Marisa à l’hôtel – 2 – Dévergondages par Sylvain_Zerberg

Marisa à l’hôtel – 2 – Dévergondages par Sylvain_Zerberg


RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Mercredi

Le lendemain on se réveille donc en forme après une bonne nuit de sommeil.

– J’ai envie de faire un gros caca ! Tu viens ?

Non, elle ne va pas recommencer comme hier !

– Non, non !
– Veut tu venir ici ! Garnement !
– Je n’aime pas trop ce jeu.
– Regarde-moi d’abord pisser !
– Ça je veux bien.

Quel spectacle elle est là devant moi accroupie, les pieds sur la lunette, et elle pisse.

– Si tu en veux, ne te gêne pas, c’est libre-service.

Je mets le creux de mes mains dans la trajectoire du jet et j’en avale une lampée avec un air de défi.

– Gros gourmand !
– C’est pas mauvais !
– Si tu aimes ma pisse, tu aimeras ma merde !
– Non !
– Ne parle pas avant de savoir ! Reste là, je pousse.
– Non !
– Tu m’a regardé hier, alors pourquoi pas aujourd’hui ?
– Parce que ça ne me plait pas !
– Reste juste un peu…

Je ne bouge pas et je ne sais pas pourquoi, un gros boudin commence à sortir, comme la veille je ne sais pas dire si ça me fascine ou si ça me révulse.

– Alors ? me demande-t-elle.
– Alors je ne sais pas !
– Sauf que ta bite répond à ta place, tu bandes, donc ça te plait.
– Je vais te laisser.
– Ecoute moi, une seconde, si vraiment ça te dégoutait tu te serais déjà sauvé en courant, donc tu te mens à toi-même.

Ça y est, elle a fini de chier. J’appréhende ce qu’elle va me demander maintenant.

– Tu me fais un petit nettoyage ?
– Non !
– Hier tu m’avais promis !
– Je ne t’ai rien promis du tout.
– Il me semblait pourtant, alors tu vas m’embrasser sur la bouche !

Où est le piège ? Elle se lève, m’offre ses lèvres, on s’embrasse goulument quelques instants, elle se recule, porte son doigt à son cul, le ramène pollué et se barbouille le bord des lèvres avec de la matière brunâtre. Je me fais la réflexion que cette merde incongrue n’arrive pas à l’enlaidir.

Elle se rapproche de moi ! Elle ne va pas… je suis tétanisé… ses lèvres fondent sur les miennes, j’ai le gout de sa merde dans ma bouche, et ça ne me gêne même pas. Elle se recule un peu, me regarde avec un air de défi, se rapproche de nouveau et cette fois le baiser est intense… un petit peu âcre toutefois, mais quelle affaire.

– Alors tu me le nettoies mon cul ?
– Mais bien sûr !

Cette femme est une sorcière.

Je lui lèche l’anus, faisant disparaître toutes les traces suspectes.

– On va où ce matin ?
– On va d’abord à la conférence sur les réseaux de neurone, appliqués à l’intelligence artificielle, alors prépare-toi, au lieu de regarder mes nichons. M’annonce-t-elle doctement après avoir parcouru le programme.

Une fois parfaitement habillés, sauf que Marisa n’a encore pas mis de culotte sous la jupe de son tailleur, on se décide à sortir pour aller assister à la conférence, et on tombe nez à nez avec Sophie, qui apporte des draps propres dans les chambres, ils ne se disent rien car il y a beaucoup de clients dans le couloir, mais notre regard en dit long sur leurs envies réciproques.

Dans l’ascenseur on est seuls avec un couple de retraités, et elle s’amuse à soulever sa jupe dès que les deux petits vieux sont retournés. Mais avant de sortir le retraité se retourna et il vit Marisa la jupe en l’air, laissant ainsi voir sa jolie toison brune, il avait vraiment l’air ravi, ça devait faire longtemps qu’il n’avait pas vu un tel spectacle, si sa femme l’avait vu mater Marisa comme ça, il est sûr qu’il se serait pris un coup de sac à main. Mais voilà que l’homme laissant sa femme sortir la première de l’ascenseur; revient sur ses pas et fait semblant d’avoir perdu quelque chose.

– J’ai cru comprendre que… commence-t-il sans terminer sa phrase.
– Que j’étais une professionnelle ? Semi seulement : c’est 150 euros la demi-heure, mais il faut me prévenir la veille.
– Je fais comment ?
– Chambre 215, vous laissez un mot dans une enveloppe fermée à la réception, mais soyez discret.

Le vieux disparait. Et alors que j’allais sortir de l’ascenseur Marisa me retint par le bras et une fois les portes fermées le bloqua à l’étage.

– Vas-y ! Assis toi de l’autre côté de la cabine.
– Mais attends, explique-moi ce qui vient de se passer avec le vieux !
– Mais Bertrand, je ne te dois aucune explication, je fais ce que je veux de mon corps…
– Bien sûr mais tu m’avais dit que tu n’avais pas besoin d’argent.
– Je n’en ai pas besoin mais si j’ai envie de jouer à la pute, ça ne regarde que moi !
– D’accord !
– Maintenant on parle d’autre chose ! J’ai envie de te regarder en train de te branler, alors on se met chacun de son côté et on se masturbe tout en regardant l’autre le faire.

On s’assoit donc chacun de son coté, je baisse mon pantalon et je commence à me masturber, pendant que Marisa se fourre les doigts dans le vagin. Cette idée de se toucher chacun dans son coin me paraissait bizarre au début, mais m’excite vraiment beaucoup maintenant, et c’est d’autant plus agréable que les quatre parois de l’ascenseur sont recouvertes de miroirs. On se masturbe sans se toucher, sans se parler. On se donne du plaisir en regardant l’autre s’exciter, et on continue comme ça jusqu’à ce que je sente monter la semence en moi. A ce moment-là Marisa, se rapproche de moi, et me nettoie la bite de mon sperme, puis on se rhabille afin de remettre l’ascenseur en marche pour repartir.

L’emploi du temps de la journée nous laisse libre à 16 heures : Je propose à Marisa de nous rendre dans un magasin de vêtements, car les cabines d’essayage et surtout ce qui peut s’y passer me fait fantasmer.

– D’accord mais d’abord on va aller dans une sex-boutique pour s’acheter un gode.

On entre dans la sex-boutique, il n’y a que des hommes.

– Nous avons plein de modèles, précise le gérant, c’est pour une introduction vaginale ou anale ?
– Anale ! En fait c’est pour enculer ce jeune homme, il n’a pas trop l’habitude, il n’a pas l’habitude du tout même !
– Dans ce cas, je vous conseille de prendre un peu de gel intime.
– Vous avez raison, ça glissera mieux dans son petit cul.

Je rougis de honte, mais le gérant n’y fait pas attention.

– Prenez donc ce modèle, c’est un gode ceinture, je vais vous expliquer le principe…
– Je connais ! Je vais le prendre.
– On peut l’essayer ?
– Les articles ne sont ni repris ni échangés, mais si vous souhaitez l’utiliser de suite, vous avez des cabines de projection, un jeton noir les ordinaires ou un jeton rouge pour les cabines bleues avec glory-hole. Ça dure 10 minutes, et vous pouvez renouveler.
– Alors donnez-moi deux jetons noirs et deux jetons rouges.

En nous dirigeant vers les cabines, je demande à Marisa ce qu’est un glory-hole, elle me répond que ce sera une surprise.

Dans la cabine passe un film pas vraiment excitant, avec une fille moche et un mec ridicule. Marisa me dit qu’on n’est pas là pour ça et me demande de me déshabiller. Elle fait de même et nous nous retrouvons bientôt face à face, Je ne me lasse pas d’admirer ses grosses mamelles qui semble me narguer. Sans préambule, elle me tord le bout des seins, l’effet est immédiat et je ne tarde pas à bander comme un âne en rut.

– Décidemment ta bite me plait bien, je la sucerais volontiers, mais nous ne sommes pas là pour ça. Tu vas te tourner et me présenter ton petit cul, je vais bien le préparer et ensuite je vais t’introduire le gode que je viens d’acheter.
– On va juste essayer, je ne suis pas certain d’apprécier.
– Laisse-moi faire ! Tu vas aimer ! Et puis mesure la chance que tu as, je suis pour toi un véritable professeur de vice et pour l’instant tu es plutôt bon élève, non ?

Elle se plaça derrière moi, m’humecta l’anus pendant quelques instants au moyen de sa langue, puis m’introduisit un doigt, puis un deuxième, ces doigts qui allaient et venaient dans mon conduit anal me procurait un plaisir particulier que je n’avais jamais éprouvé jusqu’à présent. Elle revint face à moi, puis sortit le gode de son emballage, c’était un pénis en latex assez réaliste avec le gland décalotté et les testicules. Elle le porta vicieusement à sa bouche et en pourlécha le bout de sa jolie langue. Un geste très excitant.

– A toi ?

J’avoue ne pas avoir compris de suite ce qu’elle attendait de moi et la regardais en attendant ses explications.

– Et bien suce !
– Sucer le gode ?
– Et bien oui qu’est-ce que tu attends ?
– Mais je croyais que c’était pour mon cul !
– C’est pour ton cul, mais avant tu vas le sucer !
– Mais quel intérêt ?
– Je t’expliquerais après, c’est moi la prof ou pas ?

Renonçant à comprendre, j’approchais l’objet de mon visage, mais au moment de le mettre en bouche, je fus saisi d’une terrible appréhension, j’étais en train de me mettre une bite dans la bouche, une bite factice mais tellement réaliste.

– Je ne peux pas faire ça, je suis désolé !
– Tu ne me fais plus confiance ?
– Je ne veux pas faire ça !
– Comme tu veux !

Sans un mot elle entreprit de se rhabiller. Quand je lui demandais si elle était fâchée, elle ne daigna pas me répondre. Je me rhabillais donc à mon tour.

– Tu te débrouilleras pour libérer la chambre, on ne se connait plus. Me lança-t-elle avant de reprendre son sac à main.

Tout mon univers s’écroulait d’un seul coup ! Son corps de déesse, sa peau de soie, ses seins magnifiques tout cela ne serait plus bientôt qu’un souvenir. Je pouvais essayer d’empêcher ça.

– Donne-moi le gode, je vais le faire !

Elle me le tendit avec un petit sourire énigmatique. Je mis l’extrémité dans la bouche et le suçais n’importe comment, n’ayant aucune intention de faire durer de genre de chose

– Tu t’y prends très mal, regarde comment je fais !

Elle me reprend le gode et commence un étrange ballet à l’aide de sa langue, virevoltant autour de la base du gland, titillant le méat, aspirant en serrant les lèvres, puis enfonçant toute la verge dans sa gorge.

– Essaie de faire comme moi, à présent !

Un flash me traversa l’esprit ! Pourquoi m’apprendre à sucer une bite en plastique, sinon pour me préparer à en sucer une vraie ? Que ferais-je si elle m’entrainait jusque-là. Mais partant du principe qu’il faut mieux régler les problèmes quand ils se présentent et que pour le moment on en n’est pas là, je tentais d’imiter au mieux les mouvements qu’elle m’avait montrés.

– Ben, voilà, il y a encore du progrès à faire, mais ça vient. Bientôt tu seras un bon suceur de bites.

Ainsi mes craintes se confirmaient, mais je me dis qu’elle me faisait sans doute marcher, qu’elle fantasmait.

Passant derrière moi, elle m’étala sur l’anus une noisette de gel intime. J’allais donc me faire dépuceler le cul avec une bite en latex, une bite que j’avais sucé avant. Je ne me reconnaissais plus. Elle s’harnacha avec le gode-ceinture, le recouvrit d’un préservatif, entra légèrement, puis Marisa le fit pénétrer plus profondément d’une seule poussée, ce qui me provoqua un cri de douleur.

– Non, stop !
– Laisse-toi faire, c’est normal que ça fasse un peu mal au début, mais après tu vas voir, ça va être génial.

Marisa semble cependant une experte en la matière, elle calcule ses va-et-vient afin que je m’habitue à cette présence insolite que je fini par trouver plutôt agréable et au bout d’un moment, même très agréable.

– Alors tu as aimé te faire enculer ? Me demande-t-elle
– Ben…
– Ben oui ou ben non ?
– C’était pas mal !
– C’est bien les godes, mais ça ne vaudra jamais une bonne bite bien vivante !

Elle est folle !

On sort de la cabine et on se dirige vers l’une des cabines bleues. Elle me montre les parois, il y a deux trous dans celle de gauche et deux trous dans celle de droite.

– Et maintenant, tu vas voir !

Elle toque sur la paroi de droite, et voilà que devant mes yeux ébahis, une bite se faufile dans l’un des trous.

Sans l’ombre d’une hésitation, Marisa approche sa bouche de cette queue et se met à la sucer avec gourmandise.

Je ne suis pas idiot et j’ai compris que dans un instant elle va me demander de prendre le relais. Je ne pourrais pas, c’est bien simple, je ne pourrais pas.

Et ça ne rate pas !

– Maintenant, à toi de sucer !

Je tente de temporiser

– Non pas aujourd’hui, je ne me sens pas prêt !
– O.K. je vais t’aider !

Elle passe derrière moi, soulève ma chemise et m’attrape mes tétons qu’elle se met à me tortiller avec énergie. L’érection est immédiate.

– Alors, maintenant que tu es bien excité, tu vas sucer !
– J’ai dit : pas aujourd’hui !
– Il ne faut jamais remettre au lendemain ce que l’on peut faire le jour même.
– Peut-être mais je ne suis pas pédé !
– Et comme tu ne le seras sans doute jamais, si tu raisonnes comme ça, tu n’es pas près de te lancer. Alors mon petit bonhomme, tu vas me faire plaisir et tu vas au moins essayer, si tu bloques, je n’insisterais pas.

L’argument n’est point sot et va me permettre de tricher, je vais toucher cette bite avec ma bouche pendant cinq secondes et lui dire que je ne peux décidemment pas, après elle me foutra la paix.

– Bon alors j’essaie, mais j’essaie juste ! Hein ?
– Je vais commencer et je te la passerais !

Mais le dieu des hétéros a dû venir à mon secours, la bite à disparue de la cloison ! Ouf !

Marisa toque sur la paroi, sans résultat, elle s’en va donc de l’autre côté ! Toc. Toc ! Une bite apparaît ! Oh Non !

Elle embouche la queue bien bandée, me fait signe de venir à ses côtés et – moment fatidique – la sort de sa bouche pour me la refiler.

Me voilà avec une bite dans la bouche. Combien de temps vais-je la garder pour faire bonne figure ? Je donne un coup de langue, le contact me paraît agréable mais il faut que j’arrête. Marisa a posé sa main sur mon crane et m’empêche de me dégager. Certes cette contrainte est symbolique, mais du coup je continue, la texture est douce et puis ce que je fais est tellement pervers. Je suis dans une cabine de sex-shop avec une nymphomane et je suce une bite. !

Marisa me reprend la queue et suce à son tour, j’aurais donc dû en suivant ma logique d’il y a cinq minutes me relever et abandonner l’affaire, non je reste à ses côtés attendant qu’elle me la repasse, et je suce encore.

La lumière s’éteint, le temps imparti est écoulé, je suis presque déçu.

On repasse devant la caisse ! Marisa va-t-elle acheter de nouveaux jetons ?

– Vous êtes satisfaite de votre achat, Demande le caissier.
– Super, le gode est entré bien comme il faut dans le cul de ce jeune homme.

Je devais être rouge comme une tomate !

– On fait quoi ? Maintenant me demande Marisa.
– Je t’avais suggéré d’aller dans un magasin où il y a des cabines d’essayage…
– Ah, oui ! Ça tombe bien j’ai envie me m’acheter de nouveaux dessous très sexy tu vas pouvoir me conseiller, et m’aider à choisir…

On décide donc d’aller dans un grand magasin où il y a beaucoup de cabines. On se dirige vers le rayon des dessous féminins. Arrivée devant tous ces affriolants bouts de tissu, Marisa les trouve tous trop petits jusqu’à ce qu’elle aperçoive les soutien-gorge de taille 100 D. Je suis le seul homme dans ce rayon, ça me gêne un peu.

– Je vais voir si je trouve quelque chose dans le rayon pour homme.
– A non ! J’ai besoin de toi, aide-moi à choisir, dis-moi ce qui t’excite le plus parmi tout ça !

Je prends alors le plus sexy, c’est un soutien-gorge en dentelle, avec des mailles assez espacées, en plus il est ouvert sur le dessus. Je propose à Marisa de prendre la culotte assortie.

– Mais non, tu sais très bien que moi j’en porte presque jamais. Vas-y touche tu verras !

Je passe alors ma main sous sa jupe pour vérifier, et en effet elle est complètement nue dessous, ma main peut caresser ses belles fesses lisses. C’est à ce moment-là que deux autres clientes me surprennent la main sous la jupe. Je la retire aussitôt, mais elles m’ont vu. Avant avoir rencontré Marisa, il y à peine un jour et demi, j’aurais été très gêné et j’aurais sans doute rougi, mais avec tout ce que j’ai vécu durant ces dernières heures, m’être fait surprendre la main sous la jupe d’une femme, par d’autres m’excite beaucoup. Marisa s’en étant aperçue me dit de la suivre aux cabines tout en me mettant elle aussi la main au cul. Je choisis d’abord un slip moi aussi, et on rentre chacun de notre côté dans deux cabines mitoyennes.

Avant de fermer le rideau je vois juste rentrer dans les deux cabines d’en face, les deux femmes qui m’avaient vu passer la main sur les fesses de Marisa. Comme je suis un peu voyeur je me baisse pour regarder sous les rideaux des cabines d’essayage. Je peux ainsi voir la femme d’en face quitter ses chaussures, et laisser son pantalon tomber à terre suivi de sa culotte. De la savoir juste en face complètement nue m’excite tout d’un coup. J’ai très envie de me toucher, alors je quitte moi aussi mes chaussures, mon pantalon et mon slip. Je me baisse de nouveau pour voir les jambes dévêtues de ma voisine d’en face. Mais quel choc quand une fois baissé je me retrouve presque nez à nez avec elle, elle avait eu la même idée que moi, c’est sans doute le fait de m’avoir vu caresser Marisa qui lui a donné des idées cochonnes. Dès que je la vois qui me regarde, je me relève vite en rougissant, puis me rebaisse, et là elle ne me regarde plus mais au contraire elle est assise par terre les jambes bien écartées afin de me laisser admirer sa chatte entièrement rasée.

Mes fantasmes des cabines d’essayage sont en train de se réaliser, et apparemment elle aussi doit réaliser un de ses fantasmes, celui de s’exhiber en nu intégral, à moins que ce ne soit une habituée de ce genre de plaisir. Je suis donc là baissé, regardant cette femme m’exhibant son intimité, elle doit y prendre un grand plaisir car à peine elle commence à se toucher le clitoris que sa chatte commence à suinter la mouille. Quand ses parois vaginales sont assez tapissées de mouille à son goût elle s’y introduit un doigt puis deux, elle les remua à l’intérieur comme si elle cherchait quelque chose. Cette situation me produit une vive érection, ma bite atteint un durcissement ultime lorsqu’elle se cambre un peu sur le côté afin de me faire voir qu’en plus de se doigter la chatte elle aime aussi se pénétrer les doigts dans l’anus.

Après s’être bien remplie par tous les trous. Elle se rebaisse et me regarde pour me faire comprendre que c’est à mon tour de lui faire voir ce que j’aime me faire tout seul. Je m’assois alors comme elle, les jambes écartées, et je commence à me branler le sexe, je commence par la serrer dans ma main gauche, pour de petits va-et-vient, puis je me caresse les couilles. Elles sont pleines et ne demandent qu’à se vider. Je me lèche la main droite, j’y crache aussi dans la paume, et recommence à me masturber. Ça me procure une sensation plus intense qu’à l’habitude car je sais qu’une femme en chaleur me regarde en train de me toucher le sexe. La queue bien serrée dans la main, et bien lubrifiée par ma salive, je lui imprime un mouvement de piston de plus en plus rapide. Je prenais mon pied à me m’exhiber devant cette femme, jusqu’au moment où j’entendis Marisa taper contre la paroi.

– Ton slip te va ? J’arrive.

Elle quitte sa cabine, et rentre dans la mienne. Je lui explique en deux mots la situation, qui semble lui donner des idées.

– Si ça l’excite de te voir à poil en train de te toucher, ça va encore plus l’exciter de nous voir baiser tous les deux.

Marisa requitte ses vêtements qu’elle avait enfilés pour sortir de la cabine.

– Une pipe, ça te va ?
– Oh oui bien sûr, ça va exciter la belle salope d’en face.

Je lui mets ma bite dans la bouche, qu’elle s’applique à sucer sur toute sa longueur. Elle titille le bout de mon gland avec sa langue, et je sens l’orgasme arriver, mais avant que le jus arrive, la femme d’en face sans même avoir pris la précaution de se rhabiller, viens nous rejoindre dans la cabine. On est maintenant trois personnes à poil excités comme des bêtes dans une toute petite cabine. Notre invité nous dit qu’elle s’appelle Brigitte.

– Salut, je m’appelle Brigitte, j’en peux plus toute seule dans ma cabine, j’ai envie de vous, quand je t’ai vu toucher le cul de ton amie tu m’as tout de suite excitée ma copine et moi. Elle est timide, mais pas moi, j’ai envie de toi, je te veux en moi, tu m’as excité comme une bête depuis tout à l’heure.

Et sans ne plus rien dire elle prend ma bite toujours dure comme du bois et se l’enfonce dans son vagin tout lubrifié. Ça rentre très bien, et je m’y sens bien, elle est chaude. Elle est allongée sur le dos les jambes en l’air contre la paroi de la cabine. Moi je monte et je descends dans son trou baveux, en frottant mon dos contre la paroi. Marisa, qui s’est vue obligée d’interrompre la pipe, décide de compenser.

– Brigitte, tu m’as interrompu en train de sucer Bertrand, alors pour te faire pardonner lèche-moi la chatte, Au fait je m’appelle Marisa.
– Avec plaisir, mais j’ai jamais vu une chatte aussi mouillée que la tienne.
– Je ne te demande pas de commenter ma chatte, mais de la lécher, Bertrand l’aime comme elle l’est, et toi aussi tu vas l’aimer.

Pendant qu’elle pénètre sa langue entre les poils pour lécher la chatte de Marisa, je lui défonce son orifice qui ne demande que ça. Elle est d’ailleurs forcée de s’arrêter de lécher, je l’ai tellement bourrée qu’elle est prise d’un intense orgasme. Son frisson prouve qu’elle jouit à fond.

– Je vais bientôt plus pouvoir tenir, je vais exploser moi aussi.

Marisa met alors son visage près de celui de Brigitte.

– Vas-y ! Décharge-nous en pleine figure.

Ça n’a pas tardé à sortir, j’ai empoigné ma bite pour les arroser de toute ma crème blanche et épaisse. Je me suis vidé sur leurs visages de salopes en chaleur. Elles ont eu chacune leur part mais en voulaient encore, elles se sont alors léchées le visage pour recueillir mon sperme et l’avaler. Une fois cela fini, elles en avaient plus une trace sur leurs beaux visages et ne devait plus avoir faim avec tout ce qu’elles venaient d’avaler. Nos esprits repris, on s’est rhabillé et on est sorti. On a retrouvé l’amie de Brigitte dehors.

– Je vous présente Lucie.
– Bonjour, enchantée, vous avez du bien vous amuser, vous êtes en nage.
– Oui, c’est vrai qu’on s’est bien amusé, tu as raté quelque chose.
– Mais tu ne l’auras pas raté longtemps. Ce serait bien qu’on se voit tous les quatre ce soir, on vous invite à manger et sûrement bien d’autres choses.
– Oh oui venez ! Rajoute Lucie.
– Oui pourquoi pas ! Répond Marisa.
– Mais attention on est parfois très cochonnes, un peu limite.
– Limite, Ça veut dire pipi caca ? Demande Marisa d’un air innocent.
– Hé, hé ! Peut-être !

Marisa me demande ce que j’ai choisi comme slip, je lui montre. Manifestement il ne lui plait pas.

– Il est moche ton truc ! Pourquoi tu n’achètes pas une culotte de femme, c’est bien plus doux et ta bite sera contente, viens je vais t’en choisir deux ou trois…

Ça me fait drôle de porter ces trucs-là d’autant qu’il n’y a pas beaucoup de place, je me fais la réflexion que quand je vais bander, ma bite va s’échapper.

Marisa nous conduisit en voiture chez Brigitte et Lucie. Ce sont à l’évidence deux bisexuelles. Je ne sais pas si Lucie est aussi chaude que Brigitte, mais si c’est le cas ça promet ! Après cette petite balade en voiture on arrive à l’appartement qui se situe dans la banlieue de Genève. Elles habitent au cinquième étage. Pendant que Brigitte ouvre la porte Lucie se retourne et nous fait un petit sourire à moi et à Marisa. Je me dis alors que Lucie n’est pas aussi timide que Brigitte nous l’a dit.

– Voilà on y est, rentrez donc.

Leur appartement est joli et bien décoré. Lucie met une petite musique d’ambiance, et Brigitte nous demande si on veut boire quelque chose. Marisa accepte bien un petit verre tout comme Lucie.

– Bon, tout le monde sait qu’on est là pour baiser, alors on ne va pas faire de manières, on se fout tous à poil ! Propose Brigitte.

C’est direct mais c’est ce que tout le monde veut, alors on s’est tous déshabillés. Pour l’ambiance Brigitte a mis une cassette porno déjà commencée à la télévision, comme ça l’ambiance a tout de suite été très chaude et on a commencé nos ébats. Je m’avance au centre de la pièce sur le tapis, je m’allonge et je dis :

– Allez-y je suis entièrement à vous, faites de mon corps ce que vous voulez.

Je n’avais jamais eu trois femmes rien que pour moi. J’allais m’éclater. Lucie commence la première, elle a envie d’avoir mon sexe en elle, alors elle vient au-dessus de moi et s’empale sur ma bite toute dure. Marisa a envie de partager mon plaisir en m’embrassant à pleine bouche. Brigitte s’approche du cul de Marisa comme une chienne, lui renifle et commence à le lui lécher. Tout en continuant à m’embrasser je sens Marisa se tortiller. C’est Brigitte qui lui enfonce sa langue dans le cul.

– Oh oui, Ah, remue la bien ta langue de chienne. T’aimes ça me lécher mon trou du cul plein de merde ?
– J’aimerais bien qu’il soit plein de merde ! Répond Brigitte !
– Désolé j’ai pas envie.
– Tu ne veux pas essayer ! Juste une petite crotte ?
– Mets moi un doigt dans le cul, tu verras bien s’il y a quelque chose !

Du coup elles se sont écartées de moi. Pas bien grave Lucie continue à me chevaucher

Brigitte introduit ses doigts dans le cul de Marisa et se met à touiller. Elle les ressort tout merdeux.

– Je savais bien qu’il y avait quelque chose.

Les deux filles commencent à se lécher les doigts et à se barbouiller le visage avec la merde. Ça me gêne un peu, si j’avais su que ce serait une soirée scato, je ne serais pas venue.

Lucie vient de jouir, elle est super rapide, cette fille, du coup elle se relève et aperçoit ce que font les deux autres filles.

– Tu as vu ces cochonnes ? Toi aussi tu aimes ces trucs-là.

Je cherche quelque chose d’intelligent à répondre.

– Ben…
– Tu veux que j’essaie de te chier dessus.
– Non, peut-être pas !
– Mais si on rigole, on s’amuse, tu vas voir c’est génial !

Je ferme les yeux et j’essaie de réfléchir ! Invoquer un mal de tête et rentrer. Mais comment ? C’est Marisa qui conduisait et je sais à peine où nous sommes.

Je rouvre les yeux.

Bertrand et Lucie, puisque vous avez les mains propres, si vous pouviez roulez le tapis et le mettre sur le balcon.

Ah ! Sauvé par le gong ? Peut-être pas. En dessous c’est du carrelage. Ça sent les jeux humides cette petite préparation !

– Alors tu t’allonges ? Me demande Lucie, magnifique dans sa nudité.
– Je ne veux pas que tu me fasses dessus !
– Juste pipi alors ?
– Pipi, je veux bien !
– Alors on y va ! En position jeune homme !

Je m’allonge sur le sol, Lucie s’accroupit, la chatte à une dizaine de centimètres de ma bouche et ouvre toute de suite les vannes, j’en avale un peu, j’avoue trouver son pipi délicieux. Comme quoi le gout évolue vite.

– Et maintenant caca !
– Non !
– Mais c’est que j’ai envie, moi !
– Tu ne fais pas sur moi !
– Hé, les filles, Bertrand ne veut pas que je lui chie dessus.
– Ben enfin ça ne se fait pas de refuser un cadeau ! Rigole Brigitte.
– Moi je le veux bien ton cadeau, viens faire sur moi. ! Ajoute Marisa.
– Mais c’est sur lui que je veux faire ! Répond Lucie.

Elles sont là toutes les trois à me narguer. Je fini par me dire que je n’en mourrai pas et qu’ensuite on pourra jouer à des jeux plus soft.

– Bon vas-y ! Je ne dis plus rien !

Lucie me chevauche et commence à pousser. Un bout s’étron se présente à la sortie de son cul. Curieusement alors que jusqu’ici j’étais partagé entre fascination et répulsion devant ce genre de spectacle, en ce moment c’est nettement la fascination qui domine.

Cette merde qui s’allonge et qui s’apprête à me tomber dessus, je la trouve très belle. Le boudin m’atterrit sur ma poitrine en s’entortillant.

– Et maintenant, tu me nettoies le cul !

Je suis complétement parti je ne sais où et je me mets à l’écher la merde qui lui restée collée au bord de l’anus.

Lucie ramasse l’étron et se badigeonne les seins et le visage avec puis revient se faire défoncer la chatte sur ma bite. Elle remonte son corps le long de ma queue et une fois en haut elle se relâche pour de nouveau s’empaler dessus. J’aime voir ses seins lourds recouvert de merde qui se balancent dans tous les sens. Elle n’a pas des gros nichons comme des pamplemousses comme Marisa, les siens sont longs. Alors quand elle s’agite sur ma bite, ses deux grosses masses se balancent et viennent lui taper sur le ventre. Moi je reste allongé.

Lucie retire ma queue de son trou élargi, elle en peut plus, elle est exténuée. Brigitte me fait signe qu’elle veut bien jouer avec moi.

Elle m’offre ses nichons maculés de merde à sucer. Je n’aurais jamais cru prendre autant de plaisir pervers à sucer un téton merdeux.

-. Mets-toi à quatre pattes et lève bien les fesses.

Je m’avance et lui enfonce ma bite dans l’anus. Elle s’y enfonce comme dans du beurre alors Brigitte pousse un râle de plaisir.

– Vas-y à fond, encule-moi bien profond !

Je lui défonce ainsi le postérieur comme un damné. Brigitte n’a plus l’orifice étroit ce qui me permet de bien aller la ramoner jusqu’au fond. Elle s’écroule sur le sol prise de décharges électriques tellement elle jouit. Je me propose d’éjaculer sur elle et je me branle jusqu’au bout afin de faire sortir le maximum de crème sur les nichons de Brigitte. Je lui explose dessus, elle en a de partout, ça coule le long de sa grosse mamelle en se mélangeant à la merde. Elle se prend un sein dans la main pour l’amener à la bouche et lécher ce curieux mélange Lucie et Marisa lui lèchent le second. Elles en ont plein sur le bord des lèvres, comme quand on mange un mélange de yaourt et de crème au chocolat. Elles lèchent et avalent. C’est vraiment trois petites salopes !

A suivre

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2 réponses à Marisa à l’hôtel – 2 – Dévergondages par Sylvain_Zerberg

  1. michel dit :

    je trouve ce récit appréciable, moi de mon coté c’est une femme qui m’a expérimenté sur ce genre de pratique, et j’essaie de renouveler de temps a autre

  2. Claire dit :

    Le délire est nettement assumé, peut-être même un peu de trop, la scène de la cabine d’essayage est sans doute trop délirante. Mais ça reste très agréable à lire et puis c’est sans tabous, j’aime bien.

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