Mes nièces en vacances
par Mondoi
Quel con, je devais être pénard en vacances, ma femme bossait, j’avais la villa pour moi tout seul, les pieds dans l’eau et les soirées en ville, à draguer aux terrasses, je pouvais me ramener des femmes esseulées et baiser comme je voulais.
Et bien non, ma sœur m’a demandé de prendre ses deux filles, des demies-sœurs et une copine en pension-vacances, vu que j’avais de la place, ma femme a bien sur été d’accord de suite, sachant que je serais coincé pour faire la fête en célibataire.
J’avais donc les trois nymphettes sur le dos, Mia et Solenn, mes nièces et Astrid, la copine, elles avaient dans les 18, 19 ans et n’en avaient rien à faire d’un vieux de 45 ans, à part pour le manger et l’argent de poche, je ne les voyaient que quand elles se préparaient à sortir le soir, le matin elles dormaient jusqu’à midi, petit dèj et petite toilette, elles filaient à la plage et je ne les revoyaient qu’à l’heure du repas, elles revenaient affamées et virevoltaient dans la maison sans se préoccuper de moi, elles étaient sans gêne et sans pudeurs, se baladant en sous vêtements même parfois, justes emballées dans une serviette qui ne cachait rien ou pas grand chose, laissant leur linge sale trainer partout mais elles étaient belles, elles le savaient, des corps superbes, sans gras, des seins et des fesses fermes, leur bronzage presque intégrale, ne laissait de fines marques blanches qu’aux milieu de leurs popotins que je matais à la dérobée quand elles sortaient de la douche à peine vêtues, je choppais la gaule et devais cacher mes érections tout en faisant à manger, je gardais mon tablier de cuisine, elles étaient gentilles avec moi, m’appelaient toutes Tonton et quand même, il faut dire que je fantasmais un peu sur elles.
Une fois parties, je rangeais tout ce qu’elles avaient laissées trainé, surtout, je cherchais leurs culottes usagées, j’allais jusque dans le panier à linge et là, peinard, je les humais à l’entre jambes en me masturbant, j’aime cette odeur intime des jeunes femmes, certaines, plus souillées que d’autres, m’excitaient au plus haut point, en générale, j’éjaculais dedans et les remettais au sale.
Un après midi, où j’étais plus en manque de sexe que d’habitude, je suis allé fouiller dans leurs affaires, pour voir, comme ça et je ne fus pas déçus, sous le lit de mes nièces, je trouvais une sacoche contenant des sex-toys, dont un à ceinture, d’un beau diamètre, il y avait aussi un chapelet anal, j’étais ébahis devant les objets érotiques, je n’avais pas imaginé que mes nièces soient lesbiennes ou bi, elles parlaient tellement souvent des « mecs » entre elles, je me mis à les imaginer faisant l’amour avec leur copine, toutes les trois se bouffant la moule et se perforant les orifices à coups de godes, retirant de l’anus de l’une, le chapelet anal qu’une autre lui avait enfoncé, boules une à une poussées avec le doigt, je bandais comme un âne.
Dans la sacoche, il y avait un petit vibro blanc, qui attisait mon envie de sexe, je ne suis pas homo mais je ne déteste pas un doigt quand ma femme me suce, elle me le fait volontiers, de plus, cela faisait un moment que personne ne m’avait tripoté de ce coté.
J’avais sortis ma verge de mon short et je me masturbais en regardant les jouets sexuels, j’avais trouvé une culotte portée, son parfum corsé me rendait fou, je m’imaginais nu avec les filles, léchant leurs vulves odorantes, elles, branlant mon sexe en me caressant les fesses.
Je me mis à quatre pattes sur le lit, le visage dans la culotte souillée, je passais une main entre mes fesses pour titiller mon anus, un peu de salive et mon index me pénétra, je m’astiquais le membre, j’étais en plein délire et j’imaginais les nymphettes s’occupant de ma queue et de mon petit orifice, j’empoignais le vibro blanc et me le rentrais doucement dans les fesses, je mis le moteur en marche, pleine vitesse, je le faisait aller et venir tout en me branlant, je commençais à sentir le plaisir monter quant, tout à coup, j’entendis un raclement de gorge derrière moi, c’était Astrid, la copine de mes nièces qui était remontée de la plage plus tôt que prévu, je ne savais plus où me mettre, j’aurais voulu disparaître sous le lit, j’étais rouge de confusion, elle me fixait, les yeux écarquillés, je me mis à balbutier des excuses débiles en cachant mes fesses et le vibro qui en sortait
– Ce n’est pas ce que tu crois…enfin…heu…, tu sais, je me sens seul en ce moment et puis vous n’avez qu’à ranger vos affaires, c’est un peu le souk ici
– Mais ne vous excusez pas dit-elle en souriant, je n’ai rien contre les homos
– Mais je ne suis pas homo enfin, c’est juste pour voir ce que cela fait un truc comme ça
– Ahhh oui, je vois, vous fantasmez sur nous et vous avez eu envie de tester nos jouets et la culotte sale là, c’est pour faire notre lessive ?
Elle rit de me voir gêné, elle est un peu délurée quand même mais tellement mignonne à regarder, ses petits seins pointent sous son “marcel“ blanc qui met son bronzage en valeur, elle s’est drapée les hanches dans un paréo à moitié transparent, je vois qu’elle ne porte rien en dessous, j’aperçois sa motte brune, elle a vu que je regarde cet endroit.
– Je peux te demander de rester discrète sur ce que tu viens de voir ?
– Ca dépend !
– De quoi ?
– De vous, vous vous mettez un gode dans les fesses dans la chambre de vos nièces en sniffant leurs culottes sales pour vous masturber sur le lit et vous regardez mon sexe sous mon paréo sans vous gêner, je ne sais pas ce qu’elles vont en dirent !!!
– Pourquoi, tu as l’intention de leur raconter ce que tu as vu ou de me faire du chantage ?
– Vous ne le savez pas mais elles vous aiment bien, moi aussi d’ailleurs, ont fantasment souvent sur vous en paroles, on s’interroge sur la taille de votre… truc, enfin vous comprenez ?
– Oui, je vois, mais là tu m’as surprise et mon truc comme tu dis, est un peu mou.
– Je peux m’en occuper si vous voulez Tonton ?
Je suis sur le cul, la gamine me propose un plan de fesses, je ne réfléchis pas longtemps, elle est majeure, j’ai pas touché une femme depuis deux semaines, de toute façon, elle est déjà sur le lit et ses mains me caressent l’intérieur des cuisses, mon morceau reprend de la vigueur.
– Je vais vous sucer me dit-elle, j’en ai envie depuis longtemps, surtout quand je vous voie en maillot de bain avec votre gros truc dedans
Elle n’a pas froid aux yeux la branleuse, je me couche sur le dos, elle rampe entre mes jambes et me saisit le paquet à pleines mains, elle a les gestes doux de la débutante, un peu hésitante.
– Qu’elle est belle dit-elle en me la caressant du bout des doigts et vous boules sont grosses, elles doivent être pleine de jus, elle les caresse de la paume de la main, les soupesant, les malaxant tendrement, entre deux doigts, elle joue avec mon prépuce, l’étirant vers le haut ou le rabaissant à la limite du méat urinaire mais sans décalotter, elle se penche et embrasse la couronne du replis épithéliale, elle aspire au passage la goutte de liquide séminale qui pointe de l’orifice, elle relève la tête et me regarde dans les yeux en dégustant ostensiblement le liquide parfumé.
– Votre queue sent bon Tonton, j’aime l’odeur de votre verge, je suis sur que je vais me régaler en vous décalottant
Elle joint le geste à la parole, se penche à nouveau sur mon gland, abaisse la peau avec sa bouche chaude et mouillée jusqu’à avoir gobée mon sexe entièrement, ses lèvres en anneau serrées sur ma tige me donne un plaisir sensationnel qui me remonte jusque dans la moelle épinière, je sais maintenant qu’elle va me faire une pipe magnifique, mon dard se durcit à l’extrême.
– Hummm, tu es bonne avec ta bouche Astrid, tu sais y faire, tu mérites que je te fasse plaisir aussi, viens mettre tes fesses sur ma bouche que je te donne de l’affection.
Elle enlève son paréo et son débardeur, elle a un corps de rêve, de jouvencelle, des seins en poires, fermes et haut placés, aux pointes durcies par le désir, sa motte bombée et couverte d’une forêt de poils bruns hirsutes, des fesses de déesse, rondes, fermes, sans rides, je suis un homme gâté, tout ça pour moi, qui aurait imaginé un tel cadeau en pleine après-midi ?
– Je vous préviens que je ne suis pas passée à la douche avant, que je me suis baignée et que j’ai fais pipi dans ma culotte en nageant, dit-elle en passant ses jambes autour de mon visage.
– Si tu n’es pas propre, je te laverais avec ma langue.
– Tonton, vous êtes un cochon.
– Ho oui, et plus que tu ne le crois, donne moi tes fesses à embrasser.
Elle abaisse son postérieur, les globes s’écartent d’eux même, je vois sa raie légèrement velue avec son anus brun et plissé qui me nargue, elle se couche sur moi pour me saisir la verge et sa vulve rose apparaît, entrouverte, ses petites lèvres sont rouges pâle et de suite le parfum de son sexe me parvient aux narines, un mélange d’océan et de jeunette en chaleur, je respire à plein poumon pour me gaver de ses effluves intimes et je plonge ma langue entre ses nymphes pour déguster le jus qui s’en échappe car elle mouille, une mouille abondante, sucrée et salée.
Astrid a pris ma verge dans sa bouche chaude et me suce comme une reine, elle ne doit pas en être à sa première fellation, elle est trop douée, elle me pompe en douceur mais elle sait aussi donner les pressions buccales qui imite le vagin, de temps en temps, elle me branle d’une main et de l’autre me caresse le gland avec ses doigts, terrible caresse qui fait apparaître le point de jouissance mais qu’elle sait arrêter à temps pour ne pas provoquer l’éjaculation, elle me lèche les testicules et les prends dans sa bouche, elle m’a remonté les jambes pour me toucher la raie et embrasse mon anus.
J’ai le nez entre ses fesses, sur son petit orifice, il dégage un parfum plus corsé qui m’excite, je remonte mes lèvres dessus pour le sucer, elle ne se contracte pas, elle a l’air d’apprécier, je tente la feuille de rose et je suis surpris de la facilitée avec laquelle je lui rentre la langue dans l’anus, elle pousse, la petite jeunette pousse pour ouvrir sa rosette à la pénétration lingué, je crois qu’elle n’a pas finie de m’étonner, je lui vrille ma langue dans le trou et je l’entend glousser de plaisir sur ma queue, sans doute, a-t’elle déjà goûtée aux plaisirs sodomites.
Elle m’imite et me rentre la sienne dans les fesses, j’adore cette caresse impudique et taboue, Astrid me mange l’anus comme une dégustation, elle me lubrifie de salive au passage et je pousse aussi pour qu’elle puisse rentrer profondément, elle s’en est aperçue.
– Tonton, tu veux que je t’encule avec le vibro ?
– Ne te sent pas obligée
– Ho non, j’ai envie de te faire le cul, je sais que les hommes aiment ça pendant les pipes.
– Et moi, je peux te le faire aussi ?
– Si tu veux, met moi des doigts et bouffe moi la chatte.
Cette petite est vraiment surprenante, je la voyais juste un peu délurée depuis deux semaine qu’elle était là et je la découvrais suceuse de bite, mangeuse d’anus et sodomite, les vacances n’étaient pas si gâchées que ça.
Elle a pris le vibro que j’avais dans les fesses quand elle m’a surpris et sans presque de préliminaires, viens de me le rentrer dans le cul, elle me suce en même temps et commence des va-et-vient lents et profonds, elle sait aussi bien enculer, je continue de lui lécher la figue, je positionne mon index devant son petit trou et le lui rentre comme elle m’a rentrée le vibro, ça glisse tout seul, elle n’en ai pas à sa première fois, je lui fouille le conduis pendant un moment puis rajoute le majeur, là, elle a un soubresaut et un râle mais je continue et lui enfonce les deux doigts profondément, j’ai saisis son clito entre mes lèvres et je le triture et le suce en même temps, elle dégouline, son liquide intime me coule sur le visage, j’en bois aussi.
Astrid me défonce la boîte, elle vrille le vibro dans mon sphincter tout en me pompant le dard, je sens que je viens, la jouissance me monte des fesses et du gland, je la préviens dans un râle de plaisir.
– Haaa, je viens, je vais gicler, Astrid, haaa
– Oui, viens, donne moi ton jus, fais dans ma bouche, je viens aussi hummm
Elle est agitée de spasmes, elle frotte sa vulve sur ma bouche de plus en plus vite et s’empale sur mes doigts dans ses fesses, je les écarte à l’intérieur pour bien lui ramoner le conduis, elle pousse des petits cris annonciateurs de son orgasme et au moment où je lui mes mon sperme dans la bouche, elle m’envoie des giclées de plaisir, elle me fait dessus en jouissant, nous sommes une masse enchevêtrée de plaisirs, d’orgasmes et de foutre.
Affalés depuis un moment, nous reprenons connaissance et voyons que l’heure du repas approche, affolés d’être découverts par mes nièces, nous nous rhabillons en hâte et faisons disparaître les traces de notre copulation, à un moment, nous nous arrêtons pour nous rouler une pelle et Astrid me dit qu’elle a aimé et que si je veux bien, on pourra continuer pendant le reste des vacances, je lui dis que moi aussi j’ai apprécié et que je veux bien.
Mes nièces sont rentrées de la plage et n’ont rien devinées, je préparais le diner, Mia et Solenn étaient sous la douche, Astrid me tournait autour mais nous restions discrets, à un moment, Mia sortie précipitamment de la douche pour foncer dans sa chambre et revenir aussi rapidement avec une mallette de toilette, je n’y prêtais pas attention, c’est Astrid qui me le fit remarquer.
– Ha, c’est le nettoyage à fond ce soir
– Qu’est ce que tu entends par là ?
– Hygiène intime, elles ont pris la trousse spéciale
– La trousse spéciale ? Qu’est ce qu’il y a dedans de spéciale ?
– Un objet qui permet de nettoyer en profondeur, elles doivent avoir un rendez-vous galant ce soir !!!
– Pour nettoyer quoi en profondeur ?
– Les fesses, dedans, tu vois ce que je veux dire Tonton ?
– Heuuu non
– Bin un lavement, tu connais pas ? Un lavement rectal, pour être propre dedans au cas où.
– Haaa ok, je vois, elles font ça, mes nièces ?
– Oui Tonton, elles aiment se faire prendre par derrière, je le sais, elles me l’on dit et d’ailleurs ce sont elles qui m’en font un de temps en temps, tu n’as pas eu à t’en plaindre cet après-midi, tes doigts étaient propre ?
– Heu oui, pas de problème, c’était très propre.
– Par contre toi Tonton, cela ne te ferait pas de mal si je t’en faisais un, le vibro est ressortit un peu souillé.
– Excuses moi, je n’avais pas prévu que tu me…, enfin que tu serais là.
– Tu veux les voir faire ? Attends, je vais ouvrir la porte de la salle de bains.
Elle part frapper à la porte en prétextant qu’elle a un truc à prendre et la laisse entre-ouverte une fois entrée, je m’approche et je matte par l’entrebâillement, le grande glace du mur me renvoie une scène très intime.
Solenn est penchée en avant sur les toilettes, les mains à plat sur la lunette et Mia, derrière elle, lui introduit la canule d’une poire à lavement dans l’anus, elle l’a presse, Solenn lui dit que c’est la bonne température et se cambre pour mieux recevoir le liquide, elle a une main entre les jambes et se caresse la vulve, une fois la poire vide, elle demande une deuxième injection en se vidant de la première dans les WC, toujours en se masturbant, Mia rempli l’ustensile et Solenn lui tend ses fesses pour se faire remplir à nouveau, Astrid, dans son coin, regarde la scène en se touchant sous sa jupe, moi je commence à bander sévère et je sors mon sexe pour me masturber, viens le tour de Mia de se faire lavementer, elle tend ses fesses à Solenn qui lui rentre un doigt dans l’anus, le fouille et le ressort, Mia la traite de salope en rigolant, Solenn montre son doigt souillé à Astrid en disant qu’il était temps de faire quelque chose, elles rigolent ensemble et Solenn lui rentre la canule d’une traite dans le rectum, Mia pousse un crie, Solenn fait des va-et-vient avec la canule dans l’anus de Mia en lui disant , prend ça salope, je me masturbe férocement, j’irais bien les sodomiser toutes les trois, Mia se vide de son lavement avec bruits en se touchant la motte, elle était bien encombrée, Solenn lui fera encore deux autres douches rectales pour une propreté parfaite, elle en propose une à Astrid qui se laisse faire en me faisant un clin d’œil dans la glace avant de donner ses fesses à lavementer, au moment où elle s’accroupit sur le WC pour se soulager, mes nièces se finissent mutuellement à la main en regardant Astrid évacuer ses intestins en se masturbant, j’éjacule sur la porte.
Après le diner, Mia et Solenn sont parties en boîte, Astrid est restée à la maison prétextant un mal de tête et m’a sauté au paf cinq minutes après leur départ, pour une fois que j’avais le droit à une migraine positive, quelle suceuse, elle m’a pompé accroupie pendant cinq minutes puis en me regardant avec ses yeux malicieux m’a demandée:
– Tonton, est-ce que tu as envie de me sodomiser ?
– Ben heuuu, je ne dirais pas non!
– Ca tombe bien, j’ai envie d’avoir ton gros engin dans mon derrière, mais fais-moi plaisir avant, prends moi par devant d’abord dit-elle en s’allongeant jambes écartées sur la table de la cuisine, mange-moi la moule!
J’ai obéis de suite en me penchant entre ses cuisses pour lui gober le coquillage, rien que le fait qu’elle m’ait demandé de l’enculer, me rend fou, je la bouffe, je lui suce son petit clito, je lui rentre la langue dans le vagin, elle mouille comme un fruit juteux, je lui relève les jambes pour descendre entre ses fesses brouter son petit cratère cerné de poils follets, quelle vue j’ai là, le parfum de son sexe et de son trou de balle sont moins prononcés que cet après-midi mais je bande comme un malade, elle doit pousser sur son sphincter car les plis de son anus se détendent et la corolle anale s’ouvre à ma langue qui la pénètre, je lui fais une feuille de rose de dégoutant, lui rentrant ma langue le plus profondément possible, Astrid miaule, Astrid pousse des râles de plaisir, Astrid se relève sur les coudes et me dit:
– Fist-moi la chatte Tonton
– Hein! Tu…tu es sur que ça va…
– Ca va entrer, oui, fais le…
Hésitant, je lui rentre deux doigts sans problème et commence un massage intérieur pour lui détendre l’entrée, elle est large et de suite je rajoute un troisième doigt, ça passe, je la fouille délicatement, elle semble déjà l’avoir fait tellement elle est accueillante vaginalement, elle m’encourage même.
– Hummm, vas-y Tonton, ahaaa…enfonce!!!
Je lui rentre maintenant mon petit doigt, il ne reste plus que le pouce à l’extérieur, je mets ma main en fuseau, je connais la technique, j’ai déjà fisté ma femme plusieurs fois mais bon, elles n’ont pas le même âge, je reste précautionneux, Astrid a la moitié de ma main dans le vagin mais elle lubrifie beaucoup naturellement et cela m’encourage à lui rentrer le pouce, à ce moment, elle sent la différence.
– Haaa…c’est gros… doucement…
– Ca vat Astrid ?
– Ouiiii…enfonce encore…
Le pouce passe l’entrée, ma main est serrée comme dans un gant, sa vulve est écarlate, le clito est sortit de son capuchon, son anus est boursoufflé, j’avance la main par petits glissements mais c’est elle qui va finir le travail, elle avance son bassin d’un coup, sans me prévenir et ma main est avalée jusqu’au poignet par cette bouche verticale et affamée.
– Mouhaaa…Haaa…, crie t’elle en cherchant son souffle
Je suis terrifié par la violence de cet acte et de cette jouissance, la vision de mon avant bras sans main, comme amputé, me donne la chair de poule.
– Bouge…bouge dedans… me crie t’elle
Je mets ma main en mouvement, doucement, par petits va-et-vient, je la tourne sur elle-même, de ma main libre, je lui caresse son clito turgescent, Astrid, les yeux clos, remue la tête dans tous les sens comme une possédée, prononçant des paroles incompréhensibles, j’en saisis quelques un au passage:
– …enfon…doi…cul…
Je pense comprendre qu’elle veut un doigt dans l’anus en plus du reste, je salive sur mon index et le lui rentre dans la rosette, à travers la membrane qui le sépare du vagin, je sens ma main qui bouge à l’intérieur, Astrid est de plus en plus agitée de spasmes annonciateurs d’un orgasme éminent, ma main coulisse parfaitement bien dans son ventre et je la fourre à cœur-joie, pareil pour mon index qui lui ramone ses fesses, lubrifié par la mouille qui lui coule dans la raie, elle se donne complètement, cherchant à faire avancer ma main plus loin en elle, je la voie et la sens venir à l’orgasme et à ce moment là, je lui rentre vicieusement mon majeur en plus dans le sphincter, elle prend un pied terrible, le souffle coupé par cette surprise « élargissantte », elle se met à geindre et à crier son plaisir et se vide la vessie sur moi par grandes giclées, spectacle grandiose et impressionnant.
J’ai attendu qu’elle atterrisse un peu avant de retirer ma main et mes doigts au ralentis, la laissant récupérer allongée dans la flaque d’urine, la chatte béante et l’anus en choux fleur, si jeune et déjà fistée, j’ai allumé une cigarette en contemplant ce corps si beau, si désirable, j’ai la queue en l’air, attendant qu’elle reprenne ses esprits, peut-être a-t-elle oubliée sa proposition de tout à l’heure, je ne veux pas la brusquer après ce qu’elle vient de vivre, elle me regarde, les yeux mi-clos, un sourire de satisfaction éclaire son visage de nymphette, qu’elle est belle.
D’un coup, j’entends du bruit dehors, le portail du jardin que l’on ouvre, des pas sur le gravier de l’allée, je jette un œil par la fenêtre, se sont les filles qui rentrent plus tôt que prévu, merde, Astrid est encore à poil sur la table et moi avec le sguegue à l’horizontale, je la réveille de sa somnolence et l’envoie prendre une douche pendant que j’éponge les preuves de son plaisir, j’ai du mal à ranger mon outil dans mon jean et le laisse plaqué en l’air contre mon bas-ventre en attendant qu’il débande, j’éponge plusieurs fois la table en deux minutes, les nanas entrent dans la maison, un coup de serpillière par terre au moment où elles arrivent dans la cuisine, je pense avoir effacé toutes les traces des ébats de tout à l’heure et faire croire à un petit coup de ménage.
– Alors les filles, qu’est-ce qu’il vous arrive pour rentrer si tôt, vous vous êtes fait jetées?
– Ben et toi Tonton, pour faire la serpillière à cette heure ci, c’est parce que tu n’as pas de nana ?!!! me répondent-elles l’air agacées.
– Holala, cool les vulvettes, je dis ça pour rire, mauvaise soirée alors ?
– Que des cons et des pétasses ce soir à la boîte, où est Astrid ?
– Elle prend une douche.
– Encore, elle en a pris une avant de manger et pas une petite!!! disent-elles en ricanent.
– Elle avait chaud, je crois…
– Mais c’est quoi cette odeur ici Tonton ? demande Solenn en reniflant l’air de la cuisine et en me regardant bizarrement.
– Bof, ça doit être le produit pour le sol, dis-je l’air de rien
– Ton produit Tonton, il sent la…, Mia ne finit pas sa phrase comme si elle venait de reconnaître cette odeur, elle rougie et interroge Solenn du regard, cherchant la confirmation de son analyse olfactive.
– Ouai ouai, tu n’as pas tord, on dirait que sa sent… heuuu… excuse moi Tonton pour mon langage, mai plutôt la foune ou le pipi, je ne sais pas, mais pas le produit pour les sols!
– C’est l’ammoniaque qu’il y a dedans qui donne cette impression sans doute, dis-je en me retournant pour qu’elles ne voient pas que je pique un fard
Heureusement Astrid arrive à mon secours en sortant de la salle de bain.
– A ça c’est vrai qu’il pue ton produit pour les sols, je te l’ai déjà dis Tonton, il y en a des plus agréables, des parfumés.
L’intervention d’Astrid à son effet de diversion et les nanas se mettent à papoter de leur soirée ratée en s’asseyant autour de la table où il y a vingt minutes, je fistais allègrement leur copine, seule Mia semble dubitative et me jette des coups d’œil à la dérobée, pourtant j’ai débandé même si j’ai toujours la bite de travers dans mon pantalon, elle me regarde l’entre-jambe.
– Ouai… dit-elle suspicieuse, il c’est passé quoi ici pendant que l’on était au village ?!!!
– Mais rien, je te jure!!! répond Astrid
Mia chuchote quelques mots à l’oreille de Solenn qui semble tomber des nues tout à coup, les yeux exorbités par la révélation de sa sœur, même à cet âge là, les filles sont déjà très perspicaces, je sens que ça va être ma fête, Astrid ne semble pas embarrassée par la situation.
– Ce n’est pas vrai quand même, demande Solenn atterrée, vous n’avez pas…enfin je veux dire…tous les deux ?
– J’en suis sur, insiste Mia excitée par le pot aux roses qu’elle pense avoir découvert, ils l’ont fait, ici, dans la cuisine!!!
– A oui ? Et qu’avons-nous fait qui t’excite tant, dans la cuisine comme tu dis ? demande Astrid avec un sourire provocateur.
– Mia dit que vous avez fait l’amour ici, répond Solenn, c’est vrai Tonton ?
Je suis coincé, je pense que je ne vais pas m’en tirer de cet interrogatoire, les demies-sœurs ne vont pas lâcher prise comme cela, elles ont reniflées un truc pas banal, elles veulent savoir, c’est encore Astrid qui intervient pour les contrer.
– Bon, et alors, c’est quoi le problème, je suis majeur, Tonton n’est pas de ma famille, je fais ce que je veux, avec qui je veux!!!
– Ouaaa, elle avoue dit Mia le visage éclairé d’une soudaine lueur révélatrice de son contentement à avoir touchée juste.
– Quand même, c’est notre Oncle, ta mère et la mienne nous ont confiées à sa garde et tu fais cela sous le toit de la maison familiale!!! Rajoute Solenn.
– Holala, la maison familiale, s’esclaffe Astrid, ça vous a pas gênées toutes les deux de jouer avec la femme de Tonton sous le toit familiale!…
Là je suis sur le cul, j’interroge les filles du regard, comprenant à demi-mot la révélation d’Astrid sur des « jeux » entre femmes, mes nièces ne savent plus où se mettre, comme moi tout à l’heure, elles fusillent Astrid du regard, trahies par leur copine qui vient de mettre sur la table un secret très féminin semble t’il.
– Salope!, lâche Solenn, tu avais promis de garder ça pour toi, tu as pris du plaisir aussi ce jour là, Hein ?!!!
– Oui mais je n’en ai pas honte comme vous et Tonton est un bon coup, je ne vois pas pourquoi je me priverais, d’ailleurs ce soir je dors avec lui, il va me faire plein de choses cochonnes, comme votre Tata nous a fait.
– Heu minute les filles, dis-je en voyant monter le ton, je peux savoir ce qu’il c’est passé avec votre Tante qui est quand même ma femme, ne l’oubliez pas ?
– Voila, tu as gagné, maintenant il va y avoir des histoires dans la famille à cause de toi!!! dit Mia accusatrice à Astrid souriante.
– Moi, je ne veux pas faire d’histoires précisais-je, je connais votre Tante, je connais ses gouts, je sais ce qu’elle aime faire et je la respecte, elle fait de même pour moi, vous jouez les « saintes ni-touchent » quand il s’agit de ce que nous avons fait Astrid et moi, vous vous voilez la face, vous criez au scandale, mais il faudrait ne rien dire des « jeux » que vous pratiquez entre filles, avec ma femme de surcroit, ce n’est pas sérieux.
– Pardon Tonton, excuses-nous, en fait je crois que nous sommes un peu jalouses d’Astrid me dit Solenn, on savait qu’elle fantasmait sur toi mais de la à passer aux actes.
– Il n’y a pas que moi qui fantasme sur Tonton précise Astrid en désignant les deux autres d’un geste de la tête.
– Tiens donc, dis-je interrogateur, mes nièces seraient intéressées par l’Oncle après avoir gouttées à la Tante, d’ailleurs je reviens à ma question, que c’est-il passé avec votre Tata ?
– C’était pendant le week-end où ont est parties à votre chalet dans les Alpes toutes les quatre avoue Solenn, une soirée un arrosée entre filles qui a dérapée sur le sexe, super soirée qui a d’ailleurs continuée le lendemain, on a tout fait ou presque, Tata nous a révélées, elle est bonne Tata, elle sait y faire avec les femmes, pas vrai les filles ?
– Si, si, disent les deux autres en cœur, elle nous a appris plein de choses, précise Mia restée silencieuse depuis le début de l’altercation verbale.
– Ha oui…! Et quoi par exemple, demandais-je en la fixant dans les yeux ?
– Lécher une femme, répond-elle à voix basse
– Ne sois pas gênée lui dis-je rassurant, je sais que mon épouse fait cela très bien, je l’ai vue à l’œuvre avec une de ses amies au cours d’une soirée entre couples, quoi d’autre? Insistais-je en soutenant mon regard inquisiteur ?
– ….
– Les plaisirs sodomites, intervint Astrid avec un air de cochonne, voyant que Mia ne répondait pas, nous y avons eu le droit toutes les trois, Mia a beaucoup aimée ça.
– Parles pour toi, tu t’es quand même pris aussi une main entière dans la fente, répondit celle-ci, gênée que l’on révèle sa sensibilité anale.
– Moi aussi j’ai aimé ça, renchérie sa demi-sœur pour faire unité avec elle, c’est drôlement bon de se faire casser le cul par une femme expérimentée.
Pendant que nous discutions sur les qualités d’initiatrice de mon épouse, Astrid avait passée une main sous la table et me caressait la verge à travers les tissus de mon pantalon, alliés aux chaudes révélations de plaisir anal des nymphettes, les attouchements discrets m’avaient redonnés de la vigueur et mon dard se gonflait à en faire péter la braguette, Astrid, pas le moins gênée du monde, l’ouvre et extrait ma verge à pleine main, les deux autres essayent de voir ce qui se passe sous la table, voyant le bras d’Astrid en mouvement.
– Tu nous montre ce que tu fais? lui demande Solenn.
– Je masturbe Tonton, dit-elle en me tirant par le sexe pour me faire lever, et présentant mon phallus dressé à l’assemblée, elle demande aux filles:
– Qui veut goutter au machin à Tonton ?
– Les deux autres ouvrent grand les yeux croyant rêver mais non, elles ont devant-elle, le spectacle de leur meilleur amie en train d’astiquer la bite de leur Oncle.
– Ben dis-donc Tonton, tu es bien monté, me complimente Solenn en se levant pour venir voir de plus près, Mia… tu as vu l’engin demande t’elle à sa demi-sœur en s’agenouillant à mes pieds ?
– Ouaiii pas mal, répond celle-ci en s’approchant à son tour, je peux toucher Tonton ?
– Mais oui, bien sur, vous pouvez toutes la toucher mes chéries et même l’embrasser comme fait Astrid.
En effet, elle a ajoutée à son branle délicat, des caresses linguées et buccales, montrant ainsi le bon exemple à ses copines, les voila maintenant toutes les trois accroupies devant moi, l’une me baisse le pantalon, l’autre le slip, les mains partent à la découverte de mon service trois pièces, les bisous mouillés pleuvent sur mes parties, les caresses digitales également, trois bouches, six mains, fantasme si souvent espéré mais jamais réalisé, je suis la victime consentante d’une pieuvre aux mille tentacules.
– On sera mieux dans la chambre pour s’occuper de Tonton dit Mia qui semble se délurer à présent.
Je suis mis à nu avant de franchir la porte, les vulvettes en furie rassemblent les lits pour créer un terrain de jeux à quatre, je suis projeté dans le moelleux de la couche, j’assiste au déshabillage effréné des trois complices qui se pelotent en s’arrachant leurs vêtements qui volent de tous côtés et les voila nues se tripotant l’une et l’autre, Astrid la brune et sa pilosité vulvaire humide, ses seins fermes, ses fesses rebondies, Solenn la rousse auburn avec sa peau blanche et ses tâches de rousseur, elle aussi a une belle paire de nichons avec de grosses auréoles, un cul à damner un moine, un pubis de poils roux taillés court avec des grandes lèvres qui s’en échappent, brillantes de mouille, enfin il y a Mia, la plus mince des trois, blonde entièrement épilée, des petits seins, un petit cul mais agréablement proportionnés, sa vulve est entre-ouverte sur des petites lèvres rosâtres d’où s’échappe un filet de bave intime translucide, toutes les trois se caressent et s’embrassent sur la bouche en venant me rejoindre, un magnifique trio de jeunes femelles bisexuelles prêtent à tout et même plus.
– Ouaaa…! C’est pour qui le beau-gros zizi à Tonton, demande Mia en riant
– A moi, à moi crient les deux autres, je le veux partout, rajoute Astrid
– Moi aussi, partout, même dans le petit trou, précise Solenn
– Dans le mien d’abord, j’ai promis à Tonton dit Astrid.
– Pourquoi, tu n’y as pas eu droit cet après-midi, demande Mia ?
– Nonnn…, j’ai eu le droit à quelque chose de plus…envahissant…hummm
– Saaalllooopppe adorée, je t’aime, lui dit Mia en lui roulant une pelle baveuse.
Le manège de la sucette à trois bouches recommence, les bouches et les langues tournent et virevoltent autour de ma queue, l’une tète le gland, l’autre me lèche la tige, la troisième me suce les testicules, leurs doigts sont partout, me pinçant les tétons, branlant mon prépuce ou cherchant à remonter vers la vallée sacrée de la raie de mes fesses, à la recherche de ma grotte sacrée, ma nièce Solenn à posée d’autorité sa vulve juteuse sur ma bouche et frotte son anus légèrement parfumé sur mon nez, je hume sa chatte, elle sent bon, un mélange de pisseuse négligée et de jeune femme en rut, je lèche et je suce tout ce qu’elle me donne à déguster, ma langue est partout, je salive sur sa rosette avec l’arrière pensée que plus tard ce sera autre chose que ma langue qu’elle prendra dans son petit trou plissé, les deux autres viennent s’empaler la motte tour à tour sur mon chibre tendu à l’extrême, s’astiquant le vagin comme des furies, elles sont pleines d’envies et d’idées cochonnes.
Des mains mon relevées les jambes, Solenn les passe sous ses bras et me voila le cul exposé à toutes les turpitudes, je ne vois pas qui fait qu’est-ce ou quoi, le somptueux postérieur de ma nièce me cachant la vue, mais je sais reconnaitre une bouche quand j’en ai une qui me suce la rondelle, je reconnais Solenn qui demande à voix basse.
– Vous croyez qu’il aime ça…?
– Mais ouiii… tous les mecs aiment qu’on les touche à cet endroit, répond Mia en chuchotant.
– Je confirme, rajoute Astrid, Hein Tonton…? Que tu aimes ça ?!
– Ma fois, si c’est fait avec délicatesse, je ne dis pas non, leur dis-je.
– Holala… mon petit Tonton chéri aime bien se faire enculer, comme nous glousse Solenn en agitant son anus sur le bout de mon nez qui finit par y rentrer.
– Houlla… doucement quand même les filles, je n’ai reçu que des petits calibres avec votre Tante.
– Ne t’inquiète pas Tonton, on a ce qu’il te faut dit Mia, tiens, prends ça pour commencer, et elle m’enfonce un doigt lubrifié de sa mouille d’une traite dans le trou de balle, c’est rapide, sans douleur, j’aime cette sensation provoquée par la pénétration d’un doigt furtif pendant une fellation, comme celle que Solenn est entrain de me faire, particulièrement appliquée.
– Houllaaa, mais il prend bien le Tonton et accueillant avec ça commente Mia en me fouillant le conduit rectal, il mérite mieux, Astrid mon amour… ramène les jouets pour que l’on s’amuse un peu.
– Surtout qu’on a qu’une bite à notre disposition ajoute Solenn, moi ça me démange de me prendre quelque chose dans les orifices.
– Tiens ma chérie, prends ça en attendant plus gros lui dis-je en lui rentrant deux doigts dans la fente.
– Hummmouiii, merci Tonton miaule t’elle en se cambrant faisant saillir le cratère de son anus comme une demande de sodomie silencieuse, je ne la fais pas languir et enfonce mon pouce dans sa rondelle quémandeuse, ma nièce émet un râle de contentement.
Astrid dépose les objets à plaisirs sur la couche de débauche, elle s’est ceinturée d’un phallus artificiel de bonne taille et vient se placer derrière le cul de Solenn, fouillé par mon doigt, je devine qu’elle vient là pour satisfaire sa demande de pénétration.
– Tonton, peux-tu retirer ton doigt des fesses de Solenn, je vais l’enculer comme elle aime, bouffe-lui bien la moule pendant que je la défonce, on vat la faire juter tous les deux.
Au moment où je retire mon pouce de l’anus de ma nièce pour laisser la place au chibre artificiel, je sens que l’on introduit un objet vibrant dans le mien, je reconnais celui que j’ai essayé cet après-midi, il coulisse parfaitement et entièrement à travers mon sphincter, je ressens les prémices du plaisir anal, devant mes yeux, le gland du gode d’Astrid appuie sur la corolle plissée de Solenn, je le vois perforer l’ouverture et s’engouffrer au ralentis entre les fesses de ma nièce, ma bouche se colle à sa vulve, ma langue titille son petit cornichon, elle se fait enculer profondément en poussant des râles languissants, toute la longueur du gode est avalée par la bouche plissée de son trou de balle, Astrid lui demande.
– Ca va, ma chérie…?
– Ouiiii…haaa…c’est gros dans mon cul…
– Et tonton, il te bouffe bien ?
– Hummmouiii…
– Bien… je vais te défoncer alors!
A peine dit, sitôt fait, elle se met en mouvement, ondulant des hanches dans une dance de vas et viens de plus en plus rapides et profonds, la petite gueule que ça la déchire mais que c’est bon d’être fourrée par derrière, je lui broute le minou avec application, elle mouille comme une éponge que l’on essor, je lui rentre deux doigts dans la fente, je sens les mouvements du gode en elle.
Dans mon anus, le vibro fait des merveilles, la bouche de Solenn sur ma bite aussi, Mia me mange les couilles, je dois me faire violence pour ne pas lâcher la purée, j’ai des culs et des chattes à fourrer, je veux goutter à toutes, ma nièce est agitée de soubresauts qui annoncent son orgasme, elle me jouit dans la bouche m’arrosant le palais de grandes giclées de liquide intime, Astrid se retire du sphincter le laissant ouvert et boursouflé, Solenn s’affale sur le côté, comme ivre de plaisir.
Mia me retire le vibro de l’anus et le suce avec délectation, cette nana semble avoir des gouts fétichistes un peu spéciaux, je me relève pour attraper Astrid, je la jette à quatre pattes sur le lupanar, Mia vient lui donner sa chatte à lécher.
– Encule la Tonton, elle aime ça, ramone lui la boîte à chocolat.
– Ho oui, ho oui… s’exclame Solenne qui reprend ses esprits, je veux regarder quand ça rentre, fais lui pareil qu’elle m’a fait.
– Hummm…oui…vient dans mes fesses Tonton… supplie Astrid langoureusement cambrée, me tendant son popotin.
Je trempe le bout de ma verge à la mouille de sa vulve et la pose sur le renflement plissé de son œillet sombre, cerné d’une couronne de poils hirsutes qui me chatouillent agréablement le gland, je caresse l’entrée la grotte promise, le muscle se détend.
– Ouaaa! Regarde Tonton, elle pousse, elle en veut plein son cul, enfonce, vas-y enfonce!!!
En effet, son orifice fripé se déplie sur mon gland comme une bouche suçant un sucre d’orge, je donne un coup de rein et la moitié de ma queue s’engouffre dans son rectum en forçant un peu, le reste suit, son fourreau de chairs bouillantes et à peine lubrifiées m’enserrant le bâton, que c’est bon un cul de débutante, Solenne se penche sur la raie de sa copine et donne des coups de langue sur l’anus et sur ma bite à chaque fois qu’elle ressort du volcan déridé, Mia s’est inversée en soixante neuf pour assister aussi au spectacle de l’enculade, elle bouffe la chatte dégoulinante d’Astrid, les yeux braqués sur les vas et viens de ma saucisse dans les trente six plis de son amie qui lui rend ses caresses buccales en lui mettant un doigt dans le cul, Solenne se ceinture du gode encore chaud et s’en va le planter dans la rondelle de Mia qui a relevée ses jambes sous les bras d’Astrid, lui offrant ainsi la vision de son cul ramoné en spectacle, plusieurs fois elle lui replante la bite de latex dans l’orifice pour bien lui la faire sentir, devant moi ça gémis, ça couine, ça brame même, les deux enculées ont leurs premiers orgasmes, des spasmes de plaisir mouillés de giclées de liquide que les bouches avalent à grands bruits, je me retiens encore un peu mais finis par envoyer mon foutre dans le ventre d’Astrid, mes doigts crispés sur ses fesses.
Nous nous sommes tous écroulés pêle-mêle, baignant dans nos odeurs et notre transpiration, essoufflés et ivre de jouissance, ma verge est sortit de l’anus qui m’avait donné du plaisir, le sperme s’est mis à s’en écouler, légèrement coloré, nous sommes restés ainsi un long moment, dégustant le bien être qui succède à l’orgasme.
Je dois dire que j’ai apprécié le reste de mes vacances avec les nymphettes, elles se baladaient à poil dans la maison, il n’y a pas eu un jour sans sexe, pas un matin sans une bonne pipe au réveil avec un doigt qui me poussait la crotte, elles jouaient mon éjaculation aux dés pour que la gagnante ait le plaisir de me boire, après le petit dèj, il y en avait toujours une pour me proposer de l’enfiler, par devant ou par derrière, je ne compte pas le nombre de fois où elles se sont gouinées devant moi, allant jusqu’à se fister la motte pour celles qui aimaient ça, elles m’ont tout fait, je leur ai tout fait, j’en ai manger de la tarte aux poils, de la propre, de la parfumée au naturel, les jeux de pipi étaient monnaie courante, un soir en rentrant de boîte, elles m’ont fait toutes les trois dessus en même temps, une vraie cascade, je les ai arrosées elles aussi, Mia m’a même demandée que je lui fasse dans l’anus un matin où j’avais une très belle érection et une grosse envie de pisser, je ne me suis pas fais prier, nous avons aussi finis par approcher les spectacles scato, regardant l’une ou l’autre se défaire d’un étron sur la table de la cuisine, j’ai eu mon tour aussi, leur délivrant ce que je pouvais faire de plus gros après une journée de retenue, bref, mes plus belles vacances et les promesses de se revoir quand nous nous sommes quittés pour retourner vers le train-train quotidien, ma femme pense les inviter pour Noël dans notre chalet des Alpes, ça va être chaud.
Ce récit à eu l’honneur d’être élu Prix spécial bisex pour 2009
Crade et décontracté, j’ai adoré
Du bon Mondoi !
C’est vraiment pas mal , même si la conclusion fait un peu cheveu sur la soupe !