Nolwenn et la tempête par Christelle_Baxter

Nolwenn et la tempête par Christelle_Baxter

Rappelez-vous fin 1999 – La grande tempête, des millions d’arbres détruits, des milliards de dégâts…

Je me prénomme Christelle et j’avais 28 ans et je vis avec Laurie depuis déjà longtemps

Je devais partir passer les fêtes dans ma famille, cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas vus… Ils avaient insisté… Bref… J’étais donc dans cette gare à attendre mon train. Dehors la tempête, un vrai temps de canard; et les trains avaient tous beaucoup de retard.

Une annonce :

Le train est annulé. Tant mieux, Laurie va être contente. Je remettrais mon voyage à demain si toutefois la chose sera encore possible…

Je me lève de mon banc pour rentrer, c’est là que je la vois. Elle est au milieu du hall; blonde, dépeignée, un joli nez pointu. Elle est, désemparée, avec son sac à dos, sa jupette et ses collants en grosse laine. Quelle allure ! Vraiment les jeunes ne savent pas se mettre en valeur ! Elle vient vers moi et moitié pleurant, me demande si je ne connaitrais pas un hôtel pas trop cher. Je lui explique que vue la situation, ça risque d’être difficile…

– Tous les trains sont annulés et je n’ai presque plus d’argent, comment je vais faire ?

On discute un moment, finalement elle est sympa et complètement paumée. Je décide de faire ma BA.

– J’habite à deux pas de la gare avec une amie, on peut vous loger pour la nuit ! Je ne vais quand même pas laisser une charmante jeune femme dehors, surtout avec ce temps.

Elle me remercie et accepte mon invitation. Elle s’appelle Nolwenn. Nous arrivons à l’appart trempée et Laurie surprise, nous ouvre. J’explique la situation et l’on se demande comment on va s’organiser, nous n’avons qu’un lit canapé dans notre studio. Nolwenn ouvre de grands yeux devant cette évidence.

– Vous… Vous couchez ensemble !
– Oui ma puce. Dit Laurie, nous sommes disons très liées.

Le regard affolé de cette nénette nous a fait rire; mais après un moment, Laurie propose deux solutions.

– Soit tu dors avec nous, soit c’est la moquette avec un sac de couchage.
– Je dormirais par terre ! Déclare Nolwenn; mais je suis trempée, je pourrais me changer et sans abuser, prendre une douche ?
– Bien sûr ! Dis-je. Moi aussi je suis trempée.

Je me déshabille sans me gêner et commence à m’essuyer; Laurie vient à mon aide et c’est elle qui prend la serviette et m’essuie tendrement au milieu de la pièce. Nolwenn nous regarde sans bouger et reste toute bête. C’est vrai que les gestes de Laurie sont très doux et qu’elle s’attarde beaucoup sur mes fesses et à genoux devant moi elle passe et repasse entre mes cuisses avec tendresse, m’embrassant le ventre au passage.

– Excusez-moi, je vais repartir. Je ne me sens pas à l’aise. Dit Nolwenn.

Laurie se tourne vers elle et lui dit de ne pas faire cette bêtise,

– Dehors c’est vraiment la tempête et puis tu ne risques rien avec nous. Oui on est lesbienne, mais nous nous aimons et sommes fidèles.
– Fidèles, fidèles, faut le dire vite ! Dis-je en riant, mais rassure-toi on a jamais violé personne !

Nolwenn prend son sac et quitte l’appart presque en courant. Je veux bien être gentille mais si nous l’insupportons à ce point qu’elle aille au diable se faire tremper…

– Laisse la faire se démerder et occupe-toi de moi ! Dis-je à ma copine !

Laurie ne se fait pas prier et sa bouche étant déjà à portée de mon minou, elle la pose dessus et commence à l’explorer tout en me caressant les fesses. C’est bon je m’abandonne à elle un long moment comme ça, debout. Je commençais à mouiller sérieusement lorsque la sonnette s’est fait entendre. Laurie s’est levée avec un soupir, m’a embrassée rapidement et est allée ouvrir.

C’était la « gamine », enfin elle doit avoir entre 18 et 20 ans et nous sommes des femmes « mûres, enfin mûres… Laurie a 35 ans et moi 28.

– Impossible de sortir ! Déclare Nolwenn, il y a trop de vent, tout s’envole. Laissez-moi juste dormir dans un coin.
– Bon entre et installe-toi !

Moi je suis toujours nue au milieu de la pièce et passablement excitée par les premières caresses de Laurie.

– Oui viens, on va t’aider ! Dis-je.

Laurie lui prend son sac, le met dans un coin, moi je m’approche d’elle et commence à lui essuyer les cheveux, je lui frictionne la tête avec entrain. Ses cheveux longs effleurent par moment mes seins et je trouve cela agréable, mais ne le montre pas, juste je m’approche un peu plus d’elle. Laurie est revenue et nous regarde un moment avec un sourire énigmatique. Je la connais bien celle-là, que mijote-t-elle ?

– Regarde-moi cette nana, elle est encore trempée.

Et voilà Laurie qui se met en devoir de lui quitter son blouson. Nolwen proteste un peu, dit qu’elle va se sécher toute seule… etc… etc…

– Pas question ! dit Laurie d’un ton autoritaire que je ne lui connaissais pas, sauf dans nos jeux amoureux, quand elle imite les hommes.

Et voilà Laurie qui dégrafe la robe de Nolwenn et se met en devoir de la déshabiller. La nana proteste, mais nous sommes toutes les deux affairées après elle et elle se retrouve rapidement à moitié nue, son linge trempé éparpillé autour d’elle. Il lui reste son collant de laine détrempé et sans doute une petite culotte comme dernier rempart de sa nudité; et nous sommes comme deux abeilles autour d’elle. Elle met pudiquement ses mains sur sa poitrine et proteste en croisant les jambes.

– Arrêtez ! Je vais me sécher seule, je ne suis pas lesbienne moi, et puis vous m’énervez, d’abord, laissez-moi !

Laurie arrête, se tourne vers moi et me caresse les seins, les fesses, m’embrasse et se retourne vers Nolwenn

– Tu as quelque chose contre les lesbiennes ? Tu n’aimerais pas que je te caresse les seins (elle me les caresse), que je te caresse la chatte et te fasse jouir (elle m’introduit un doigt dans la chatte)
– Non, non, laissez-moi tranquille, vous êtes des salopes !

Là, Laurie s’est fâchée, elle est passée derrière elle et attrapant les collants, elle les a descendus d’un seul mouvement sur ses chevilles. La culotte a à moitié suivi, découvrant ses fesses bien fermes.

– Nous des salopes ! Tu vas voir, et elle lui claque les fesses.

J’essaye de calmer Laurie, mais j’ai très envie, moi aussi de caresser cette fille.

– Arrête Laurie !

Je m’approche de Nolwenn doucement, lui sourit, me met à genoux devant elle, place mes mains sur ces hanches et lentement, en la regardant dans les yeux, tire sur l’élastique de la culotte et finis de la lui quitter en douceur, puis dépose un baiser sur son pubis et me relève.

– Tu vois, c’est pas si terrible que ça ! Tu es nue, moi aussi il n’y a que Laurie qui ne le soit pas et c’est toi qui vas la déshabiller.
– Je suis obligée ?
– Bien sûr que non ! Mais ça peut être amusant.
– D’accord, mais vous me ficherez la paix après ?
– On t’as dit qu’on avait jamais violé personne !

Sans répondre, Nolwenn se retourne sur Laurie et commence à lui déboutonner son corsage. Laurie se laisse faire, facilite les mouvements de Nolwenn, les anticipe. Elle est très vite en soutien-gorge qui est lui aussi dégrafé et libère sa poitrine.

– Touche-la ! Commande Laurie..
– Je ne suis pas lesbienne…
– On commence à le savoir, mais ça ne t’empêches pas de la toucher

Nolwenn effleure un sein, puis l’autre, et je peux voir la chair de poule sur sa peau. Je me rapproche et lui caresse les fesses et les hanches

– Continue ! ordonne Laurie.

La jupe tombe à son tour,

– La culotte !

Nolwenn passe ses mains sur les hanches de Laurie et descend lentement la culotte. J’ai comme l’impression qu’elle y prend du plaisir à toucher Laurie cette fausse ingénue. Elle roule doucement la culotte, faisant le tour, devant derrière, et encore devant. Moi je la tiens par les hanches, passe ma main sur son pubis, lui caresse les fesses, le ventre, les seins. Je la sens contractée, fébrile, mais elle ne proteste plus. La descente s’éternise et devient caresse.

– Continue ! dit Laurie, tu la descends comme ça jusqu’aux pieds.

La main de Nolwenn frôle le pubis, revient sur les fesses, finit de les découvrir, passe entre les cuisses pour décoller le tissu humide, et je vois Laurie arrondir de grands yeux lorsque notre Nolwenn lui touche les muqueuses. Je regarde, un doigt est entre les jambes de Laurie et y reste plus que de raison, puis il remonte en suivant le sillon des fesses, parait faire un arrêt, visiblement explore, et ressort. Laurie s’est cambrée et a légèrement ouvert ses jambes. Pas de doute, notre invitée lui a visité son intimité. Laurie sourit et cherche à l’embrasser, mais elle détourne son visage.

Maintenant, Nolwenn se penche pour descendre la culotte sur les pieds et finir de l’enlever. Je profite de ce mouvement pour admirer ses fesses et tenter de passer ma main entre les cuisses serrées. Je n’y arrive pas, mais je vois sa minette gonflée, et en écartant ses fesses, son petit trou que je lèche avec gourmandise, j’adore ça. Nolwenn gémit pour la première fois et je la sens qui commence à se détendre.

– Reste comme ça ! Ordonne Laurie et ouvre tes jambes.

Docile elle ouvre un peu ses cuisses, m’offrant le passage pour sa minette, et reste penché au pied de Laurie. Doucement, je commence à lui ouvrir les lèvres et découvre son bouton que j’excite. Je l’entends qui gémit et elle ouvre plus ses cuisses.

– Ne la laisse pas comme ça, Laurie !
– Oui tu as raison, qu’elle se mette à quatre pattes, jambes écartées.
– Non pas ça je vous en prie !
– Mais si tu vas voir, fait le juste un moment.

Et je lui montre la position qu’il faut qu’elle prenne.

Laurie en profite pour venir me lécher et me doigter sans plus s’occuper de Nolwenn. Très vite je commence à jouir et là, nôtre invitée surprise nous regarde faire, intéressée. Lorsque je rouvre les yeux, j’ai devant moi ses fesses, elle a pris la position demandée et je commence à lui lécher les fesses, les ouvrir, trouver son petit trou, et faire aller ma langue de son anus à sa minette pour son bonheur et le mien. Je me mets sur le dos passe ma tête entre ses cuisses et commence enfin un mange minou comme j’aime. Je la bois, l’ouvre, la goutte, elle s’est affalée sur moi et affolée par son odeur, je n’ai plus de retenue et apparemment, elle non plus. Pendant ce temps Laurie s’occupe de moi et aspire ma cyprine, me fouille le vagin et me lèche l’anus. Nous jouissons ensemble avec Laurie, et notre poupée suit très vite, complètement ivre de plaisir. Elle a perdu sa timidité, se retourne sur le dos, cuisses ouvertes, et s’offre à nos regards, elle se frotte, se masturbe encore.

– Regardez, regardez-moi je vais encore jouir pour vous

Elle ouvre son sexe, s’introduit deux doigts, se cambre et effectivement jouit encore. Chacune notre tour, nous la léchons, buvons sa jouissance abondante et puis très fatiguées nous nous assoupissons, blotties les unes contre les autres. Laurie a embrassé longuement Nolwenn qui a enfin accepté ce baiser lesbien, elle lui a aussi longuement léché son joli nez

– Bon, je vous dois peut-être une explication ! Commence Nolwenn dans un souffle !
– Mais nous te demandons rien !
– J’ai déjà une expérience avec une fille, ça n’avait pas été désagréable, j’ai même eu du plaisir, mais après coup j’ai voulu gommer cette expérience de ma mémoire. Je suis hétéro et entendait le rester, je m’en étais fait la promesse… Il faut croire que vous m’avez fait replonger !
– Alors, tout va bien ?
– Vous m’avez fait craquer, vous êtes trop mignonne ! Et puis après tout, pourquoi s’acharner à refuser un plaisir.

Et sur ces douces paroles, on s’est enlacé tendrement toutes les trois.

Christelle Baxter © 2003, légèrement rewrité en 2022

Postface de l’auteure : Ce texte est paru une première fois sur le site de sophiexxx aujourd’hui disparu, je l’ai remanié pour le site de Revebebe, (qui ne l’a pas conservé) Pour cette version « Vassilia », j’ai fait quelques rectifications de détails. Cette version est donc la définitive.

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5 réponses à Nolwenn et la tempête par Christelle_Baxter

  1. Guenièvre dit :

    Comme souvent c’est l’occasion qui fait la larronne..

  2. Marylu dit :

    C’est mignon, très tendre et en même temps très pervers, j’ai adoré !

  3. eva dit :

    Tout tendre , tout mignon

  4. Berlioz dit :

    En gros la fille ne veut pas, alors on la bouscule un peu, et comme ce n’est pas vassilien de bousculer, eh bien on devient gentille et du coup la fille veut bien faire des trucs avec les deux autres nanas. Autrement-dit c’est un peu n’importe quoi !

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