Première expérience bisexuelle par Sucksuck

 

Première expérience bisexuelle
par Sucksuck

Je vais enfin pouvoir raconter mon histoire, première expérience bisexuelle, qui date de bien longtemps déjà, et que je garde secrètement au fond de moi depuis l’âge de 18 ans, et j’en ai aujourd’hui 43… Je tiens à préciser que tout ce que je raconte ici est parfaitement exact, ça s’est passé exactement comme je le décris, sans rien exagérer ni minorer, c’est comme si vous y étiez. J’avais besoin de raconter mes expériences passées, ma compagne d’aujourd’hui connaît mes penchants bisexuels, mais pas cette histoire.

C’était avec un copain d’enfance, avec qui comme beaucoup d’entre nous je pense, on a commencé à jouer au « docteur ». J’ai toujours été attiré dès le plus jeune âge par des garçons de ma classe, ce qui ne m’empêchait pas d’aimer aussi les filles, je saurais bien plus tard que ça s’appelait de la bisexualité.

Bref, avec mon copain JP, on s’amusait souvent à se déshabiller et à se caresser dès qu’on en avait l’occasion, et j’avais aussi, très jeune, un penchant exhibitionniste qui ne m’a jamais plus quitté. De fil en aiguille le temps à passé et on est arrivé à l’âge de 18 ans, toujours puceaux l’un et l’autre, à cause de notre timidité maladive qui nous empêchait d’aborder des filles. J’avais bien eu quelques flirts poussés épisodiques avec des filles du collège mais jamais de pénétration. Avec JP on se voyait tout les week-end, et on ne fréquentait pratiquement personne d’autre, ce qui étonnait un peu mes parents qui devaient commencer à se poser des questions.

Lui avait un physique peu avenant, roux, lunettes aux verres épais, ça faisait contraste avec moi qui avait les cheveux très longs et les traits fin qui faisaient qu’on me prenait parfois pour une fille (surtout de dos).De même mon sexe mesurait 15 cm environ sur 3 cm de large, alors que le sien ne dépassait guère les 11 cm et 2 cm de large.

On louait souvent des films porno (hétéro) qu’on regardait en se masturbant ou en se suçant un peu mutuellement, sans plus .On avait nos scènes préférées, lui c’était les lesbiennes, moi les éjacs buccales et les sodomies. JP aimais bien inventer des petits jeux érotiques, accompagnés de gages pour le perdant, des trucs tout simples du style mettre une vidéo x en avance rapide, me demander de dire stop, et si la scène comportait une fille blonde il fallait que je le suce. Il a toujours eu le dessus sur moi, et je me suis toujours laissé faire, car j’adorais cette forme de soumission. Et puis je n’aimais pas particulièrement qu’il me suce, alors qu’à l’inverse ça m’excitait très fort d’être nu a coté de lui et de lui faire des fellations. Son sexe de taille modeste permettait que je le prenne en bouche jusqu’à la garde. En fait on s’excitait mutuellement à défaut d’avoir une copine, mais je rappelle que nous étions avant tout hétéro, enfin bi finalement.

Puis un jour, il avait préparé un nouveau jeu, avec des petits cartons sur lesquels il avait inscrit des gages, et les films qu’on regardait régulièrement commençaient à lui donner des idées .Il me rappela au préalable que comme d’habitude, si j’acceptais les règles du jeu c’était de façon irréversible, et qu’il n’était pas question de se défiler si le gage ne me convenait pas. Le fait que je réponde oui, était excitant car même si lui seul savait ce qu’il avait écrits sur les petits cartons , je me demandais bien quel gage d’exhib ou autre il allait vouloir m’infliger, si j’étais le perdant.

On regarda notre film comme d’habitude, et quelques gages plutôt softs arrivèrent, jusqu’à ce que je tire un carton qui stipulait qu’il fallait que je le suce, lui debout les deux mains posées en arrière en appui sur la table, et moi a genoux, le tout pendant 5 minutes. Là il me dit qu’il ne tiendrait jamais 5 minutes, car trop excité par le film, ce à quoi je lui répondis que c’était le jeu, et qu’il fallait s’en tenir à la règle. Etonné, il me dit qu’il allait éjaculer dans ma bouche si je le suçais tout ce temps là, ce qui a eu pour effet de m’exciter davantage, même si je ne savais pas encore si ça allait me plaire, car ça n’était jamais arrivé auparavant. Je m’exécutais donc, le prenant dans ma bouche suivant la position indiquée, malaxant ces couilles, le branlant d’une main, et effectivement il ne mis qu’à peine une minute à venir dans ma bouche. J’ai senti sa queue durcir, gonfler, il s’est cambré vers l’avant en gémissant, et je n’oublierais jamais la sensation de satiné que je ressenti lorsque mes lèvres glissaient le long de sa queue sur son sperme chaud, et je continuais donc de le sucer pendant les quatre minutes restantes et même un peu plus. J’avais pris soin de ne pas avaler, mais une partie de son éjaculation avait directement jaillie au fond ma gorge, me laissant un goût persistant longtemps après. On a adoré ça tout les deux, je lui ai dit que même à faire c’était très excitant, et ça m’a vraiment surpris moi-même de voir a quel point j’avais aimé ça. On en a pas mal reparlé, ce racontant réciproquement les sensations ressenties, et ça a été le début de beaucoup de soirées spéciales, très excitantes.

J’étais resté à dormir comme souvent le samedi soir, et lendemain matin, je me suis réveillé le premier, j’ai regardé dans sa direction et vu qu’il était sur les dos, un bras replié au dessus de la tête, et je repensais très fort à notre expérience de la veille avec l’envie folle de recommencer, sans attendre la semaine suivante. Je bandais très fort, me suis tourner sur le côté vers lui, et j’ai commencé à le caresser lentement. Il a murmuré qu’il dormait encore, je lui ai répondu de se laisser faire et que j’avais envie de lui refaire la même chose que le soir précédent. Il a commencé à bander doucement à l‘idée de ce qu’il l’attendait, j’ai mis ma tête sur son ventre, pris son sexe dans ma bouche, et commencé à le branler doucement. J’ai maintenu un rythme lent jusqu’à ce qu’il éjacule enfin dans ma bouche, et j’ai continué de le sucer jusqu’à ce qu’il commence à débander. Il a bien entendu adoré et moi aussi.

Je lui ai alors soumis le fait qu’il faudrait qu’on se rase le sexe entièrement, ce qui permettrait de pouvoir bien le lécher partout après éjaculation. Il m’a alors dit qu’il y avait déjà pensé, mais il faut dire qu’à cette époque en 1981, ce n’était pas la mode des sexes épilés. Je me suis masturbé à mon tour et j’étais déjà bien pressé d’être à la semaine suivante. On a recommencé ce genre d’expérience pendant plusieurs semaines, avec cette fois ci le sexe rasé, certaines fois c’est lui qui me suçait, mais comme je l’ai dit précédemment, je préférais l’inverse, et lui aussi d’ailleurs. Ce qui a eu pour effet, que je lui ai carrément proposé d’être à sa disposition, autant qu’il le voulait et qu’il n’était pas forcé de me rendre la pareille, sauf quand il en avait vraiment envie. Je suis devenu en quelques semaines son objet sexuel, à notre plus grand plaisir. J’étais devenu accroc à son sexe. Il s’en ait rendu compte assez vite, je lui ai d’ailleurs dit, et la fréquence a laquelle je le suçais, même hors jeu, lui a confirmé mon addiction. Pour ceux que ça étonne que je ne parle pas de sodomie, c’est tout simplement parce qu’on avait effectivement essayé a plusieurs reprises, mais sans succès, on ne savait pas s’y prendre, et encore une fois, je préférais a priori que ce soit lui qui me prenne que le contraire, du moins dans l’idée. Cela viendrait plus tard…

En attendant nos soirées x continuaient, et un samedi, alors que j’arrivais chez lui, il me dit que ce soir il avait rajouté une carte au jeu, qui comprenait une fellation totale. Sur le coup je ne voyais pas trop la différence, jusqu’à ce qu’il m’explique que contrairement d’habitude il faudrait tout avaler. J’ai été un peu hésitant, et il s’est empressé de rajouter que c’était comme je voulais, mais que si j’acceptais de laisser la carte dans le jeu il faudrait aller jusqu’au bout. Je me suis dit après réflexion que finalement vu que j’aimais bien son goût, ça devrait être faisable, d’autant que ça pouvait être lui qui allait perdre. Il me dit aussi qu’il avait loué un film spécial fellation histoire de doper notre excitation. Je tremblais quand même un peu à l’idée de ce nouveau défi, un nœud dans l’estomac, partagé entre excitation et crainte. Je ne voulais pas le décevoir. Si je perdais, je voulais pouvoir satisfaire son fantasme, car je savais bien qu’il avait rajouté cette carte avec l’espoir que ce serait moi qui aurait le gage. Et c’est effectivement ce qui s’est passé, vers le milieu du film qui m’avait déjà mis dans tous mes états, même si je le soupçonne encore d’avoir triché.

J’ai donc suivi les indications du carton, assis sur mes talons les deux mains posées en arrière, le corps et la tête renversée, langue tirée. Il s’est approché, debout, face à moi, et a commencer se branler au dessus de ma bouche. De temps en temps, il frottait son frein sur ma langue pour mieux s’exciter, et ce qui devait arriver arriva. Il jouit sur ma langue envoyant ses deux premiers jets au fond de ma gorge. J’ai failli m’évanouir d’excitation, je gémissais de plaisir en me tortillant, mais comme convenu je n’ai pas bougé jusqu’à ce qu’il termine. Il a continué a se masturber jusqu’à ce que la dernière goutte de sa semence soit tombée sur ma langue, et a ensuite enfoncer sa queue entre mes lèvres jusqu’à ce qu’il débande, ce qui a eu pour effet de me faire avaler pratiquement tout son sperme.

Cela dit, une fellation totale, pour une première fois, n’est pas chose aisée, c’est l’excitation et l’amour de son sexe qui m’ont motivé. Le goût plutôt sucré de son sperme aussi m’a bien aidé. Je me suis masturbé à mon tour, la bouche pleine de son goût, et j’ai joui assez rapidement.

Il m’a demandé ce que j’en avais pensé, je lui ai répondu que je ne m’attendais pas à ce que ça se passe aussi facilement, et qu’il était évident qu’on pourrait recommencer. Il était fou de joie, mais avoua que lui ne pourrai sûrement pas le faire, il bloquait. On a donc décidé en commun que désormais, il n’y aurait plus besoin de jeux, et que je me donnerais à lui quand il le voudrait, me laissant quand même le choix de prendre l’initiative si l’envie m’en prenait sans qu’il m’y convie. On se complétait à merveille.

C’est ce que je fis dès la semaine suivante, je vous raconterais si cette histoire est publiée, ainsi que mon expérience exhibition déguisé en fille et autres fantasmes réalisés. J’insiste encore sur le fait que je suis bi et non pas seulement homo, je vis en couple depuis 18 ans et tout se passe très bien.

Sucksuck.

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3 réponses à Première expérience bisexuelle par Sucksuck

  1. Fletan dit :

    Moi je n’ai jamais mesuré ma bite ! Je n’en vois pas l’interêt ! Et vous ?

  2. Hugo dit :

    Je crois que beaucoup d’entre-nous ont vécu des commencement analogues. Je ne me souviens plus du prénom du copain avec qui j’ai fait ça, à l’école on s’appelait par nos noms de famille, il avait dégoté des photos pornos, on les a regardé la bite à l’air, je l’ai sucé il a joui en quelques secondes, La fois suivante on s’est mis à poil et on s’est caressé et sucé la bite et puis… j’ai encore le souvenir de sa belle bite dans mon cul.

  3. Zaroz dit :

    C’est marrant ces mecs qui on t toujours un centimètre sur eux pour mesurer la largeur et la longueur de leur bites et celles de leur copains

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