Taxi driver 2 – L’inconnu du métro par O_L

La semaine est interminable. Je sens qu’il va me virer de sa collection. Je suis allé le voir hier et ça s’est mal passé, sauf que j’ai branché sa standardiste BCBG mais c’est une autre histoire. Je te raconterais plus tard. Ben oui mon lecteur chéri. C’est moi l’auteur de Taxi Driver. Heureusement que t’as capté dès le début que je m’y connais mieux en stylo qu’en changement de vitesse. Seulement, ce bouquin là, il n’avance pas et j’ai déjà explosé les délais. L’éditeur vient de me dire qu’il me vire demain s’il n’a pas les 50 pages qui manquent au contrat. J’ai plus l’inspiration. Je me sens seul. Je plonge. Pas rasé. Manger des chips, boire des bières, revoir mes films de cul préférés. Je travaille à ce foutu roman mais rien ne vient. Quelle idée d’avoir fait ça au Gabon. Je n’y ai jamais mis les pieds !

Et là, d’un coup, une lumière débarque dans mon histoire ! Sous la forme d’un mail qui me tombe du ciel, juste au moment ou j’allais craquer. Je vous le donne sans y changer un mot :

**
*
Bonjour, je m’appelle Hamed, mais mes copains m’appellent Tyson. J’ai 20 ans, j’étais dans la même rame que vous quand vous pelotiez votre copine BCBG. Vous ne m’avez pas vu, mais elle, si. J’étais assis à deux rangs de vous. J’avais un sweater clair et un pantalon blanc un peu baggy. Je m’habille comme ça parce que les filles me disent que les couleurs claires me vont bien. Je suis brun, la peau mate, les cheveux et les yeux noirs. Moi, les habits, je m’en fous, du moment que je baise sans trop me fatiguer à draguer. J’adore le sexe. Quand je ne baise pas, je me branle. Si je ne me branle pas, c’est que je baise. Quand je vous ai vu dans le métro, j’ai tout de suite capté votre jeu avec votre copine. J’ai compris que vous veniez de vous rencontrer, que vous alliez la baiser, qu’elle en a envie à en crever mais que son éducation lui commande de résister, et qu’elle a déjà dit merde à son éducation. J’ai capté tout ça et je me suis mis à bander. Chez moi, ça se voit tout de suite quand je bande vu le volume de l’animal alors comme de toutes façons je ne peux pas le cacher, je ne me gène pas. C’est pendant que mon pantalon commençait à se gonfler que votre copine m’a aperçu. Elle ne m’a plus quitté des yeux. Je crois que là, vous avez deviné qu’il se passait quelque chose parce que vous lui avez parlé, elle avait l’air difficile à convaincre, et finalement elle est venue me voir.

Voir cette fille tirée à quatre épingles s’approcher de moi, les joues rouge tomate, et me parler d’une voix blanche sans pouvoir quitter des yeux mon sexe qui gonflait à vue d’œil dans mon pantalon, c’était trop top pour la vraie vie, même pour la mienne où je m’ennuie pas. C’est à ce moment là que j’ai commencé à me demander si j’étais dans un vrai métro, mais je ne pouvais pas intégrer tout ce qui m’arrivait au fur et à mesure.

– Bonjour Monsieur. Mon ami est écrivain. Il voudrait vous inviter à une petite fête qu’il donne pour la sortie de son dernier roman.
– Vous êtes vraiment jolie. Vous préférez pas venir chez moi ? On sera plus à l’aise pour faire connaissance ?
– Une autre fois, avec plaisir, elle me dit sans quitter ma bite des yeux. Et ce soir alors ? On peut compter sur vous à notre petite fête ? Il n’y aura pas beaucoup de monde, juste des intimes.
– Asseyez-vous à côté de moi, je vais voir si je peux venir à votre fête mais il faut qu’on fasse un peu connaissance d’abord.

Elle s’assoie, en essayant de ne pas me toucher mais elle ne peut pas vu que je prends toute la place. Elle serre les genoux comme une petite bourgeoise. Elle m’excite avec ses manières bien élevées et sa façon envieuse de regarder ma bite quand je me fais bander. Je me penche vers elle, une main sur son épaule et je lui dis à l’oreille :

– Regarde ton copain comme il te mate. Je suis sur que c’est un cochon. Je suis sur qu’il a envie de te voir m’embrasser ».

Et voilà ! C’est pas beau la vie ? On s’est embrassés. Pas un baiser d’amoureux romantiques. Plutôt un baiser de juste avant la baise. Un de ces baisers qui ne se font pas dans le métro. Toute la tension qu’elle avait accumulée avec vous pendant votre petit manège de frotti-frotta et qui m’avait fait bander, c’est en m’embrassant qu’elle la déchargeait. J’ai su que je pouvais passer la main dans son tailleur et je lui ai peloté ses gros seins. Les gens autour commençaient à bouger un peu nerveusement, mais ils ne disaient rien. Là ou ça a vraiment dérapé, c’est quand votre copine a mis la main dans mon pantalon baggy et a empoigné la grosse bête qui était dedans. Votre pauvre copine, ça faisait un quart d’heure qu’elle hallucinait en le regardant alors ça lui a échappé. Elle n’a pas pu se contrôler. En deux secondes l’animal a fini de se déplier dans mon caleçon et tout le monde autour a pu comprendre que j’élève une vraie bête de cirque. Le métro arrivait à une station et j’ai compris qu’il fallait mettre les voiles sinon, un truc pas cool allait se passer.

On s’est retrouvés tous les trois sur le quai d’une station déserte. Pas de correspondance. Juste un gros panneau lumineux « Sortie » à l’autre bout du quai. Non seulement votre copine s’en est enhardie, mais vous vous êtes mis à l’encourager du geste et de la parole si bien qu’on a vite formé un tableau très touchant. Elle, m’embrassant tendrement, une main dans mon pantalon enserrant mon énormité de ses doigts courts et potelés qui n’en faisaient pas le tour, vous derrière moi, me caressant les fesses tout en frottant votre bite sur mon cul pour vous faire bander.

Les filles sont folles de moi, les mecs aussi, et ma vie se passe très coolement. Mais enfin, je me suis encore jamais fait violer par un homme et une femme en même temps, tous les deux des inconnus, et la fille qui a des airs de sainte nitouche et qui rougit à chaque mot cru tout en me regardant la bite. C’est à ça que j’ai enfin compris que j’avais quitté le monde réel, que je m’étais fait piéger dans votre livre, et que je des trucs pas habituels allaient se passer avant que je ne puisse en ressortir.

Alors j’ai décidé que j’allais profiter au mieux de la situation plutôt que d’en être la victime. J’ai commencé par faire un petit tour du propriétaire. Qu’est-ce qu’il y a de bon à prendre dans ce bouquin ? Est-ce qu’il y a quand même des limites ? Qu’est-ce qui se passe si je fais pipi sur le visage de ta copine ? Un truc que j’ai toujours eu envie ! Ta copine, je la baiserais bien dans la station. Je pourrais par exemple la soulever, la plaquer dos au mur, lui attraper les fesses à deux mains par en dessous, et la prendre comme ça, à la hussarde, bouche contre bouche, en la bourrant contre le mur à grands coups de reins. Ca serait contre une pub de lingerie avec des énormes seins en 4 par 3 et je la baiserais contre un des nichons de la pub. Ou bien qu’elle me suce accroupie, jambes écartées, en se masturbant et en faisant pipi par terre. Et que le pipi remplisse toute la station et qu’on se mette tous à nager dedans. Et que ça se transforme en une mer de pipi avec du soleil, des cocotiers et des jolies serveuses à poil pour nous donner à boire. Et aussi des moniteurs de planche à voile bien bronzés qui bandent vertical toute la journée et font tout ce qu’on veut sans qu’on ait à le demander. Donne moi ton bouquin à écrire je te dis je vais te l’arranger comme il faut tu vas pas être déçu.

Petit à petit, je prends mes marques : toi, le patron du bouquin, je vais plus te vouvoyer. J’ai été faire un tour aux pages du début et j’ai vu que tu t’appelles Albert et que t’es un gros cochon. Toi, la standardiste BCBG qui m’embrasse en me branlant, j’ai vu que tu n’as pas encore de nom dans ce livre, alors je vais t’appeler Elise. Quand j’étais gosse il y avait une fille de ma classe qui était amoureuse de moi et qui s’appelait Elise. Le samedi au poney club, il y avait une ponette qui s’appelait aussi Elise. Tout ce que je faisait à l’une, j’imaginais que je le faisais à l’autre et vice-versa. Dans ma tête de gosse, ça faisait des étincelles. Ca se finissait toujours par une bonne branlette. Jusqu’à présent quand j’ai le spleen, je repense à mes deux Elises et la vie redevient belle. Tu seras mes deux Elises à la fois. Je vais te taper, je vais te dresser, je vais te caresser et aussi t’étriller comme un cheval, et je vais te sourire et t’aimer comme une gonzesse. Je vais te mettre à quatre pattes, monter sur ton dos, te cravacher. Je vais te baiser comme une jument et en même temps te vénérer comme une reine. Quand je vais t’enculer en levrette, je verrais le gras de ton gros cul bouger comme du flan et j’imaginerais que j’encule ma ponette Elise. Et quand tu auras joui, je te ferais redevenir ma copine qui était trop jolie et je ferais tout ce que tu aimes. Oui, Elise, c’est le prénom qu’il te faut dans ce bouquin.

Maintenant que j’ai compris la situation et que j’ai décidé de prendre ma nouvelle vie en main, j’embrasse gentiment mes deux amoureux et je leur dis :

– Faut pas rester ici devant les caméras de surveillance. On va avoir des ennuis. Et puis je dois pisser. Elise mon amour, suce-moi juste une minute pour me faire bander que je me pisse pas dessus sur le chemin ».

Elise la pauvre n’a pas encore capté la situation et elle a peur de tout, mais comme elle a déjà ma bite dans la main, elle n’a guère le choix. Mon baggy descend dès qu’elle ouvre la ceinture et…Ahhhhh ! Que c’est bon ! C’est doux, c’est chaud, elle le fait super bien. Elle me pompe le nœud, me branle de la main droite, et me caresse les couilles de la main gauche. Un vrai feu d’artifice. Se faire sucer avec l’envie de pisser c’est divin. Je l’encourage d’une main posée sur sa nuque. Dès que j’ai la trique, elle jette un regard à la caméra de surveillance comme si la voix de Dieu le Père devait en sortir. Elle flippe mais je l’oblige à continuer. J’adore sentir que ce qu’elle me fait elle ne l’a jamais fait à quelqu’un d’autre jusqu’à présent, que ça la fait flipper et que ça l’excite en même temps. Qu’elle a honte et qu’elle aime ça. Finalement elle se lève et déclare :

– Moi aussi j’ai envie de faire pipi. Albert, partons d’ici.

Nous marchons côte à côte, Albert est entre nous deux, les bras sur nos épaules respectives. On blague et on rit. On s’aperçoit que nous ne connaissons rien les uns des autres. Le bavardage nous amène dans une brasserie qui sert à la pression une bière blanche réputée qu’Albert nous vante. Nous voilà tous devant les bières. J’envie les toilettes comme un roi son château, mais Albert n’est pas de cet avis.

– Je vous propose un jeu. Le premier de nous qui ira aux toilettes aura un gage de chacun des deux autres ».

Elise est dépitée. Ca commence à faire beaucoup pour elle. Je la sens prête à craquer, au bord de la crise de nerfs.

Je me penche vers elle et je lui murmure à l’oreille

– S’il te plait ma chérie, branle moi pour m’empêcher de faire pipi dans mon pantalon, j’ai pas envie des gages de ton copain vicieux.

L’idée de jouer encore avec mon animal lui fait oublier son malaise. Elle plonge la main dans mon baggy et recommence son travail. La garce n’est pas malhabile. Elle cache bien son jeu derrière sa mine bourgeoise. Pour moi c’est l’extase. Je prends une position confortable, je la caresse en remontant peu à peu vers sa chatte puis je lui dis carrément. S’il te plait, remonte ta jupe que je puisse te peloter. Sur les encouragements d’Albert, on forme bientôt tous les trois un joli tableau. Heureusement qu’on est assis dans un recoin au fond de la brasserie, si bien qu’il n’y a guère que le garçon qui est susceptible de nous surprendre. C’est déjà assez excitant comme ça.

Au-dessus de la table, tout parait normal ou presque.

Sous la table c’est plus la même chose. Elise est entre nous deux. Elle a remonté sa jupe chic jusqu’aux reins. Elle porte un collant couleur blanc crème impeccable. On lui a chacun passé la jambe par-dessus la nôtre si bien qu’elle a les cuisses en grand écart. Ma main droite se balade et croise la gauche d’Albert. Chacun tire la cuisse de son côté pour l’écarter davantage. On se relaie pour lui peloter la chatte et même le trou du cul qui est facilement accessible tellement ses jambes sont écartées. Elle n’est pas en reste et nous branle chacun d’une main à travers nos pantalons. Pendant ce temps, je la bécote et j’en profite au passage pour lui peloter les seins et lui pincer les mamelons. Faire ça en public est terriblement jouissif. On ne ferait jamais ça chez soi évidemment, on serait passé aux choses sérieuses depuis longtemps. Mais là, l’excitation monte tandis que les gestes sont retenus par la peur de se faire voir.

Au moment ou je suis en train de l’embrasser alors que Albert venait de me laisser le champ libre vers sa chatte et que je la pelotais, j’ai pu constater qu’elle commençait à mouiller sévèrement et mon excitation est montée d’un cran. Je pétrissais ses gros seins de l’autre main et sous l’effet de l’excitation, je ne sais pas ce qui m’a pris, je lui ai pincé le mamelon. Nos deux bouches étaient collées dans un baiser si bien qu’elle a crié dans ma bouche sans se faire entendre et, au même moment, j’ai senti sur ma main qui la pelotait la chaleur d’un jet de pipi. Sa vessie trop pleine débordait sous l’effet de surprise. J’ai redoublé les mauvais traitements sur son mamelon. Je le faisais maintenant rouler entre mes doigts tout en le pinçant aussi fort que je pouvais. Elle a continué à crier dans mon baiser et à se tortiller pour se délivrer. Chaque mouvement lâchait un peu de pipi dans ma main. Enfin elle a mis fin à ce jeu. Elle s’est arrachée de mon baiser, s’est redressée et m’a jeté un regard furibond en me disant

– Salaud, tu m’as fait me pisser dessus. Qu’est-ce que je vais faire maintenant ?

Albert l’attira vers elle, l’embrassa à son tour tout en lui caressant le sein endolori.

– Ce n’est pas grave, maintenant que tu es mouillée, tu peux en profiter. Les gages, ce n’est qu’aux WC qu’on les attrape !

Il disait ça pour avoir sa part des réjouissances. Il était jaloux évidemment. Il écrit des bouquins pornos pour se venger de ne pas baiser assez dans la vraie vie, et dans son bouquin je débarque et je baise à sa place les filles qu’il a fabriquées pour lui.

Albert a quand même eu ce qu’il voulait. Elise s’est mise à califourchon sur lui, s’est plaquée contre lui comme pour faire l’amour, et se sentant enfin apaisée par le contact rassurant de son grand corps et son air débonnaire, elle lui fit longuement pipi sur le pantalon tout en l’embrassant.

C’est devant ce tableau touchant que le garçon arriva innocemment, soi-disant pour encaisser les bières.

– Hum. Le patron va pas être content si il voit ça » dit-il en regardant la flaque de pipi d’un air faussement réprobateur. « Mais bon, je peux m’arranger si vous me rendez un petit service.
– Ben on va voir ce qu’on peut faire » dit Albert avec un sourire grivois.
– Ben voila, dit le garçon soudain gêné. Ça fait un moment que je vous regarde et vous m’avez fait bander avec vos cochonneries. Alors soit vous m’arrangez mon petit problème comme il faut, soit je vais me branler aux chiottes mais là, je garantis rien question du patron.

L’hypocrisie et la mauvaise foi de son baratin furent accueillies par des sourires mielleux.

– Approche-toi ! Lui dit Albert.

Il était vraiment mignon. Mince, les cheveux bruns bouclés, la peau fine et rose, les yeux dans le vague. Albert lui ouvrit la braguette sans autre forme de procès, sortit une jolie bite bien droite avec deux petites couilles rondes et brunes accrochées dessous comme des pompons. Il se mit aussitôt à le sucer. Au bout de quand même trente secondes, le garçon qui ne réussissait pourtant pas à cacher son plaisir, finit par dire

– Non, je préfèrerais la demoiselle !

Elise sourit malgré l’hypocrisie flagrante. Elle se leva, rajusta sa jupe et vint à sa rencontre pour l’embrasser, mais ne fit pas le début du commencement du geste de prendre la place d’Albert, lequel continuait son travail avec volupté. Tout en l’embrassant, elle lui défit le pantalon et lui caressa le cul jusqu’aux couilles puis se glissa derrière lui, lui écarta les fesses et lui lécha la rondelle.

Albert s’interrompit brusquement avant la conclusion. Il se leva et sortit de sa veste un carton qu’il lui tendit.

– Tiens, on doit partir. J’organise une fête un peu spéciale ce soir. Si tu peux te libérer, on pourra continuer là-bas. » Et dans un clin d’œil : « Et même plus ! ».

Nous sortîmes de concert, laissant le garçon transformé en statue de sel, la bite encore au garde à vous, le pantalon sur les chevilles, et la flaque de pipi sur le sol de la brasserie.

– Ca commence dans une heure ! Lui lança Albert en passant devant lui.

Elise mis la couche de finition dans l’entreprise de déstabilisation du pauvre garçon de café en se collant langoureusement à lui.

– Oh ! Viens ! S’il te plait ! » gémi-t-elle d’une voix plaintive.

Il bégaya une réponse, la voix tellement étranglée qu’on n’y comprit rien, et ce fut tout ce qu’on entendit de lui jusqu’à avoir tourné le coin de la rue. Hors de portée de ses oreilles et, surtout, de son patron, nous nous primes d’un énorme fou rire qui redoublait à chaque fois que l’un de nous menaçait de faire pipi sur place si les autres ne se calmaient pas.

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