Première aventure érotique d’un puceau. 1 – par Paulino

Première aventure érotique d’un puceau
par Paulino

– Oh là là, qu’elle est belle cette femme, j’ai eu du mal à m’endormir quand je me suis mis au lit à deux heures du matin, j’étais allé en boîte hier soir c’était samedi, une discothèque pas loin de ma piaule, j’y vais quelquefois en fin de semaine parce que ce n’est pas trop loin à pied, je n’ai pas de voiture.

Bah oui je n’ai pas assez d’argent, mon petit job à la superette du coin payé au S.M.I.C. est bien insuffisant pour manger, payer ma piaule, et me distraire de temps en temps, j’ai 18 ans c’est mon premier job encore heureux que j’ai eu ça, car dans mon bled chez les parents y a pas de boulot.

– Mais elle est belle, oh quelle est belle ! Une jolie rousse on dit qu’elles sont chaudes les rousses.

Evidemment mon pote Julien, il est jaloux de mon succès:

– Oh t’es malade tu l’as pas bien regardée elle pourrait être ta grand-mère c’est une pouffiasse
– Ma grand-mère jamais de la vie ; elle est peut être plus jeune que ma mère ; assis avec elle à une table pour boire un coca je lui ai parlé croyant l’intéresser, des tubes des années 80 qu’on nous bassine les oreilles en ce moment à la radio, elle m’a dit, « ho bébé j’étais encore qu’une petite fille ! »
– Une petite fille, pince moi je vais rire, elle te mène en bateau.
– Et t’as vu comme elle belle, une rousse, c’est Svetlana son prénom je crois qu’elle est russe.
– Ah, ah, rousse comme moi je suis le pape, la couleur de cheveux ça veut rien dire. T’es pas allé voir les poils entre ses cuisses, elle est sûrement pas rousse !
– Arrête veux-tu, je suis fou d’elle.
– Tu réagis comme un puceau, t’es puceau peut être bien.»

Oui je suis puceau mais je ne vais pas le dire on se moquerait de moi, en tout cas hier en dansant avec elle j’avais la trique, et dans mon lit cette nuit je ne pouvais pas m’endormir, je me suis masturbé en pensant à elle, ah j’ai taché les draps et mon pyjama hi hi.

D’ailleurs Julien il n’a pas dansé avec elle, qu’est ce qu’il en sait de sa rousseur et de ses poils, il n’a pas sentit contre lui la pression douce et tiède de ses seins, il pas respiré le parfum enivrant, érotique de ses cheveux, il n’a pas senti le contact de ses cuisses contre son ventre.

Ce soir j’ai rendez-vous chez elle, oui elle m’a donné son adresse, ce soir je vais le perdre mon pucelage, hi hi.

C’est l’heure, la journée m’a semblé interminable, il est 19 h et je suis dans le métro, je vais chez elle, youpi !

Voila j’y suis, voyons les sonnettes de l’immeuble Svetlana, oui c’est là je sonne, à l’interphone je reconnais sa voix.

– Oui c’est qui ?
– Svetlana c’est Simon
– Ah bébé entre c’est au premier.

Elle a déclenché l’ouverture je monte l’escalier, mon cœur bat à tout rompre, me voila sur le palier, je sonne à sa porte, enfin m’y voila, mon premier rendez-vous d’amour.

La porte s’ouvre je reconnais son parfum, si enivrant

– Entre, dit-elle, sois pas timide. Entre bébé, ne reste pas planté là tu vas prendre racine, avance, assieds toi sur ce canapé là au milieu près de la table basse, je nous ai préparé un cocktail, tu es mon bébé, tu sais !

La pièce où je pénètre est plutôt petite, des canapés encombrés de poupées chiffon, plein de poupées, et au milieu une table basse à plateau de verre supporte une carafe contenant un liquide incolore ainsi qu’un pichet apparemment plein de jus d’orange, et des verres.

– Assieds toi bébé sur ce canapé, pousse mes poupées fait toi une place

Elle même s’est assise sur le canapé qu’elle me désigne en tapant sa main sur le siège à coté d’elle.

– As-tu soif nous allons boire quelque chose, connais tu la vodka orange, pas de coca chez moi, cette boisson américaine me déplait, oui nous ne sommes pas civilisés tu sais on se saoule à la vodka, mais pour toi je fais une exception je remplis ton verre en mélangeant de jus d’orange »

Elle remplit un demi verre de cette liqueur incolore, la vodka sans doute, et complète de jus d’orange pour elle c’est le verre plein de vodka, boit dit-elle, trinquons à nos amours, bébé.

Je goûte ce breuvage, la vodka orange c’est plutôt bon, tiens je sens que vais aimer tout ce qu’aime cette femme, Svetlana c’est un joli prénom il me semble qu’elle est comme la toundra des plaines sibériennes infinie et mystérieuse, oh oui je sais « je rêve » mais je suis bien décidé à vivre des aventures.

Pendant que nous vidons nos verres, moi par petite gorgées, elle d’un seul trait l’alcool que contenait le sien, alors elle pose sa main sur ma cuisse et la déplace dans une lente caresse tout en causant :

– Dis moi veux tu, tu n’es pas venu chez moi pour bailler aux corneilles, car j’ai envie de connaître intimement ton corps, dans ce pantalon de jean il y a certainement une petite bête qui me semble endormie sous ma main, mais j’espère bien la réveiller tu es venu me faire l’amour chéri bébé ?

Lui faire l’amour, me voila bien embarrassé par la réalité des faits, où me suis-je embarqué ?

-Tu n’es quand même pas puceau ? Si tu es puceau ! Mais c’est merveilleux ça car cela fait longtemps que je n’ai plus dépucelé un beau jeune homme comme toi, aller retire moi ce vilain pantalon de jean qui cache tes petites fesses à mes yeux très curieux. »

Cela étant elle m’attrape aux épaules, me fait mettre debout devant elle puis dégrafant les attaches de ma ceinture et le zip de mon jean elle fait tomber mon pantalon sur mes pieds, puis mon slip qu’elle accroche en glissant ses doigts contre mes fesses, rejoint le sol également, mais mon sexe est malheureusement resté sans réaction, tout pendouillant, Oh la honte, il rirait bien Julien s’il me voyait ainsi, vêtu seulement d’un pull de laine qui m’arrive à peine aux hanches, mais cul et ventre nu.

– Qu’il est mignon dit-elle ce bébé, et le petit oiseau il a pris froid ou quoi, mais je vais le réchauffer

Cela étant elle plante ses ongles longs dans la peau de mes couilles, et de l’autre main elle tire sur mon sexe comme si j’étais une vache à la traite, l’effet de la douleur ressentie par la griffure des mes testicules curieusement me provoque un début d’érection.

– Ah, mais voila qu’il se réveille ton petit oiseau, attends voir qu’il me montre son nez

Et ce faisant elle tire violemment mon prépuce en arrière pour dégager le gland de mon pénis, la douleur ressentie est brève et brûlante, je ne sais plus ce qui est le plus douloureux de mes testicules griffées ou de mon pénis décapuchonné.

Mais ce n’est pas fini elle m’attire vers elle et sa bouche aux lèvres gonflées engouffre mon sexe jusqu’à la racine, les poils de mon bas ventre me masquent son visage collé tout contre moi, tandis que sa langue tourne autour de mon gland puis me coinçant sur son palais elle m’aspire comme un vampire qui voudrait boire mon sang, puis elle s’interrompt pour me parler, elle me dit :

– Bien, c’est pas tout ça bébé Simon, mais maintenant tu vas m’appeler maîtresse, j’ai bien des choses à t’apprendre et te faire découvrir.

A suivre, apprentissage érotique mouvementé

Paul

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