Retour à la terre 3 – Dernier Jour par Lovelace

Retour à la terre
3 – Dernier Jour
par Lovelace

7 heures, le réveil sonne, je me lève un peu dans les vaps. Je suis en congé, mais j’ai promis à des clients de les rappeler aujourd’hui. Une bonne douche pour me remettre les idées en place, un café fort, et me voilà parti pour le bureau.

Mon assistance, au courant de ma venue, m’attend avec le parapheur rempli et une pile de messages.

– Bonjour, Bernard, vos vacances se passent bien ? J’ai tout préparé, pour ne pas vous prendre trop de temps.
– Merci, Anne, c’est gentil;
– Non, c’est normal, minaude-t-elle, l’œil pétillant, je vous prépare un café ?
– Avec plaisir, oui. Vous êtes toute seule ce matin ? Où est Hervé ?
– En fait comme y il a peu de boulot en ce moment, on se relaie, comme ça on profite tous un peu du soleil !
– Ce n’est pas idiot !

En sortant du bureau, elle ne peut s’empêcher de tortiller du cul. Je suis sûr que je n’aurai pas besoin de la pousser beaucoup pour la séduire, elle ne demande que ça ! Elle me sert la tasse en la posant devant moi à travers le bureau afin de se pencher et offrir à mon regard, la vision de sa poitrine, sous son chemisier à moitié dégrafé, vu qu’elle ne porte pas de soutif ! Ensuite elle s’assoit dans le fauteuil, face à moi avec le parapheur et la pile de messages et me laisse ostensiblement voir son entrejambe dénué de sous-vêtement ! La salope ! Allumeuse parfaite !

Mon portable sonne; c’est Pierre, qui m’appelle pour me prévenir que la vidéo du week-end est prête, et qui me demande à quelle heure ils doivent venir avec Viviane. Je leur donne rendez-vous à la maison pour 19 heures.

Je prends connaissance des messages, Anne fait des effets de jambes à chaque fois qu’elle le peut. Elle se lève ensuite pour me donner le parapheur avec les courriers à signer, se met à côté de moi et tourne les onglets au fur et à mesure que je signe les lettres, en me frôlant l’épaule avec son sein à chaque page tournée. Elle sent bon la garce, et la situation m’excite un peu, mais je ne peux quand même pas craquer bien que j’en meure d’envie.

Mon portable sonne à nouveau ;

– Ha, c’est toi Alice ?
– Oui, je voulais te dire que les jeunes sont partis.
– Comment ça, partis !
– Je leur ai prêté ma voiture, ils voulaient se faire bronzer à la plage naturiste de St Sébastien.
– Ha bon je croyais qu’ils nous quittaient !
– Non, non, ils seront là ce soir.
– A propos, Pierre m’a appelé, ils arriveront pour l’apéro vers 19 heures.
– Ok, pas de problème; et toi ça va ce retour obligé au bureau ?
– Oui, à part que Anne me fait du rentre dedans et que je n’ai pas envie de l’envoyer péter !
– Fais-toi faire une petite gâterie, ça la calmera !
– Déconnes pas, je dois rester plein pour ce soir !
– Je rigole, fais comme tu veux !

Anne a piqué un fard, quand elle m’a entendu parler d’elle dans ces termes.

– Je suis outrée de la façon dont vous avez parlé de moi, me dit-elle une fois que j’ai raccroché, quel manque de respect !
– Vous manquez d’humour, ma chère Anne; et puis je n’ai pas complètement tort, non ?
– Il est vrai que vous me plaisez, mais dans le boulot il vaut mieux éviter, n’est-ce pas ?
– Alors pourquoi me montrer clairement que vous êtes nue sous vos vêtements ?
– Ha, vous avez vu ? En fait, il fait tellement chaud que je porte le moins d’affaires possibles !
– A d’autres, Anne, vous l’avez fait pour m’allumer, ne dites pas le contraire !
– Ho, Bernard, comment pouvez-vous, penser une chose pareille !
– Qu’est-ce qui pourrait me faire penser autrement ?
– A vrai dire, je ne sais pas, vous avez l’esprit mal tourné !
– OK, n’en parlons plus ! Excusez-moi Anne, je ne voulais pas vous froisser ! Je pensais vraiment que vous souhaitiez que je m’intéresse à vous, autrement que d’un point de vue professionnel !
– Je n’ose pas l’avouer, mais vous avez raison !
– Ha, alors, vous l’avez donc fait exprès ?
– J’avoue !
– Alors pas d’hypocrisie avec moi, si vous en avez envie, dites-le !
– Et bien, oui, je le veux ! Dit-elle dans un souffle, comme soulagée.
– Ôtez votre chemisier, Anne, dis-je d’un ton péremptoire

Elle s’exécute, sans sourciller et je peux admirer ses petits seins pointus, son jeune ventre creux un piercing dans le nombril.

– Très joli, dis-je
– Merci, répond-t-elle, assez fière
– Venez !

Elle s’approche et je passe ma main sous sa jupe, glisse le long de la cuisse douce et tendre en remontant vers l’entrejambe de la demoiselle. Quand j’atteins la vulve, je sens sous mes doigts le tendre abricot, déjà bien humide. Elle a fantasmé, avant le début de notre conversation. Je glisse un doigt qui entre facilement, elle frémit ses pointes de seins durcissent. Je me lève et en prend un en bouche et le suce avec délectation. La bougresse frémit immédiatement. Elle est chaude comme la braise ! Elle s’accroupit et défait mon pantalon d’un geste sur et précis. Il tombe sur mes chevilles. Elle prend ma queue à pleine main et commence à me branler pour lui donner un peu de consistance, puis la prend en bouche ;

– Hummm, tu suces divinement, toi ! Vas-y continue c’est vraiment bon.

Elle est jeune, mais elle sait y faire.

– Contente que ça vous plaise, dit-elle, en me léchant les couilles. (Elle est surprise par mon manque de poils) ; vous êtes totalement épilé !
– Oui, ma femme et moi n’aimons pas les poils !
– Vous avez raison, c’est beaucoup plus beau comme ça !
– Et vous, vous êtes épilée ?
– Totalement, moi aussi ! Vous voulez voir ?
– Oui, dis-je en la relevant et l’asseyant sur le bureau.

Dans le mouvement j’ai relevé sa jupe au niveau de sa taille. Elle écarte les jambes et me montre sa chatte lisse, totalement imberbe. Ses grandes lèvres sont gonflées et ses petites lèvres les bordent sans les dépasser. On dirait une chatte de gamine, moi qui suis habitué à des moules bien épanouies, ça me change. J’approche la bouche et la lèche, cherche son clitoris enfoui et l’aspire, le suce, le titille. Elle remue dans tous les sens, rejette la tête en arrière et se pâme. Elle est bien mouillée maintenant mais je ne vais pas la prendre ! Elle se relève et je lui demande de me tailler une pipe.

– Ça t’a plu, cochonne ? Alors rends-moi la pareille
– Hummm oui, vous léchez bien, qu’est-ce que c’était bon !

Je m’assois sur mon fauteuil, écarte les jambes et ma bite tendue l’appelle ! Elle se met à genoux et commence une fellation d’enfer ! Elle m’aspire le nœud comme si elle voulait le vider de toute substance ! Puis elle le ressort, le lèche sur le pourtour du gland, le long du frein, le recalotte, mords la peau et le décalotte dans sa bouche, avec sa langue et en aspirant à nouveau. C’est vraiment divin !

– Relèves-toi, lui dis-je.

Debout sur ses talons, elle me regarde d’en haut, assez contente, mais légèrement soucieuse ;

– Vous n’aimez pas ?
– Oh que si, et c’est pour ça que je t’ai demandé de te relever, je n’ai pas envie de lâcher ma purée maintenant !
– Dommage, j’aime bien ça, le jus d’homme ! Alors qu’est-ce qu’on fait ?
– Plus rien, c’est fini pour aujourd’hui !
– Et mais j’ai encore envie moi !
– Bon, alors je te prends un coup devant, un coup derrière et terminé, OK ?
– Derrière, j’ai fait une fois, ça m’a fait mal !
– Si tu as eu mal, c’est que le gars était un amateur !
– Alors, montrez-moi !

Elle n’a vraiment pas froid aux yeux la petite !

– Attends un instant, je vais chercher ce qu’il faut. Je remonte mon pantalon et sors acheter un tube de lubrifiant à la pharmacie du coin de la rue.

J’en ai à peine pour 5 minutes et, quand je reviens, elle est totalement à poil, assise sur mon fauteuil et elle se masturbe à fond. Je me plante devant elle, elle a la chatte trempée et me dit ;

– J’en pouvais plus d’attendre, désolée !

Elle se lève s’appuie au bord du bureau et je baisse mon pantalon et la prends directement et sans sommation ! Heureusement qu’elle est mouillée, parce qu’elle est étroite; je suis plus habitué à ça, moi. J’ai la queue pressée, drôle de sensation !

– Dis donc, qu’est-ce que t’es serrée. Tu baises jamais ?
– Peut-être pas assez ! Dit-elle en riant avec vous c’est vachement bon en tout cas !

Je la ramone bien, sur toute la longueur de ma queue, doucement, et à sa demande j’accélère, jusqu’à ce qu’elle vienne. Je sens là un relâchement de ses muscles et je me sens plus libre de mes mouvements. En fait elle était contractée à l’idée de faire l’amour avec moi, tout simplement !

– Allez, on change de côté, d’accord ?
– Je veux bien, mais doucement, hein !
– Promis !

Je commence par lui administrer une feuille de rose afin de la détendre; elle a l’air d’apprécier si j’en crois les gémissements qu’elle pousse. Dans le même temps, j’ouvre la boite de lubrifiant et trempe mon doigt dedans. Je badigeonne l’entrée étoilée, puis pénètre mon doigt lubrifié qui rentre tout seul. Elle a une réaction de défense, mais se relâche tout de suite en soufflant. Je continue mon badigeonnage mais avec deux doigts maintenant. Ça passe bien. J’enduis ma bite de lubrifiant et place mon gland sur sa rondelle.

– Vas-y cocotte, pousses, comme si tu allais à la selle

Et dans le même temps j’appuie et fais passer mon gland.

– Oummff ! C’est gros !
– Tu as mal ?
– Oh, non ! Au contraire, c’est gros, mais c’est bon !

Alors j’y vais plus franchement et, lentement, lui enfile toute la longueur de mon chibre. Après quelques allez-retours, elle y va franchement et en redemande, elle aime vraiment ça. Tant mieux. J’accélère le mouvement et elle explose dans un violent orgasme.

– Mon dieu, que c’était bon, me dit-elle quelques instants plus tard, après avoir récupéré ses esprits, on pourra recommencer une autre fois ?

– On verra ça, maintenant, je retourne en vacances moi !

Et je la plante là, à poil dans mon bureau, avachie dans le fauteuil, le cul dilaté la chatte rougie, mais affichant un sourire de bonheur !

Je suis un salaud !

J’arrive à la maison une demi-heure après; je vois qu’Alice est dans la piscine. Je me déshabille en traversant le séjour et, coure me jeter à l’eau. Je rejoins Alice en deux brasses et l’enlace. Après un fougueux baiser, elle me demande ;

– Alors, ta matinée au bureau c’est bien passée ?
– Oui, j’ai fait tout ce que j’avais à faire.
– Et ta jeune assistante, finalement tu l’as baisée ? – Elle n’y va pas par quatre chemins !
– Ma foi, oui ! Et je dois dire qu’elle est douée avec sa bouche !
– Mieux que moi ?
– Non, ça n’a rien à voir ! Elle est jeune, trop pressée d’arriver vite au bout !
– Ha ! C’est mignon quand c’est jeune !
– C’est vrai, c’est tout ferme, et candide. Je ne me souvenais plus qu’une jeune chatte fût si étroite. Finalement je préfère les chattes mûres !
– Sa rondelle aussi devait être serrée, non ?
– Oui, elle n’avait jamais servi, mais maintenant elle est rodée !
– Quel salaud tu fais !
– C’est ce que je me suis dit en la plantant là, assise dans mon fauteuil. Mais, bon, ça lui fera des souvenirs !
– Arrêtes, tu es cynique ! Tu as pris ton pied, au moins ?
– C’était sympa, mais je n’ai rien donné, j’ai tout gardé pour toi !

Pendant notre conversation, nous n’avons cessé de nous caresser partout et nous sommes un peu électriques !

Nous décidons d’aller nous faire une petite séance de SPA pour nous détendre.

J’aime beaucoup me tremper dans ce bassin bouillonnant. Tous les muscles détendus, sont massés par ces remous bienfaiteurs, mais pas qu’eux ! Le sexe et les bourses aussi ! J’ai l’impression que des doigts agiles, bougeant rapidement me tripotent ! C’est vraiment très agréable. Alice, elle, aime présenter sa chatte et son cul devant les buses d’eau sous pression. Elle aime se faire chatouiller par le jet puissant qui lui ouvre ses orifices.

– Qu’est-ce qu’on se fait à manger à midi ? Demandé-je
– Quelque chose de léger, vu que ce soir on fait la fête ! Les jeunes ne rentreront de la plage qu’en milieu d’après-midi. On peut se faire une salade, si tu veux
– Ok pour moi ! Tu veux un coup de main ?
– Je préférerai un coup d’autre chose ! Dit-elle coquine.

Je ne relève pas et sors de l’eau chaude, bien détendu et en pleine forme. Elle fait de même et après nous être séchés, nous filons vers la cuisine préparer notre déjeuner.

– Alors, quel est le programme ?
– Salade de concombres, carottes râpées, salade de tomates et un peu de laitue.
– Ça me va, dis-je.

Pendant qu’elle lave la salade, je coupe les tomates. Tout en préparant, nous devisons ;

– Tu sais, j’ai l’impression que je t’aime vraiment de plus en plus; je me demande si ce week-end n’y est pas pour quelque chose.
– Je me posais la même question, me répond-elle, je me sens beaucoup plus proche de toi depuis quelques jours. Crois-tu que ce soit à cause de ce libertinage ?
– En tout cas si c’est le cas, tant mieux, en dehors d’avoir pris notre pied, ça nous aura permis de nous rapprocher plus encore !
– Oui, et en plus, je trouve qu’on se sent mieux, j’ai rarement pris mon pied aussi fort qu’hier soir.
– Tiens, moi aussi, c’est vrai.

Pendant ce temps, j’épluche les carottes et les mets dans une écumoire, pour les laver. Alice les rince, et avant de les mettre dans le robot, se les enfile les unes après les autres.

– Tu auras des carottes râpées au jus de femme !
– Ça devrait leur donner un parfum agréable !

En même temps, ça a tendance à m’exciter fortement et quand j’en arrive à éplucher le concombre elle me lance un ;

– Fais gaffe de ne pas te tromper, je n’ai pas envie d’une queue sans peau !

Je lui tends le légume et, comme pour les carottes, elle se le met avant de le couper.

– Hummm ! Il est meilleur entier qu’en morceaux ! S’amuse-t-elle
– Arrêtes, lui dis-je, j’en peux plus de ta provoc.
– Oui, je vois ça ! Allez, viens donc, remplacer mes légumes favoris ! Me répond-elle en me tendant ses fesses.

Je m’approche, le sexe tendu, m’accroupis et lui lèche la chatte par derrière. Elle est bonne, bien baveuse, comme je l’aime. Je me relève et la prend, debout. Le fourreau moelleux m’enveloppe, c’est délicieux. Elle s’appuie sur le plan de travail ce qui a pour effet d’accentuer sa cambrure.

Je caresse sa vulve avec mon gland et pénètre à nouveau cet antre de plaisir.

– Hummm ! C’est bon, mon chéri, ouii, viens, prends moi à fond, je te sens bien là.
– Hooo, oui, c’est bon, je glisse bien, qu’est-ce que tu m’excite, c’est fou !
– C’est meilleur qu’avec ton assistante, non ? Ha, oui à fond, vas-y, Houaouu tu es gros aujourd’hui, je la sens bien ta queue, qu’est-ce qu’elle me plait, putain !
– Haaaa, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme, attends j’arrête un peu.

Je ralentis et raccourcis mes mouvements pour ne pas exploser, mais le peu que je fais suffit à Alice ;

– Ça y est, je viens, n’arrêtes pas, c’est bon, je viiieenns !

Et elle explose, d’un orgasme puissant, elle me détrempe. Je sors pour regarder couler son foutre, c’est beau !

– Prends-moi par derrière, viens !
– Mais, pas comme ça, pas à sec.
– A sec ! Rit-elle, mouilles toi à ma source, c’est un bon lubrifiant, non ? Allez, vas-y et défonce-moi

Je trempe ma queue et pose mon gland sur la petite couronne plissée. Je pousse légèrement, elle s’ouvre et me happe !

– Haaaa ! Ho que c’est bon, allez entres à fond, encules-moi bien, oui !

Je me démène dans ce cul si accueillant, mes couilles claquent sa vulve dans un clapotis mouillé.

– Non de dieu que c’est bon ! Attends je vais t’exciter l’œillet. Et je ressors, replace le bout gonflé de mon sexe et entre jusqu’à la base du gland.
– Ne bouges plus, attends.

Elle se sert de ses muscles pour me l’écraser, le presser, un vrai étau ! C’est gagné, je sens le gland gonflé à mort, je branle la hampe à trois doigts. Elle le sait, je vais jouir; alors elle me repousse, se retourne et, accroupie, me prend dans sa bouche que j’inonde de mon sperme chaud.

C’est génial, fabuleux, tous les superlatifs que l’on peut utiliser, ne transmettent pas ce que je ressens à ce moment.

Je m’agenouille, l’enlace, et l’embrasse. Sa bouche a le goût de mon sperme. Je pose mes mains sur ses fesses rondes et fermes, les malaxe, lui caresse les hanches; nous sommes fusionnels; je crois vraiment que ces aventures que nous vivons depuis quelques jours, ont grandit notre amour et notre faim de l’autre.

Je me relève et elle en profite pour embrasser ma queue ramollie.

– Je l’adore ta bite, elle est vraiment bonne !

Elle se relève aussi et je lui embrasse les seins. Ils sont vraiment beaux !

Nous sommes heureux, rien à ce moment ne peux nous toucher.

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