Je suis une serveuse 19 – Une nouvelle journée commence – partie 1 par Trinity

Je suis une serveuse
Chapitre 19 – Une nouvelle journée commence – première partie
par Trinity


Je me réveillais avec une étrange sensation : Sophie était tout simplement en train de me faire une excellente fellation.

Immanquablement, elle finit par poser ses deux mains sur mes fesses : elle insinuait un doigt inquisiteur le long de mon anus, souple maintenant.

Malgré tout, n’arrivant pas à rentrer en moi, elle approcha son doigt de ma bouche.

– Alors, tu n’es pas encore ouverte comme doit l’être une femme ? Lèche ça, tu verras, tu vas t’ouvrir comme une fleur, à l’image de cette nuit.

Je me laissais faire, m’abandonnant aux caresses de Sophie sur mes jambes, elle n’hésitait pas à fureter sa douce main manucurée jusqu’à empoigner mon sexe en érection. Dans le même temps, son autre main remontait le long de ma fesse gauche, remontant du même coup ma nuisette. Elle se plaquait contre moi, m’embrassant à pleine bouche, allant chercher ma langue au plus profond. J’étais totalement sous son charme. Pourtant elle jouait maintenant clairement le rôle de l’homme dans notre relation, n’hésitant pas à toucher mon anus d’un côté et à masturber mon sexe de l’autre. Au bout de quelques secondes, trop courtes, elle me fit me retourner, me faisant mettre à quatre pattes, les fesses en arrière, les exposants ainsi.

– Quelles fesses, j’en serais presque jalouse, on voit bien que tu t’entretiens ma belle. Ton cul est superbe. Écarte bien les jambes ma chérie !

Chose que je fis sans rechigner, je voulais qu’elle me donne à nouveau du plaisir. Elle commençait par passer ses mains le long de mes jambes, ses caresses en appelaient d’autres. Elle devait avoir une réelle expérience du saphisme, ses gestes étant tantôt doux, tantôt appuyés. Ses mains arrivaient ensemble pour écarter mes fesses.

– Laisse toi aller Erika, apprécies-tu mes caresses ?
– Oui, mademoiselle Sophie, j’adore !
– Ce n’est que le début, tu n’as rien ressenti encore, le meilleur reste à venir, laisse toi transporter par mes attouchements, fais ce que je te dis et tu en retireras des jouissances inespérées.
– Bien mademoiselle Sophie.

Elle passait sa langue le long de mon anus. Cette langue me faisait craquer de suite, une sensation de plénitude me traversais, je ne savais plus où donner de la tête, c’était exquis. Elle me masturbait à nouveau tout en appuyant sa langue contre ma rosette qui s’ouvrait doucement.

J’allais à la rencontre de son visage, ces attouchements étant nouveau pour moi mais oh combien jouissif. Je ne ressentais plus aucune gêne à m’offrir de la sorte.
– Humm, je remarque que tu apprécies cette petite gâterie, cochonne !

D’une main, elle me fessait doucement. Puis, un coup plus fort me fut porté. Aïe, je ne m’y attendais pas. Sophie en profita pour me fureter un doigt dans mon anus. Il y pénétra sans aucune difficulté, sa langue ayant préparé le terrain.
– Alors, tu aimes ?
– Euhhh … oui … j’aime mademoiselle Sophie.
– Que ressens-tu ? Je continue ?
– Humm… oui Mademoiselle.
– Bien, voilà une réponse qui me satisfait.

Elle me fessait à nouveau, faisant aller et venir son majeur, bientôt suivi d’un autre doigt, dans mon anus. Je ne pouvais m’empêcher de soupirer d’aise, ses caresses me donnant un plaisir inattendu.

– Je vois que cette petite délurée est toujours aussi chaude, alors je continue Erika ?
– Ohh oui Mademoiselle Sophie.
– Bien, mais il va falloir être très obéissante aujourd’hui tu sais ? Es-tu toujours ok pour continuer ?
– Oui Mademoiselle.

Elle faisait alors pénétrer quelque chose de froid et de plus gros, c’était un plug, je le savais maintenant. Elle y allait doucement, néanmoins mon anus s’ouvrait et acceptait facilement l’intromission. Je poussais un léger râle de contentement. Une fois complétement pénétré par ce plug, Sophie me fessait à nouveau à trois reprises, fortement, puis fit le tour pour venir face à moi, se coucha et présenta son sexe luisant pour que je boive à la source.

– Allez chérie, à toi de jouer, donne-moi tout le plaisir possible, mais sans les mains.
– Bien Mademoiselle Sophie.

Restant à quatre pattes, je me dirigeais directement vers ce sexe offert. Retroussant la nuisette avec mes dents, je passais ma langue sur le pourtour de ce trésor. Après de nombreuses caresses sur l’intérieur de ses cuisses, ses pieds, je goutais à l’ensemble de son corps, sans jamais utiliser mes mains. Le reste de mon corps était à l’unisson pour fournir le maximum de sensation à ma Maitresse. Cela durait depuis un temps indéfini, mais Sophie n’y tenait plus, elle se tordait de plaisir, et partit d’un seul coup dans un feulement équivoque. Je continuais, la laissant pantelante. Elle me fit m’arrêter. Je restais à genoux, attendant ses ordres.

– Eh bien, on peut dire que tu sais y faire, ma chérie. Nous devons quand même nous préparer. Pour commencer, tu vas te lever pour me préparer un bon petit déjeuner. Mais avant de partir, tu vas prendre ceci (elle me tendit un petit tablier blanc). Tu seras charmante avec cela. Allez, ôte ta nuisette et passe le tablier. Va me préparer cet encas, tout est sur la table de la cuisine.

Décidemment, elle avait tout prévu. Je fis donc comme elle me l’ordonnait, j’étais soumis – ou plutôt soumise, gênée mais heureuse et excitée (voilà que je parlais de moi au féminin).

Je préparais le petit déjeuner et je revins dans cette chambre tellement chargée d’érotisme.

– Alors prête à me servir toute la journée, Erika ?
– Oui Mademoiselle Sophie.
– Tant mieux, j’ai plein d’idée, j’y ai réfléchi hier dans la journée et cette nuit. (Elle avait vraiment prémédité son coup).
– Bien Mademoiselle.
– Pour le moment approche jeune fille que je vois ce qui se cache sous ce tablier féminin.

J’approchai donc et me laissais faire. Toujours allongée, elle souleva le tablier, avec ses bords en dentelle, toucha mon sexe libre qui était en érection. Elle me fit me retourner et toucha avec insistance mes fesses. Elle me regarda en souriant :

– Alors, jeune fille, on se promène sans culotte ?
– Euhh, oui Mademoiselle.
– Heureusement que nous ne sommes qu’entre filles, un homme aurait vite fait de te sauter dessus, avec des fesses aussi douces et attirantes.
– Oui Mademoiselle.
– Pendant que je mange, je veux que tu bouges devant moi, que tu gigotes les fesses, que tu exprimes ta féminité naissante, allez exécution !

Je ne trouvais aucune réplique à ces ordres et me pliais à ses exigences. Je ne me reconnaissais plus depuis ces dernières heures, moi un garçon « normal » il y a encore peu, j’étais en train de danser, de me trémousser devant une fille, étant simplement vêtu d’un tablier de soubrette, et mon petit cul bouché par un plug. Heureusement pour moi, elle fit vite et se leva. Elle m’embrassa langoureusement, me laissant sa dernière part de petit déjeuner.

– Bon, maintenant, une bonne douche pour nous deux, et nous serons prêtes pour une journée d’extase. Je te suis !

Je rentrais dans la salle de bain. Elle me suivait, retirant en douceur le plug. Je me retournais, elle me souriait et me fit un clin d’œil. Ensuite, elle me fit rentrer dans la baignoire et retira elle-même le tablier. Elle me prit le jet des mains et commençait la douche. L’eau était glacée, je n’osais lui faire remarquer, c’était volontaire de sa part. Sophie m’ordonna de me mousser ce que je fis sans plus tarder. Elle me rinça.

Elle me fit mettre à quatre pattes, je le fis avec une certaine appréhension. Elle retira le pommeau et introduit le tuyau entre mes fesses enduites de mousse. De l’eau tiède coula dans mes intestins, pas facile de garder ce liquide à l’intérieur de moi. Elle m’obligea à rester ainsi quelques instants.

– Il faut que tu sois parfaitement propre si tu désires que nous continuons nos jeux lesbiens, c’est bien compris, petite soumise ?
– Oui Mademoiselle Sophie, mais j’ai peur de ne pas tenir le liquide longtemps.
– Ne t’inquiète pas pour ça, j’ai tout prévu, petite sotte. Heureusement que je suis là pour penser à tout ici ! Tu vas garder ce liquide dix minutes en toi, et pour t’aider, je vais remettre ton nouveau petit copain, le plug ! Alors, on dit merci qui ?
– Merci Mademoiselle Sophie.

Elle m’enfila sans ménagement le plug dans le fondement et partit vers les toilettes, retroussa sa nuisette blanche et urina comme si elle se trouvait seule dans cette pièce. Elle m’ordonna de m’essuyer et de venir la rejoindre. Qu’allait-elle me faire vivre maintenant ?
– Viens m’essuyer petite soumise. Mais non, pas avec du papier, quelle idiote tu fais, mets-toi à genoux et sers toi de ta magnifique langue, allez !

Je me mis à quatre pattes devant elle et la lécha. Son sexe épilé fut vite propre, étrangement je ne trouvais pas cela sale. Sophie y prenait clairement son pied. Elle me félicita, se leva et m’autorisa enfin à me vider. Je n’en pouvais plus, quel bonheur de se sentir vidé et propre. Elle me dit que la journée allait être bien remplie. Nous devions maintenant nous préparer à sortir en ville pour faire quelques emplettes. Sophie se dirigea à son tour sous la douche. Je la regardais, séduisante comme jamais. J’étais sous le charme.

A suivre

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2 réponses à Je suis une serveuse 19 – Une nouvelle journée commence – partie 1 par Trinity

  1. Claire dit :

    Ce chapitre est très bon surtout à la fin ! Mais pourquoi nous avoir fait auparavant lanterner pendant 18 épisodes ?

  2. Kiroukou dit :

    Confirmation : Trinity se lâche et se lâche bien, ça devient même très émoustillant

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