Surprise-partouse 8 – Thibault chez les scouts par Enzo_Cagliari

Surprise-partouse 8 – Thibault chez les scouts par Enzo_Cagliari

Attention texte contenant un passage scato explicite

Au chapitre 1 : en sortant d’une fête, Angéla, Carole et Thibault m’emmènent chez ce dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et subir ma première sodo
Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d’un couple d’Antillais, Gwladys et Simon. Partouze à quatre puis à cinq avec Carole
Au chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c’est un tout petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s’en mêle
Au chapitre 4 : Une partouze est organisée chez Alain et Katia qui reçoivent Monique et Philippe, mais aussi Thibault, Carole et moi-même.
Au chapitre 5 Monique nous raconte sa rencontre avec un autre couple
Au chapitre 6 Alain nous narre un épisode un peu gay. A la fin Katia branche Monique sir la zoophilie, celle-ci répond qu’elle a expérimenté la chose…
Au chapitre 7, Monique nous a raconté sa soirée à Luxembourg où il fut question de toutous.

Après nous avoir narré cette anecdote luxembourgeoise Monique se tourne vers Thibault :

– Et toi tu n’as rien à nous raconter ?
– Si mais je ne sais pas si ça va vous plaire répond l’intéressé.
– Lance toi, si ça ne nous intéresse pas on te le fera savoir.
– Alors allons-y.

Le récit de Thibault

J’ai toujours aimé les bites. Au collège je ne me souviens plus comment cela a commencé mais je jouais souvent à touche-bite avec au moins deux de mes camarades de classe, je me souviens encore de celle d’Hervé, longue et légèrement halée…et si bonne à sucer, passons…

C’est un peu plus tard que j’ai fait une grosse connerie, je m’étais fait embaucher comme garçon de course dans une banque et le week-end je trainais avec un gars, pas pour le sexe mais il m’amusait, un jour on a piqué des baskets dans un magasin, on s’est fait choper comme des bleus à la sortie. Arrestation, tribunal pour mineurs, amende et ma mère en larmes.

Souhaitant me recadrer, la mère m’inscrivit chez les scouts et là l’histoire peut commencer.

Je détestais cette ambiance, l’uniforme, le drapeau, les chants stupides, la discipline, les totems, les serments et tout le tremblement. De plus nous étions encadrés par des curés jeunes et bêtes. J’ai d’abord pensé à me faire virer mais je ne voulais pas faire de peine à ma mère. J’ai donc pris mon mal en patience.

Ce jour-là en plein weekend de Pentecôte, nous avions eu droit au sempiternel jeu de piste. J’opérais en binôme avec un blondinet assez beau gosse qui répondait au totem de Caribou.

Un moment Caribou s’arrête pour pisser contre un arbre, il ne se cache à peine et mon regard se scotche sur sa bite.

Il s’aperçoit que je le mate et m’adresse un sourire de connivence.

– Ça te plaît ? Me demande-t-il.
– T’as une belle bite .
– Tu veux la toucher ?

Bien sûr que je veux la toucher, je n’ai pas eu l’occasion de faire ça depuis ma sortie du collège.

Je l’ai donc prise en main, me tapant une érection du tonnerre de Dieu. Et quand il m’a proposé de la sucer, j’ai sauté sur l’occasion et sur sa bite en même temps. Quel régal que ce doux cylindre de chair dans ma bouche gourmande, et en même temps je lui palpais ses grosses couilles poilues .

Malheureusement Caribou excité comme un poux ne tint pas la distance. Un soubresaut dans ma bouche aussitôt inondée d’un paquet de foutre que j’avalais dans la foulée.

Caribou range son sexe, je me souviens qu’il ne s’était même pas essuyé. Le cochon !

Il fait une drôle de tête, je comprends qu’il doit être en plein stress post-éjaculatoire.

– Il ne s’est rien passé. Me dit-il, on n’en parle jamais plus, jamais plus, d’accord ?
– Pas de problème.

Il ne m’a ensuite pratiquement plus adressé la parole jusqu’à ce que nous regagnions le campement.

C’est quelques heures plus tard que les évènements prirent une tournure inattendue.

Le chef scout flanqué de l’abbé Dominique en soutane noire fit se réunir la patrouille.

– Caribou et Loup blanc, sortez du rang
!
(Loup blanc , c’est moi, et on ne rigole pas s’il vous plaît.)

– Vous vous êtes rendus coupables d’actes contre nature, vous allez par conséquent être punis.

C’est incroyable ça ! Quelqu’un nous aurait vu et dénoncé ?

– Qui a mouchardé ? Demandais-je discrètement à Caribou.
– Je me suis dénoncé, j’avais trop honte.

Quel con !

Le curé désigne deux scouts pour aller cueillir des orties et confectionner des badines avec des branches de noisetiers. Ça va être notre fête.

On nous demande de nous déshabiller en conservant juste nos caleçons. Et on nous attache contre des arbres. D’où sortent ces cordes ? Je ne le saurais jamais.

La punition commence par des coups de badines, on nous a baissé nos caleçons afin de dégager nos fesses.

C’est l’abbé Dominique qui se charge de mon supplice. Et il y va fort ce salaud. Et en plus ça l’excite, je le vois bander sous sa soutane.

Quel enfoiré !

J’ai le cul en compote. Mais la punition n’était pas terminée. Car après ce fut le bouquet d’orties. Ça pique, ça démange, c’est très désagréable et ça donne envie de se gratter.

Le supplice prit fin. Caribou y alla de sa crise de nerfs.

– Vous n’aviez pas le droit de faire ça, je vais demander à mes parents de porter plainte.
– C’était pour ton bien, regagnez vos tentes et revenez me voir à 20 heures pour la confession, si vous ne venez pas on ira vous chercher.

Je regagne ma tente, envahi par des pensées confuses, au passage un mec qui devait être moins con que les autres me conseilla.

– Surtout débrouille-toi pour ne pas te gratter et les démangeaisons vont s’arrêter .

Ce type avait pour totem : Fennec, retenez ce nom.

Dans la tente, l’abruti qui la partage avec moi me regarde comme si j’étais un pestiféré tout juste sortir de l’enfer. Je fais quoi ? Je le provoque ou je l’ignore. Je choisis de l’ignorer, pas de temps à perdre avec des connards.

Et maintenant, je fais quoi ? Fausser compagnie à cette bande d’abrutis, mais plus facile à dire qu’à faire, la nuit va tomber et j’ignore dans qu’elle direction aller pour rejoindre la route. Je remets donc ma fuite au lendemain.

A 20 heures on vint me chercher.

– Je suis obligé ?
– Oui.
– Vous direz que vous ne m’avez pas trouvé.

Mais c’est qu’ils sont costauds, ces salopards, ils m’empoignent et m’entrainent de force vers la tente de l’abbé Dominique .

Il y a là outre ce triste sire, l’autre abbé, le père Ernest, le chef scout et trois autres crétins. Je m’étonne de l’absence de Caribou, j’apprendrai plus tard que cette bande de sadiques ne l’ont pas jugé en état de comparaître.

– Repend-toi de ton péché ! Me dit l’abbé Dominique se prenant pour le grand inquisiteur.
– Je vous emmerde
– Allons, allons, nous sommes entre gens intelligents.
– Ça m’étonnerait.
– Alors nous allons soigner le mal par le mal.

Je m’attendais au pire mais la situation devint rapidement surréaliste. Les six personnages exhibèrent leur bite dans un bel ensemble simultané, les scouts en baissant leurs shorts les curetons en soulevant leurs soutanes.

Six bites devant mes yeux, ça fait beaucoup. Ils se branlent de façon à ce qu’ils deviennent raides.

On va faire quoi ? Un gang bang ? Voilà qui n’a pas grand-chose de catholique !

L’abbé Dominique s’approche de moi la bite en avant

– Suce !
– Et si je veux pas ?
– Si tu ne veux pas, ça va devenir violent, et tu pourras raconter tout ce que tu veux, six témoins affirmeront que tu es un menteur.

N’ayons pas peur des mots, j’ai subi un viol collectif, j’ai dû sucer tous ces abrutis qui m’ont ensuite sodomisé les uns après les autres, ce fut fait sans aucun ménagement et la bite de l’abbé Dominique m’a horriblement fait mal au cul. Je n’en dirais pas davantage, raconter un viol n’ayant rien d’excitant, (et en plus c’est hors charte) mais jurait de me venger de cette bande de salopards.

Je décidais de ne plus retourner chez les scouts, je n’en informais pas ma mère, et faisait semblant d’y aller, j’avais dégoté un hôtel miteux où je passais mes nuits.

Quelques semaines passèrent aux termes desquelles je reçu un coup de fil sur le téléphone fixe de ma mère.

– Loup blanc ?
– Qui êtes-vous ?
– Fennec ! Tu te souviens de moi ?
– Euh ..
– C’est moi qui t’avais mis en garde pour les orties.
– Ah oui, et qu’est-ce que tu me veux ?
– J’aimerais te rencontrer…
– Oui mais pourquoi ?
– C’est dégueulasse ce qu’ils t’on fait subir, j’aimerais qu’on en parle cinq minutes

J’acceptais un rendez-vous dans un café proche.

– Salut, comment tu as fait pour me retrouver ?
– J’ai farfouillé.
– Et tu es au courant de ce qui s’est passé dans la tente du curé ?
– Évidemment, ce con d’Albatros s’en est vanté, il avait l’air de trouver ça très drôle. Mais bon, tu vas peut-être trouver ma démarche un peu osée, mais je prends le risque.

Qu’est-ce qui va encore le tomber sur la tronche ?

– Ben vas-y raconte !
– Moi aussi j’aime les bites. Me confie-t-il dans un souffle en rougissant comme une tomate.
– Bienvenue au club lui répondis-je histoire de le mettre à l’aise .
– J’avais un copain mais il est parti en province … si ça te dit de jouer avec moi, c’est comme tu veux.
– Pourquoi pas ? Et on ferait ça où ?
– Chez moi, enfin chez ma mère. On peut y aller maintenant si tu veux. Au fait ne m’appelle plus Fennec, mon prénom c’est Patrice.
– Ta mère ne sera pas là ?
– Si mais elle s’en fout, en fait ça l’excite, parfois elle regarde.

Oups !

– Ça te pose un problème ?
– Non, non.
– Parce que sinon je peux lui dire de nous laisser tranquille.
– Non, si elle veut mater, ça ne me dérange pas.
– Au fait tu es gay ou bi ?
– Je ne sais pas trop, je n’aime pas les étiquettes, mais je serais plutôt bi, je n’ai rien contre les femmes.
– Super. Si tu as envie de te taper ma mère, ne te gênes pas, c’est une belle femme et elle est un peu nympho.

J’aurai décidément tout entendu, mais cette perspective m’excite .

On arrive chez lui.

– Maman je te présente Thibault, on va s’amuser un peu ensemble.

Chantal est effectivement une très belle femme, la cinquantaine épanouie, yeux bleus, cheveux blond vénitien, sourire canaille illuminant un doux visage, jolie silhouette.

– Enchanté, mon fils a le don de choisir des amis charmants. Je suppose que vous allez faire un scrabble ? se gausse-t-elle.
– On va plutôt jouer à « bites coquines »00000 répond Patrice en me touchant la braguette..
– Vous avez raison, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Je vous laisse vous amuser.
– A moins que tu veuilles regarder, Maman ? Intervient Patrice.
– Avec plaisir, si ça ne dérange pas Thibault ?
– Mais pas du tout, chère madame.
– Appelle moi Chantal et on peut se tutoyer. Alors mettez-vous à poil mes chéris.

C’est ce qu’on fait, Chantal me toise.

– T’es super mignon, toi, pas beaucoup de poil, j’adore… et ces tétons, voyons…

Et la voilà qui me les attrape et me les tord. J’adore cette caresse.

– T’aime ça on dirait ?
– Oui !
– Petit cochon.

Je n’avais jamais vu la bite de Patrice, elle est là devant moi, demi-molle.

– Ben mon chéri, tu bandes mou, lui dit Chantal, Maman va arranger ça.

Et devant mes yeux incrédules, Chantal prend en main la bite de son fils et la branle avec vigueur. La bite est alors dans un état optimum, un bel organe à la peau diaphane orné d’une impertinente veine bleue, Le gland violacé est de toute beauté. Un amour de quéquette !

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises, la maman se baisse, ouvre la bouche et gobe la bite du fiston.

Vous vous imaginez que devant un tel spectacle, je bande comme un taureau.

Du coup Chantal change de bite et nous suce alternativement.

C’est bien tout ça mais j’aurais bien sucé la bite de Patrice…

Chantal se relève pour retirer son tee-shirt laissant apparaitre un soutien-gorge en dentelle fort bien rempli. Elle ne le conserve pas longtemps et exhibe alors une magnifique paire de seins.

La bite de Patrice et les nénés de Chantal ! Je vais devenir fou.

– Alors ils te plaisent ? Me demande-t-elle
– Je peux les embrasser ?
– Vas-y, c’est la fête !

J’embrasse, je lèche, je suce les tétons durcis d’excitation pendant que Patrice passé derrière sa maman lui baisse son pantalon et son string avant de lui lécher le cul .

– Oh là, qu’est-ce que vous me faites tous les deux, c’est trop bon, Patrice mets moi un doigt. Oui comme ça, doigte-moi bien le trou du cul.
– Je sens quelque chose, tu n’aurais pas une petite envie, maman ?
– Si mais on verra ça tout à l’heure… , à moins que ça intéresse Thibault de me regarder faire ?
– Pourquoi pas ? m’entendis-je répondre.
– Mais t’es vraiment un gros coquin, toi ! Tu veux que je fasse où ? Dans les toilettes ? Dans une assiette ? Sur toi ?
– Sur moi ? Je veux bien essayer.
– Tu l’as déjà fait ?
– Non, disons que c’est un fantasme.
– Alors allonge-toi mon biquet, attends un peu, Patrice va aller chercher une bâche.

Je dois être un peu cinglé de demander une chose pareille, je risque de m’enfuir en courant…

Chantal me chevauche.

– Pipi d’abord, je fais où ?
– Donne-moi à boire !
– Oh le gros coquin !

C’est qu’elle avait une sacrée envie de pisser, la Chantal, ça aussi c’était un fantasme ne l’ayant jusqu’à présent concrétisé qu’avec ma propre urine. Je n’ai pas regretté, c’était réellement délicieux.

– Et maintenant attention pour la grosse commission.

Chantal pousse, pas longtemps, elle avait vraiment une envie pressante. Le caca me dégringole sur le torse, un gros boudin chaud et odorant. Je bande comme un dingue. Chantal prélève un peu de matière avec les doigts et s’en badigeonne les tétons avant de me proposer de les sucer.

Je me dégonfle ou pas ? Non je l’ai fait, ce n’étais pas mauvais !

J’allais pour me relever, mais Patrice vient me sucer.

Et moi, je vais le sucer quand ?

Il faut que je reprenne l’initiative. Je lui indique donc que j’aimerais à mon tour profiter de sa bite. Pas de problème, il m’en donne l’accès .

J’ai enfin cette belle bite dans la bouche gourmande et m’en régale. Pendant ce temps-là Chantal me doigte le cul, ça me fait un bien fou !

– Encule-le maintenant, il est prêt, lui dit sa mère.

Enfin !

Je le mets en levrette, le cul cambré, le croupion offert. Patrice après s’être protégé, quémande l’entrée. Je pensais que la chose pourrait être compliquée, elle ne le fut pas. Patrice me pénétra avec une douceur dont je lui dû reconnaissance. Ses allées et venues dans mon fondement me transportèrent d’extase. Patrice jouit dans mon cul et décula en soupirant. Moi je n’avais pas joui.

– Alors mon biquet, tu ne vas pas rester comme ça… M’interpelle Chantal
– Ben…
– T’aimerais enculer qui, la mère ou le fils ?

C’est cornélien, non ?

– Occupe-toi de ma mère, ça lui fera tellement plaisir ! Me dit Patrice

Bon garçon !

Je sodomisais donc la dame, l’affaire fut brève mes couilles étant pleines comme des outres, mais je m’efforçais néanmoins de m’assurer que la dame y prenait plaisir.

Elle me retira la capote et vint me nettoyer ma bite gluante de sperme.

Après ces folies nous avons pris une petite douche et sifflé quelques bières bien fraîches puis nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir

J’ai appris quelque temps après que l’abbé Dominique avait été incarcéré suite à une histoire de mœurs. La vengeance sera donc remise à plus tard mais j’espère qu’il va en baver en prison !

Fin de l’épisode

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8 réponses à Surprise-partouse 8 – Thibault chez les scouts par Enzo_Cagliari

  1. Gringoire dit :

    Ma belle-sœur a envoyé son fils chez les scouts, il est revenu pédé

  2. Hilaire dit :

    A les scouts ! Quelle bande d’abrutis… Mais c’est aussi le souvenir inoubliable de ma première pine au cul

  3. Jacques André dit :

    Whaa, les mamies perverses, qu’est-ce ça peut me faire bander !

  4. Christopher dit :

    Chez les scouts je me suis fait violer par un curé sadique, je n’ai osé le raconter à personne. Ce texte à l’intelligence de rappeler ce qui se passe parfois chez ces gens-là Quant à la seconde partie, elle est fabuleuse

  5. Karton dit :

    Un curé, un journaliste, un homme d’affaires et un jeune scout sont dans un avion.
    L’avion est en train de tomber et il n’y a qu’un seul parachute.
    “Laissons le parachute au jeune scout”, dit le journaliste, résigné !
    L’homme d’affaires : “Ça va pas, non ? On l’encule, le scout !”
    Le curé : “Vous croyez qu’on a encore le temps ?”

  6. Honorine dit :

    il n’a rien perdu de sa verve, l’ami Enzo !

  7. Glandu dit :

    Ça sent le vécu…je ne suis pas resté longtemps chez les scouts mais ça y allait les tripotages de bites !

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