Textes pour Brigitte
1 – Rencontre avec Brigitte
par Ricky
Ce texte et ceux qui vont suivre ont été écrits suite à ma rencontre sur ce site avec Brigitte, elle-même auteure de certains récits, et avec qui j’ai eu une relation par mails. Elle m’a procuré beaucoup de plaisirs dans une période de ma vie pas spécialement heureuse et si je suis aussi bien dans ma peau, c’est (un peu) grâce à elle. Qu’elle sache, si elle repasse par ici, que je la considère encore comme ma « petite lumière ».
Je pousse la porte de l’agence. Des dizaines de photos sur les murs, des photos d’appart et de maisons très sympas mais aussi très chers…
« Je peux vous renseigner peut-être… ? »
Derrière un écran d’ordinateur apparaît le joli visage d’une fille à lunette, la trentaine, aux cheveux châtains ramenés sur le dessus avec une pince. Elle sourit et je croise ses yeux bruns très clairs, presque dorés.
– « Euh…. Oui. »
– « Vous cherchez un logement je suppose… »
J’arrive pas à décrocher mon regard de ses yeux. C’est vrai que je craque chaque fois que je regarde les yeux d’une fille, mais là on dirait carrément qu’elle a des pépites d’or dans le regard. Faut que je me ressaisisse…
– « C’est ça, oui. Euh… Un appart style F1 ou F2, vers le centre-ville de préférence et pas trop cher si ça va… »
Elle sourit de plus belle en m’entendant débiter tout ça d’un trait sans respirer.
– « Pas de problème, vous avez frappé à la bonne porte…Remplissez ce dossier et on s’occupera du reste. »
Je prends le paquet de feuilles de sa main non sans lui avoir effleuré le bout des doigts. Une petite habitude que je ne peux réprimer, et qui me laisse toujours l’impression d’avoir profité de la situation. Faut dire que j’ai les mains baladeuses…
Je remplis donc ce dossier, un foutu questionnaire permettant de définir quel serait mon idéal immobilier. Après quelques minutes, je me retourne pour lui rendre sa paperasse. Je la vois tourner la tête. Elle était donc en train de m’observer… Elle m’explique qu’on va me contacter dès qu’ils auront trouvé des offres en adéquation avec ma demande, et … je n’écoute plus : toute mon attention se focalise sur le petit bout de dentelle noire qui émerge timidement du léger décolleté de son tailleur assez strict. Elle continue de parler. Je ne suis déjà plus là. Je viens de me perdre dans le creux de ses seins, ivre de son parfum et frissonnant au contact de sa peau douce et sucrée…
Je reviens à la réalité. C’est aussi brutal que douloureux.
– « C’est bon, vous avez tout saisi ? »
– « Euh, oui, c’est parfait. »
– « Autre chose ? »
Oh oui, plein d’autres choses tant que je peux encore rester là et te regarder…
– « Non, c’est bon, j’vous remercie… »
– « A bientôt alors »
Je tourne le dos et je sors. Une infinie tristesse s’empare de moi. Le soleil ne brille plus autant qu’avant. Le ciel n’est plus aussi bleu. Tout est gris et pâle, monotone et moche…
Mélancolique, je prends le bus et rentre chez moi. Quoi que je regarde, je vois son visage en filigrane. C’est pas possible de craquer comme ça, si vite. C’est vrai que ça m’arrive souvent de tomber sous le charme d’une demoiselle que je croise dans la rue. Une de celle qui d’un simple regard, d’un simple clignement de paupière vous fait oublier tout ce à quoi on était en train de penser, et qui ne laisse derrière elle que le souvenir d’un parfum entêtant.
Mais ensorcelé à ce point, ça m’était jusqu’alors inconnu…
Le soir, n’ayant rien de mieux à faire que de glander sur le net, je me mets à la recherche de site de cul sympas pour se taper une bonne branlette. Me vient l’idée géniale de dégoter des photos de nanas ressemblant le plus possible à la beauté de ce matin.
Je tombe sur un site assez cool qui propose des galeries d’ejacs faciales. Ça me fait toujours bander de voir tous ces petits minois recouverts de sperme. Ça doit être le pied ultime de pouvoir gicler dans la bouche d’une belle jeune fille… Bientôt 24 ans et encore jamais avoir été sucé. Faut dire que j’ai jamais osé demander… Hmmmm, celle-là est sympa…. Elle en a vraiment partout, c’est pas possible qu’il soit tout seul pour l’avoir couverte comme ça, elle en a dans les cheveux et ça lui coule sur les seins, et elle a l’air d’apprécier en plus… Hmmmmm, ça vient, oui, ahhhhhhhhhh. Je jouis, et comme à chaque fois je me retiens pour éviter d’en foutre partout. Ca me coule sur la main et il y en a plein par terre, j’en ai même sur le bide. Ça va, c’est mieux que la dernière fois où je m’en suis foutu dans l’œil, comme un con… Encore une fois, je joue avec et l’étale sur la main, je me demande quel goût ça peut bien avoir. J’ai déjà essayé d’en lécher un peu, mais au dernier moment ça m’a dégoûté.
Aller, merci les filles et à la prochaine, on se déconnecte, une douche et au pieu…
Le lendemain matin, je me réveille avec la douleur habituelle dans le bas-ventre. La bosse sous les draps trahie mes rêves érotiques de la nuit, dont je n’ai d’ailleurs aucun souvenir.
Je commence à me palucher. C’était quand même mieux quand j’avais ma copine à côté de moi au réveil. Bon aller, c’est pas tout ça, mais j’ai du boulot aujourd’hui. Faut que je passe au rectorat pour voir s’ils ont bien reçu ma demande de dossier d’inscription. Je pensais pas que c’était tellement chiant de passer des concours administratifs. Et puis faut que j’aille voir les emplois du temps, ils doivent être affichés vu que la rentrée est dans deux semaines.
En sortant de sous la douche, le téléphone sonne. A poil, je traverse mon petit studio pour décrocher. Instinctivement, je jette un œil sur l’immeuble d’en face : plus d’une centaine de chambres universitaires dont certaines des occupantes sont peut-être en train de reluquer ma bite…
– « Allo ? »
– « Oui, bonjour, agence Immo-Alsace, vous avez déposé un dossier hier à notre agence et nous avons trouvé quelque chose susceptible de vous intéresser… »
– « Ah…Déjà ? Ben très bien, je passe en fin d’après-midi. »
– « Bien, nous vous attendons, ma collègue vous fera visiter. Au revoir»
Sa collègue…. Comme ce n’était pas sa voix, j’espérais déjà retrouver ma déesse aux yeux d’or d’hier. Parfait, la journée s’annonce plutôt bien.
Vers 17 h j’arrive à l’agence. Une cliente est en grande discussion avec elle. Elle est encore plus radieuse qu’hier, on dirait qu’elle irradie une lumière, un ‘pocket sized sun’ comme dans la chanson de Tiamat : ‘ the girl offers me a pocket sized sun, when I behold her innocent smile.’
Je reste sagement à l’écart, mais je vois qu’elle me dédie des regards par-dessus l’écran de son PC. La vieille continue de l’abreuver de questions. Ça dure un bon quart d’heure. A la fin elle sort, nous laissant seuls tous les deux. Enfin en apparence, vu que je suppose que ses collègues sont à l’étage, dans les bureaux.
– « Veuillez m’excuser pour vous avoir fait attendre. »
– « Oh, ce n’est rien…. »
– « Bien, alors on va visiter le F1 qu’on vous a trouvé. Il y en a 2 d’ailleurs, un près du centre-ville, et l’autre près de la gare. Les loyers sont à peu près équivalents, je le précise tout de suite puisque vous m’avez dit que vous cherchiez quelque chose de pas trop cher…
On monte dans la voiture de l’agence, où peut-être est-ce la sienne…
– « Bien, je me présente, je m’appelle Brigitte, et j’espère que vous trouverez votre bonheur aujourd’hui »
Ça, le bonheur n’est jamais loin de toi à mon avis.
– « Vous êtes étudiant, c’est cela ? »
– « Oui, j’ai terminé ma maîtrise et maintenant je prépare des concours administratifs »
– « Ah, un futur fonctionnaire donc… »
– « Avec de la chance, oui »
– « Et c’est quelle branche qui vous intéresse ? »
– « Oh, préfecture ou mairie, peut-être aux impôts…Je sais pas encore vraiment. Ce qui me brancherait le plus c’est de travailler dans une bibliothèque mais le concours est assez difficile»
– « Vous aimer lire ? »
– « Oui, quand j’ai le temps… »
– « On arrive bientôt, rue Karguenec si vous connaissez… »
– « Oui, ça fait 6 ans que j’habite Strasbourg, et j’avais une copine qui avait un studio dans ce quartier… »
Je sais pas si c’est mon imagination, mais quand j’ai prononcé ‘copine’, elle a eu un petit sourire en coin… Qu’est-ce que ça veut dire ? En tout cas, je regrette qu’on arrive car j’aimais bien voir ses jambes appuyer sur les pédales ( elle porte une jupe noire, pas très courte mais qui dévoile des bas sur ses belles jambes ), et puis la façon qu’elle a de poser sa main sur le levier de vitesse, inutile de préciser à quoi ça me fait penser…
On sort de la voiture, et elle m’invite à la suivre.
– « C’est au second, il n’y a pas d’ascenseur malheureusement… »
On se dirige vers les escaliers et elle passe devant. La courtoisie veut qu’il ne convienne pas de passer derrière une femme en jupe dans un escalier. Mais ma queue semble apprécier cette vue que j’ai sur son cul : la dentelle noire sur ses bas, son déhanchement, et la petite culotte que je devine sous le tissu de la jupe… Ca y’est je bande pour de bon.
Devant la porte, elle cherche les clés dans son sac à main. Il n’y a pas beaucoup de lumière dans le couloir, et il est assez étroit, ce qui fait que je suis juste derrière elle. Je tends mon cou et je sens le parfum de ses cheveux, une odeur de shampoing mêlé à une fragrance plus forte, un peu épicé, de fleurs et de fruits… La porte s’ouvre. Elle allume la lumière (moi, elle m’a allumé depuis une demi-heure déjà). Elle me fait faire le tour du propriétaire comme on dit.
L’appart est très sympa, 35 m² environ, avec une salle de bain assez grande, propre et tout.
Pour un loyer de 350 €, c’est une affaire. Tout le temps de la visite, je la suivais comme un petit chien, m’efforçant d’être assez prêt pour la toucher. Sans que ce soit trop flag, évidemment, pas question de lui mettre la main au cul…
– « Alors, vous en pensez quoi ? »
– « Parfait, c’est exactement ce que je cherche. Pas trop grand, et pas trop vieux »
– « Pour un étudiant, il est bien, c’est vrai. »
Quand elle dit étudiant, je traduis par célibataire : il n’a pas besoin d’être trop grand vu qu’il vit seul.
Elle s’assoit sur le lit et commence à fouiller dans son sac. Elle en sort un paquet de feuilles.
« Alors si vous êtes chaud pour le prendre, vous pouvez signer le contrat de bail »
Moi je suis surtout chaud pour te prendre tout court…
Mes yeux s’attardent sur ses cuisses. Définir le bonheur est impossible, mais si je pouvais plonger ma tête là entre, j’en aurais une idée très précise.
Elle croise les jambes. Je me reprends et redirige mon regard sur ce qu’elle me tend, depuis quelques secondes déjà. D’après l’expression amusée de son visage, elle m’a capté.
Un peu tremblant, je signe au bas de la feuille.
– « Bien, vous ne le regretterez pas… »
On redescend et elle me propose de me raccompagner jusque chez moi, puisque c’est sur son chemin du retour. Moi, ça m’arrange bien de ne pas avoir à attendre le bus pour traverser tout Strasbourg, mais surtout je reste quelques instants de plus près d’elle. Ses gestes, ses regards, ses petits sourires en coin, son air mutin… Je suis charmé, pire, possédé. Comme disait Platon, elle participe à l’Idée de beauté. Il jugeait vain de chercher dans le monde réel la manifestation d’un concept mental, mais il avait tort. Si chaque femme renferme une part de beauté en elle, Brigitte est l’incarnation parfaite de ce que l’imagination la plus fertile peut concevoir de magnifique. C’est un éclat de cristal plus brillant que mille étoiles filantes.
Le velours de ses yeux doux invite à l’abandon le plus total. Une vie entière ne suffirait pas pour contempler la perfection de son visage. Et moi, je n’ai plus que quelques minutes avant d’arriver chez moi et de me séparer d’elle…
Le lendemain passe à une vitesse affolante. Faut que je range tout dans des cartons en prévision du déménagement. Ce week-end, mon pote Régis vient avec sa vieille bagnole pour trimballer tout ça. Entre mes bouquins de cours et mes CDs, les posters du ‘seigneur des anneaux’ à décrocher du mur sans les déchirer, le magnéto et le PC à débrancher…
On frappe à la porte… Il est 19 h 30. J’ouvre. Mon cœur cesse de battre. Elle est là.
Il n’y a plus de mots pour décrire ce que je vois… Elle est habillée très sexy : un débardeur rose pâle qui moule la forme de ses seins, avec les bretelles en dentelle blanche de son soutif. Je n’avais même pas remarqué qu’elle avait une si belle poitrine… Et une jupe courte blanche qui lui arrive au-dessus des genoux. Son petit nombril arbore fièrement un anneau argenté. Ses bras fins portent une veste qu’elle n’a exprès pas mise histoire de produire son petit effet. Mon regard remonte de la naissance de ses seins à la délicate peau de son cou, pour se poser sur ses lèvres roses et brillantes. Un sourire apparaît. Je renonce à la regarder dans les yeux car je sais que je ne pourrais le supporter. Je reste donc à fixer son nez comme un abruti, incapable de prononcer quoi que ce soit… ‘Welcome to the Fall…’
– « Bonsoir, je ne te dérange pas ? »
– «……… »
– « Euh, je peux entrer ? »
– « Beuhhhh, oui, bien sûr… »
– « Voilà, en fait en fermant l’agence j’ai remarqué que tu avais oublié de signer au bas de la dernière page du contrat, et comme je sais où tu habites, je suis vite passé. »
– « Ah ! Ben c’est gentil … »
– « Je vois que tu as commencé à ranger tes affaires »
Pourquoi se met-elle à me tutoyer ? Je referme la porte.
– « C’est plus grand que je pensais, chez toi. Moi je voyais les chambres universitaires toutes petites… »
– « Ca fait 25 m² environ, c’est sympa mais j’avais envie de changer un peu »
– « En tout cas, t’es équipé, télé, magnéto, PC, frigo… Ça va, il te manque rien. Tu écoutes la musique avec ton PC ? »
– « Ouais, je vais l’arrêter… »
– « C’est quoi, je ne connais pas… »
– « C’est ‘Gathering’, un groupe de métal hollandais… »
– « La chanteuse a une belle voix… Je croyais que le métal, c’était plus bruyant »
– « Ben j’écoute que ça depuis que j’ai 15 ans et je découvre toujours des nouveaux trucs, c’est très diversifié en fait… »
Je me penche pour attraper la souris et fermer Winamp. Quand je me retourne, elle est assise sur mon lit, les jambes croisées avec un bouquin dans les mains.
– « ‘le traité des passions’ de René Descartes… T’aime la philo ? »
– « J’ai fait un deug de philo. Mais j’ai abandonné après avoir foiré la licence… »
– « Ça doit être intéressant » dit-elle en reposant le livre sur la pile.
D’habitude, j’aime pas tellement qu’on tripote mes affaires, mais avec elle, j’ai l’impression d’être un petit enfant tout fier de montrer sa chambre à sa grand-mère.
– « Bon, on va signer ça comme ça se sera réglé. »
Elle décroise les jambes : entre ses délicieuses cuisses, j’aperçois un fin triangle de tissus blanc. Elle se penche pour prendre son sac à ses pieds. Vue plongeante sur son décolleté. Ses seins magnifiques semblent encore plus gros, rassemblés ainsi entre ses bras. Une mince bande de dentelle sert de pont entre ces deux adorables collines. Le temps semble s’arrêter, et je mate comme un fou, ce qui me fait un effet bœuf sur certaine partie du corps. Elle se redresse, elle a trouvé le dossier et me le tend. Des mèches de cheveux lui tombent sur le visage. Je ne sais comment la regarder, droit dans le miel de ses yeux, ou dans l’échancrure de ses nichons voluptueux. Finalement, je me perds entre ses cuisses avec l’espoir de revoir sa petite culotte affolante.
Elle se lève soudain et me donne un stylo. Sans doute a-t-elle remarqué qu’à travers le dossier, c’est bien elle que je regarde.
– « C’est là qu’il faut signer, avec ‘lu et approuvé’ et la date d’aujourd’hui. »
Je m’exécute.
– « Tu es certain de ne pas regretter ? »
– « Euh, non, je ne pense pas. Pourquoi ? »
Elle reprend le dossier et va le ranger dans son sac. En regardant ses fesses, je ne remarque pas la traditionnelle marque de la petite culotte. Elle porte donc un string… Mon sexe commence à être trop à l’étroit.
– « Non, je dis ça parce que finalement, hier, tu étais plus attentif à mes formes qu’à celles de l’appart… »
Brouffff. Je manque de m’étouffer. Je deviens tout rouge. Ainsi, elle avait tout remarqué…
Elle se retourne et me regarde fixement, sans rien dire.
Je me lève d’un coup. Honteux, je cherche les mots pour m’excuser.
Un sourire apparaît, et elle éclate de rire.
– « T’es super mignon, on dirait un petit garçon qu’on vient de gronder. »
Elle s’approche de moi et m’attrape par la nuque. Son parfum m’envahit, je sens son souffle sur mes lèvres. Un contact d’une douceur infinie. Sa langue parcourt mes lèvres à la recherche d’une entrée. Ses seins lourds pèsent sur mon torse.
Nos langues se frôlent, je l’aspire dans ma bouche et commence à la sucer doucement. Ses doigts jouent dans mon épaisse chevelure noire. Je la repousse de ma bouche pour entrer dans la sienne. Ses dents bloquent le passage. Nos salives se mêlent et me coulent sur les poils de mon bouc. Enfin, elle ouvre sa bouche. Je me précipite et je lui roule une pelle monstrueuse. Je sens sa main sur mon entrejambe qui palpe ma bite au travers du jean. Ca fait des mois que j’ai plus bandé comme ça.
Je descends ma main vers sa chute de reins. Je l’attire encore plus vers moi. Ma main arrive au niveau de ses fesses, que je me mets à caresser à travers le doux tissu. Je parcoure la raie de son cul jusqu’au bout de sa jupe que je remonte petit à petit. Mes doigts touchent la chair ferme, et s’enfoncent entre les deux fesses pour saisir le tissu de son string. Mon index touche son petit trou et commence à le titiller.
Sa langue douce fait des ronds autour de la mienne. Sa main à ouvert ma braguette et cherche à entrer dans mon slip. Ses ongles viennent griffer mon membre quand elle arrive enfin à le saisir. Elle me caresse délicatement puis se met à me branler lentement. Son pouce se pose sur le gland dur et humide et frotte dans un va-et-vient de plus en plus rapide. Je sens que je vais jouir.
J’ouvre la bouche pour mieux respirer. Sans répit, elle vient enfoncer sa langue au plus profond. Une longue coulée de salive sucrée l’accompagne. Tandis que je m’efforce de l’avaler, je sens ses fesses se resserrer sur mes doigts. Ça ne va pas être facile de pénétrer son cul comme ça. Le mouvement de sa main s’accélère. Ma bite est comme dans un étau, mais que c’est bon…
Ca y est. Je lâche tout. Je n’ai jamais connu une telle jouissance. J’ai des fourmis dans le ventre. Je cherche à respirer, mais sa langue m’en empêche toujours. De chaudes coulées de sperme recouvrent mon bas ventre. Sa main dessert enfin son étreinte. Je sens ses doigts qui parcourent mon gland sensible, et qui étalent le liquide tout le long jusqu’aux couilles. Sa main se retire, pleine de sperme. Elle s’écarte de moi. Des gouttes tombent au sol tandis qu’elle la ramène vers sa bouche. D’un coup de langue, elle lèche ses doigts. Elle se nettoie ainsi comme on peut le faire après avoir mangé un fruit juteux. Elle me fixe droit dans les yeux.
Je reprends lentement mes esprits. Je m’approche pour caresser sa joue. Elle sourit. Elle recule et ma main glisse jusqu’à son sein. J’en apprécie la fermeté et joue un instant avec la pointe dure qui darde au travers du débardeur. Elle recule encore, et sans un mot attrape son sac et se dirige vers la porte. Sans même se retourner, elle sort, me laissant déchiré entre le bonheur de ce que je viens de vivre et la douleur de la voir partir.
A suivre
Pas très vassilien cette affaire-là, on espère donc que ça le deviendra. En tout cas très bien raconté. Le passage à l’acte pourra être jugé comme trop rapide, mais qu’importe on est dans la fiction, pas dans la réalité, et puis a bien y regarder les saute-au-paf, ça existe (et on ne s’en plaindra pas, nous les hommes). Encouragement