la moule juteuse et l’enfile offrant aux yeux d’Alice, le spectacle de ses couilles ballottantes. Elle non plus ne résiste pas longtemps à ces assauts et exhale un long gémissement qui accompagne son orgasme. Et nous revoilà, comme tout à l’heure, la bite tendue, alors qu’elles ont eu ce qu’elles voulaient.

– Il est temps de tenir vos promesses, maintenant !

Allez vous faire voir, les mecs, nous on a eu ce qu’on voulait.

– Ok, vous l’aurez voulu !

On se regarde, avec Pierre, on s’est compris. Un coup de gel lubrifiant chacun et, devant elles, on s’enfile, tous les trois à la queue leu leu. Seul le premier, (c’est moi ! n’a rien. Mais qu’à cela ne tienne ! On se tourne lentement pour finir face aux filles et là, je me branle à fond et leur envoie mon sperme à la figure !

Surprises, mais pas décontenancées, elles se regardent et se lèchent, récupérant tout le sperme qui a finit sur elles.

Mes potes se lâchent, je sens les giclées de Pierre dans mon cul, et j’entends Yann. Personne n’a gagné, personne n’a perdu, on se marre tous à nouveau, seule chose, j’ai un peu mal au cul !
Le retour, se termine finalement dans le calme, Yann passe des coups de fil à différents hôtels pour trouver une chambre, mais fait chou blanc. Nous leur confirmons donc notre proposition de soit les héberger, soit s’ils préfèrent, squatter le bateau. Nous arrivons au port tranquilles. Je gare le bateau à son emplacement. Pierre et moi l’amarrons et le rangement commence. Je demande à Alice de rapprocher la voiture pour charger ce qui reste d’avitaillement. Au moment où elle enjambe le tableau arrière, je suis assis et je vois qu’elle est nue sous sa petite robe.

– Tu aurais pu mettre une culotte dis-je,
– Sûrement pas, je vais quand même pas enfermer cette petite bête alors qu’elle a passé 3 jours en totale liberté ! Lâche-t-elle dans un éclat de rire

Et la voilà partie, sautillant exprès, souhaitant sûrement qu’on voit ses fesses.

Nous mettons les sacs et les restes de bouffe sur le ponton, je ferme les capots à clé et nous quittons le bord.

Salut «Boréal»

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