Bonjour ou bonsoir, merci d’avoir choisit de lire ce texte. J’ai opté
pendant l’écriture, de faire une sorte de synopsis de film, mais avec un
minimum de dialogue. Le but est de vous laisser, libre interprétation et
choix de ceux ci. C’est donc à vous de vous exprimer, en lieux et place des
personnages. De plus ayant été écrit, en écoutant » Remasters » disque II de
Led Zeppelin, si vous voulez lire ce petit récit dans les même conditions
que moi à l’écriture, à vos platines.
D’avance merci, et bonne lecture.
Soir de fête.
Pour faire un bon carnaval ou une soirée halloween, il faut bien préparer
son déguisement, et bien composer son rôle. Cette fois-ci, je voulais, comme
d’habitude, me déguiser en personnage féminin.
Donc aujourd’hui je m’occupe de moi. A la sortie du lit, je vais directement
dans la salle de bains, et après un bain délassant, je raffermis ma peau
avec une douche froide. Un rasage soigné pour une grande douceur sur les
joues et rasage aussi pour tout mon entrejambe, tout en laissant un triangle
touffu sur le dessus de mon pénis. Ensuite direction la penderie.
Un slip blanc en coton, un tee-shirt en coton aussi et une couche pour
adulte. En prenant le temps de bien mettre ma verge étirée, dans le sillon
de mes fesses. Premier délire de la journée. Pour passer le temps je passe
mon aspirateur, comme tel, en me forçant à boire plein de thé ou d’eau.
Quelques minutes avant d’attaquer ma dernière pièce, l’envie me tenaille le
ventre. Quelques gouttes perlent et viennent mouiller mon slip. La couche
retient ce qui pourrait chuter. Mais la moiteur s’installe dans mon slip et
pour en rajouter, je relâche encore. J’ai du mal à me retenir. Et c’est une
vague qui déferle. Je sens que tout est trempé à l’intérieur. L’urine
envahit l’arrière de ma couche. Je marine dans mon jus tiède. Mais je
continue mes activités, en prenant soins de bien me frotter les jambes et
les fesses, pour que la cellulose de la couche s’imprègne bien partout. De
plus grâce à une petite ouverture aménagée sur l’élastique arrière, je fais
couler peu d’eau chaude sur mes fesses. La couche est pleine, et pend comme
un sac entre mes jambes. En me voyant dans un miroir je me trouverai
grotesque, mais pour l’instant, je suis bien au chaud, et excité.
Mon ménage fini, je vais en direction des WC pour retirer et jeter ma
couche. Une fois celle ci dans son sac poubelle, c’est les fesses nues que
je traverse le salon pour la mettre dans la poubelle de la cuisine.
Maintenant, après la vessie, on s’occupe de l’anus. Première étape, le
nettoyage de l’intérieur. Munis d’une seringue de grosse capacité et dotée
d’une canule, je m’injecte un demi-litre d’huile de paraffine et autant
d’eau tiède. Pour éviter tout relâchement soudain, une tige de boules
anales, referme la porte. Je m’occupe à mettre en ordre les différentes
phases de ma préparation. Habits, accessoires et maquillage. Après quelques
minutes, l’effet escompté se fait ressentir. Mes intestins, estomac en tête,
gargouillent. Des 8 balles de la tige, 6 étaient introduites. Mais si cela
dure, la 6émé, qui pousse à la sortie, va s’éjecter. C’est donc en serrant
les fesses que je me dirige vers les toilettes.
Et c’est assis sur la lunette, que je retire la tige. 6éme balle à sortir.
Doucement. Le muscle s’étire. Voilà, la 5eme maintenant. Même calibre, même
mouvement. La 4 est plus petite, quelques gouttes tombent sur mes doigts. La
3, de taille similaire à la 4, est juste en retenue à l’intérieur par le
sphincter, je tire tout en une fois. Douleur …. Plaisir …. Tout à la fois,
et en même temps. Une seconde d’éternité, et c’est une cataracte. Le litre
se déverse en un jet puissant et continu. Le souffle coupé. Penché sur
l’avant, je pousse encore un peu et des boulettes tombent dans la cuvette.
Le » floc » de l’impact, et me voici vide. Un passage de gant de toilette
avec du savon, mon cul est maintenant propre.
Le moment de changer de personnalité est arrivé. Je vais faire en sorte que
ma tenue soit confortable, chaude et pratique. Après moult questions
internes, je me dis qu’un mélange entre la punkette et la gothique pourrait
entre adéquat. Je commence par mettre un string noir. Pour éviter que mon
pénis fasse une bosse trahissant mon état, je le plaque en direction de mon
anus et le maintien avec du ruban adhésif de style straping. (L’intérêt
d’être rasé !) Erection interdite et pour aller uriner, on reste assis.
Ensuite un collant opaque noir, des chaussettes blanches et hautes jusqu’au
genoux, que je replie sur le haut d’une paire de » rangers » à lacets
rouges. Je choisis une jupe en jeans noire arrivant au-dessus des genoux.
Pour le haut, je triche un peu en serrant ma taille dans un corset à
agrafes. Cela amincit ma taille et cambre ma chute de rein. Ensuite sur le
soutien gorges, très rembourré, je glisse un tee-shirt noir brillant, puis
une chemise blanche en satin, de coupe très années 70’s, avec un col » pelle
à tarte » et une cravate, elle aussi très 70’s, noire, large et légèrement
dénouée. Pour sortir, un cadeau de la franchise en parfumerie M…, fera
l’affaire. Il s’agit d’un imperméable en ¾ aspects vinyle et noir. Par
contre pour affiner mes mains, je les recouvre de gants en petite résille
noire, et ce après avoir vernis mes ongles, par la magie d’une boite de
peinture à maquette, en noir et rouge, séparé au milieu par une ligne
argentée.
Pour le maquillage, vu que nous sommes en fête, tous les délires sont
permis, et je ne me prive pas. Le teint blafard, l’œil charbonneux, les
paupières violette, les lèvres foncées. Un faux piercing dans le nez, des
pendentifs argentés pour les oreilles et autour du cou, un gros collier de
chien avec des clous. Et là dessus sur la tête, une perruque à la » Morticia
»
La Soirée commence par une tournée des bars. Le plus dur, c’est de franchir
la première porte. Ensuite, l’ambiance vous emmène, et l’éthylisme des
fêtards aidant, je passe de plus en plus pour une femme. Je me suis fait
peloter, sur les seins, sur les fesses, et même sur l’entrejambe. Un réel
bonheur, une fois que l’appréhension est passée, je passe pour une femme.
Comme je ne parle pas, ma voix ne peu pas me trahir. De plus mes sourires
sont polis et avenants, au point qu’un jeune homme visiblement » cuit »
tente et réussi à m’embrasser sur la bouche. Je suis très fier de moi, mais
je préfère malgré tout, les femmes. On peu adorer ce travestir, et jouir de
ce plaisir. Mais mon amour des femmes, qui me pousse à leurs ressembler, est
réel.
D’ailleurs, une réplique de » Madonna » époque de l’album » Like a Virgin « ,
est assise un peu plus loin sur ce comptoir, et comme je surpris plusieurs
fois son regard dans ma direction, je lui adresse un sourire. Par retour
elle me répondit de manière douce, par un autre sourire. Je hèle la serveuse
(déguisée en Bunny de Playboy…), et par signes, je lui fais comprendre, que
je paye une boisson à cette jeune personne. La serveuse s’approche d’elle et
se penche pour lui dire. Apparemment elle accepte, la serveuse prépare une
bière et me l’apporte, disant que la jeune fille préfère que se soit moi qui
lui apporte. Je règle et me lève donc de mon tabouret, pour me diriger vers
cette personne. Au passage, le jeune homme de tout à l’heure, me mets une
main aux fesses plutôt appuyée. C’est donc troublé, que je me dirige vers
elle. Je pose son verre face à elle et le mien à côté. Je me faufile pour me
retrouver sur sa gauche. Elle m’invite à trinquer en levant son verre, je
l’imite.
Puis elle s’avance vers moi, et me fais un chaste baiser sur les lèvres, se
redresse et reprend une gorgée en souriant. Cette jeune femme que je ne
connais pas, est blonde cendrée. Sa coiffure en pétard sur le devant, est
tirée sur l’arrière en queue de cheval, retenue par un ruban vert fluo. Son
visage est maquillé comme une star de série américaine, avec des yeux
immenses et colorés d’un dégradé de bleu. Sa bouche est peinte, elle aussi
en bleu, mais électrique. Un bustier blanc en dentelle, est retenue par de
fines bretelles, cachés sous un boa noir. Sa mini-jupe blanche, plaque une
multitude de jupon bleu en frou-frou, qui libérés après l’élastique du bas
de la jupe, forment une corolle au-dessus de ses genoux. Ses jambes gainées
de résille blanche, comme les mitaines quelle porte aux mains, se terminent
par deux bottines de cuir noir. Elles sont lacées et reposent sur des talons
immenses.
J’admire et je me pose des questions. Personne ne doit me connaître ici, je
viens juste de déménager. Qui peu donc être cette jeune femme ? Surtout
quelle ne me laisse pas insensible. Le problème étant que ma verge est
scotchée, et si érection il y a, je vais souffrir. Mais voici que
maintenant, elle me fait des clins d’œil et me pelote les fesses. Elle se
penche à mon oreille et susurre :
» – Alors voisine, on drague les jeunes filles ! C’est n’est pas bien ! Et
si les gens savaient qui tu es réellement, ils pourraient profiter de toi. »
Vous pouvez imaginer la confusion qui s’emparait de moi. J’avais une fille,
qui me connaissait comme son voisin, alors que je n’étais la que depuis une
dizaine de jours. Et comment m’avait-elle reconnu ? La réponse ne tarda pas.
» – Tu es la seule personne qui habite cette maison. Je t’ais vu emménager,
et puis surtout, je te surveille depuis cet après-midi, quand je t’ais vu
cul nu, traverser ton salon avec un sac poubelle. »
C’était donc ça, le fin mot de l’histoire. J’avais une voyeuse, comme
voisine. Mon avenir dans le quartier semble un peu compromis. J’espère
surtout quelle ne va pas se répandre à mon sujet avec les voisins. A priori,
la raison voudrait que je laisse la situation tel quel et que je m’en aille
sous d’autres cieux. Mais son aura et son charisme, on raison de moi. Je me
décide à approcher une main de son corps, que je pose sur sa hanche gauche.
J’ais droit à un petit sourire. Mes doigts effleurent le bas de son bustier,
elle se penche en avant pour saisir son verre. Ce mouvement lui fait cambrer
les reins, et son fessier. Celui-ci tend le tissu extensible de sa jupe et
le haut d’un string apparaît. Il est noir et en cuir. Fétichiste la voisine
? Ma main attirée par cet aimant vestimentaire, descend. J’effleure ce bout
de tissus. Je caresse la peau de la bête, le cuir, et celle de la belle, la
voisine. Elle se redresse et directement m’embrasse à pleine bouche. Ce
baiser est torride, et nous attirons les regards médusés de l’assistance.
Nous ne sommes pas la vraie Madonna et la vraie Britney Spears, le doute
s’est pourtant installé autour de nous. Des lesbiennes ou un couple hétéro
ou deux homos travestis. Ils voudraient tous savoir, ils vont essayer de
nous poser la question, mais elle me prend la main et m’emmène à sa suite.
Nous quittons le bar en fendant la foule, jusqu’à la porte, et une fois sur
le parvis :
» Suis-moi ! Nous allons au bout de la nuit, et ensemble, on ne se quitte
plus ! »
Ses talons martèlent le sol sur un tempo lent. Elle a croché mon bras
gauche, où ma main est prisonnière de sa main droite. Sa tête reposant sur
mon épaule. La nuit est belle. Les fêtards, traînent leurs ivresses, sur les
trottoirs. Là, une fée embrasse un pompier, ici un clown entre dans une
porte cochère avec une Arlequin. Au loin, un Chirac drague une Pom-pom girl.
Un autre, avec le masque de George W. Bush vomit sa bière (si cela pouvait
être le vrai, je le noierais dedans) Mais nous arrivons à la salle des
congrès, transformée pour l’occasion, en salle de bal. Nous sommes à peine
entrés, quelle m’attire dans les W-C. Par habitude, je me dirige vers le
pictogramme homme, mais juste devant elle me saisit le poignet et me pousse
chez les femmes. C’est une première.
Ce lieu de confidences, à mi-chemin entre le confessionnal et l’institut
esthétique, est très ressemblant à son pendant masculin, sauf l’odeur qui
est ici plus sucrée, sans doute le mélange des parfums de ses dames. Mais sa
main ferme me pousse dans un cabinet, on elle entre avec moi. Elle m’assied
sur la lunette, dégrafe son bustier, laissant apparaître ses deux seins à la
peau blanche et l’aréole légèrement foncé. Je m’avance, et du bout de la
langue, je cercle autour du téton. Gauche, droite, je passe de l’un à
l’autre et vice versa. J’arrête pour remonter ma jupe, et pour descendre
collant et string. Une envie d’uriner me tenait et je profite d’être au W-C
pour me soulager, la question est surtout comment va-t-elle réagir ? Figée
pendant une seconde ou deux, elle rapproche sa poitrine de ma bouche, pour
que ma langue continue sa danse. Malgré le bruit de l’urine qui coule,
j’entends sa respiration haletante. Ses mains tiennent ma tête plaquée sur
son buste, alors que dans un mouvement latéral, elle me frappe le visage de
ses seins. Voilà de bien agréable gifles.
Ma commission terminée, je prends des feuilles de papier pour m’essuyer.
D’autorité, elle me les retire de la main et m’essuie. Sa caresse est douce,
et l’adhésif se tend sous l’érection de ma verge. Pour soulager mes
souffrances, elle ôte la bande d’un geste brusque. Mais je me lève quand
même de douleur. Debout avec string et collant sur les mollets, ma jupe
roulée sur les hanches, je ne suis pas super à l’aise. Surtout que ma verge
pointe dans direction, mais sans que son sourire ne quitte ses lèvres, nous
entamons un échange de place, son séant venant sur le siège d’aisance, moi
me retrouvant dos à la porte. A son tour elle relève jupe et jupons,
laissant apparaître, des bas autos fixant et son string. Elle tend les bras
dans ma direction, et comme je ne puis lui offrir mes seins à lécher, je
suppose qu’il ne sert à rien de vouloir reculotter l’ensemble 3 pièces qui
certifie mon statut d’homme. Ma verge par l’excitation rigidifiée,
s’approche de sa bouche, son sourire disparaît pour faire place à une cavité
chaude et humide, avec laquelle elle avale ce bout de chair tendue.
Alors qu’elle me prend doucement en bouche, ses mains agrippent mon fessier.
Une contraction de ses bras, et le bruit de son flux urinaire sur la
faïence, résonne. Son massage buccal et l’action conjugué de ses index sur
mon sillon fessier, on raison de moi. J’éjacule dans sa bouche. Restant
serré sur ma bite avec sa bouche, elle se retire doucement pour ne rien
laisser tomber. De sa main droite elle attrape ma cravate et tire dessus
pour que ma bouche descende au niveau de la sienne, pour m’embrasser.
J’entrouvre mes lèvres et nous nous embrassons. Mon foutre, sa salive et la
mienne se mélangent, nos langues faisant office de batteur. Obligés de
reprendre notre souffle, nos visages s’écartent mais un fin fil nous relies.
Je l’aspire et nous recommençons notre baiser. Une de mes mains part en
direction de son entre jambes, toujours ouvert au-dessus de la cuvette.
Majeur en position droite, je glisse doucement entre ses
grandes lèvres. Une fois dans le fourreau intime de la belle, je pratique
quelques va et viens, pour ensuite monter ce doigt fouilleur à ma bouche,
pour le sucer. Le goût de son urine ou celui de sa mouille, je ne défini pas
celui dont le parfum m’envahit les papilles, mais j’aime beaucoup. Plusieurs
fois, je répète la manœuvre. Le doigt de résille est trempé. Mais la
position est inconfortable. Je réajuste mon string et le collant. M’assois à
sa place sur la lunette fermée, et écartant les jambes. Elle vient poser son
pied droit entre mes cuisses, le gauche se posant sur la chasse d’eau. Pour
son équilibre, elle agrippe le haut des cloisons avec ses mains. Bien que
légèrement de travers, cela m’autorise à lui pratiquer un cunnilingus, qui
trouvera sa conclusion dans un cri étouffé. Puis nous nous rhabillons et
réajustons.
Cet intermède fini, nous sortons de la cabine. Les regards envieux ou
réprobateurs qui nous accueillent en sortant, me font croire, que nous
n’avons pas été dès plus discrets. Face au miroir de courtoisie, les mains
sur le lavabo. Je me regarde, les yeux dans le vague. Pendant ce temps, elle
retouche son maquillage. Qui comme le mien, est bien passé. Son bâton de
rouge à lèvres bleu, elle vient vers moi et me redessine la bouche. Encore
un baiser, qui fera jaser les Spice-Girl qui complotaient vers les lavabos
du fond, et nous montons dans la salle de danse.
Cette partie, des plus banale ne vas pas être raconté en détails, mais j’ais
vu une comtesse avec Spiderman, anachronisme d’époque !
En fin de soirée, alors que nous rentrons, très fatigués. Les gisants, qui
étaient de plus en plus nombreux sur les trottoirs, on put voir deux femmes,
enfin un homme habillé en femme et une femme, ayants très envies de faire
l’amour. Et c’est ce qui se passa. Car une fois ma porte d’appartement
passé, nous nous sommes déshabillés mutuellement. Chaque vêtement que je lui
enlevais, valait un des miens. Nous n’étions pas encore dans la chambre
qu’il ne lui restait que les bas, ses mitaines et ses chaussures. Pour ma
part je gardais mes gants, ma perruque et mon collier de chien. Pièces après
pièces, nos corps se domptaient et s’apprivoisaient. Du salon ou nous avions
commencé à nous caresser, elle m’avait mené au WC en me tenant par le sexe,
qui durcissait. Ce fut ensuite mon tour de la diriger vers la cuisine, en
lui tenant les tétons du bout des doigts. D’ailleurs dans cette cuisine,
j’ouvrais une canette de bières que nous bûmes à grandes gorgées, pour nous
embrasser, les bouches mousseuses. Je l’avais prémédité ce coup, car les
gorgées furent trop conséquentes. Elle bu plus vite que son organisme ne
pouvait accepter, et je pus et je dus lécher ses seins, au parfum de bière.
Mais déjà elle me prend par le collier, et nous emmènes dans la salle de
bains, où elle m’invite à monter avec elle dans la baignoire. Elle debout,
face à moi qui suis allongé, ses jambes de chaque côte de mes hanches, sa
main droite posé sur le mur. Ses lèvres m’envoient un baiser, son regard
plonge droit dans le mien, sa main gauche est sur le minou. Ses mitaines
blanches, tranchent sur sa pilosité pubienne qui est bien brune. Fausse
blonde !
Je me suis bien douté de ce qui allait m’arriver, malgré tout, les premières
gouttes d’urine qui me touchent, me surprennent. L’envie de goûter son
champagne, me fait attraper ses jambes et après une légère traction, mes
lèvres peuvent venir laper le breuvage à la source. Les yeux fermés, mon nez
plonge sous son jet doré, et tout le bas de mon visage est inondé. Le
surplus dégouline sur mon torse. Ses bas ayant pris des éclaboussures, je
les lèche. Mes mains étalent se liquide chaud, et odorant sur son corps. Mon
érection retrouvée me fait mal. Mon gland serait prêt à exploser, que je ne
souffrirais pas plus. C’est donc avec soulagement que je la vois se baisser
à califourchon dessus. Mal lui en a pris, car ses bottines glissent sur la
surface humide de la baignoire. Tant pis pour le control de la pénétration,
et c’est avec les jambes autour de moi. Poitrine contre poitrine, que nous
faisons l’amour, de manière douce, avec beaucoup de caresses et de baiser.
Après mon éjaculation, je me relève. C’est maintenant à mon tour de
l’asperger. L’avantage de l’homme, c’est que l’on peu diriger le jet, et je
joue avec, en allant de gauche à droite. Ses mains tenant le dessous de ses
seins, elle darde ses pointes, que je vise. Je me retiens un peu, elle
profite pour se lécher les tétons. La pression revenue, c’est sur les
cheveux et son dos que je finis de me vider.
Il est maintenant l’heure d’une douche, que nous prenons ensemble. Une fois
propre et sec, je lui tends des affaires aptes à la tenir au chaud, durant
le sommeil réparateur que nous allons prendre. Bonne nuit !
Slash
Ps : encore une histoire imaginaire !! Si le web maître Eddy accepte de
transmettre, dites-lui le mal ou le bien que vous pensez de cette histoire.
De la bonne pisse qui jaillit d’une belle bite ! Humm ! Quel régal !
On pisse beaucoup dans ce récit, mais justement j’adore ça !