Pour une fois, cette aventure, je ne l’ai pas cherchée comme habituellement,
non elle me tomba du ciel grâce à mon photographe et ami Cédric
Il me demanda un beau jour de 1994 si je voulais bien m’occuper d’une femme
qui le « harcelait » ! Je demande des explications, interrompues plusieurs
fois par des clients et j’apprend qu’une cliente, un jour lui apporte une
pellicule… et développé, il comprend qu’elle a cherché à se photographier
nue elle-même mais surtout sa féminité : les seins, le bas ventre ou les
deux ensemble et même cuisses écartées.
Mais tout est flou, mal cadré et il m’explique que lorssqu’elle revint, il
se permit de lui parler en » pro »
Elle fut un peu gênée, il l’a mise à l’aise et elle avoua qu’elle est
peintre amateur et voulait faire des nus. Il offrit en tout bien tout
honneur de la photographier lui-même, proposa ses prix, elle allait y
réfléchir. Elle lui téléphona pour donner son accord, ils convirent d’un
rendez-vous et il put lui faire une dizaine de photos, y compris très
ouverte, mais chacun garda ses distances. Elle revint payer, très satisfaite
du travail, toujours gênée lorsqu’ils les commentèrent ensemble.
On fut dérangé par des clients et j’appris après par brides à chacune de mes
visites que cela évoluait.
La chose la plus importante est qu’un peu après cette première séance, elle
l’appela pour lui dire qu’elle n’avait jamais posé pour des photos, à plus
forte raison nue, mais que ça lui avait beaucoup plu parce qu’il était resté
distant et que s’il voulait, elle était d’accord pour en faire d’autres.
Nouveau rendez-vous entre midi et 2 heures en extérieur où elle accepta de
poser sans le visage dans un jardin public désert montrant ses seins, ses
fesses, sa minette.
Je ne vis pas ces photos, hélas, mais il y eut pendant les poses, un voyeur
qui profita du spectacle, mais il ne lui en parla qu’après. Puis un autre
rendez-vous encore pour une séance dans son arrière boutique, et là elle se
donna à lui, très excitée par le fait de poser et de savoir que la fois
d’avant un voyeur était présent.
Je n’eus pas trop de détail, mais à partir de là, elle l’appela et multiplia
ses visites bien que venant de 50 kilomètres. Il faut dire que c’est un beau
gars, bien plus jeune qu’elle. Il me parla aussi d’un midi où ils flirtèrent
dans la voiture sur un parking de grande surface. Un camion militaire avec
trois jeunes à bord s’arrêta à proximité. Ils partirent vers une baraque de
sandwich et Cédric vint garer sa voiture juste devant le camion avec
l’accord d’Odette qui découvrit ici le plaisir d’être exhibée devant des
inconnus ! Ils profitèrent du spectacle sans intervenir, restant discrets.
Bernard, photographe, novembre 2003
Après s’en être amusé un peu, Cédric fut agacé par ses relances, ses appels
et c’est à ce moment qu’il m’en parla :
– Tu es plus libre que moi, tu pourrais lui faire des photos, ça lui
plait… ou autre chose ?
Il lui parla de moi, disant que je cherchais un modèle, sans plus, et un
rendez vous fut organisé un matin à 11 h 30 dans l’arrière boutique.
J’arrivais un peu en avance pour préparer mon matériel et ranger un peu ;
cela servait de studio de prise de vue avec un papier en fond et il y avait
un canapé, un tout petit couloir et une porte le séparait de la boutique, et
justement Cédric arrive pour me dire qu’il vient de voir sa voiture.
Deux minutes plus tard, j’entends la porte, une voix de femme, celle de
Cédric, je suis curieux de voir cette inconnue, jusqu’où ira-t-elle ?
Les voix se rapprochent et la voilà qui franchit la porte, brune petite,
très sympa. Cédric me la présente, on se serre la main, il repart car il y a
du monde. Je la remercie d’accepter de poser pour moi, tout d’abord elle
répond d’une voix douce qu’il me faudra de la patience et que je devrais la
guider car débutante.
– J’ai une certaine expérience et ça me plait que vous débutiez, j’ai
horreur des professionnelles qui prennent des poses sophistiquées
– Merci, vous aussi parce que Cédric m’a fait apprécier ça et je peux dire
que j’aime qu’on me regarde
Puis elle me dit qu’à 14 h 30, il faut qu’elle reparte. Il est midi je
commence à la viser, telle qu’elle est là, debout en jupe et chemisier, en
train d’enlever sa veste…
– Dites moi, ce que je dois faire, hein ?
Je la fais asseoir sur un tabouret, je la vise, remarque la lisière d’un
bas.
– Vous portez des bas ?
– Oui, souvent !
– J’adore ça, surtout avec un porte jarretelle.
– Ceux là tiennent seuls.
– Ça ne fait rien, c’est sexy, montrez les un peu plus !
Gentiment elle retrousse un peu sa jupe, je la vise en disant que c’est très
joli, puis lui dis d’ouvrir un peu les genoux. Elle me laisse découvrir son
entre cuisse en deux ou trois poses de plus en plus ouvertes.
– Vous avez une jolie culotte, on dirait !
– C’est un body, en fait, il est assez sexy !
Je lui demande de se lever, de me tourner le dos en relevant la jupe et je
découvre une jolie paire de fesses bien présentées dans ce body noir et
transparent. Je la complimente.
– Merci ! C’est convenable pour des photos ?
– Mais, oui, c’est très beau !
Je la fais se tourner et la vise, devinant quelques poils sous le body. Puis
je lui fais ouvrir le chemisier et à nouveau je la complimente car son buste
semble très bien. Elle rétorque :
– Tout vous plait, alors ? Si vous voulez, je pourrais mettre un
soutien-gorge et une culotte, j’en ai amené ?
– Ah, oui, ce sera peut-être mieux !
Après quelques vues en body, la voilà qui se tourne, fouille dans son sac,
me montre ce qu’elle a et enlève le body carrément. Je la trouve très
appétissante, je l’aide à agrafer le soutien-gorge et elle se retourne.
C’est un balconnet et elle a un téton dehors !
J’avance un doigt :
– Le coquin, qu’il est gros ! J’adore les gros tétons !
Elle rigole quand je le pousse dans le bonnet et la sens frissonner. Je fais
encore quelques vues puis je lui fais sortir les seins des bonnets, lui
demandant de se toucher les bouts pour les grossir. Elle le fait, mais quand
je propose de l’aider, elle accepte ! J’en touche un de mes doigts, puis je
me penche et le lèche carrément.
– Humm, c’est bon ça, j’adore !
– C’est vrai ?
– Moi, j’adore m’occuper des seins, j’en suis fous et les vôtres sont
superbes !
– Merci, je ne suis pas trop moche, malgré mon âge, alors ?
– Pas du tout, je le pense vraiment !
– Il faut que je vous dise, je me sens à l’aise avec vous, j’avais un peu
d’appréhension avant de venir.
– Merci, c’est vrai que j’ai l’expérience, mais moi aussi j’avais
l’appréhension, Cédric ne m’avait pas dit grand-chose par discrétion et je
ne suis pas du tout déçu…
Je dis ça en lui prenant les seins dans les mains
– On dirait que vous me les offrez, c’est beau ça, je peux encore ?
Je ne la laisse pas répondre, et lui suce carrément un téton et là elle me
presse la tête contre elle et respire plus fort. Je me recule pour poser mon
appareil juste au moment où Cédric arrive pour dire qu’il s’absente un quart
d’heure et lui demande si tout va bien. Elle dit que oui mais aurait
souhaité qu’il reste. Quand je recommence à caresser ses seins, elle me dit
qu’il est charmant et quelle est amoureuse de lui. Je l’embrasse dans le cou
et d’un coup elle tourne son visage et sa bouche trouve la mienne ! Je suis
surpris, en plus elle me dit :
– Toi aussi tu es charmant je te plais apparemment ?
– Oh, oui, beaucoup et tu sais ce que tu veux toi ?
Elle m’embrasse à nouveau, je la caresse partout, je la sens encore
frissonner et elle se frotte à moi très sensuellement. Je lui caresse les
fesses sur, puis sous la culotte, et bientôt on se retrouve enlacés sur le
canapé. Je lui caresse la vulve sous la culotte, elle est déjà toute
mouillée et elle réagit en écartant les cuisses en grand et m’incite à
continuer tandis qu’elle tâte mon sexe sur le pantalon. Je lui demande si je
peux la lécher, c’est un oui » urgent » et je me retrouve entre ses cuisses,
écartant sa culotte pour découvrir un sexe velu et blond, et très rouge
lorsque je commence à le toucher.
J’adore découvrir une chatte, aucune ne ressemble à une autre, celle-ci est
charnue, j’écarte les poils pour trouver des lèvres très longues, j’adore
ça, je tire dessus mais impatiente elle tire ma tête pour la plaquer sur son
intimité. Je me souviens d’un goût un peu salé, de son bassin qui ondule et
se pousse sur ma bouche puis d’un orgasme fulgurant en une vingtaine de
secondes !
Puis elle me remercie, me disant que ça l’avait excitée de
poser… Je lui dis vite que cela commence à peine et qu’elle peut donc
continuer à s’exciter et je reprends vite mon appareil. Elle tire elle-même
sa culotte sur le côté pour une photo, écarte ensuite ses lèvres, s’exhibe
totalement et visiblement avec grand plaisir. Et elle me le dit d’ailleurs :
– Tu sais, Bernard, je n’aurais jamais cru faire ça, il y a un an, il t’as
dit Cédric ? La pellicule
Je dis que oui, elle poursuit…
– Je fais de la peinture, je voulais faire un nu et j’ai voulu utiliser mon
propre corps comme modèle, un jour peut-être je te montrerais ma peinture…
Et justement Cédric revient, franchit le couloir
– Oh ! Je vois que ça se passe bien, hein ?
– Oui, on a bien sympathisé ! Répond-elle
– Merci pour le modèle, elle est charmante, tu ne m’avais pas dit qu’elle
était si bien ! Repris-je
Cédric sourit, puis annonce qu’il doit partir livrer un appareil, il avait
oublié. Odette, déçue, lui dit qu’il exagère, qu’elle espérait passer un
moment, elle se lève et se colle à lui, l’embrasse. En fait c’était
prémédité, il me l’avait dit, ne voulant pas poursuivre cette relation. Moi
je dis que c’est dommage, que j’aurais pu les photographier et pendant ce
temps, Odette lui ouvre la braguette :
– J’aurais aimé être en photo avec toi, Cédric, tu sais !
J’insiste, moi aussi, j’arriverai seulement à faire deux ou trois vues de
fellation et il partira. Cela aurait pu tout casser, mais je la consolais en
la caressant, en l’embrasant puis à nouveau en la léchant.
Au bout de quelques minutes, elle me repousse et dit qu’elle a envie de
faire comme Cédric et en quelques instants je me mets à poil. Elle m’attends
en se caressant puis touche mon sexe délicatement, le caresse, le masturbe.
Je lui dis :
– Il n’est pas aussi gros que celui de Cédric, hein ?
– Ça ne fait rien, il est beau !
Elle approche sa bouche, le lèche comme un cornet de glace, puis mon gland
disparaît. C’est un régal de douceur, je la complimente en lui faisant
quelques vues, puis elle me dit :
– Ça m’excite de savoir que Cédric va les développer !
– Tu aurais fait l’amour avec lui devant moi ?
– Oui, je n’ai jamais fait ça à plusieurs, et ça me plairait, surtout d’être
photographiée pendant qu’il me prendrait !
– Il faudra qu’on organise ça, alors ?
Elle ne répond pas, s’activant sur mon sexe, puis je la pousse sur le canapé
et me place sur elle en soixante-neuf. Quelle coquine cette femme : je la
sens tenter de prendre le plus possible de mon sexe dans sa bouche, moi je
relève les cuisses, écarte sa fente au maximum et la lèche du clitoris
jusqu’au petit trou. Je lui enfonce un puis deux doigts pour la masturber,
elle apprécie en soulevant son bassin, puis je glisse délicatement un autre
doigt dans son anus sans aucun refus de sa part, tiens tiens !
Puis on fait une pause et je lui fais mettre alors deux bananes factices que
plusieurs femmes déjà ont appréciées. Sans hésiter elle en humecte une, je
fais une photo, puis l’introduit dans sa chatte trempée, facilement.
– Tu es un vicieux, toi, hein ?
– Toi aussi, non ?
Elle se masturbe avec et je la prend dans diverses positions, puis je lui
fais remarquer qu’il y en a une autre ! Elle la mouille aussi, je lui
propose de se mettre les deux dans la chatte car elle semble assez large.
Elle essaie avec mon aide et bientôt elle » avale » les deux ! Quelle vision
sublime ! Et puis je lui dis qu’elle semble avoir un petit trou très souple,
que deux doigts ne lui posent pas de problème. Je l’entends encore me
répondre :
– On ne se connaît pas encore, tu ne peux pas savoir, mais je suis mariée et
c’est mon mari pour la nuit de noce qui m’a offert ma première sodomie.
– Tu étais vierge ? ou de » là » seulement ?
– Non, on avait bien sûr déjà fait l’amour, mais il m’avait promis de
m’enculer pour notre mariage !
J’étais étonné et elle m’expliqua qu’il l’avait préparé déjà avant avec ses
doigts, mais pas le pénis, bien avant. Elle attendait donc cet acte comme un
cadeau de mariage et cela se passa vraiment très bien. Elle me donna des
détails surprenants, son mari ayant prévu un petit jeu de glaces dans leur
chambre (ils vivaient ensemble) afin qu’elle puisse voir la dilatation
progressive de son anus puis la pénétration. Sa première sodomie qui lui fit
à peine mal et elle put avoir un orgasme, autant par le fait de » se voir »
que de prendre ce sexe en elle.
– … Et depuis, c’est devenu une pratique courante et j’en jouis très bien
Je lui demandais si son mari l’avait poussé à l’échangisme et si elle
connaissait la double pénétration :
– Oh, ça, non, il est trop exclusif !
– Et toi, tu le trompes ?
– Ça m’est arrivé, quelque fois avant Cédric mais c’était banal. Lui il m’a
fait découvrir que si j’étais un peu voyeuse, j’étais surtout
exhibitionniste et la photo m’y encourage…
Et d’un coup elle me sort :
– Tu ne crois pas qu’on a assez parlé ?
J’étais ravi mais je lui demandais juste de se sodomiser avec une banane !
Elle le fit sans aucune difficulté et s’enfila l’autre banane dans le trou
voisin et j’immortalisais cela.
Elle ôte les bananes, s’asseyant au bord du lit pour me branler en
détaillant mon pénis, puis sa bouche s’en approcha. Un régal, une douceur
incroyable, tout en lenteur et tout se précipita : je la caressais, on se
mit en soixante neuf et on intervertissait nos positions. Je la masturbais
avec une banane puis les deux, c’est fou ce qu’elle était réceptive et
active aussi !
Je me disais en la regardant que Cédric me faisait un beau cadeau avec cette
femme, qui sans être une beauté, avait beaucoup de charme, un joli corps et
une sensualité débordante. J’en profitais un maximum et elle aussi, puis
vint le moment de la pénétration :
– Tu as un préservatif, Bernard, si tu veux me pendre, j’ai envie !
Et comment que je voulais la prendre ! La capote fut vite mise et elle
s’offrit sans détour, d’abord les cuisses très ouvertes au bord du canapé,
elle guida mon sexe dans le sien. J’étais à genoux sur le tapis, juste à
hauteur, ses pieds dans mon dos, je pouvais lui caresser ses beaux seins
dont les tétons étaient devenus énormes. Elle haletait, se poussait sur moi
et j’eus du mal à me retenir, je voulais faire ce que j’adore faire :
résister au maximum puis lui arroser les seins ou mieux le visage
Je m’approchais de son visage et lui dis ce que j’aimerais faire ;
curieusement elle me répondit qu’on ne lui avait jamais fait…
– …mais pourquoi pas ?
On utilisa différentes positions pour se donner le plus de plaisir possible
dont la levrette bien sûr. Et de voir son petit orifice me tenta ! Tout en
la prenant, j’y glissais mon pouce :
– Bernard, si tu veux, tu peux m’enculer tu sais !
Que c’est beau d’entendre ça ! Je tentais tout de suite de m’y glisser mais
je sentis que je risquais d’éjaculer ; j’essayais de penser à autre chose,
très difficile, et tenta encore, mais c’était trop fort et je reportais ça à
un autre jour car l’heure tournait. On se retrouva, je ne sais comment, moi
assis sur le canapé, et elle en travers de moi, ses fesses à demi nues sur
moi, sur le dos. J’admirais encore cette chatte très rouge que j’écartais de
mes doigts et je lui demandais de se faire jouir. Je lui posais une main sur
la chatte et elle commença à se masturber.
Très excitée, pendant que je lui malaxais les seins, elle fut bientôt
secouée de spasmes et cria son plaisir. En même temps je ressentis une
chaleur envahir mon ventre, trois ou quatre saccades arrivèrent, un délice,
une femme fontaine comme j’en ai connu quelques unes. Cela redoubla mon
excitation, je me mis vite à califourchon sur son buste. Elle regarda
fixement mon sexe que je branlais et très vite mon sperme fusa sur son
buste, son cou, son menton. Le paradis, quoi ! Elle fut surprise et me
sourit.
– Qu’est ce que tu m’as mis !
Je fis vite quelques photos car il fallait qu’elle parte, hélas. On se
rhabilla, ravis de tout cela en convenant d’un rendez-vous à Marseille pour
des photos en plein air et on se sépara. J’attendis Cédric pour tout lui
raconter et attendant les photos aussi.
Bernard Photographe – Novembre 2003