Vraiment je n’avais pas de chance, mon chien refusait de faire la roulade,
mon patron avait sûrement une dent contre moi et voila que ma copine me
plaque. Je n’arrivais pas à dormir et je commençais sérieusement à me
demander ce que la vie avait à m’offrir. Si seulement mon appart n’était pas
si petit je pourrais au moins dire que je faisais les cents pas. Si je ne
trouve pas bien vite une solution, je vais finir par devenir fou et quand je
dis fou j’y crois vraiment. Sabrina ! Oui j’avais besoin d’elle pour me
remonter le moral, elle seule pouvait m’aider, après tout elle était une
amie d’enfance que j’avais toujours apprécié pour ses judicieux conseils
dans le passé.
Sabrina était une personne très spéciale, elle n’avait jamais été comme les
autres filles, elle n’avais jamais de petit ami et se concentrait uniquement
sur ses études dans lequel elle excellait de façon admirable. Son père était
très riche, elle aurait pu avoir une vie de princesse mais non, elle
préférait être comme les autres et emprunter le même chemin que ceux qui
l’entouraient. J’avais 31 ans aujourd’hui et elle devait en avoir 28 ou 29
je ne saurais trop dire, nous avions perdu contact après les études, moi en
administration et elle en psychologie. Je sais qu’aujourd’hui elle habite
une demeure dans un coin reculé en campagne, je le sais parce qu’elle
m’écrit une fois par année pour me donner des nouvelles, elle écrit un livre
je crois et reçoit des clients chez elle pour des thérapies. Moi je m’étais
laissé emporter par la vie, je dirais que Sabrina dirigeait sa vie, mais moi
c’est la vie qui me dirigeait…
– Oui bonjour
– Sabrina s’il vous plait
Je ne reconnaissais pas la vois de cette femme, qui était-elle ?
– C’est pour un rendez-vous monsieur ?
– Non, je suis un vieil ami, j’aimerais seulement lui parler, c’est possible
?
– Oui monsieur bien sur, elle se libère dans un instant, si vous voulez bien
patienter un moment ?
– Oui, merci
Alors elle avait une secrétaire, on ne peut pas tout faire après tout,
j’attendais qu’elle prenne la ligne en écoutant une sorte de musique de
relaxation, juste assez relaxante pour me rappeler ma triste situation.
– oui bonjour
– Sabrina ?
– Oui, à qui ai-je l’honneur ?
– C’est Justin, tu ne m’as pas oublié j’espère
– Non, bien sur que non Justin que me vaut le plaisir de ton appel, il y a
longtemps
– En fait, ça ne va pas très bien Sabrina
– Voyons Justin, que ce passe-t-il ?
– Disons que tout s’écroule autour de moi…
– Justin, je ne peux pas te parler très longtemps, je suis attendu, mais si
tu veux bien j’aimerais que tu viennes ici me raconter tout ça devant un bon
café et nous pourrons sûrement trouver des solutions et nous rappeler de bon
souvenir, qu’en dis-tu ?
– J’espérais cette invitation et je l’accepte avec plaisir, tu préfères un
moment particulier ?
– Oui, vient demain, au début de l’après-midi, ça te va ?
– Oui c’est parfait Sabrina, à demain alors
– Oui à demain, j’ai bien hâte de te revoir.
Voilà, je savais bien que je pouvais compter sur elle, j’avais enfin trouvé
une oreille charitable pour m’écouter, avec elle j’allais y voir plus clair.
J’avais noté l’adresse sur une de ses lettres, je prenais donc la route pour
me rentre chez elle. Il me semble que j’étais maintenant en pleine forêt,
enfin, à mon avis si je ne voyais que des arbres, c’était sûrement que
j’étais de plus en plus loin de la ville et de ses tourments. J’arrivai
enfin au bout d’une petite route sur lequel débouchait un portail en fer
noir, me voilà arrivé chez le comte Dracula, assez avec mes blagues
lugubres, comme par magie le portail s’ouvrit sur un superbe domaine.
Décidément cette maison était magnifique, bâti de pierre dans un style
victorien qui était sûrement d’époque. Je me stationnai pour me diriger vers
la porte d’entrée, une lourde porte en bois agrémenté de fortes pentures.
Arrivé devant la porte je puis voir qu’une caméra c’était pointée sur moi,
la porte s’ouvrir presque qu’aussitôt.
– Bonjour monsieur Justin, Sabrina vous attend dans le jardin derrière la
maison, suivez moi je vous prie.
– Merci
Pendant que nous avancions dans le long corridor nous menant au jardin, j’eu
le loisir de contempler la demoiselle qui me servait de guide. Très grande,
les cheveux attaché très haut en une fine queue de cheval. Elle portait une
robe que je qualifierais de médiéval, très longue, sur lequel retombaient
ses cheveux. Elle était vraiment jolie cette secrétaire qui n’avait pas
l’air d’en être une. Nous finîmes par arriver sur une sorte une grande porte
vitrée qui donnait sur le jardin ou je pouvais entrevoir mon amie qui
semblait avoir quelque peu changée…
« Dans le passé Sabrina n’était pas du tout fille à suivre la mode, elle
était plutôt non-conformiste, elle s’habillait comme elle avait envie de
s’habiller, cela dépendait de son humeur. Sabrina était de taille moyenne,
pas très grande, mais pas petite, pas grosse mais pas mince, mais elle
demeurait tout de même très belle avec ses cheveux court noir coupé au
carré. On aurait pu dire d’elle qu’elle était la réincarnation d’une
Cléopâtre des temps moderne, sans le nez. »
Mais j’avais du mal à la reconnaître quand elle se leva pour venir à ma
rencontre, une légère robe noire très ouverte sur son cou, des talons, oui
je ne rêvais pas, mon amie portait des talons. Bien que j’avais du mal à
voir celle que j’avais connue dans le passé une chose demeurait et cela
confirmait que c’était bien elle, ses cheveux ! Une chose demeura curieuse
dans le regard que les deux femmes échangèrent quand la secrétaire nous pris
congé de nous, appelons ça un sourire complice, enfin je n’y fit pas plus
attention que cette remarque.
– Allo Justin
– Sabrina
– Alors que penses-tu de ma petite maison ?
– Petite ? Je vois que tu as fini par profiter des avantages que ton père
pouvait t’offrir…
– Ah parce que tu penses que cette maison est un cadeau de mon père (rire)
détrompe toi !
– Ce n’est sûrement pas avec un salaire de psychologue que tu as pu te
procurer un tel domaine.
– Je t’expliquerai, mais tu n’es sûrement pas venu ici pour voir à mes
finances (rire)
– Non, tu as bien raison…
Voilà, nous nous sommes assis et je lui ai vidé mon sac…
– Mon pauvre Justin, je vois que tu ne l’as pas eu faciles ces derniers
temps.
– Non je ne te le fais pas dire, je ne sais plus quoi faire.
– Un bon café te fera sûrement du bien.
C’est alors qu’un homme s’approcha de nous portant un plateau, mais comment
avait-il su le moment précis où elle avait décidé de prendre le café, tout
ça devenait de plus en plus bizarre. L’homme s’avança vers nous, il portait
une tenue de maître d’hôtel qui ne lui allait pas du tout, il déposa son
plateau pour nous servir, il commença par Sabrina, fait curieux il ne sembla
jamais croiser son regard, c’est à peine si il regardait ce qu’il faisait,
il semblait avoir peur de nous. Quand je fus servi je le remercié de m’avoir
servi mais il ne répondit rien et il quitta sans même nous regarder, tout
ces faits devenaient de plus en plus bizarre…
Moi et Sabrina avons parlé toute la journée sans discuter des choses qui
m’avait paru si curieuses dans la journée… Elle semblait si calme et
sereine, elle m’avait écoutée parler toute la journée de mes malheurs et
toujours elle avait ce sourire rassurant que j’attendais d’elle, je me
sentais mieux depuis que j’étais en sa compagnie et c’est alors qu’elle me
proposa…
– Dit moi Justin, que dirais-tu de dormir ici ce soir, nous pourrions
poursuivre demain ?
– Oui, de toute façon mon appartement me rappel de mauvais souvenir et je
n’ai pas du tout envie d’y retourner pour le moment.
– Très bien Justin, on est déjà en train de préparer ta chambre, je ne
pourrai malheureusement pas te tenir compagnie ce soir car j’ai des
rendez-vous.
– Eh bien ce n’est pas très grave je comprend…
– Tu fais comme chez toi et tu peux profiter de tout ce qu’offre cette
maison pour te faire oublier tes malheurs, il y a une piscine tu sais et je
veillerai à ce que tu ne manques d’absolument rien durant ton séjour.
– Merci Sabrina, tu sais que j’apprécie beaucoup ce que tu fais pour moi.
– Ce n’est rien Justin, c’est tout naturel.
Quelques minutes après ce moment, nous nous quittâmes presque aussitôt et
elle disparu dans la maison. Je demeurais assis à respirer cette bonne air
de la campagne qui ne pouvait que me faire le plus grand bien. Je failli
tomber en bas de ma chaise quand je m’aperçu en m’étirant que la secrétaire
était derrière moi, elle me sourie et pris place dans la chaise qu’occupait
Sabrina.
– Bonjour Justin, permet moi de me présenter, je me nomme Jade
– Bonjour Jade tu es la secrétaire de Sabrina, je me trompe ?
– Oui, enfin…Nous pouvons dire ça, je suis ici pour veiller à ce que tu ne
manques de rien, quoique tu puisses souhaiter, tu n’as qu’à me demander.
– Dit-moi, elle est bien psychologue, non parce que je n’ai pas eu le temps
de lui demander, en tout cas c’est ce qu’elle avait étudiée
– Bien, oui, elle est psychologue (rire)
– Je ne vois pas ce qu’il y a de drôle ?
– Excuse moi Justin.
– Je n’ai pas vu de voiture dans le stationnement, où est le garage ?
– Nous avons une limousine qui n’est pas ici dans le moment et de toute
façon j’habite ici comme les autres.
– Les autres ?
– Oui, eeeee, les autres employés de Sabrina
– Je vois, est-ce que nous pourrions manger, le grand air m’a ouvert
l’appétit je crois.
– Bien sur Justin, suivez-moi.
Nous sommes retourné dans la maison et on s’est dirigé dans une grande salle
à manger où des plats nous attendaient. Moi et Jade avons discuté de toute
sorte de chose durant la soirée, mais je sentais qu’elle me mentait, elle
hésitait sans cesse dans ses réponses à mes questions. Après des heures de
discutions avec cette charmante Jade, je lui demandai de me conduire à ma
chambre car j’avais très sommeil, ce qu’elle fit. Vraiment je n’avais pas
souvent vu une aussi belle chambre, décoré de manière très luxueuse. Jade
pris congé de moi en me souhaitant une bonne nuit et elle ferma la porte,
j’enlevé mes vêtement pour ne garder qu’un boxer et je m’allongea sur le
lit, qui je dois l’admettre était très confortable. Rien à faire, je
n’arrivais pas à dormir, je tournais et retournais sans cesse, tellement que
si je continuais ainsi j’allais sûrement être malade. Sachant que jamais je
n’allais retrouver le sommeil, je décidai donc d’aller faire le tour du
propriétaire, je sorti de la chambre pour explorer cette grande maison.
Bien sur toutes les pièces qui se trouvaient près de ma chambre étaient
elles aussi des chambres à coucher, toutes plus belles les une que les
autres, enfin je dirais que plus j’avançais plus c’était beau, mais une
chose commença à m’inquiéter, si tout le monde habitait la maison, où
étaient-ils tous ? Avançant toujours parmi le luxe de cette maison,
j’atteins une partie que je n’avais pas encore vue, près de cette partie une
pièce ouverte dans lequel on pouvait voir un gardien de sécurité avec
plusieurs moniteurs télés devant lui, après ce poste de surveillance on
pouvait apercevoir une autre pièce où la lumière semblait très forte, mais
je n’arrivais pas à voir à l’intérieur. A coup sur si le gardien me voyait
il ne manquerait pas de me montrer gentiment le chemin de ma chambre, caché
dans le coin ainsi il ne me voyait pas encore, quand soudain je le vis
quitter son poste et venir vers moi, allez je me cache, j’entrai dans une
petite pièce à rangement qui était plongée dans le noir, le gardien passa
tout près de moi mais dépassa vite l’endroit où je me terrais. Je n’aurais
pas meilleure occasion d’aller regarde le contenu de cette pièce, vite je me
dirigeai vers la pièce et entrai à l’intérieur pour ne pas être vue du
gardien. Je n’en cru pas mes yeux, la lumière que je voyais provenait de
dizaines de chandelles qui brillaient de tout leur feu, mais le plus
impressionnant c’était la porte qui se trouvait devant moi, elle avait l’air
d’être en ivoire sur lequel on pouvait voir de magnifiques gravures. Non
sans peine, j’ouvris cette lourde porte sur lequel donnait un grand mais
étroit escalier, fini le luxe, tout ce qu’on pouvait voir ici était de la
pierre, ça ressemblait drôlement à un donjon du temps des château, des rois
et des dragons, je m’attendais à tomber sur une de ces majestueuse cave à
vin. Les seules lumières qui éclairait cet endroit était des chandeliers
accroché au mur, soudain je commençai à entendre des cris qui me glacèrent
le sang dans les veine, j’eu même un mouvement d’arrêt et de recule en
entendant ces plaintes. Je fini par atteindre la fin des escaliers pour me
retrouver devant une immense porte en grillage qui donnait sur un long
couloir qui ressemblait à celui d’une prison, j’ouvris la porte et je
commença à avancer dans ce couloir. Dans toutes les petites cages qui
formaient ce corridor on pouvait voir des hommes et des femmes attaché,
suspendu ou encore tout simplement a genou sur la pierre, je n’en croyais
pas mes yeux, j’étais tombé en plein cauchemar, j’avais l’impression de me
retrouver dans la cave de Barbe Bleue, à la différence cette fois qu’il n’y
avait pas seulement des femmes et que, dieu merci, ils n’étaient pas mort.
Je m’approchai d’une des cages pour m’adresser à son occupant…
– Mais qu’est-ce que vous faites là, attendez je vais vous faire sortir de
cette cage (sans trop savoir comment je ferais pour la déverrouiller)
L’occupant eu comme seule réponse, à l’aide que je lui offrais, un geste de
la tête signifiant qu’il ne souhaitait pas mon aide suivi d’un autre geste
rapide de la main qui me demandait de passer mon chemin, c’était maintenant
sur j’étais dans une maison de fou ! Mais rien n’aurait pu me préparer à la
scène qui allait bientôt se dessiner sous mes yeux, arrivé au bout de ce
couloir de prison, j’abouti sur une pièce dans lequel on pouvait voir mon
amie Sabrina, Jade la secrétaire et quatre hommes. J’avais beau me frotter
les yeux, la même image d’horreur revenait sans cesse devant moi, un des
homme semblait lécher la longue botte de Sabrina pendant qu’elle fouettait
un autre homme, Jade regardait la scène en tenant en laisse les deux autres
hommes qui se trouvaient à quatre pattes à ses côtés. Sabrina tournant la
tête eu aussi le choque de m’apercevoir dans l’encadrement de la porte…
– Merde ! Justin, qu’est-ce que tu fous là ?
J’aurais voulu m’excuser, mais malheureusement les mots ne sortaient pas de
ma bouche et un excès d’oxygène au cerveau fini par avoir raison de moi, je
perdis conscience…
– Justin, Justin, réveille toi Justin, ça va aller ?
J’ouvris difficilement les yeux, j’étais couché sur un long divan de velours
rouge, je voulais me convaincre que j’avais bien fait un cauchemar et tout
était revenu à la normale, mais à voir Jade qui m’épongeait le front et
Sabrina qui était assise sur un genre de trône, toutes les deux avaient sur
elles une sorte de cape qui cachait grossièrement leur tenu plutôt sexy.
– Justin, rassure moi et dit moi que tu vas mieux ?
– Oui Sabrina, ça peut aller
– Crois moi tu ne devais rien voir de tout ça, je n’avais vraiment pas prévu
que tu me surprendrais ainsi… et si mon agent de sécurité avait son travail
nous n’en saurions pas là.
– Je te rassure, disons que je suis passé en douce
– Tu dois avoir des tas de questions, n’est-ce pas ?
– En effet, je ne comprends rien à tout ce cirque
– Mon dieu, par où vais-je commencer…
– Je n’arrive pas à croire ce que j’ai vu ici ce soir, ce n’est pas toi
Sabrina
– Écoute Justin, si tu veux, tu peux retourner chez toi à l’instant et
oublier ce que tu as vu ici ou veux tu essayer de comprendre ce qui se passe
ici ?
Jade me souriait tendrement et attendait ma réponse qui tardait
à venir, à première vue j’étais outré par le spectacle que je venais de voir
mais en même temps tout ce mystère piquait ma curiosité et après tout
j’étais un homme comme les autres et les tenue de ces jolies femmes ne me
laissaient pas indifférent. Sabrina se leva et vain vers moi en laissant
tomber sa cape en chemin, elle portait de longues bottes noires d’une
matière plastique très brillante qui montait jusqu’au milieu de ses cuisses,
un string recouvrait ses parties intimes et un corset venait compléter le
tout dans un rouge très vif.
– Alors Justin, tu sembles hésiter sur la réponse que tu vas me donner.
Je ne savais pas quoi répondre, Sabrina se tenait debout juste au côté du
divan, quand soudain, elle leva sa jambe et vain poser la semelle de sa
botte sur ce qui se trouvais entre mes jambes…
– Tu sais qu’il est très impoli de ne pas répondre à une dame quand elle
nous adresse la parole Justin ?
J’avais du mal à avaler, je me sentais de plus en plus confus, elle fixait
son regard sur le mien. Jade c’était relevé et se tenait debout à côté
d’elle et me regarder elle aussi d’un air très amusé, Jade portait une tenue
qui collait entièrement à sa peau, de son cou jusqu’à ses talons, et la
matière dans lequel cette tenue était fabriquée ressemblait au caoutchouc,
mais on aurait dit qu’on l’avait enduit d’une quelconque substance qui la
rendait luisante.
– Allez Justin, on dirait que ta queue semble avoir fait son choix elle
(rire)
– Je t’en prie arrête ça et enlève ton pied de là
– Non Justin, quand tu auras répondu à ma question j’enlèverai mon pied et
pas avant !
Dans un moment de panique je décidé de me lever, mais Jade m’en empêcha et
me repoussa sur le divan.
– Je crois que Sabrina t’a posée une question Justin.
Sabrina remis son pied sur mes parties intimes en me regardant dans les
yeux…
– Tu sais j’ai toute la nuit devant moi Justin alors ne te sens surtout pas
pressé de répondre, mais peut-être que tu aimes bien sentir ma botte comme
ça sur ta queue…
– Non, je n’aime pas !
– Je n’ai pas entendu, répète le et demande moi poliment de te laisser
partir.
Toujours cette satanée hésitation, qu’est-ce qui se passait avec moi… mais
je n’eu pas le temps de trouver la réponse à cette question quand Jade me
pris par les cheveux et me força à me lever du divan, elle tira vers le bas
de sorte que je n’avais pas d’autre choix que de tomber à quatre pattes sur
le sol et elle me maintins ainsi…
– Allez Justin, nous avons assez joué pour ce soir, répète après moi « je
vous demande pardon Maîtresse Sabrina pour ne pas avoir répondu à votre
question »
– …
– Je sais que tu en meurs d’envie Justin mais je sais aussi qu’il peut être
difficile de franchir cette étape de la soumission, allez dit moi ce que je
veux entendre et je te laisserai embrasser ma botte !
– Mais Sabrina je ne peux tout de même pas te dire ça…
– Mauvaise réponse Justin, Jade si tu montrais à Justin que nous ne sommes
pas ici pour rire…
C’est alors que Jade passa sa main entre mes cuisses et attrapa fermement
dans sa main tout se qui s’y trouvait, elle serait très fort et j’avais mal,
mais même si je savais que je pouvais arrêter toute cette comédie je n’en
fit rien…
– Je suis certaine que Jade sert très fort ton petit sac Justin, vas-tu te
décider à me dire ce que je veux entendre ou prendrais-tu un certain plaisir
à la douleur (rire)
– Sabrina je suis désolé de ne pas avoir répondu
– Non Justin, tu n’écoutes pas ce que je dis, Jade sert plus fort je crois
qu’il ne prend pas tout ça très au sérieux.
– Aie, non je vous en prie Maîtresse Sabrina je vous demande pardon pour ne
pas avoir répondu à votre question…
– Oh mais voilà qui est beaucoup mieux Justin, Jade tu peux relâcher, mais
je ne suis pas très fière de toi Justin, tu te rends compte du temps que tu
as pris pour répondre à ma question qui était toute simple ?
– Je m’excuse Maîtresse Sabrina…
– Non, garde tes excuses, Jade je pense que notre ami à besoin de réfléchir
à tout ce qui vient de se passer ici, nous irons le voir tout à l’heure,
mais pour l’instant ce n’est pas de récompense qu’il à besoin mais de
solitude !
– Lève toi et avance !
Jade venait de prononcer des paroles si froides que j’avais peine à la
reconnaître, rien de la secrétaire avec qui j’avais discuté durant le repas.
Elle me guida fermement jusqu’à l’une des cellules que j’avais aperçu plus
tôt et me poussa à l’intérieur en me disant…
– Donne moi tes boxers, tu n’en aura plus besoin…
Elle pris mon sous-vêtement et ferma solidement la porte de la cage et elle
s’éloigna sans un mot de plus. Je restai ainsi, nu, dans cette petite
cellule, pour combien de temps je n’en avais pas la moindre idée, j’avais
peur et je ressentais une émotion nouvelle que je n’aurais pas su décrire,
même si j’avais encore du mal à réaliser ce qui venait de se produire avec
Sabrina, elle ne quitta pas mon esprit, je pensais à elle, à comment elle
était belle et cruelle en même temps, douce et impitoyable… Que me
réservait-elle encore pour cette nuit, je n’osais même pas y penser…
A SUIVRE…
Je n’ai pas trouvé la suite
En fait, nous ne l’avons jamais reçu !