Tant va le Temps…Tant va le Cul… 22 – Finette, Aglaé et les visiteurs… Par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 22 – Finette, Aglaé et les visiteurs… Par Verdon

– Pouahhh ! Quelle odeur ! ça sent le bouc ici !…
– Mais où est-ce qu’on est tombé… nom de dieu ? Dans une porcherie !… regarde-moi ce bordel ! et qui est-ce qui se vautre ainsi, sous ce tas de chiffons ?
………………………………….
Aglaé et son copain Éric débarquent dans le chalet, comme prévu ce dimanche matin car ils ne pouvaient pas nous rejoindre plus tôt.

C’est vrai qu’Aglaé vous ne la connaissez pas, sauf sa petite culotte… oui celle qui est pendue au porte manteau dans l’entrée, avec une petite auréole brune sur le fond… voilà, vous vous en souvenez maintenant ! Même que je vous disais que cette auréole n’était sûrement pas l’auréole d’un ange… (Vous savez bien que les anges n’ont pas deux fesses comme tout un chacun, donc pas de raie culière et encore moins de trou du cul ! Il paraît que ça ferait moche dans le ciel !). Non elle serait plutôt une diablesse Aglaé et sans doute, qu’avec elle la journée va être chaude… (Comme en enfer !).

Voilà pour Aglaé, quant à son copain, eh bien c’est un diable… c’est normal, un diable avec une grosse bite bien fourchue paraît-il ! (c’est elle qui dit cela, mais moi je n’y crois pas, elle rêve ou alors c’est quand elle se fait prendre en double… elle ne réalise pas qu’ils sont deux en même temps, l’étourdie !).

C’est une battante cette fille. Elle va vous secouer tout ce monde. D’abord elle ouvre en grand les fenêtres. Il fait un temps magnifique, le bon air et l’éclat du soleil sur la neige, bousculent les dormeurs qui rouspètent…

– Putain ! Qui c’est celle-là, elle nous emmerde…Dehors !
– Dehors ! on va voir qui c’est qui va aller dehors…elle arrache les couvertures et découvre trois mecs. Nestor et moi, bien entendu, (juste au moment où on commençait à se tripoter la bite)…et Jo qui bougonne recroquevillé dans un coin. Aller ouste, on met des chaussures et on va se rouler dans la neige !
– Ça ne va pas ! Conasse ! Vas-y dehors toi…on ne bouge pas. Merde !
– Vous ne bougez pas…eh bien on va voir…

Et la voilà qui revient avec une batte de lavandière qui était accrochée derrière la porte d’entrée, et on se prend une sacrée dérouillée mes amis… (Il paraît que ça fait du bien…demandez à mon cul !).

– Aïe ! Aïe !…On y va, on y va… putain de gonzesse… Jo, très courageux, est parti aux chiottes….

On enfile nos chaussures et hop ! (On n’est pas des mauviettes !), dans la neige, à poil et s’ensuit une bataille de boules de neige qu’elle nous balance sur le cul et sur les couilles la salope…

Heureusement on est deux mecs, alors on se rebiffe, et on l’attrape la mignonne. On la fout à poil elle aussi, et on la roule dans la neige… et putain qu’est-ce qu’on bande, oh là, là qu’est-ce qu’on bande…

– Tu vas voir ce que tu vas prendre qu’on lui dit… en lui écrasant un paquet de neige entre les fesses.

On la prend sur nos épaules et on la ramène, jambes battantes au coin du feu où Finette qui était descendue de la chambrette, avait allumé une bonne brassée.

Et là on se la prend à deux ! Putain on ne l’a pas loupée la furieuse !

– Hé vous avez la bite froide ! petits cons ! Vous me gelez l’entre-deux !

Eh bien les petits cons ils vont la réchauffer leur bite, bien au chaud dans la chatte et dans le cul de la frileuse… et debout avec ça.

La mienne glacée dans son trou du cul bien chaud… putain quelle sensation !… je ne vous dis pas les gars ! Et ça lui donne du ressort à la meuf !… ça lui fait serrer l’anus, elle crie et puis elle s’affole. C’est tellement bon, d’autant que de l’autre côté elle se prend dans la pachole… un chaud et froid délicieux. Elle s’accroche au cou de Nestor et elle crie :

– Ouah ! que c’est bon…j’aime comme ça ! c’est bon comme un esquimau ! Mais putain qu’elles sont dures vos pines !

Et laissez-moi vous dire que la glace elle a vite fondue, même que ça coule comme au dégel entre ses jambes et sur les nôtres.

– Qu’est-ce qu’elle est bonne… Tu me sens Nestor,
– Oui je sens ta bite contre la mienne, va s’y cogne-la, c’est bon !

En fait on est en train de se frotter nos nœuds, de nous masturber à travers elle… elle n’a plus les pieds par terre… On va jouir ensemble, on se branle nos bites entre con et fion.

– Oh c’est bon… je vais jouir qu’il crie Nestor !

Nestor se retire avant d’éjaculer, puis il se glisse sous son visage pour qu’elle le finisse en le suçant. Pour cela elle se hisse sur ses avant- bras en relevant son petit cul charmant que je n’ai pas quitté. Alors je l’achève en lui taraudant le trou de balle comme un bûcheron qui scie une bille de bois… (Je dis bien qui ‘scie’ !…non mais faudrait pas confondre !…Encore que je sais bien que certains ou certaines d’entre vous…le gros cul d’un scieur entrain de forcer sur un billot de bois…ça a parfois des expressions qui loin de les déranger, leur permettent d’assister à de sérieux soulagements…Oups !,). je finis ma tâche en lui livrant encore quelques giclés de bonheur sur le dos, et les amabilités terminées, le principal étant fait, il est temps de faire connaissance.

– Ouf ! qu’elle s’écrie en se retournant vers moi… Je suis Aglaé me dit-elle en me présentant son joli minou…
– Je me présente à mon tour en lui disant que je suis très heureux de découvrir son charmant visage, n’ayant eu jusque-là, que l’avantage de connaître et de flatter son joli cul qui n’en est pas moins charmant (l’un vaut bien l’autre…Oups !).

Nestor en dit autant en lui passant la main sur le dos encore maculé de mes bonnes intentions.

– Et ce gros lard, qu’est-ce qu’il fout-là, me dit Aglaé ? en me désignant Jo qui n’a pas participé à nos exploits.
– Un bon gros cul disponible, que je lui dis, accompagné d’une sacrée fofolle qui nous a bien gâtés, mais ce matin je crois qu’il y a de l’eau dans le gaz…Oups !

Il n’a pas l’air très content le ‘gros lard’. Il vient récupérer sa tantouze qui lui a fait des infidélités toute la nuit avec Finette. (Voir l’épisode précédent).

– Viens on rentre à la maison et tu vas voir ce que tu vas prendre, salope. (ben oui, sa petite lopette qui s’amourache d’une conasse de femelle…Mais où a-t-on vu cela !).

Bon laissons-le partir le grincheux avec sa ‘female’ sous le bras…je leur aurais bien foutu une dernière fois le cul à ces deux-là, mais finalement, je trouve qu’Aglaé et Finette offrent des points de vue bien intéressants.

Pendant que nous faisions connaissance de si belle façon avec Aglaé, Finette s’est occupée de faire visiter ses appartements à Éric, le copain d’Aglaé.

Elle est directe Finette. Ça commence par la visite de son trou de balle !

– Tu peux y aller lui dit-elle, il est tout frais déniaisé depuis cette nuit. Et j’avoue que je me trouve en l’instant un peu trop vide.

Si je n’ai pas décrit jusque-là, l’entre cuisse de la Belle, c’est, vous le savez, qu’elle n’aime pas prêter son cul aux garçons. Je n’avais donc aucun intérêt à m’appesantir sur un petit trou revêche. Elle préfère les filles. C’est son droit. D’autant qu’elle n’en est pas pour autant bégueule. Alors vivent les gouines !

Sauf que la nuit dernière Finette s’est fait défoncer par la tapette de Jo, justement ! (c’est un comble !), et elle y a pris goût la coriace ! Elle en redemande maintenant.

Du coup elle trouve le compagnon d’Aglaé, charmant et elle se met aussitôt à quatre pattes sur la grande table pour présente son petit trou à l’aimable coopérateur qui affûte soigneusement son outil.

Il faut le voir son petit trou ! Il est superbe, tout neuf, ambré comme une fleur de bignone et aussi profond. Sa petite ouverture en forme de trompette ressemble aux lèvres d’une nana qui va sucer les tétons de sa voisine.

Certes il n’est pas puceau son médaillon, j’en sais quelque chose, mais à part son mec, moi-même et la tapette cette nuit, personne d’autre (paraît-il) n’a abusé du florilège… (Quoi que… Si son cul pouvait parler !).

Aussi, Éric se trouve-t-il en extase devant la nouveauté. Et pour un mec qui a une queue d’enfer (c’est Aglaé qui nous l’a dit), c’est sûr qu’il va lui mettre le feu à la pauvrette !

Eh bien oui qu’il lui met, le feu et même autre chose ! Et ma foi étant faite de ce bon bois qui brûle bien elle se consume avec beaucoup de chaleur.

Il lui fait une bonne lèche pour commencer. Ça lui fait découvrir un clito superbement érigé, qu’il se plaît à pincer entre ses lèvres. Ça la fait sursauter…

– Tu aimes coquine ! (Il recommence).
– Oh ! Arrête ! c’est fort ! ça fait mal, mais c’est bon, continue…
– Il repince le bon petit bout de chair, le voyou…Oh arrête, arrête ! c’est trop fort, c’est trop bon …. continue. Elle lui plaque son vagin contre la bouche… et elle lui griffe les épaules.

Alors en lui titillant la rondelle avec son index… il lui dit :

– Et par là c’est bon aussi ?
– Humm ! Elle répond simplement en serrant bien l’anus. (Il enfonce son index un peu plus…), il te plaît mon trou du cul !
– Un beau petit trou que je vais cajoler.

D’abord il la baise en levrette évidemment… pour un peu on irait chercher les pompiers pour éponger la cascade que ça déclenche entre ses cuisses.

Elle adore, elle se pâme. Ses pieds plantés dans les hanches du garçon, elle le tire pour qu’il pénètre encore plus. Elle sent ses couilles contre son vagin grand ouvert et trempé de mouille…

– Oh oui ! Humm ! Encore !

Elle jouit comme jamais Finette. Elle en peut plus, elle soulève son baiseur pour reprendre du souffle…

-Oh ! c’est si fort ! Humm !… lève-toi, tu m’écrases !

Éric s’est agenouillé à côté d’elle et la laisse reprendre son souffle. Puis elle se retourne, se met en levrette, appuyée sur ses avant-bras, la tête dans le matelas, elle présente son cul.

– Viens, encule-moi… oui je te veux… j’ai envie !

Il s’est baissé derrière elle pour lui lécher la rosette, et les voilà repartis tous les deux dans d’infernales salacités.

Il déguste le petit trou caché au fond de sa raie culière, à grands coups de langue. Il lui mordille la rosette et puis il y glisse un doigt.

– Humm ! que c’est bon…elle miaule…mets en un autre !

Il ne se fait pas prier…un, puis deux et pourquoi pas trois. Ça entre bien facilement se dit-il… elle ne doit pas avoir le cul aussi innocent qu’elle le dit cette garce !

– Bon alors allons-y !

Il pose son sexe sur le bord de la brune rondelle et il pousse.

– Hé ! Doucement !

Ben oui, piano…et (‘qui va piano va lontano’), Éric le sait bien, alors s’il prend son temps, il appuie fort tout de même. Il voit le petit opercule s’ouvrir, s’évaser et gober d’un coup le gros gland, pour finalement se resserrer sur la tige raide tout imbibée des sécrétions vaginales de la jeune femme.

Et il pousse encore, à fond, doucement, ras ses couilles… oh putain que c’est chaud ! Elle ne dit rien Finette, elle encaisse. C’est fort ! C’est dur ! C’est bon ! Elle se courbe un peu plus pour en prendre davantage…

Alors, la saisissant par les épaules et accrochée à elle il se la bouscule à grands coups de reins, il lui aplatit les fesses, il la bourre à fond, il la défonce !

Elle crie Finette, elle relève la tête, la secoue, et dit des insanités avant de s’enfouir le nez dans l’oreiller… elle va mourir la Belle avec une bite au cul la salope !

Lui, Éric, il s’en fout… il sent une telle puissance qui lui grimpe dans les reins et entre les cuisses, qu’il ne se maîtrise plus. Son cerveau ne répond pas, il est descendu dans ses couilles ! Et ces couilles qu’il a justement très grosses, battent la chamade contre les cuisses de Finette qui ne sait plus où elle est…

Il éjacule par saccades. Il lui remplit la chagatte. Il crie et jure comme un charretier. Elle étouffe, Finette. Elle s’accroche à ses fesses.

Il termine sa livraison sur le dos de la fille. Quel beau spectacle que ces giclées de sperme qui aspergent ses reins.

Libérée du poids de son bienfaiteur, elle reste allongée les bras en croix, sur le matelas en soulevant légèrement son petit cul. Elle est là, apaisée, la fesse encore ouverte, offerte, souriante, des larmes d’argent qui s’écoulent dans sa raie du cul.

(N’est-ce pas merveilleux, les gars, après avoir bien travaillé le cul d’une coquine, d’admirer le résultat de son labeur, sous la forme de cette rivière d’argent qui s’écoule entre ses fesses et les gouttelettes de sperme qui scintillent sur son corps!).

Satisfait de la soumission de la Belle, le voyou lui claque deux ou trois fois les miches en signe de satisfaction. Ça le détend. C’est si bon de flatter un joli cul docile, de voir ses chairs qui frémissent, et d’entendre à chaque petit câlin, ses petits cris de bonne soumission. Elle est brave Finette et n’a pas l’air de s’en plaindre. C’est si bon de se faire posséder ainsi par un mec si bien équipé. Elle ressent ce vrai bonheur d’être une femme accomplie. Ça lui fait plaisir de savoir qu’elle a un beau cul qui est fait pour faire plaisir à de beaux mecs !

Éric s’agenouille devant son visage, lui faisant signe qu’il faut maintenant passer à autre chose. De fait, pour le remercier, elle lui saisit la bite et l’engloutit cette fois dans sa bouche comme une grosse pâtisserie… Elle est consciencieuse Finette. Elle sait prendre soin de l’outil qui lui a fait tant de bien.

– Humm elle a bon goût ta pine !
– Attends, lui dit-il, je vais t’en donner un peu plus.

C’est qu’après cette belle éjaculation, il a envie de pisser Éric. C’est normal, alors saisissant sa pine à pleine main, il la dirige vers la bouche grande ouverte de la gourmande et il pisse le bon gars. Il lui pisse entre les dents un magnifique serpentin doré et odorant. Les yeux tout ronds, elle ouvre la bouche autant qu’elle a ouvert son anus et avale par gorgées le bon jus, à la régalade. Et quand elle veut s’échapper, il lui maintient le visage avec l’autre main, afin qu’elle profite bien des dernières gouttes. Ensuite ils se bécotent à se bouffer leur langue.

Pendant que Finette peaufine le bienfaiteur de son ami, Aglaé et Nestor se rapprochent d’elle.

– Oh regarde la cochonne qui suce le gros bâton en chocolat, s’écrie Aglaé qui fait mine d’être écœurée par l’apparence chamoisine du vireton que Finette a entre les dents.

En disant cela, l’hypocrite Aglaé se courbe pour partager ladite cochonnerie avec sa copine. Ainsi penchée elle expose sous mes yeux avides un putain de petit cul à vous raidir la pine d’un étalon. Je bande toujours et je sens que je vais lui remettre ça…

Ce petit cul ouvert est un appel au meurtre ! Et moi qui suis derrière, il ne m’en faut pas plus pour lui sauter au col et lui boucher l’entrée. (Je suis comme ça, moi, je n’aime pas les courants d’air).

Éric qui s’était retiré toujours bandant, (mais tout propre suite aux services de Finette), vient alors au secours de sa femme et il m’enfile le sacripant, avec la fougue d’un cosaque. Il fait comme chez lui le barbare ! (Bon je n’ai trop rien à dire… j’ai déjà un ‘pied’ chez lui… il me semble !).

Bon je ne vais pas vous décrire ce que je ressens, j’ai autre chose à faire en ce moment, mais imaginez-vous à ma place et je n’ai pas besoin de vous faire un dessin… vous comprendrez bien la suite !

Nestor n’est pas de reste qui, à côté, flatte dans la foulée sa petite femme en train de se faire une salade de museau avec Aglaé. Il se prend à son tour les délicatesses de mon fouteur qui aimant bien le changement, trime de bâbord à tribord, sur nos pauvres postérieurs.

Je ne sais pas si vous voyez bien, mais vu du plafond vous avez sur un grand lit, deux nanas qui se bécotent tout en se faisant, ramoner le postérieur par deux bonshommes. Tandis qu’un troisième fait des gammes sur les deux culs précédents, pour ne pas déprimer… quel embrouillamini mes amis !…
………………………………………..
Il est déjà midi. Après tant d’exercices, nous nous sentons affamés. Il reste une bonne potée de la veille qu’on s’empresse de faire réchauffer et Finette ressort le fameux jambon de la voisine non sans quelques allusions délicieuses concernant la croupe toute aussi grasse de notre pourvoyeuse malheureusement absente !

En début d’après-midi la neige se remet à tomber.

Toc…toc…toc ? Tiens, on frappe à la fenêtre !

Ouah ! Il y a du monde qui se rince l’œil, s’écrie Aglaé, un peu effarouchée par ces deux visages collés contre la vitre, ramène une couverture sur ses beaux avantages.

Qu’à cela ne tiennent on va les faire entrer décide Nestor. Il va leur ouvrir la porte.

– Excusez-nous lui dit un bonhomme qui précède sa compagne, emberlificotés tous les deux sous une montagne de neige. (Ils sont frigorifiés).
– Entrez-voyons ! Vous vous êtes perdus ?
– Oui, on a été surpris par ce mauvais temps. Aussi quand on a vu qu’il y avait du monde ici, on s’est permis d…
– Vous avez bien fait. Venez-vous réchauffer, on a tout ce qu’il vous faut pour cela, ne vous inquiétez pas pour notre tenue…on va se revêtir.
– Non, non, n’en faites rien, on va se mettre dans un petit coin, on ne veut pas vous déranger. (ça c’est le mari qui le dit, il n’a sûrement pas froid aux yeux, celui-là…).

Je leur dis qu’on n’a pas de petit coin à leurs offrir, mais un grand lit où ils pourront se mettre au chaud pour récupérer…

– On va s’occuper de vous si vous voulez bien, ajoute Finette déjà toute guillerette. Mais quittez vos habits ils sont trempés, on va les mettre à sécher près du feu pendant que vous allez vous glisser sous les couvertures.
– Allez, tournez-vous messieurs, laissez ces braves gens se déshabiller pour se mettre au chaud.
– Oh se mettre nu ! On ne peut pas ! J’ai honte ! Dit la bonne Dame à son mari qui, lui, n’a pas l’air d’être traumatisé par la situation…
– Mais voyons ma chérie, regarde, ils sont tous, tout nu… Hi, hi… c’est amusant !
– Oh ! Quand même ! Alors reste bien à côté de moi… je ne suis pas rassurée… tu as vu la pine qu’il a celui-là…
– Elle n’est pas vilaine !
– Vicieux ! Hi, hi…

Bien évidemment les autres veulent aussi se mettre à l’abri dans le lit.

– Oh, mais il n’y a pas assez de place pour tout le monde, s’écrie la rescapée…
– Ne vous en faites pas ‘mémé’, on va se serrer, lui dit Nestor, en invitant tout le monde dans le lit.

Mais au bout d’un moment :

– Au secours ! ce n’est pas ta quéquette, ce gros machin que j’ai dans la main, mon chéri !
– Ben oui, et j’ai le nez dans des nichons qui ne sont pas les tiens, ma poulette ! et qui est-ce… qui me pousse ainsi au cul… nom de dieu ! putain ! il fait bien noir sous ces couvertures !

Et tant vont les choses que bientôt voltigent les couvertures et on peut voir le nouvel arrivant se faire tamponner le popotin pendant que sa chaude compagne est train de branler la grosse pine qui lui est tombée dans les mains.

– Oh chéri ! je n’en ai jamais vu une aussi grosse…elle doit être vachement dure, celle-là !…Humm ! Dieu m’en préserve !

Éric le propriétaire de l’engin en question, lui dit :

– Hé ! Connasse, si dieu m’a mis cela entre les jambes ce n’est sûrement pour t’en préserver ! Alors ouvre les tiennes et je vais te la faire goûter ma grosse bite puisqu’elle t’impressionne autant !
– Oh ! Monsieur comment vous me parlez !… devant mon mari !
– Hi, hi…ton mec n’est-il pas en train de se le faire préserver son trou du cul ?… Alors ne fait pas tant d’histoires, fait comme lui, ouvre ton cul, je te dis ! Et il lui tapote les fesses.

Dans une situation pareille, il ne faut pas se poser trop de questions… Pourtant elle hésite…

– Quand même…mon homme ! Le salaud il profite de l’occasion…il a toujours été coquin celui-là !
– Bon tu l’ouvres ou on prend le train ?
– Oh il est bien pressé celui-là…eh bien aide-moi à monter la marche, mon couillon !

Oui il va l’aider le ‘couillon’, il n’y a pas mieux que quelques flatteries sur les fesses pour décider la mémère à l’ouvrir sa pachole. C’est une large échancrure charnue et baveuse comme une moule de Bouzigues. Pas très entretenue, au milieu d’un tas de foin abondant et quelque peu délavé par tant d’année de pisse, elle doit avoir ce bon goût qu’ont ces Dames du beau monde qui pérorent beaucoup plus qu’elles n’ouvrent leurs cuisses pour se laver le barbu. Et ce n’est pas Éric qui me contrariera, vu l’excitation qui s’ensuit après qu’il se soit trempé le museau dans la fameuse boîte à ouvrage.
Il l’enfile d’un seul coup !

– Aie, elle est grosse…hé chéri ! il me défonce le sauvage, il l’a trop grosse…oh putain que c’est bon dit-elle en s’agrippant au cou de son bon fouteur.

Le mari il s’en fout, il en a une bien grosse, lui, dans le cul, celle de Nestor, c’est bon et il se marre en apercevant son épouse écrasée comme un crapaud sur la nationale, et qui jouit sous les coups de reins que lui donne Éric.

– La putain…ça me rappelle nos vingt ans ! va s’y mon gars, bourre-la la ganache, elle aime ça, c’est moi qui l’ai dressée il y a longtemps !…va s’y au cul !

Il suit bien le conseil le fouteur, et sans doute par erreur d’aiguillage, étant sorti de la boîte à ouvrage, il te l’outrage la mémé, avec la délicatesse d’un maréchal ferrant !

Oui, elle s’est faite ferrée comme une ganache et elle a aimé, la salope !

– Ouille !… Hummm….. Mais c’est bon !

En effet qu’elle aime ça la vieille ! Elle crie, elle se démène, elle en redemande, on sent la bonne femme qui ne s’est pas faite tourneboulée depuis des années.

– Oh que c’est bon un vrai mec ! Humm… Encore… Oh chéri si tu savais !…
– Salope ! tu aimes te faire tirer sous mes yeux ! Poufiasse, tu vas voir à la maison…

Il ne peut pas en dire plus, tant en même temps il se fait torpiller le trou d’évent, le saligaud…

Après cette entrée en matière(s), (on ne peut pas mieux dire), nos nouveaux amis se rassemblent devant la cheminée, un bon grog à la main, et il est temps de faire les présentations.
Lui c’est Germain, un peu trapu, bedonnant, poilu comme un ours, il a la zigounette en désuétude et les balloches desséchées, mais avec son cul, il nous a démontré de bien bonnes aptitudes, tandis que Simone, sons épouse, de petite taille aussi, se trimbale une de ces paires de nichons à satisfaire un régiment et le cul va avec !

Le cul rond, ça va de soi, la chatte broussailleuse comme un maquis corse et une petite gueule d’amour à vous donner envie de vous faire sucer le chinois pendant des heures… (Sans oublier le trou du cul !)

Bien sûr chacun de nous tourne autour d’elle et se la tripote à sa grande joie d’ailleurs. Elle en renverse son verre d’alcool sur son ventre et sa poitrine, ce qui ne freine pas nos envies de léchouille. Et pour que ça dure, on lui verse carrément l’eau de vie sur son corps et dans son gosier.

Elle est vite pompette et bientôt, debout sur la table, elle nous chante la Marseillaise, tout en pissant comme une souillarde et les tétons bandés comme une fille de vingt ans. Au fond de sa raie culière grand ouverte on peut remarquer son petit trou du cul qui largue les dernières séquelles de la copieuse visite que lui a faite Éric.

Voilà qui intéresse nos deux jeunes femmes. Elles ont vite fait de faire bloc, de se serrer entre elles et de se rejoindre sur le tapis de peaux de bêtes. Finette s’est allongée entre les jambes de Simone et lui déglingue la foufoune, tandis que sur le nez de cette dernière, Aglaé se frotte le clito tout en larguant un flot de mouille dont se régale la soumise.

Toujours couchées, les deux jeunes femmes croisent leurs jambes en ciseaux et se frottent chatte contre chatte, en poussant des cris de chats sauvages et en mouillant comme des éponges.

Simone très excitée, tourne autour d’elles. Des claques par ci, des pincements par-là sur les fesses et les tétons, et même parfois un doigt au cul de l’une ou de l’autre, ce qui les fait sursauter. Elle leur fait des massages et colle sur leur visage sa large craquette encore grasse des faveurs d’Éric.

Elles jouissent les femelles, de vraies furies qui sont prêtes à se bouffer par tous les bouts !

Pendant ce temps, les hommes qui n’osent pas intervenir, se régalent de leurs belles prestations. Ils se branlent, leurs disent des insanités et finalement, excités par autant de lubricités, ils se tripotent entre eux.

Nestor me saisit la pine…

– Humm c’est bon, tu branles bien… oui comme ça… humm doucement !… J’aime…

Éric, ce con-là me fout le doigt, là où ça fait du bien…un pro ! Nom de dieu !
Du coup j’entreprends d’agacer la breloque du vieux…ça ne lui déplaît pas dirait-on ! Ne le voilà-t-il pas qui se met à bander comme un chef le bonhomme ! Je sens qu’il va vouloir se venger sur Nestor qui n’a rien contre…

– Putain, mon vieux elle est bien bonne ta pine !…

Bientôt on fait comme les femmes. On ne sait plus qui est dessus, qui est dessous, les mecs s’enculent et les nanas se bouffent la foufounette…c’est le délire.
…………………………………………..
Il se fait tard. La nuit est tombée. On attendra l’ouverture des routes pour prendre avec regrets les chemins de retour.

Alors après un bon souper on va au plumard.

Nestor s’envoie Aglaé dans la petite chambre. Mais d’après le raffut qu’ils font j’ai plutôt l’impression que c’est le godemichet en bois d’olivier du fameux mannequin (voir histoire précédente) qui en prend aussi pour son grade ! (C’est qu’à l’heure qu’il est, il doit satisfaire l’insatiable Aglaé, plus que le Nestor qui a les couilles dans les chaussettes !…Nom de dieu !).

Sur le canapé grand ouvert, Éric s’est callé contre le cul de Finette bien contente de pouvoir finalement, ajouter à ses plaisirs féminins, ces solides sollicitations que lui offre un homme.

Quant à moi, dans le grand lit, serré contre son cul, je m’occupe de notre rescapée. Elle n’est pas d’un tout jeune âge, mais elle a de voluptueuses prétentions côté verso, et de copieux nichons. J’aime tripoter tout cela, glisser mon chichi fatigué entre ses fesses et passer ma main dans sa moniche broussailleuse.

Le plaisir est d’autant plus grand qu’elle est dans les bras de Germain, son cochon de mari. Il la caresse aussi.

– Chérie, tu es une salope ! lui dit-il… Tu aimes ça, te faire tripoter !… par ce monsieur dans ton dos ! Tu t’es fait enculer cochonne ! Oh ! Putain ! Mais tu mouilles encore….

Elle ne dit rien…elle gémit et elle pousse encore plus son cul contre moi… c’est une bonne salope.
Ils se bécotent tendrement comme des amoureux.

– Viens avec moi…il est tout mou ton amant.

Alors, je lui fous un bon doigt au trou de balle à sa Salope…

– Et ça !…c’est du lard ou du cochon, que je leur dis en remuant mon doigt profondément dans la boîte à cirage (ou à cigare … c’est selon !) de la gourmande.
– Pouf !… Oui du bon cochon… Ah si tu savais Germain !

Il est un peu jaloux le Germain, il aimerait bien que je lui en fasse autant, mais je n’ai que deux mains, alors il se branle le chichi et il jouit du bonheur que prend sa femme…

– Tu aimes ça, que je lui dis, tu aimes que je la tripote ta gonzesse… hein ! mon salaud !…
– Oui, c’est une Salope… profites en bien, fous-lui des tapes au cul, elle le mérite

Il est brave cet homme. N’est-ce pas là une grande preuve d’amour que de permettre à sa chérie de jouir de ces plaisirs qu’il ne peut plus lui offrir !

Ça lui fait beaucoup de bien. Tellement de bien qu’il s’endort le vieux, béatement dans les nichons de sa femme qui elle dort déjà en rêvant sans doute qu’il l’encule !

Je m’endors à mon tour, de fatigue et de bonheur. J’ai quitté les fesses de cette dernière. Elle s’allonge sur le dos, mais je garde une main accrochée à la mamelle qu’a laissée libre l’heureux cocu.
Ce n’est pas ça le Paradis !

On est parti pour une bonne nuit…et demain matin……….

Eh bien demain matin il fera jour ! Alors….
Bonne soirée les petits…..

18/08/2023

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2 réponses à Tant va le Temps…Tant va le Cul… 22 – Finette, Aglaé et les visiteurs… Par Verdon

  1. Jocelyn dit :

    Eh bien quelle ambiance ! Ça donne le tournis !

  2. Harivel dit :

    Quel coquin, ce Verdon, je le soupçonne d’avoir bien baladé sa bite !Merci encore de nous offrir ta prose inimitable !

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