Je l’avais rencontrée suite à une petite annonce sur Internet. Nous avions échangé quelques mails pour parler de nos envies réciproques et avions décidé de vite nous rencontrer.
Elle m’avait envoyé plusieurs photos, ce qui était une condition pour que je la rencontre, et je lui en avais également envoyé. Ces échanges nous avaient bien échauffés. Je dis « elle » mais vous pourriez également lire « il », puisque j’étais à la recherche d’une relation avec un travesti soumis. 35 ans (j’en ai 38), très attirante, cheveux longs bruns, aucun poil, un regard très coquin, des courbes délicieuses, des fesses rebondies comme je les aime, elle avait tout pour me plaire. D’autant qu’elle aimait les hommes plutôt dominants comme je le suis.
La rencontre a eu lieu chez elle selon mes exigences : je lui avais interdit de jouir pendant toute une semaine, je lui avais indiqué la tenue à porter pour m’accueillir : jupe courte bleue marine (qu’elle avait exhibé en photo), bas noirs, talons aiguilles noirs, petit haut noir que j’avais également vu sur une photo… Et un string bleu marine assorti à la jupe. Je lui avais aussi demandé de bien se maquiller, je lui avais demandé d’être « très pute » pour moi, avec un rouge à lèvres très rouge et un eye-liner très sombre… Et un parfum agréable et pas oppressant ou trop présent.
Elle m’a ouvert la porte, m’a souri, et elle était aussi belle que sur ses photos, et vêtue et maquillée exactement comme ordonné. Elle m’a fait entrer, puis m’a amené au salon. J’ai choisi un fauteuil confortable et nous avons commencé à discuter un peu, alors qu’elle nous servait à boire. Je l’ai coupée au milieu d’une discussion « mondaine » pour simplement lui murmurer :
– « Lève-toi, tourne, montre-moi comme tu es belle, Sophie… »
Elle s’est exécutée, m’a fait une petite danse pour s’exhiber.
– « Montre-moi ton petit cul » furent mes mots suivants, auxquels elle répondit en rougissant légèrement et en restant dos à moi, tout en relevant sa jupe.
Ses jambes douces gainées de bas, son porte-jarretelles, son parfum envoûtant, la vue de son string entre ses délicieuses fesses, tout ça me fouettait le sang et je commençais à bander très fort. Je me levais pour me coller à elle, dans son dos… Je me frottais à elle pour lui faire sentir mon érection contre ses fesses, tandis que mes mains se promenaient sur ses hanches, puis venaient caresser ses jambes, ses bas, ses fesses… Je la caressais ainsi longuement… Elle haletait déjà, très excitée, et je la fis se retourner doucement, en gardant mes mains sur ses fesses… Mon regard planté dans le sien, je caressais son cou d’une main pour doucement l’amener plus bas…
Elle se mit à genoux, et son sourire en disait long sur son envie quand je lui ordonnais de sortir ma queue… Ce qu’elle fit rapidement. Je lui demandais de lécher ma bite, et sa langue se promenait partout sur mon gland, ma queue, mes couilles… Elle voulait me prendre en bouche mais savait qu’elle devait attendre d’y être autorisée. Je lui demandais de rester immobile ainsi, langue sortie, et je m’amusais à promener ma queue sur cette langue, puis sur son visage, avant d’enfin glisser mon gland dans cette bouche délicate… Elle se mit à me sucer avec ardeur, et je l’autorisai à se masturber elle-même pendant qu’elle me suçait.
Elle jouit très rapidement, inondant le plancher, en continuant à me sucer, et je la grondais en lui disant qu’elle méritait une punition pour avoir joui sans m’avoir demandé la permission. Je la fis cesser cette fellation si agréable pour l’installer à quatre pattes sur le fauteuil. Jupe relevée, je baissais son string sur ses genoux, et commençais immédiatement à la fesser, doucement puis de plus en plus rudement. Je la traitais de salope, de chienne, de trou à bite, pendant que je la fessais (elle adorait les mots crus) et que je frottais ma queue contre sa raie… Elle ondulait, je ne savais pas trop si c’était à cause de la fessée ou à cause de son envie de ma bite…
Au bout d’un moment, ses fesses bien rouges (nous avions convenu que les fessées seraient à la main, sans accessoire), je cessais de frapper son cul pour saisir ses hanches et bien frotter ma queue contre son petit trou… Je bandais beaucoup …
– » Alors, salope, tu as envie de ma bite ?
– Oh ouiiii Monsieur…
– Tu te tortilles comme une pute, tu as envie de sentir cette queue tout au fond de ton petit cul de chienne ?
– Pitiéééé, ouiiii… Monsieur…
– A notre prochaine rencontre, peut-être… Si tu le mérites… »
Je cessais ces frottements pour revenir devant elle et glisser ma bite dans sa bouche brulante. Je tenais son visage entre mes mains et la faisait aller et venir sur ma bite, son rouge à lèvre restant peu à peu sur ma tige… Je baisais sa bouche doucement, puis la laissais me sucer à son rythme… Pendant tout ce temps je la traitais de putain, de bouffeuse de bite, et au moment de jouir je me retirais pour arroser son visage et son haut…
C’était notre première rencontre, il y en eut d’autres… Et si vous aimez ce genre de relation, n’hésitez pas à me contacter 😉
Cedric
cedhot1911@yahoo.fr
Finalement je ne le trouve pas très cool ce « maître » !!!
Pourquoi lui avoir interdit de jouir pendant 8 jours ????
Et puis moi à la place du travesti, j’aurais insisté pour que le maître m’encule, c’est tellement bon de sentir une bonne bite qui nous ramone le cul…. Et si cet abruti de maître n’est pas d’accord je cesse la relation ! Non mais dès fois…
j’aimerais vraiment etre une jolie travestie soumise, mais je ne suis pas très efféminée pour le moment !
je debute…
tu connais le site COCO ?
Pardon ?