Première expérience à quatre 1 – Jenny par Manara

Première expérience à quatre
1 – Jenny
par Manara

Une de nos expériences échangistes réussies… enfin presque !

Cela a débuté en 1985 ; à l’époque, je travaillais à Bruxelles comme employé d’une fédération de mutualités. Nous étions 23 personnes sur le plateau – 4 hommes pour près de 20 femmes -.

Une de mes copines avec laquelle je m’entendais très bien se prénommait Jenny et était née le même jour que moi un an plus tard. Elle avait 3 enfants, était d’un caractère affirmé et, ayant été abandonnée à la naissance connaissait déjà pas mal la vie ! Elle était mariée avec un Italien sympa-chauffeur de bus à la STIB- qui l’avait marié et sorti de l’institution ou elle avait vécu depuis son plus jeune âge.

Comme dans tous les bureaux, nous parlions entre collègues de sexe… se « vantant » mutuellement de nos attributs et prouesses sexuelles…

Un jour, elle m’avoua qu’elle était comme St-Thomas et que tant qu’elle n’aurait pas vu « l’objet », elle resterait sceptique. Connaissant mon caractère-très très proche du sien-, elle savait que les choses n’en resteraient pas là ! En effet, vexé, je lui dis « chiche » et lui proposait de lui montrer mon sexe pendant le temps de midi au sous-sol dans les archives… ce qu’elle accepta.

A midi, Je lui donnais donc rendez-vous au niveau « -1 ». Elle m’y attendait déjà. Je vous avoue que j’étais moins fier… Elle me regardait sûre d’elle et moi, ne pouvant plus faire marche arrière je m’exécutais en retirant mon pantalon et mon slip pour lui montrer mon sexe quasi en érection, la situation étant délirante.

Elle regarda mon sexe longuement et satisfaite me remercia pour m’être exécuté. Je lui demandais alors si je pouvais me masturber devant elle, chose qu’elle me refusa m’annonçant qu’elle n’aimait pas trop cela !

Je me rhabillais donc et nous remontâmes à notre étage pour diner et poursuivre notre après-midi. Vers 14 heures, elle s’approcha de moi qui faisais des photocopies, et quelque peu gênée me demanda si je n’avais pas envie de voir sa chatte, pour me rendre la pareille… dit-elle !

Evidemment, j’acceptais sa proposition et elle me donna rendez-vous au sous-sol 10 minutes plus tard.

Elle m’attendait et dès mon arrivée défit son pantalon qu’elle baissa sous ses genoux ainsi que son slip blanc pour me dévoiler un superbe pubis de poils noirs bien taillés duquel se dessinait deux lèvres bien dessinées…

Je ne pus m’empêcher de toucher son pubis… ses poils avaient l’air si soyeux… et ils l’étaient ! Je lui touchais également le ventre et elle m’attira vers sa bouche pour un baiser torride. Nous en sommes restés là ce jour et sommes remontés travailler.

Le lendemain, elle me demanda si cela m’avait plu et si je comptais mieux la connaître ! J’en avais rêvé pendant la nuit et naturellement, Je lui avouai mon envie de la découvrir totalement… Ainsi donc, elle me fixa rendez-vous pendant l’heure de midi au même endroit !

Elle avait mis une jupe en prévision – sûre de ma réponse – et dès mon arrivée, me roula une super « pelle ». Tous les deux très excités, nous nous sommes caressés en nous embrassant.

Je lui touchais les cuisses, le sexe au travers de son slip, palpait ses seins au travers de son soutien-gorge – elle faisait du 95C malgré un corps très svelte -.J’ai relevé son pull, libéré ses seins de son soutien pour les admirer en pleine lumière… ils étaient magnifiques… de larges aréoles brunes et des tétons roses bien pointus… . avides de caresses et de baisers !

Je lui ai retiré son slip et l’ai fait assoir sur une table d’archive. Elle écartait « naturellement » les cuisses me présentant son vagin ouvert et très humide… Je me mis à genoux et admirai le dessin de ses lèvres, son clitoris gonflé par l’envie et plongeai ma tête dans son entre-jambe… ma langue se régalait à laper sa chatte, sa cyprine avait un goût de miel !

Je m’en rappelle toujours !

Elle avait l’air d’apprécier mes caresses et me demanda de la pénétrer de mes doigts tout en la léchant. Je répondis à sa demande et après un premier doigt, Je la pénétrais d’un second puis d’un troisième… il faut dire qu’après trois accouchements, Jenny était assez large du vagin.

Au bout de cinq minutes de ce régime, elle gémit plus fort et je m’aperçu de sa jouissance lorsqu’elle m’inonda la bouche d’un jet de cyprine délicieux… retirant mes doigts de son intimité, Je plaçais ma bouche complètement sur sa fente pour récolter un maximum du liquide de sa jouissance… tout en la pénétrant avec ma langue, ce qu’elle apprécia particulièrement.

Elle m’attira ensuite vers elle pour goûter les sécrétions de son propre sexe sur ma langue et dans ma bouche… je sentais sa langue frétiller dans ma bouche très profondément !

Je bandais comme un porc…j’avais l’impression d’être trempé, tellement je lubrifiais !

Tout en m’embrassant, elle me dit qu’elle me voulait en elle et elle commença à m’ôter le pantalon. A peine celui-ci tombé sur mes chaussures et rejoint par mon slip, elle prit ma pine et la guida vers l’entrée de son sexe. J’étais en elle avant d’avoir eu le temps de m’en rendre compte ! Son vagin était délicieusement chaud et humide et malgré sa « largeur », je m’y sentais à l’aise.

J’ai relevé ma chemise pour écraser de mon torse nu le corps de Jenny… j’avais envie d’un contact complet avec ses chairs… Le contact de son ventre nu sur le mien était divin, ainsi que celui de ma poitrine sur des seins plantureux !

Chose rare lors d’une première relation, nous avons jouis presque en même temps… je suppose que l’excitation, à son comble pour tous les deux y était pour quelque chose ? Elle voulait ma jouissance en elle et donc je me suis laissé aller tout au fond de son corps…

Malgré cette intimité, nous sommes restés amis, réitérant à maintes reprises ces actes sexuels (près de trois fois par semaine). Jenny était insatiable… elle avait tout le temps envie… moi aussi, mais je faisais très attention à ce que ce manège ne se remarque pas trop… vous savez comme ça va dans un bureau : Les rumeurs, les cancans… et ce que l’on ne sait pas on l’invente !

De part mes activités professionnelles, j’étais amené très souvent à me déplacer dans les étages mais il n’en allait pas de même pour Jenny. Et ses « disparitions » risquaient de nous créer des ennuis…

Ayant parlés à diverses reprises d’échangisme et comme Jenny était partante pour « toutes nouvelles expériences sexuelles », nous avons envisagés de nous rencontrer à quatre – nos deux couples – pour tenter une partie « carrée ».

Jenny était partante mais avait peur de la réaction de son mari – jamais entre eux, ils n’avaient imaginé une telle chose – ; elle allait discrètement tâter le terrain…

Connaissant Lucette, j’étais certain qu’elle serait intéressée et assez vite partante. De plus, ni Lucette, ni Jenny n’étaient contre une relation entre femmes… phantasme commun qu’elles partageaient toutes deux ! L’un des miens également !

Au bout de 15 jours, Jenny m’avoua à sa grande surprise que Jean (tel était le nom de son mari) était assez d’accord pour tenter une pareille expérience…

Un vendredi soir, après le boulot, on se donna rendez-vous tous les quatre dans un resto de la capitale afin de mieux faire connaissance.

Nous avons passés tous les quatre une excellente soirée. Le courant passait très bien et dès le lundi, après en avoir parlé entre nous, nous décidèrent de nous retrouver le week-end d’après à notre domicile pour une soirée plus intime…!

A suivre

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