Avec une amie
Je lui avais demandé de ne pas aller aux toilettes durant deux jours. Je ne savais pas exactement ce que nous allions faire. Mais je savais que nous allions vivre tous les deux une expérience scatologique.
J’avais respecté la règle moi aussi. Sauf que dans l’après-midi, c’était devenu intolérable. Pour ne pas faire dans mon pantalon, j’étais allé me soulager. Armé d’un miroir (pour le plaisir des yeux) j’avais expulsé juste ce qu’il fallait. Dans ma main. J’avais senti cette chose étrange, j’avais pointé le bout ma langue dedans pour en percevoir le goût. Et cela m’avait passablement excité.
Après les politesses d’usage… (que je vous raconte, après tout).
Agathe, belle quadragénaire, n’ayant pas froid aux yeux. Amie et maîtresse occasionnelle. Une robe fluide qui se relève sur de jolies jambes. Une culotte rebondie, légèrement humide, sur laquelle je m’écrase, fou de cette odeur. Un sexe que je lèche avec avidité, la tête cachée sous sa robe. Avant qu’elle ne se recule, pose ses talons sur le canapé et écarte plus grand les jambes pour prendre plus de plaisir encore.
Rassasié de sa mouille, de son goût, de son odeur, je baisse mon pantalon et mon slip, et m’installe à mon tour sur le canapé. C’est elle qui me lèche maintenant. Pendant que j’extirpe ses seins de son soutien-gorge, que je ramène le bas de sa robe sur ses reins pour regarder sa croupe merveilleuse. Je lui taquine le bout des seins et me fais aspirer la bite.
J’aimerais avoir le bras plus long pour pouvoir atteindre ses fesses. Ai envie de les caresser, de passer ma main dans son sillon, sur son sexe que je suppose gluant. Ai envie d’explorer sa petite chatte avec mes doigts, de vérifier si elle a bien respecté la règle. J’imagine son cul plein de merde.
Je fais un quart de tour, le plus doucement possible pour qu’elle continue de me sucer (elle adorer ça) et passe doucement ma main sur ses reins, sur ses fessiers charnus. Je glisse doucement entre ses fesses, fait frémir au passage son petit trou qui se resserre et atteins enfin sa chatte. C’est trop pour moi, tant de mouille. Je vais lui éjaculer dans la bouche.
Gentiment, je lui demande d’arrêter, de me donner son sexe à boire. « Non, ne bouge pas. Je vais aller par derrière. » Quel bonheur d’aspirer tout ce liquide…
Je lui lèche aussi le trou du cul. Parfaitement propre, sans goût ni odeur particulière. Je vais vérifier maintenant si elle a bien gardé ton caca ; si nous allons pouvoir jouer ou non.
J’enfonce un doigt dans son cul lisse et détendu. Rien de particulier. Je le ressors, le lèche. Il est légèrement salé. Et l’enfonce un peu plus profondément. Ca y est, je le sens, son caca est là, tout au fond.
« Tu es sûre que tu t’es retenue pendant deux jours ? » « Non, je suis allée aux toilettes aujourd’hui, m’avoue-t-elle, je ne pouvais plus me retenir. » « Ce n’est pas grave, il en reste encore. Tu feras mieux la prochaine fois ! »
Je lui fouille l’intérieur. Aimerais briser cette chose dure, qu’elle marque mon doigt pour que je puisse la voir, goûter. Agathe gémit, prend son pied à se faire fouiller le cul. Un filet de mouille coule de son sexe, étiré par une grosse goutte que je m’empresse d’aspirer. Mon doigt fouille de plus en plus profond. Je le ressors enfin, heureux, car il est en partie maculé par ses excréments. Je le porte à ma bouche. Son caca est délicieux, me met la tête en émoi. Je pourrais jouir comme ça, en regardant son sexe ouvert et dégoulinant, en me branlant, en touchant son caca à l’intérieur, en le goûtant. Mais le jeu s’arrêterait bien vite, trop vite.
Sur le tapis, je dépose un large rectangle de plastique. Je demande à Agathe de s’y installer, à quatre pattes. Sa robe pend mollement autour de sa taille, mettant en valeur sa large croupe. Ses seins pendent aussi, merveilleusement. Je les caresse. Me fait sucer. L’embrasse dans le cou. Et sur le dos aussi. Je remplace ma bite par mes doigts dans sa bouche, comme pour lui dire : « ça va être maintenant. Tu es prête ? »
Elle est prête. Je le sens.
J’enfonce mes doigts doucement dans son derrière. Son caca est tout au fond. Je l’encule avec mes doigts. Je sais qu’en la pénétrant comme ça, longuement, de plus en plus profondément (pour l’avoir pratiqué avec mon propre cul) que son caca va venir.
Une goutte de mouille tombe sur la toile plastique. Cela me met en confiance. Agathe aime se faire enculer. Et ce jeu scatologique ne lui déplaît pas.
Je vais chercher son caca au fond d’elle. Il vient. Il remplit son anus à l’intérieur, repousse mes doigts. Agathe gémit.
Son caca est trop dur pour que je puisse en profiter pleinement. Je le malaxe. Agathe prend son pied d’être ainsi fouillée, se cambre, m’aide à aller encore profond en elle, et lâche (je suis aux anges !) « C’est bon… c’est bon ce que tu me fais… »
La suite de son caca arrive, beaucoup plus abondant, crémeux. Elle est complètement pleine maintenant. Son anus est distendu. Mes doigts vont être expulsés. Sa merde va sortir.
Cependant, je les laisse fermement fichés en elle. Je suis éperdu de bonheur en profitant de son cul comme ça, plein de merde, en jouant avec cette matière…
« Ne bouge pas, lui dis-je. Retiens-toi ! » Et je retire mes doigts pour les regarder. Je les approche de mon nez. Je goûte la merde d’Agathe du bout de la langue. « Ne bouge pas. Ne te relâche pas tout de suite. Je vais me laver les mains. »
A mon retour, elle est immobile. Je lui écarte les fesses et lui lèche le pourtour de l’anus, là où il y a un peu de merde, mais pas trop. Je me branle. C’est délicieux. Le cul d’Agathe m’excite comme c’est pas possible. « Tu es propre maintenant, ma chérie, nous allons pouvoir continuer. »
Je prends un verre d’eau pour me rincer la bouche. Je garde cette eau longtemps. Je suis à genoux, le sexe pointé devant la sienne, de bouche. Je la laisse me sucer parce qu’elle aime ça, parce que j’en ai envie. Puis je lui relève la tête et l’embrasse goulûment, tendrement. Mon Agathe est complément excitée. Je le sens. Et moi aussi je suis excité et je me demande si j’ai encore envie de lui masser son cul plein de merde à l’intérieur, ou si je préfèrerais l’enculer, et me rends compte que l’idéal serait en fait de lui prendre sa petite chatte et de lui demander de chier au fur et à mesure de son excitation, de me chier doucement sur le pubis pendant qu’elle prend son pied.
Mais ce n’est pas le moment. Agathe m’a dit sa réticence quant aux choses scatologiques. Elle me fait plaisir aujourd’hui, c’est tout. Et je ne dois pas en abuser, surtout si je veux recommencer un jour. De plus, j’avais prévu quelque chose de soft. Et je tiens à m’y tenir. Pas de caca visible pour elle, pas d’odeur forte, de goût qui pourrait l’écœurer.
Je continue de me faire sucer. Et je lui dis : « Tu m’as fait toucher ton caca tout à l’heure, et je t’en remercie. C’était très bon. Tu vas me le montrer maintenant. Après je te ferai l’amour comme tu aimes. »
Je vais chercher une assiette à la cuisine. « Ecarte bien tes cuisses. » Et je la place juste sous ses fesses. « Tu y aller maintenant. Laisse-toi aller. »
La merde malaxée a formé une boule qui a du mal à sortir. Son anus est dilaté. Cela me plaît. Elle pousse et gémit. Son sexe s’ouvre, ses lèvres sont complètement écartées. Son sexe mouille et elle chie. La boule est sortie. Sa merde continue de couler, mollement, dessinant un joli dessin dans l’assiette.
« Pousse encore, lui dis-je, vide toi. » Je me repais de cette vision de son cul qui s’ouvre et se ferme. « Il n’y a plus rien. C’est fini, lui dis-je. » J’enlève un petit morceau de merde accroché aux lèvres de son cul, le dépose dans l’assiette. « Ne bouge pas, s’il te plaît. Attends. » Je vais vider l’assiette aux toilettes, la rince, me lave les mains.
A mon retour, je lui lèche amoureusement l’anus (qui est quasiment propre, mais caractérisé tout de même par le goût âcre de sa merde). La cochonne, est-ce qu’elle y prendrait goût ? s’ouvre et me permet d’enfoncer ma langue. Je joui sans jouir. Je ne me touche pas. Trop heureux comme ça.
« Tu m’as donné un grand bonheur, tu sais, et je vais essayer de te le rendre. » Je passe de son cul à sa chatte ; dégoulinante, gluante. Je m’en mets plein la bouche, je la bois, je me lave à la source de son sexe. Je n’arrête pas de lui dire merci, merci, merci, de cette façon.
Et pour la remercier mieux encore, je l’aide à se relever, la prends tendrement dans mes bras pour la déposer sur le lit. Je lui lèche ses seins qui frétillent, l’embrasse partout dans le cou et sur le visage. Et redescends jusqu’à son sexe sur lequel elle presse ma bouche, s’écrase le clitoris. Je la lèche un bon moment jusqu’à ce qu’elle soit prête à jouir. Et je remonte, me glisse en elle, l’écrase de tout mon poids.
Nous faisons l’amour comme je sais qu’elle aime bien, en contact étroit. Je fais remonter ma bite vers le haut, vers son clitoris que je frotte. On se serre. On jouit. Il n’y a que nos bassins qui peuvent encore bouger, collés comme nous sommes. On s’essore, on se presse, on se mélange.
Je vous dirai un jour la suite, si Agathe veut recommencer ou passer à des jeux plus hard, plus scato. N’ai pas envie de la brusquer. Ai décidé d’attendre, longtemps s’il le faut. Mais je tiens à ce que ce soit elle qui demande à renouveler ce genre d’expérience.
Un très beau texte qui prouve qu’on peut parler de scato sans tomber dans le crado
Je suis d’accord avec Claire, ce texte n’est pas fait pour choquer, mais témoigner. Et j’ai aimé ce témoignage
Un jour il faudra aussi que je passe à l’acte et je dois dire que ce genre de récit est presque une incitation
La scato, ça dépend des jours, dès fois ça m’excite, d’autre fois ça me rebute
Un texte extrême (comme on dit quand on ne veut pas dire scato) qui possède une énorme qualité, puisque ce qui est évoqué c’est ni plus ni moins que le respect de l’autre ! Bravo