Je suis un homme soumis d’une quarantaine d’années et je vais vous conter la
dernière aventure que j’ai vécue avec un Maître rencontré sur minitel. Suite
à plusieurs dialogues le Maître m’avait donné rendez vous dans un hôtel de
la région. Comme il me l’avait demandé je l’attendais à genoux dans la
chambre simplement vêtu de bas noir, d’un porte jarretelles en latex et d’un
slip féminin.
J’avais laissé la porte de la chambre légèrement entrouverte pour qu’il
puisse rentrer sans que je quitte ma position. Après environ quinze minutes
d’attente (angoissante car j’avais peur que quelqu’un entre dans la chambre
et me découvre), j’entendis des pas dans le couloir, puis la porte
s’entrouvrit et je sentis la présence du Maître derrière moi.
Le maître me fit patienter quelques minutes encore à genoux, je le devinais
qui se préparait derrière moi. Enfin il me parla, me traita de salope et me
demanda de me lever, ce que je fis immédiatement.
D’une main il tata mes fesses, me prit les testicules en main à travers mon
slip, les serra un peu juste pour que je me crispe d’appréhension. Il me
lâcha et me demanda de me retourner, je le voyais pour la première fois.
C’était un homme d’une cinquantaine d’années, il portait un slip et un body
en latex noir.
Il me plaça un collier de chaînes autour du cou et y attacha une laisse avec
un mousqueton. A son ordre je me mis à quatre pattes et commençais à
déambuler dans la chambre comme un chien pendant qu’il me tenait en laisse.
Son autre main tenait une cravache de jockey et il me frappait les fesses,
sans appuyer, à chaque ordre qu’il me donnait
– Avance, tourne à gauche, stoppe, recule…
Il me promena ainsi pendant environ dix minutes, il me força à sortir de la
chambre et à avancer jusqu’au bout du couloir (heureusement on ne croisa
personne) ; je commençais à avoir mal aux genoux et les coups de cravache
bien que peu appuyés avaient bien rougi mes fesses.
Après cette promenade le Maître m’ordonna de retirer mon slip
et de m’installer à plat ventre sur ses cuisses, lui même s’étant assis dans
le fauteuil de la chambre. Une fois installé le Maître m’attacha les mains
dans le dos, dans cette position je ne pouvais me dérober. Le Maître
commença à me fesser en alternant coups appuyés et simple caresse. J’étais
très crispé, attendant avec angoisse chaque nouveau coup, me détendant sous
la caresse et me tendant comme un arc sous une claque retentissante. Mes
fesses étaient d’un beau rouge cramoisi. Tout en me fessant le Maître me
parlait doucement, me traitant parfois de » pute désobéissante « . Au bout
d’un moment qui me parut très long, tandis que je gigotais de plus en plus,
le maître ralentit ses coups et attrapa mon sexe de sa main libre. Ses coups
se faisaient caresses et il me masturbait doucement, c’était bon après la
fessée. Assez rapidement je me mis à bander correctement mes gémissements
étaient désormais de plaisir. Hélas les caresses cessèrent et le Maître
m’ordonna de me lever, ce que je fis immédiatement avec difficultés à cause
des mains attachées dans le dos.
A la demande du Maître je me mis à genoux entre ses jambes, il était
toujours assis dans le fauteuil. A son ordre je me penchais pour retirer son
slip avec les lèvres. Opération délicate lorsque l’on a les mains dans le
dos, le nez dans les poils pubiens du Maître je réussis petit à petit à
descendre le slip du Maître. Une fois le sexe bien dégagé, il mit un
préservatif et m’ordonna de le prendre en bouche et de le sucer. Je
m’exécutais, le Maître avait un sexe court et épais avec un gros gland bien
décalotté. Il sentait bon avec une légère pointe de transpiration, je me
penchais davantage et gobais ce sexe qui m’excitait. Je m’appliquais pour le
sucer le mieux possible, dans ma position ce n’était pas facile mais ce ne
devait pas être si mal car il bandait très fort. Le maître me plaqua le
visage contre son pubis pour que j’engloutisse tout son sexe dans ma bouche,
j’avais les lèvres au niveau de ses testicules et je sentais son gland tout
au fond de ma gorge, je n’arrivais plus à respirer mais le Maître me ramena
la tête en arrière pour que je reprenne ma respiration puis il me replongea
le sexe tout au fond de la bouche. Le Maître se servit alors de ma bouche
comme d’un sexe, y plongeant totalement sa bite, la ressortant et la
replongeant alternativement de plus en plus vite. C’était excitant mais
j’avais de plus en plus de mal à respirer, j’avais les larmes aux yeux.
Enfin il stoppa et me repoussa la tête.
– C’était pas mal. Me dit il Maintenant je vais te travailler l’anus.
Il me détacha les mains et m’ordonna de me mettre à quatre pattes sur le
lit. J’obéis et je sentis les mains du Maître qui me caressaient les fesses.
Il écarta les deux globes et m’introduisis un puis deux doigts dans l’anus.
Je tressaillis légèrement car je ne suis pas habituer aux pénétrations
anales et j’ai l’anus assez serré. Il va falloir dilater ce cul me dit il et
j’aime ça. J’étais assez inquiet, qu’allait il faire, comment allait il
procéder ?
– Le meilleur moyen c’est le lavement ! Dit il en ricanant. Reste dans cette
position et ne bouges pas.
Je l’entendis faire couler de l’eau dans la salle de bain, il revint avec
une poire à lavement remplie d’eau. Le maître m’introduisit la canule dans
l’anus et commença à presser la poire pour éjecter l’eau. Je sentis un
liquide tiède se déverser dans mon intestin, rapidement la poire fut vide et
le Maître la remplit de nouveau avant de la vider dans mon cul. Il remplit
une troisième fois la poire, je commençais à avoir le ventre gonflé, sans
tenir compte de mes soupirs il me vida une troisième fois la poire dans
l’anus.
– Serres les fesses dit il je vais te mettre un bouchon.
Le Maître frotta délicatement mon anus avec de la crème puis il entreprit
d’y faire pénétrer une sorte de plug assez épais. Je grimaçais de douleur
mais le Maître, imperturbable à mes gémissements, me vissait petit à petit
le plug dans l’anus. Je détendis un peu les fesses pour faciliter la
pénétration, aussitôt un peu d’eau s’échappa de mon cul. Le Maître fut
légèrement éclaboussé et me promit une punition pour cela. Pour le moment il
était occupé à faire pénétrer les derniers centimètres du plug. Une fois
fait il me demanda de m’allonger sur le dos, bras et jambes écartés.
Le Maître prit une longue corde et commença à m’attacher. Il prit soin de
bien bloquer le plug dans mes fesses avec la corde qu’il tendit au maximum
pour. Il passa la corde autour de mes épaules avant de l’attacher sur un
pied du lit. Avec une autre corde il me maintint les jambes écartées
légèrement soulevées car il avait attaché la corde sur le lit du dessus. Une
troisième corde me maintenait les bras écartés. Je ne pouvais plus bouger et
je ressentais de plus en plus le liquide qui me travaillait le ventre. Le
Maître passa une autre corde sous mon dos et la serra sur mon ventre pour
bien comprimer l’eau à l’intérieur. Après ça le Maître alla chercher le slip
que j’avais retiré tout à l’heure et me bâillonna avec.
Pendant que le liquide fait son effet on va s’amuser un peu me dit le
Maître. Pour commencer il alluma une bougie et me versa de la cire liquide,
d’abord sur la poitrine, je me tendais à chaque goutte qui tombait ce qui me
faisait ressentir encore plus le liquide dans le ventre. C’est ensuite sur
le pubis puis sur le sexe et les testicules que les gouttes de cire
tombaient, je me tordais de plus en plus dans mes liens, tant pour la
sensation de brûlure que pour le lavement que j’avais de plus en plus de mal
à supporter.
– Une petite pince ou deux sur les couilles voilà ce qu’il lui faut
maintenant à cette larve…
…et joignant le geste à la parole le Maître me mit quelques pinces sur la
peau des couilles, c’était douloureux mais heureusement les pinces ne
serraient pas trop fort.
Je ne pouvais crier à cause du bâillon mais je n’en pouvais plus, je me
trémoussais dans mes liens, je transpirais. Le maître souriait, il savait
que le lavement me travaillait profondément. Il me laissa ainsi encore
quelques minutes, heureusement que le bouchon d’anus était bien ajusté, puis
il retira les pinces sur mes testicules, moment toujours douloureux.
– Je vais te détacher maintenant. Me dit il, dès que j’aurais enlevé les
liens va te soulager.
Dès que j’eus les mains libérées je retins le plug pour éviter » tout
accident « . Une fois aux WC je retirais le plug et aussitôt je me vidais
dans la cuvette en expulsant toute l’eau que j’avais dans le ventre. Quel
soulagement ! Je prenais soin de bien expulser toute l’eau puis je me lavais
rapidement l’anus avant de rejoindre le Maître qui m’attendait.
A quatre pattes sur le lit ordonna t’il, aussitôt installé, il m’écarta les
jambes, tira mes bras en arrière et m’attacha chaque main à une cheville,
ainsi ficelé je reposais sur les genoux, la tête dans le lit et les fesses
superbement exposées. Le Maître m’inspecta le cul.
– Du bon travail dit il, tu as le cul bien dilaté.
Et pour que je comprenne bien il me pénétra de trois doigts sans que cela ne
me cause aucune douleur.
– Tu vois tu as un superbe trou du cul maintenant.
Il se saisit d’un gode de taille moyenne et sans mal me l’introduisit dans
le cul. Il commença une série de va-et-vient qui me soutirèrent quelques
gémissements (de plaisir). Me laissant le gode dans le cul le Maître se
masturba un petit peu pour parfaire son érection, il enfila un préservatif
et se positionna contre mes fesses, je savais ce qui m’attendait. Il retira
le gode et je sentis son gland contre mon anus, alors d’un mouvement lent
mais continu il me pénétra jusqu’aux couilles. Malgré la préparation j’eus
un peu mal car il avait vraiment un sexe épais. Dès qu’il m’eut complètement
pénétré il m’agrippa les fesses avec ses mains et commença à m’enculer avec
entrain. Ses mouvements étaient tantôt lents tantôt rapides, j’avais
l’impression d’être complètement pénétré, le plaisir se mêlait à la douleur.
Il me traitait de petite pute, me claquait régulièrement les fesses qui
rougissaient. Le plaisir prit rapidement le dessus et tout en ravalant ma
honte d’être ainsi enculé je prenais mon plaisir, je ne sais pas si je
bandais mais je ressentais une envie de jouir de plus en plus forte.
A plusieurs reprises le Maître sortit complètement son sexe pour mieux
m’enculer jusqu’à la garde d’un seul coup de rein. Je l’entendais souffler
et gémir dans mon dos, j’avais le visage dans le drap du lit que je mordais
d’excitation. Les mouvements se firent plus lents et après une dernière
pénétration le maître se retira. Je l’entendais reprendre sa respiration.
– Tu as le cul si ouvert que je pourrais y mettre ma main me dit il en me
donnant une bonne claque sur les fesses.
Le Maître défit les liens qui me liaient les mains aux pieds et m’ordonna de
m’allonger sur le lit les bras le long du corps. Avec les différentes cordes
il me ligota comme un saucisson, je ne pouvais plus bouger. Le Maître vint
alors s’accroupir au dessus de mon visage. Tu vas me lécher le cul ordonna
t’il et il s’accroupit davantage jusqu’à ce que son anus se pose sur ma
bouche. Je sortis la langue et obéis, ma langue pénétrait légèrement dans
son anus et mes lèvres lui suçaient le cul et l’anus. J’étais totalement
soumis, honteux et excité. Le Maître appuya davantage ses fesses sur ma
figure et les frotta sur mon visage, j’avais tantôt les lèvres tantôt le nez
dans son cul. Je ne pouvais réagir étant totalement immobilisé. Je sentais
également les couilles du Maître qui me caressaient les lèvres. Le Maître
était très excité, je l’entendais gémir et je voyais son sexe bandé au
maximum. Enfin le Maître se leva, il me bâillonna avec mon slip puis me mit
un bandeau sur les yeux. Déjà dans l’impossibilité de bouger, je ne pouvais
plus parler ni voir, totalement à sa merci.
Je sentis le Maître s’installer sur ma poitrine. Je le sentais vibrer sur
moi, il doit être en train de se masturber pensais je. La réponse ne tarda
pas car le Maître me dit qu’il était en train de se branler et qu’il allait
m’asperger de son sperme. Je l’entendais ahaner et gémir, je ressentais les
tressautements de son corps sur le mien. Il gémissait de plus en plus,
soudain j’eus l’impression qu’il se penchait au dessus de moi, et presque
aussitôt je sentis un jet de sperme s’écraser sur ma bouche, mon nez et mes
yeux, le deuxième jet m’atterrit sur la bouche et la joue, il secoua ensuite
son sexe car je sentis de nombreuses gouttes tomber un peu partout sur mon
visage. Après ça le Maître essuya son sexe sur moi, étalant le sperme sur
mon bâillon et sur mon nez, puis il se leva en m’abandonnant ligoté sur le
lit, le visage couvert de sperme. J’entendis l’eau couler dans la salle de
bain, le maître se lavait. Il prit son temps, me laissant sur le lit pendant
au moins un quart d’heure. J’avais une forte odeur de sperme dans le nez,
mon bâillon se détrempait de plus en plus.
Enfin le Maître revint, m’ôta le bâillon et s’accroupit de nouveau au dessus
de moi. Je t’avais promis une punition pour m’avoir mouillé tout à l’heure
me dit il, et bien c’est l’heure maintenant. Ouvres la bouche ordonna t’il.
J’obéis et j’attendais toujours ligoté, les yeux masqués et la bouche
ouverte. Je sentis son sexe me frôler les lèvres puis d’un coup un liquide
commença à couler sur ma langue, le Maître m’urinait dans la bouche. Ce fut
tout d’abord un petit jet que je dus avaler sous la menace du Maître, suivi
de trois ou quatre jets que je dus également avalés, je hoquetais et un peu
de liquide coula sur mon visage ce qui me valut une gifle du Maître ainsi
qu’une rasade supplémentaire que je bus sans rechigner.
Après cette punition le Maître me détacha, enleva le bandeau sur les yeux et
m’ordonna de m’allonger sur le lit les jambes en l’air. J’avais un goût
d’urine dans la bouche et une odeur de sperme dans le nez. Il ramena mes
jambes en arrière et me cambra de manière à ce ma tête se trouve directement
sous mon sexe. Il mit des gants en latex et commença à me masturber. La
position n’était pas très confortable mais en repliant un peu le jambes je
réussis à améliorer quelque peu mon confort. Le Maître continuait à me
masturber, l’excitation venant je bandais. Je commençais à gémir, le Maître
me demanda d’ouvrir la bouche. Tu avaleras tout ton sperme me dit il en
poursuivant sa masturbation de plus en plus vite. Le Maître m’introduisit un
doigt dans l’anus ce qui fit monter ma jouissance presque immédiatement. Le
plaisir fut très violent, tous muscles contractés j’ai joui. Le sexe bien
guidé par la Maître, toute ma jouissance me coula dans la bouche.
– Garde la bouche ouverte. Ordonna la Maître. Tu la fermeras quand je te le
dirai.
Le Maître lâcha mon sexe et retira don doigt de man cul. Il me permit
d’abaisser les jambes, j’étais allongé sur le lit, la bouche ouverte pleine
de sperme.
– Avale tout ordonna t’il.
A ma grande confusion c’est ce que je fis, j’avalai tout mon sperme.
J’ai ensuite dû rester allongé sans bouger tout le temps que le Maître a
pris pour se préparer et sortir de la chambre. Ce n’est qu ‘une fois le
Maître parti que je me suis levé et que j’ai enfin pu m’essuyer la figure et
me rincer la bouche.
Je croyais que sur Vassilia les jeux de domination devaient être festif !
C’est vrai que côté humour et décontraction, l’auteur est complètement à côté !