Ma petite vie gay 9 – Une journée bien remplie par Emmanuel_2

Ma petite vie gay
9 – Une journée bien remplie
par Emmanuel_2

La journée avait commencé merveilleusement avec juste ce qu’il faut de fraîcheur et une lumière douce qui vous donne envie de vous évader du quotidien. La veille au soir j’avais appelé une amie intime, Martine, ma petite Chérie. Après lui avoir dit que je devais aller me faire épiler et que je voulais aussi me balader le lendemain, nous avions concocté une sortie d’enfer. Ayant rendez-vous à 10H je passerais la prendre puis elle m’accompagnerait à mon rendez-vous, puis déjeuner chez une de ses amies de corps. L’après-midi elle avait proposé une exposition qui –selon elle – me passionnerait.

Le lendemain matin après m’être sorti difficilement des bras trop câlins d’un amant me voila donc sonnant chez Martine. Son amante Marie vient m’ouvrir, toujours aussi désirable, en petite culotte et minuscule nuisette. Comme d’habitude elle me fait son cinéma en se collant à moi et en me plaquant un baiser sur la bouche, puis m’ébouriffant :

–  » Alors on sort mon petit Amour ? Attention je suis très jalouse !  »

Et elle s’en va en riant de sa plaisanterie. Martine arrive, nue comme un ver et tout en me racontant les derniers potins s’habille sans complexe.

– « Oh après tout je suis avec toi je ne mets pas de culotte, j’en ai marre de jouer la mémère ! ».

Enfin prête, elle embrasse goulûment Marie qui lui claque une main sur le postérieur et me lance :

–  » Ne va surtout pas la baiser, espèce de satyre ».

On s’en va en riant.

Arrivés chez mon esthéticien Pat pour l’épilation je demande à Martine si elle peut revenir dans une heure. Elle me répond que

– « Non, finalement ça me plairait de voir comment ça se passe pour les hommes, et puis ça va m’exciter un peu ! ».

Un peu gêné je lui dis que Pat ne sera peut être pas d’accord.

– « Tu sais entre gouine et gay on s’arrange toujours! « .

Et finalement ils se sourient et papotent comme des amis de toujours pendant que nu, je prends place sur la table. Douce musique, parfum suave, mains expertes de Pat, l’épilation est une vrai détente même si certains endroits se révèlent assez douloureux .Martine a proposé en riant de s’occuper de calmer les douleurs si nécessaire.  » Les hommes sont tellement douillets  » et de sa main experte elle passe longuement la Biafine sur et entre mes fesses pendant que Pat s’occupe de mon dos et mes épaules.

–  » Pat c’est très excitant, n’est-ce pas ?  »

Et lui, complice, de répondre

–  » Surtout quand on voit qu’il a fait l’amour il y a quelques heures ».

Et Martine de m’écarter tendrement les fesses et

 » Oups ! Son amant devait être bien monté. Qu’en dites vous Pat ? ».
Bref! Après une heure de papotage avec caresses, massages et autres gentillesses me voila entièrement épilé et sur le dos. Mon sexe est un peu dressé d’avoir été travaillé et Martine, les yeux brillants me sourit tendrement.

–  » Je passe à coté faire pipi  » nous annonce t’elle ».

Pat me sourit et elle entre dans les toilettes contiguës.

« Ecoutes » me dit-il.

De fait nous entendons des râles de plaisir, des petits cris puis plus rien .Elle revient un peu rouge, le sourire coquin. Et Pat de la parodier

– « C’est excitant, n’est-ce pas Martine? »

Et elle de rire en répondant :

–  » Impossible de résister ! Tant mieux ! « .

Finalement la séance touche à sa fin et Pat m’essuie le corps.

– « Et ça se termine comme ça ? » dit-elle enjouée à Pat.
–  » Non bien sur ! Quand je le vois comme ça je lui prodigue quelques soins complémentaires »

Et il gobe tendrement mon sexe et tout en me caressant le corps, me suce.

– « Mon Dieu, puis-je essayer ? J’ai très peur des hommes mais celui-ci me semble sympathique » et elle remplace Pat qui en riant m’embrasse sur la bouche.

Quelques tendres secondes plus tard Martine se relève en disant

–  » Finalement je préfère les femmes ! » et tous les trois de rire en cœur.

Pendant que je me rhabille ils discutent « technique », Martine lui demandant comment il ferait pour épiler son sexe ; Et la voila qui baisse son jean en se trémoussant, et se retournant se met en levrette.

–  » Tu vois Pat ça fait 15 jours que je me suis fais épiler et ça a déjà commencé à repousser. ».

Un peu surpris je vois son sexe tout humide et rouge et ses doigts qui écartent ses lèvres pour montrer les quelques poils qui la dérangent. Pat lui dit qu’il ne s’occupe que des hommes car  » comme elle  » il a un peu peur des « machins » des femmes…et tout le monde de rire. Elle se rhabille en un clin d’œil et on s’en va. Dans la rue elle se colle à moi et me dit

–  » Je suis tellement excitée que je me ferais baiser par n’importe qui ! Enfin une fille bien sûr ! ».

Et en bavardant nous voila partis chez son amie pour le déjeuner. Elle nous ouvre, superbe femme de 50 ans, en jean tee-shirt moulant.

–  » Et voila donc le cobaye ?  » Dit-elle en souriant.

Elle embrasse tendrement Martine puis me colle une bise du bout des lèvres.

–  » Le déjeuner est prêt  » On se mettra sur le balcon ! Vous venez ? »

Je la suis mais Martine ne susurre à l’oreille :

–  » Vas-y seul, on te rejoint dans quelques minutes !  »

Et sans façon elle met une main sur les fesses de son amie et l’entraîne vivement au fond de l’appartement.

Je m’installe sur le balcon et profite du soleil et du paysage. En me retournant vers l’appartement je remarque au fond du couloir un grand miroir en pied. Et ainsi je les vois nues, échevelées, se chevauchant avec passion sur un canapé. Jambes écartelées, Martine se fait pénétrer par les doigts de son amie puis elles se frottent les pubis en s’embrassant vigoureusement. Je ne me lasse pas de les regarder tant elles font ça avec élégance. Puis je vois Martine s’arc-bouter et jouir avec un grand cri bientôt suivi par celui de son amie. Elles sont écrasées de plaisir et de fatigue et affalées l’une sur l’autre. Gentiment je me retourne vers l’extérieur pour ne pas les gêner.

Tout d’un coup Martine est près de moi, nue et me dit :

– « Excuses nous, une urgence ! » et en riant retourne vers son amie.

Dans le miroir je les vois s’embrasser et se remettre leurs vêtements. Son amie, se baissant, me présente son cul splendide et j’envie Martine d’en avoir profité. Encore excitées elles reviennent sur le balcon. Son amie me caresse tendrement la nuque et  » me remercie d’avoir excité Martine ». Puis elle se met à nous servir le repas. Elles se sont assises l’une contre l’autre sur un petit canapé en osier et se partagent les aliments du bout des lèvres tout en se caressant. Martine soudainement nous sourie, et le regard plongé dans celui de son amie :

–  » Tu sais, mon cœur, Emmanuel m’a déjà vu batifoler avec Marie Chérie. Je suis encore tellement excitée, j’ai encore follement envie de faire l’amour. « . Puis, sainte Nitouche, les yeux baissés : » Emmanuel, Veux tu nous regarder tout à l’heure ?  »

Excité également à la suite de leurs ébats j’approuve ! Le regard brillant de son amie se colle dans celui de Martine et je ressens immédiatement qu’elle non plus n’en peut plus.

A peine le dessert avalé, Martine prend la main de son amie et se précipite dans le salon, retire, plutôt arrache son chemisier puis le tee-shirt de son amie, puis lui dégrafe et retire son jean et s’accroupissant la suce énergiquement. J’ai juste le temps de prendre place dans un fauteuil face à elles qu’elles se sont déjà jetées sur le canapé. Son amie écarte les cuisses et martine vient s’y loger avec fureur. Je vois la main de son amie passer sous la ceinture du jean de Martine et pénétrer ses fesses. Martine écarte les jambes puis se redressant, ouvre d’un geste sa ceinture et me demande de lui enlever le jean. Je me précipite, le tire en arrière dégageant son cul. De là ou je suis, je vois leurs culs qui s’ouvrent et se ferment sur leurs doigts qui les pénètrent, je vois leurs sexes s’ouvrir pour capter le moindre frôlement, la moindre jouissance. Finalement je m’assois sur le bout du canapé à quelques centimètres d’elles. Je suis stupéfait par la grâce que forme leur couple. Comme moi dans mes ébats amoureux avec mes amis je les vois se pénétrer, se caresser, se triturer, se mordiller, se sucer, jouir et feuler de plaisir en même temps. Je vois leur petit trou palpiter comme le mien quand j’attends le plaisir, je vois leurs doigts entrer profondément dans leur sexe, Je ne fais pas un geste qui pourrait les déranger. Les fesses de son amie généreusement ouvertes me montrent la coloration foncée et la belle dimension de son anus. Son sexe rouge vif engloutit presque la main de Martine. Le petit trou de martine que je connais déjà est plus clair et plus petit mais son excitation a fait qu’il est gonflé de désir. Mon Dieu qu’elles sont belles !

Je suis très excité et j’ai beaucoup de peine à ne pas me caresser et à jouir avec elles, mais je sais que cela les dérangerait ? Soudain je saisis le regard de Martine, elle me sourit, et me fait un clin d’œil de connivence puis ferme les yeux et se déchaîne avec son amie. Celle-ci, pas en reste, râle de plaisir et pousse des petits cris au rythme des pénétrations. Puis simultanément elles se cabrent et jouissent avec cris et mouvement violents. Elles s’apaisent doucement et restent ainsi abandonnées, écartelées et les doigts l’une dans l’autre. Son amie pose la tète sur la poitrine de Martine et me regardant me sourit et soupire d’aise.

–  » Je voudrais faire l’amour à longueur de journée! ».

Elles rient en cœur et moi aussi. Martine me demande si je peux aller chercher du papier éponge » et puis si ça ne te dérange pas, de nous essuyer les fesses « .

Elles ne bougent pas, emmêlées dans leur plaisir. Je les essuies tendrement, retirant doucement leurs mains de leur sexe pour les sucer, puis le leur embrassant tendrement goûtant la liqueur de chacune d’elle. Je leur demande de ne pas bouger et leur suce le petit trou l’une après l’autre retrouvant là un terrain plus connu. De la pointe de la langue je les pénètre tendrement et leur dit qu’elles sont  » merveilleusement belles « . Martine rit et dit à son amie.

– « Tu vois ça l’excite aussi ! « .

Puis on papote un peu, elles, toujours nues et l’une contre l’autre sans façon, se caressant tendrement dans le canapé. Moi assis confortablement dans le fauteuil en face, jouissant de leur beauté. Martine derrière, a négligemment passé sa main entre les fesses de son amie et je vois ses doigts lui caresser tendrement la fente puis pénétrer tranquillement dans son sexe. Tandis que nous parlons elle le fait coulisser doucement et bientôt je vois son amie fermer les yeux et ne plus participer à nos échanges puis se pelotonner contre la poitrine de Martine. Nous continuons à bavarder tous les deux, elle, le sourire radieux, du mouvement des yeux, me montrant la jouissance de son amie. Celle-ci halète soudain, et je regarde la main de Martine entrer sortir violement et sur un rythme soutenu jusqu’à ce que son amie se cabre et crie en essayant de s’empaler sur les doigts du plaisir. Puis elle se calme, garde un long moment les yeux fermés. Nous gardons le silence. Elle rouvre enfin les yeux et me regarde doucement et se retournant imperceptiblement s’adresse tendrement à Martine en disant:

– « Merci chérie, je t’aime tellement ça que je voudrais que tu restes toujours en moi ! ».

Un long moment plus tard elles se lèvent, et Martine renfilant son jean, décrète qu’elle ne veut pas de douche mais garder l’odeur de l’amour toute la journée. Son amie reste nue et nous raccompagne à la porte tandis que Martine lui caresse les fesses.

Dans l’ascenseur Martine me remercie pour ma gentillesse, me dit

– « Je regrette que tu ne sois pas une fille, on aurait fait l’amour à trois  » puis me plaque un bisou en me pinçant le sexe.

Elle ajoute en minaudant:

« Elle doit être en train de se caresser sous la douche, elle est insatiable! « .

Nous continuons la ballade, l’esprit léger, des images plein la tête. Elle a négligemment passé son bras derrière mon dos et nous devons avoir l’air d’un couple  » normal ». A ma demande Martine me rassure :

–  » Faire l’amour me donne de l’énergie ! J’ai hâte de me retrouver dans les bras de Marie chérie ce soir ! ».

Puis nous arrivons enfin à la galerie qu’elle veut me faire connaître. Martine me conduit devant une série de portraits d’hommes de tous âges. Elle me raconte que tous ont été les amants du peintre… et que … » viens, je vais te le présenter! ». Elle me guide vers un homme dans la cinquantaine, assis devant une série de dessins, les yeux baissés et concentré sur son travail.

– « Salut, Hugo, je te présente Emmanuel. »

Il relève la tète, un sourire éclairant son visage, il se lève, embrasse Martine sur la bouche et la prenant par la taille, la remercie de sa charmante visite. S’adressant à moi :

–  » Je lui ferais bien le portrait mais elle refuse de coucher avec moi !  » et nous rions tous de connivence.

Il se retourne, et me désignant une grande femme toute en sourire, me dit:

–  » Je te présente Astrid, ma compagne et accessoirement une des proies de Martine … ».

On sourit tous de concert. Puis il m’entraîne vers ses toiles et me parle de son travail, de ses recherches. On se plait c’est indéniable ! Je l’écoute, et dans ses yeux je vois le désir qui se mélange au mien. Mon corps, excité par toutes nos aventures de cette journée, crève de désir pour lui. Il s’en doute et me ballade gentiment pour corser un peu l’affaire. Finalement il me pose la main sur la taille et me guide doucement mais sûrement vers son bureau. Pas de trace de Martine et Astrid. Il me fait signe de faire le silence puis m’entraîne derrière son bureau. Il écarte doucement un rideau, y place un œil puis se retournant me fait signe de regarder. Astrid est allongée dans un fauteuil, jambes relevées et écartées, tète rejetée en arrière, nue jusqu’à la taille tandis que Martine, nue et agenouillée l’embrasse et la suce avec avidité. Hugo se met contre moi, passe une main sur mes fesses, et me dit;

–  » Une seconde, je vais boucler la galerie et je reviens! ».

Quelques secondes pendant lesquelles je les regarde s’aimer « , puis la main d’Hugo qui me relève. Il m’embrasse tendrement puis me prenant la main ouvre le rideau et me conduit près de nos amies.

–  » Belles amantes, nous voici ! Pouvons-nous partager vos jouissances ? »

Elles nous regardent, rient et nous disent de nous déshabiller et de les rejoindre. Hugo rapproche rapidement deux canapés construisant ainsi une sorte de nid douillet. Tous enfin nus, nous investissons cet espace. Je me suis blotti contre Hugo tandis que Martine et Astrid se sont collées automatiquement. Tout d’abord des baisers, des caresses, puis nous inversons les corps, nous suçant tantôt le sexe tantôt le cul et durant de long moments d’extases nous nous aimons simplement, guidés par le plaisir. Un contact brûlant nous rapproche de nos deux amies. Leurs mains et les nôtres quittent nos corps et se risquent sur ceux de nos belles. Astrid se retourne vers nous, ouvre les cuisses en posant son pied sur un dossier du canapé et offre son cul grand ouvert à Martine et puis se place tout contre nous. Hugo et moi l’entourons, la caressons tendrement et nous voyons les doigts de Martine qui entrent et dans son anus et dans son sexe.

Hugo et moi bandons comme des malades et chacune de nos bites est caressée par les mains d’Astrid. Hugo me déplace tout contre Astrid, puis se plaçant derrière moi me caresse l’anus tout en se branlant. Il entre tendrement en moi tandis que je place mon sexe entre les cuisses d’Astrid. Ainsi pris en sandwich je me détends, et bientôt la main de Martine m’entoure le sexe tandis que ses doigts pénètrent le sexe d’Astrid. Je guide ma main derrière les fesses de Martine qui s’ouvre et je me retrouve bientôt les doigts s’agitant en elle. Rapidement Hugo se cabre violement et gicle son jus au fond de moi tandis que de concert, Astrid et moi-même jouissons sous les caresses de Martine .Après quelques minutes de calme, enchâssés ainsi on s’écarte doucement. Astrid se penche et me suce le sexe récupérant tout le jus qui s’y trouve puis se retourne et embrasse à pleine bouche Martine.

Tandis que je me laisse caresser par Hugo, je lèche et suce doucement le cul et le sexe d’Astrid, m’appliquant à retrouver toutes les odeurs de son jus et de mon sperme mélangés. Astrid maintient fermement Martine qu’elle a plaqué sur le canapé et la chevauchant lui écarte violemment les fesses l’embrasse, la lèche avidement et le sexe et l’anus. Puis elle la relève en levrette et passe sous elle. Hugo et moi nous précipitons et tout en s’échangeant des baisers la léchons, qui le sexe, qui le petit trou tandis qu’allongée sous Martine, Astrid se fait sucer par elle tout en lui embrassant goulûment la chatte. Et puis des grand cris de folle, la tête qui bat à droite à gauche, le sexe qui se plaque violement aux bouches, le cul qui s’ouvre aux langues, bruyamment elle jouit en longs cris de plaisir, semblant ne plus pouvoir s’arrêter. Les souffles s’apaisent on se pelotonne l’un contre l’autre en se visitant tendrement les orifices l’un l’autre. Un peu de somnolence. Et au réveil Martine face à moi qui me sourit, m’embrasse tendrement, me caresse le sexe. Puis c’est Astrid qui se relève, se colle à Martine, la caresse, me caresse rejoignant leurs mains sur mon sexe. Je sens Hugo qui me caresse gentiment la raie des fesses et le petit trou où il a déposé sa semence. Des doigts j’écarte le sexe d’Astrid et la pénètre doucement, étonné de ressentir la même chaleur que dans le cul de mes amants. Martine rit et me dit;

–  » Tu vois c’est bien les filles aussi ! ».

Et on rit tous en cœur.

Et puis on se relève on se colle encore un peu, on se prodigue des petites attentions, des baisers de tendresse. Après un thé brulant, on se quitte après s’être promis de remettre ça !

Retour tranquille chez Martine, fatigués mais tellement heureux de cette journée. Son amante Marie nous accueille avec des pépites dans les yeux, embrasse tendrement sa chérie. Puis elle la prend par la taille, la renverse sur le canapé, l’embrasse goulûment. D’un coup elle se redresse, ouvre le jean de martine, d’un geste le lui retire et plonge la bouche dans son sexe, le renifle bruyamment, le lèche, le suce, la retourne d’un geste et fait de même dans sa raie des fesses puis se relève et me dit :

– « J’adore quand elle sent l’amour… ! ». Puis « Et là il y a au moins 1 femme et un homme …! ».

Et Martine de répondre en riant:

–  » Raté, il y a 2 femmes et le jus de Monsieur ! ».

Marie se retourne vers moi, s’approche et m’embrasse à pleine bouche : »

– Là il y a aussi des hommes et des femmes et j’adore ces mélanges ! » puis elle me dit en me souriant. « Tu peux nous laisser ? Je crève d’envie de faire l’amour avec Martine Chérie ! »

Belle journée bien remplie n’est-ce pas ?

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *