Madame Duval
Samedi matin
Je suis Eric Dalu, 40 ans, employé d’assurance et… ça y est : Je suis tout seul à la maison, ma femme a emmené hier soir les gosses dix jours à la mer. Je vais pouvoir m’organiser une petite semaine de célibataire bien pépère.
Cette nuit, je n’ai presque pas dormi, j’ai surfé sur Internet jusqu’à 4 heures du mat, et après j’ai eu du mal à trouver le sommeil. Du coup, ce matin, je me suis passé un petit DVD que je n’ai pas l’occasion de voir souvent, il n’y a pas d’histoire, c’est juste une séance de domination.
La maitresse est splendide, visage de déesse, cheveux de feu et poitrine de rêve, elle domine deux mecs, les frappe, les humilie, les sodomise, elle leur pisse dessus, les oblige à se sucer la bite. Bref tous mes fantasmes ! Dommage que je ne comprenne pas toutes les paroles, c’est en anglais. J’ai regardé ça à poil, un gode dans le cul et des pinces aux seins, au bout d’un quart d’heure, je n’en pouvais plus, je me suis fait jouir.
Comment ça ? Je suis un pervers ?
Il est dix heures du matin, je pars en courses, je vais me faire à bouffer des bons petits trucs que je ne mange jamais avec ma femme…
A 11 heures en rentrant, mon cabas à la main, je croise dans l’escalier Madame Duval, ma voisine de palier Quand elle me voit, elle me gratifie d’un sourire format XXL
– Alors monsieur Dalu, votre petite famille vous a abandonné ?
– Eh oui !
– Vous serez content de les retrouver après !
– Ben oui !
Je n’ai vraiment pas envie de faire la conversation, Madame Duval vit seule, vieille fille, veuve ou divorcée, je n’en sais fichtre rien et je m’en fous.
– Bon j’y vais !
Je me retourne, sans trop savoir pourquoi. Elle s’est vêtue d’une jolie robe assez décolletée dans le dos et découvrant les épaules. Elle se retourne et m’adresse son sourire magique, un beau sourire que je lui rends volontiers. Elle doit bien avoir 50 ans, la mère Duval, mais elle est remarquablement conservée, pas du tout le genre mémère, elle a une certaine élégance naturelle que vient renforcer sa taille supérieure à la moyenne. Sa peau est légèrement mate, et ses cheveux sont blond vénitien. Je n’arrive pas à comprendre qu’avec le charme qu’elle a, elle n’arrive pas à (re)trouver un compagnon.
Chez moi, je range mes courses, et prends la résolution d’entreprendre d’entamer le programme de bricolage que m’a laissé ma chère et tendre, mais avant je me mets dans le fauteuil, et bouquine une petite bande dessinée prétendument coquine, mais qui finit par m’endormir.
On sonne à la porte. Un coup d’œil à la pendule, une heure est passée, il est midi. Je n’attends personne et ai horreur des casse-pieds, je vais quand même voir, j’ouvre, c’est madame Duval :
– Monsieur Dalu, j’ai une fuite d’eau dans ma cuisine, si vous pouviez venir voir ?
On y va ! Effectivement il y a une marre de flotte dans la cuisine que des vieux journaux tentent d’éponger. Elle a cherché d’où ça venait et a sorti d’un placard un impossible bric-à-brac de casseroles, de poêles et autres ustensiles qui encombrent toute la pièce. Je lui demande de rétablir l’arrivée d’eau, je repère facilement l’origine de la fuite sous une vis de raccordement, sans doute un joint.
– J’espère que c’est le joint, je vais en chercher, recoupez l’eau en attendant.
Je reviens quelques instants plus tard avec les joints et équipé de deux pinces, et m’apprête à opérer, le problème avec ses trucs là c’est qu’on ne sait jamais dans quel sens aller, je serre le raccord, et prépare mes forces, pour rien, ça se dévisse tout seul, je change de sens et resserre à fond. Je lui demande de remettre l’eau, il n’y plus de fuite. Inutile de changer le joint. J’ai du mal à comprendre. Depuis quand les raccordements se dévissent-ils tout seuls ?
– C’était pas vissé à fond, il n’y a plus de fuite !
– Oh ! Merci ! Merci ! Je me voyais déjà galérer en essayant de chercher un plombier en plein mois d’Août !
– Bon, je vous laisse !
– Pas question ! Il faut que je vous remercie, il est l’heure de l’apéritif de toute façon.
– Vite fait sur le pouce, alors ! Parce que j’ai un de ces boulots ! Mon épouse m’a laissé une liste de bricolage…
C’est archi faux, si je me débrouille bien, tout cela sera terminé en quelques heures, et après à moi la liberté. Madame Duval me sert un whisky et s’assied devant moi, croisant ses jambes ce qui a pour effet de faire remonter sa robe jusqu’à mi-cuisse. Son bronzage est parfait.
– Vous avez eu beau temps on dirait ! Déclarais-je histoire de dire quelque chose d’original.
– Vous avez vu un peu les jambes ! Répond-elle. Et je vous dis pas le reste !
J’ouvre des grands yeux approbateurs.
– Tout est bronzé comme ça ? Demandais-je, un peu conscient quand même de devenir indiscret.
– Tout !
– Vous faites du naturisme ?
– Oui, au Cap d’Agde, j’adore être à poil !
– J’aurais eu du plaisir à vous voir sur la plage.
– Coquin ! Je suis sûr que vous ne me croyez pas !
– Si ! Si ! Je vous crois ! Mais le croire est une chose…
– Le voir en est une autre, c’est cela ?
– Je n’aurais pas osé vous le dire !
– Je veux bien vous montrer mais juste deux secondes !
Jusqu’à présent la situation m’amusait, mais là ça risque de basculer, il me suffit de tout arrêter, mais je n’en ai pas envie, je la laisse faire. L’espace d’un instant elle fait surgir un sein de sa robe, un joli globe effectivement bien bronzé ! Il n’y a que deux solutions ou elle m’allume, ou elle me teste, on verra bien.
– Vous me croyez maintenant ?
– Je n’ai rien vu !
– Menteur !
– Vous ne voulez pas recommencer, juste un petit peu ?
– Vous n’êtes pas très sérieux pour un homme marié ! Dit-elle sur le ton de la plaisanterie.
– Sans doute, mais mettez-vous à ma place !
– C’est quoi le bricolage que vous avez à faire ?
Qu’est ce que ça peut lui foutre ? Et puis pourquoi ce brusque changement de conversation alors que ça dérapait bien ? A quoi joue-t-elle ?
– Rien de sensationnel, des tiroirs à recoller, un machin à décaper et à revernir, une porte à raboter et j’en passe !
La conversation est maintenant complètement banalisée. Elle a eu une mini pulsion exhibitionniste et c’est tout ! Qu’est ce que je m’imaginais ? Je finis mon apéro, souhaitant abréger.
– Bon, je vais vous laisser !
– Vous allez manger ?
– Je ne sais pas, je n’ai pas très faim, je vais juste grignoter, je mangerais mieux ce soir !
– Et vous aviez prévu autre chose, ce soir ?
Je ne vais pas lui dire ce que j’avais prévu, j’avais prévu un bon petit repas en solo, quelques DVD pornos, à moins que mon inspiration me pousse à aller faire un tour je ne sais où.
– Rien de spécial ? Mentis-je
– Et si je vous invitais ?
J’hésite ! Tout à l’heure elle m’a juste allumé, ou elle a envie d’aller plus loin ? Je crois que je vais accepter, mais par jeu j’ai envie de me faire prier.
– Non, merci, vous êtes gentille, mais non…
– Ma compagnie ne vous plait pas ?
– La question n’est pas là !
– Alors tant pis, mais avant que vous partiez, il faut que je vous parle d’un petit problème mitoyen, rien de grave, mais autant que vous sachiez…
Elle me montre le mur de sa salle à manger, celui qui est mitoyen avec mon appartement.
– Ici c’est ma salle à manger, je ne m’en sers pas souvent, je ne reçois pas grand monde, mais toutes les semaines, il faut bien que je fasse le ménage !
Qu’est ce qu’elle va me sortir ?
– Donc ce matin, je faisais le ménage, et j’ai entendu que vous vous passiez un film.
Je blêmis… heureusement que le machin était en anglais.
– Ça avait l’air d’être chaud, votre truc… Ah ! Oui, il faut que je vous dise, je comprends parfaitement l’anglais.
– Je suis désolé, il fallait frapper et me demander de baisser le son ! Répondis-je ayant conscience de dire n’importe quoi.
– Auriez-vous des fantasmes de soumission, cher voisin ?
– Heu, je vais peut-être vous laisser, Madame Duval !
– Parce que si c’est le cas, figurez-vous que moi j’aurais plutôt des fantasmes de domination. On pourrait peut-être faire quelque chose ensemble ?
Je suis mal, très mal. Ne pas rester là, surtout ne pas rester.
– J’y vais, Madame Duval…
– Eric !
Voilà qu’elle m’appelle par mon prénom à présent !
– Oui !
– J’ai encore quelque chose à vous dire !
Putain, qu’est ce que ça peut bien être ?
– Venez, je vais vous montrer autre chose ! reprend-elle.
Je la suis… dans sa chambre… Oh, là là !
– Si vous pouviez m’attrapez ce sac de voyage qui est en haut de l’armoire… Attention, il doit y avoir de la poussière…
Ouf ! Ce n’était que ça ! Je descends le machin.
– Attendez !
Attendez quoi ?
Elle revient avec un torchon humide, et fait le geste d’enlever la couche de poussière. Quelque chose cloche, je suis persuadé qu’il n’y avait aucune poussière. A quoi rime alors ce cinéma. Elle ouvre le sac, fouille dedans, et en extrait un superbe martinet !
– Il est beau, hein ? Me dit-elle.
Il n’est pas beau, il est bizarre, le manche tout noir représente un sexe masculin en érection, je suppose qu’il peut donc aussi servir de gode.
– Bon, je peux vous laisser, maintenant, madame Duval ?
– Eric !
– Oui ?
– Ne bouge pas !
Elle s’approche de moi, met la main sur mon torse, elle n’a pas de mal à trouver mon téton qui pointe sous mon fin tee-shirt d’été. Elle me le serre. C’est trop bon, je me laisse faire. Je bande. Attention à l’engrenage ! Et la voila qui se déshabille et m’exhibe ses gros nichons ! Comment voulez-vous que je résiste ?
– On va jouer ! A genoux, Eric !
J’obéis.
– Fais descendre mon pantalon !
J’obéis, elle me demande ensuite de lui caresser les cuisses, puis d’approcher mon nez de sa culotte.
– Alors ça sent bon ?
– Oui ! Répondis-je
– On dit : « oui, Madame Duval »
– Oui, Madame Duval.
– Mets-toi à poil, ça sera mieux.
Je me déshabille, résigné et excité. !
– Mais c’est que tu bandes ? Me dit-elle en me touchant la bite.
– Ben oui…
– C’est la situation qui t’excite ou c’est moi ?
– Les deux je pense.
– Remets-toi à genoux et descend ma culotte.
Je le fais, ses poils sont rasés en « maillot », mais ce qui reste est abondant.
– Renifle ! Je n’ai pas pu me laver ce matin, j’avais coupé l’eau. Tu renifles, c’est tout, tu auras le droit de lécher quand j’aurais fait pipi, par contre derrière tu peux y aller, ajouta-t-elle en se tournant, tu peux me lécher le trou de mon cul. Allez mieux que ça, je veux sentir ta langue.
C’est vrai que ça ne sent pas la rose, malgré tout cette odeur ne me laisse pas indifférent. Et puis il y a des traces un peu suspectes, Madame Duval ne saurait-elle pas s’essuyer correctement ?
– Je suis allergique au papier à cul, je me nettoie à l’eau quand je fais caca, mais là je n’avais pas d’eau.
Trop excité, je colle mon visage entre les deux délicieuses fesses, à la peau si douce, et m’appliqua à lécher la raie de haut en bas, peu gêné, je dois le dire, par les quelques traces suspectes.
– Alors il a quel goût mon cul ?
– Un peu fort !
– Mais ça te plait ?
– Oui !
– On dit « oui, Madame Duval »
– Oui, Madame Duval.
– Tu es un cochon, Eric. Allez, continue, je veux que tu rentres bien ta langue.
Je fais de mon mieux, son œillet s’ouvre légèrement.
– Ça te plait de lécher ma merde ?
– Oui madame Duval !
– Bon, relève-toi, et couche-toi sur le lit, je vais te rougir le cul.
C’est dingue, moi qui envisageait plus ou moins de me payer une petite séance de domination chez une professionnelle, voilà que je vais avoir droit à une partie gratuite.
– Pas trop fort !
– T’inquiètes, pas mon biquet, je ne suis pas une brute !
Les coups pleuvent ! J’aime bien qu’on me flagelle les fesses, je demande quand même :
– Ne me marquez pas !
– Ne t’inquiètes pas, je sais faire.
Je subis comme ça une cinquantaine de coups.
– Relève tes cuisses et tends bien ton cul, je vais t’enculer avec un gode.
Ben voyons !
– Suce-le avant, suce-le bien, comme si c’était une bite !
En voilà une idée ! Je suce le machin, ça ne me passionne absolument pas, sucer du plastique ne fait pas partie de mes fantasmes. Mais je sais que les dominatrices aiment bien faire sucer des godes à leur soumis.
– Tu préfèrerais que ce soit une vraie bite ?
Je fais l’erreur de ne pas répondre.
– Parce que si vraiment tu aimes les bites, je peux t’arranger ça ?
Je ne réponds toujours pas.
– Nous reprendrons cette conversation tout à l’heure, en attendant tourne-toi que je t’encule.
Je le fais. Elle me tartine le cul avec du gel.
– Tu n’as jamais essayé de demander à ta femme de te le faire
– Si, j’ai essayé, mais j’ai laissé tomber, elle est bloquée sur le sujet.
– Allez ouvre-toi bien, j’y vais !
– Vas-y, encule-moi !
– C’est ce que je fais !
– C’est bon, hein ?
– Ouiiiiiii
– T’as déjà essayé avec une vraie bite ?
Mais c’est qu’elle insiste.
– Oui une fois, mais ça ne l’a pas fait !
– Raconte !
– J’étais allé voir une maîtresse, une pro pour me faire dominer, il y avait déjà un mec qui était là attaché. Elle m’a d’abord godé, puis elle m’a ordonné d’aller le sucer. Je l’ai fait sans hésiter, ça n’avait pas été une corvée, et quand elle a demandé au mec de m’enculer, je n’ai pas protesté, mais il n’a jamais réussi à me pénétrer.
– Et tu n’as jamais eu envie de recommencer ?
– Disons que l’occasion ne s’est jamais représentée. C’est que ce n’est pas donné ces séances…
– O.K. ! C’est bon ce que je te fais ? C’est bon de sentir un bon gode dans ton cul d’enculé ?
– Mwouiiiiii !
Au bout de dix minutes, elle arrête ce cirque, j’ai le cul en chou-fleur, mais je suis bien, je bande et j’ai envie de jouir.
– Tu m’as bien excité mon salaud ! Maintenant tu vas me lécher. Non attends, approche-toi et ouvre bien la bouche je vais te faire boire ma pisse.
Je me positionne mon visage à quelques centimètres de sa chatte. Elle n’avait pas une grosse envie mais l’urine qu’elle m’offre est délicieuse et je m’en régale
Elle m’offre ensuite sa chatte béante et dégoulinante, je la lèche, je ne fais pas ça si souvent, ma femme n’appréciant pas trop. L’affaire ne dure pas très longtemps, elle est bientôt envahie de spasmes et se met à tressauter dans son fauteuil en finissant par gueuler comme une baleine.
Elle me regarde avec un curieux sourire, et moi je suis là, la bite toute raide. J’attends d’elle une initiative qui ne vient pas.
– On fais quoi, maintenant ? Osais-je.
– Mais ce que tu veux, mon chéri !
– Tu me suces ?
– Bien sûr, mais à une condition.
– Oui ?
– Tu es mon invité ce soir !
– On ne sera que tous les deux ?
– Ben, non justement ! J’ai envie de te regarder en train de te faire enculer
– Il faudrait que le mec me plaise !
Horreur, je viens de me rendre compte qu’au lieu de refuser, je ne fais que temporiser.
– C’est quelqu’un de très sympa. Je viendrais te chercher entre 19 et 20 heures. Tu verras, il a une très belle bite, tu vas aimer la sucer.
Parfait, si je veux y échapper, je n’aurais qu’à sortir à cette heure-là.
Je rentre chez moi, du coup, j’ai un petit creux et m’ouvre une boite de sardines.
Et puis je réalise : j’ai été tellement surpris par ses derniers propos m’annonçant la présence d’un autre homme de soir, que j’en ai oublié la pipe qu’elle m’avait promis.
Non, en fait non, elle m’avait promis une pipe si j’acceptais l’invitation, or je ne l’ai pas accepté formellement !
Je me suis lancé dans le bricolage afin de m’occuper l’esprit. Je ne vais pas me compliquer la vie, quand Madame Duval viendra me chercher, je verrai bien à qui j’ai affaire, si le mec ne me branche pas, je ne resterai pas, ça a le mérite d’être simple.
Je me dis que quand même si je tombe sur un mec cool, ce serait fabuleux. J’ai vraiment envie, très envie de sucer de la bite, et de me faire prendre.
Vers 16 heures j’ai un gros coup de pompe, et décide de me reposer une heure sur le canapé.
A 19 heures et quelques bananes, Madame Duval sonne à ma porte. Jolie robe noire, très décolletée, elle m’excite, elle m’excite…
– Je viens te chercher ! Toujours décidé ! Dit-elle
– On va voir, je ne promets rien.
Je m’attendais à voir un mec dans les quarante ans, ce n’est pas tout à fait ça, et d’abord au lieu d’une personne, j’en découvre trois.
Présentations : Lucas est un jeune homme, la vingtaine, très fin, jolie tronche, les traits très légèrement efféminés, des mèches blondes décolorées, des boucles d’oreille. Il me fait la bise en mettant la main au paquet. C’est ce qui s’appelle annoncer la couleur, mais je ne proteste pas. Muriel et René sont un couple de cinquantenaire. Lui barbichu grisonnant, un peu bedonnant à l’abord sympathique, elle fausse blonde sur le retour, très distinguée, joli sourire. On se fait des bisous de bienvenus. Je crois que je vais rester.
– Bon, placez-vous là, tous les quatre. Vous ne vous connaissez pas tous, mais ce n’est pas grave, j’ai prévu un petit buffet avec de quoi grignoter, mais on est là pour faire du sexe. Alors ce soir c’est moi la chef, c’est moi qui vous donnerais des ordres, vous serez mes petits esclaves, tout le monde est d’accord. ? des questions ? Non pas de questions, alors venez on va trinquer.
L’apéro fut ultra rapide puisqu’au bout d’un moment Madame Duval ordonnait : t
– Muriel tu va aller sucer Lucas.
L’intéressée ne se le fait pas dire deux fois et s’en va fouiller dans le pantalon du jeune éphèbe, lui sort sa bite et l’embouche goulûment.
– Ça te plait, toi de voir ta femme sucer des bites ? Demande Madame Duval à René.
– Oui bien sûr ! J’aime bien quand elle fait la salope.
– Mets toi à poil !
Le mec se déshabille, à poil il n’a rien de terrible mais la bite est jolie. Madame Duval s’adresse à moi :
– Tu vas le caresser, mais pour l’instant tu ne touche pas à sa queue !
Caresser un mec ? Voilà qui ne me branche pas du tout, mais bon, j’obéis, le type cherche ma bouche. Horreur ! Je me dégage un instant avant de me rendre compte que si je me défile, je ne suis pas près de lui sucer sa bite, je me laisse donc faire, ça ne m’a pas tué.
Madame Duval passe à côté de nous et me demande de pincer les tétons de René. No problème, je pince le monsieur. Et alors là c’est magique ! Sa bite se met à jouer les étendards. Bien droite, bien bandée, le gland décalotté et brillant, j’en ai l’eau à la bouche.
Qu’est-ce qu’elle attend pour me demander de le sucer ?
– Déshabille-toi ! M’ordonne-t-elle.
Après l’avoir fait, Madame Duval interpelle les trois invités et me montre du doigt :
– Regardez comme il a un beau petit cul ! Un cul qui mérite bien qu’on l’encule, vous pouvez venir le peloter et même lui mettre un doigt dans le cul, il n’a rien à dire, c’est un esclave.
J’aime pas trop ça ! On me tripote, un doigt m’entre dans le cul, je ne sais même pas à qui il appartient. Heureusement ce cirque ne dure pas très longtemps, et l’ordre attendu vient enfin !
– Suce la bite ! Suce la bite de René !
Je m’accroupis et embouche le braquemart bandé du quinquagénaire. Je me régale ! Qu’est ce qu’elle est bonne sa bite, je fais de grands aller et retours dans ma bouche, je fais virevolter ma langue contre son gland, je suis aux anges.
– L’une après l’autre ! Me dit Madame Duval
Je découvre alors Lucas à côté de René qui à son tour vient se faire sucer la bite ! C’est réellement la fête, je voulais sucer une bite, voilà que j’en ai deux à ma disposition. J’alterne les deux bites, celle de Lucas est un peu plus petite que celle de René et bande moins fort, mais je m’applique.
Madame Duval fait se retourner les deux hommes.
– Maintenant lèche-leur le trou du cul !
Voila qui me plait beaucoup moins, mais je ne me vois pas refuser, je lèche donc les culs de ces deux cochons.
– Mieux que ça ! Viens me dire Madame Duval, il fait que ta langue entre dans le trou du cul.
Elle est marrante, elle, c’est que je n’ai jamais fait ça, moi ! Je m’applique et m’aperçois que j’ai un troisième cul à lécher, celui de Muriel. Et son cul je l’aime bien.
Et puis vint l’ordre :
– Eric en levrette !
Ça y est, je vais passer à la casserole ! Je me positionne, prêt pour la suite.
– Tu sais ce qui va t’arriver, maintenant ? Me demande Madame Duval.
– Je m’en doute un peu !
– Certes, mais je veux l’entendre.
– Je vais me faire sodomiser !
– Je préfère un mot plus cru
– Je vais me faire enculer !
– Alors on y va !
C’est Lucas qui s’y colle ! Il vient derrière moi après s’être encapoté. Le souci c’est que je suis un peu serré.
Qu’à cela ne tienne, Muriel s’empare d’un gode sorti de je ne sais pas où et me l’introduit avec tact afin de rendre mon trou de balle béant. Trois minutes plus tard, Lucas pénétrait sa bite dans mon cul.
Bizarrement, ça me fait un peu mal, alors que le gode me faisait du bien. Je proteste mollement
– Ta gueule, enculé, dans une minute tu en redemanderas
Effectivement, une sensation de bien-être commence à m’envahir, je suis bien. René vient à la hauteur de mon visage pour que je lui suce la bite. Une queue dans la bouche et une autre dans le cul, je vous dis, c’est la fête.
Sur un signe de Madame Duval, les deux hommes échangent leur rôle, j’ai maintenant René derrière, il m’encule mieux, plus doucement, un vrai plaisir Lucas vient devant, et je le suce, mais pas très longtemps, Muriel le réclamant afin d’avaler son sperme. René accélère me provoquant d’intenses frétillements de plaisir. La cadence devient infernale et je devine alors qu’il vient de jouir.
Il se retire me laissant le cul béant.
– Alors, enculé, c’était bon ? Me demande Madame Duval.
– Super !
Madame Duval s’approche de Muriel et lui ordonne de lui lécher les seins ce que cette dernière accepte avec une bonne volonté qui fait plaisir à voir, puis notre hôtesse s’assoit dans un moelleux fauteuil, sa partenaire vient entre ses jambes la lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Madame Duval est pantelante, Madame Duval transpire, c’est très beau une femme qui vient de jouir.
Elle reprend vite ses esprits :
– Maintenant tu vas enculer Muriel, cette grosse pute adore se faire prendre par des petits pédés suceurs de bites.
Je ne saurais refuser une telle proposition. Je prends la dame tandis que René ravi du spectacle se branlotte mollement.
Temps calme, tout le monde a joui, on se rafraîchit, on s’essuie, on s’allume des cigarettes, on boit un coup. René s’approche du buffet et se sert du saucisson, je fais pareil, je m’assois et René vient à mes côtés, tandis que Lucas a filé à l’anglaise.
Les doigts de René s’approchent de mes tétons et les asticotent, je me laisse faire, et recommence à bandouiller. Le problème c’est que j’ai envie de pisser. Je lui dis.
– Si tu veux me pisser dessus, te gênes pas ! Qu’il me répond.
Un peu surpris, mais en même temps amusé, je suis allé avec lui pour l’arroser dans les toilettes.
Quelle envie de pisser, mes amis ! Mais qu’est-ce que je fous là, sur MON canapé ?
Je vais aux toilettes, dans MES toilettes, il est 17 heures, je pisse d’abondance, j’ai rêvé tout ça !
Il ne me reste plus qu’à prendre une douche et à attendre, que Madame Duval vienne me chercher, la réalité sera-t-elle à la hauteur de mon rêve ? C’est que j’ai très envie de sucer de la bite, moi !
FIN
Moi, un jour j’ai baisé ma voisine. Résultat son mari ma cassé la gueule et je me suis retrouvé avec 8 jours d’incapacité de travail.
Ah ! Lécher le cul de la voisine quand elle revient des courses et qu’elle a eu un peu chaud
J’ai longtemps fantasmé sur une voisine, une grande perche avec un visage atypique, Un jour elle m’a sollicité pour réparer une étagère. J’espérais qu’il se passe quelque chose. Ben non !
Qui n’a jamais fantasmé sur une belle voisine d’âge mur qui nous ferais plein de petites misères ?
J’adore ce récit ! Ma bite aussi !
J’ai adoré ♥
Madame Duval, je t’aime !
Très bon, malgré la fin trop facile
ça devient une manie chez Estonius, il nous raconte une belle histoire bien bandante, ne sait pas la terminé et reveille le narrateur
Pourquoi je n’ai pas une voisine comme ça, moi ?
Quelle fin cruelle !
Mais merci pour ce texte