Les libertins du Cantal 1 – Pension de famille par Enzo_Cagliari

Les libertins du Cantal
1 – Pension de famille
par Enzo Cagliari

Bonjour

Je m’appelle Thibault et je suis encore étudiant. Je suis châtain très clair, assez fin et je porte des lunettes en permanence. Je suis très porté sur le sexe et si j’adore les femmes, il m’est déjà arrivé lors de petites sauteries étudiantes de faire des choses avec des gens de mon sexe.

Quelques semaines avant les vacances, ma petite amie a rompu avec moi. Ma mère auprès de laquelle je me suis confié a souhaité me consoler en me faisant une bonne branlette puis en me conseillant d’aller un peu à la campagne. Ne sachant pas trop où aller, je me retrouve quelques jours plus tard avec une adresse, il s’agit d’un couple d’amis d’une collègue de bureau de ma génitrice. Ils habitent le Cantal et louent pour les vacances quelques-unes de leurs chambres. Voici donc des vacances gratuites (merci maman)

Bon, on y va…

Après avoir galéré toute la journée, le train, le car, puis le taxi, j’arrive dans ce coin paumé à la tombée de la nuit. Très bon accueil, Florence est une jolie brune, la quarantaine épanouie, un beau sourire, une voix très suave et une jolie silhouette, elle me montre ma chambre… et là, première surprise, pas de coin cuisine, pas de douche, et même pas de chiottes. Elle paraît étonnée que je ne sois pas au courant et m’explique que dans cette partie, c’est la formule pension de famille, les repas se prennent donc… en famille et pour les commodités, je devrais me servir de ceux de la maison… Voilà qui ne me plait guère et je décide donc que je ne resterai pas… mais que je ne repartirai que le lendemain, car pour l’instant je suis crevé. Je précise à la dame que je n’ai pas faim, demande où sont les toilettes et vais me coucher direct.

Mal dormi, hâte de me barrer d’ici, mais rien ne presse, je vais au toilettes, remets mes habits de la veille, et comme j’ai un petit creux je descends voir si on m’a préparé quelque chose, je prendrais ma douche après…

Florence est là, en robe de chambre en train de se tartiner une tranche de pain.

– Alors Thibault, bien dormi ?

Quelle familiarité ! Je n’ai pas autorisé cette bonne femme à m’appeler par mon prénom… mais bon, quelle importance ?

– Non, mais ce doit être le changement d’air. Bougonnais-je en guise de réponse.
– Vous verrez, vous allez vous plaire ici…
– Justement, je ne sais pas si je vais rester.
– A bon ? Un problème ?
– … votre… votre…
– Pardon ?
– Votre robe de chambre s’est ouverte…

Effectivement, et quel spectacle, les seins de cette femme qui s’offrent subrepticement à ma vue sont magnifiques, et voilà que je bande comme un âne. Et ces tétons ! Mon Dieu, ces tétons !

– Ah, oui, elle s’ouvre tout le temps, celle-ci ! Dit-elle en se réajustant, mais c’est pas bien grave, on est très décontracté ici, j’espère que je ne vous ai pas choqué, au moins ?
– Non, non…
– Par contre, on dirait que je vous ai fait de l’effet !

La salope, elle a maté ma braguette ! Et ce n’est pas ça qui va me faire débander.

– Normal je suis un homme.
– Vous me trouvez comment pour mon âge ?
– Très belle !
– Vous dites ça pour me faire plaisir !
– Non, non !
– Vous voudriez revoir un peu ?
– Je…

Elle ouvre de nouveau sa robe de chambre, l’enlève carrément, pivote sur elle-même afin de me montrer ses fesses… Je ne sais plus où me mettre. Je suis tombé sur la nymphomane du coin et je ne sais pas comment résister.

– Alors ?
– Je confirme, vous êtes très belle.
– Merci, dit-elle en remettant sa robe de chambre, mais sans l’attacher, il n’y a que nous deux ici ce matin, mon époux est parti aux champignons avec son neveu…

Bon, si ce n’est pas une proposition, c’est quoi ?

– Et puis, continue-t-elle, il n’est pas jaloux, il serait mal placé, d’ailleurs, il me fait cocu comme une femme de facteur, il baise tout ce qui a un cul, les femmes, les hommes… mais c’est un mari charmant, prévenant, un compagnon agréable et puis je l’aime, mais ça ne m’empêche pas de faire moi aussi mes petits extras. C’est de bonne guerre, non ?

Elle me caresse la joue du bout de doigts, ses seins sont à quelques centimètres de mon visage, je n’en peux plus…

– Je peux toucher ? Balbutiais-je
– Bien sûr, mon biquet.

Elle s’approche et je lui caresse les seins. Elle, de son côté me met la main à la braguette.

– Oh, le joli paquet qu’il y a là-dedans ! Je peux voir ?
– Il est à votre disposition…
– Je l’entends bien comme ça, mais j’aimerais que tu te déshabilles.

Elle me dit ça avec un tel sourire que je ne peux qu’obéir.

– Et bien en voilà un mignon petit jeune homme, et puis complètement épilé… et ces quoi ces petits anneaux sur tes seins, tu ne serais pas un peu maso, toi ?
– Très légèrement, très légèrement…
– Voyons ça ! Dit-elle en tirant dessus.

Je pousse un râle !

– Mais c’est qu’il aime ça le biquet, je suis sûr que tu aimes un tas de choses, toi ? Pas vrai ?
– On peut dire ça comme ça !
– Tourne-toi ! Oh les jolies petites fesses ! Comme elles sont mignonnes…

Et voilà qu’elle me triture le cul, qu’elle m’embrasse les fesses.

– Hum, je vais t’embrasser le trou du cul, j’adore ça !

J’aurais préféré qu’elle s’occupe de mon sexe, mais je suppose que ça viendra après.

– Hum, tu n’as pas pris ta douche, toi !
– Ben non, je comptais la prendre après le petit déjeuner… Je ne pouvais pas savoir que…
– Que quoi ?
– Que nous ferions ce genre de choses !
– Certes, et un doigt, tu aimes bien ?

Elle me demande, mais son doigt est déjà là !

– Attends, je vais me mettre comme ça… je pourrais te sucer la bite et te faire le cul en même temps.

C’est trop bon, j’ai peur de partir trop vite. Elle suce trop bien et son doigt dans mon cul est un régal.

– Tu veux que je retire mon doigt ?
– Non, non, continue…
– Hum, d’accord, c’est que t’aimes ça un doigt dans le cul ? Tu ne serais pas un peu pédé, toi ?

La question est embarrassante, je ne réponds pas, du coup elle me met un deuxième doigt. Quel bonheur !

– Allez viens dans ma chambre, on sera mieux…

Elle s’étale dans le lit sur le dos, me laissant ainsi l’initiative, je n’ose pas l’embrasser sur la bouche, mais par contre je lui lèche longuement les seins, titillant les pointes pour les faire grossir… Je ne m’en lasse pas…

– Si tu allais plus bas…

J’ai compris le message, sa chatte est toute trempée, je lèche là-dedans, écarte un peu tout ce fouillis, me régale de ses sucs, puis attaque son clitoris gentiment redressé et qui n’attendait que ma langue. Une minute après, Florence gueule comme une bête en se raidissant sur le plumard. Cela en est impressionnant. Un ange passe, puis elle me prend dans ses bras, m’embrasse d’abord chastement avant de me rouler un patin en règle tandis que sa main est déjà revenue sur ma bite. On a complètement changé de position, la voilà qui me suce la quéquette, tandis que sa main passant sous mes fesses réattaque mon cul avec son index… Elle me suce ainsi quelques minutes, puis se relève.

– Bouge pas, je cherche un truc !

Elle sort d’un tiroir un godemiché très réaliste et le recouvre d’un préservatif.

– Tu veux ?

Je ne suis pas sûr de ce qu’elle me demande.

– Tu vas faire quoi avec ça ?
– T’enculer !
– Peut-être pas !
– On va essayer, si ça te plait pas, on arrête, allez en position, tends-moi bien ton petit cul de pédé !

Je suis très joueur et j’obtempère, en fait je n’ai pas d’appréhension, des godes je m’en suis déjà introduit, mais je ne voulais pas qu’elle le sache. Ça y est, je l’ai dans mon cul, elle le fait aller et venir, je suis aux anges. Qu’est-ce que c’est bon de se faire ramoner le cul !

– C’est bon ?
– Génial, super !
– Je continue !
– Oui !
– Et avec une vraie bite tu as déjà essayé ?
– Non !
– Tu voudrais essayer ?
– Peut-être un jour, rien ne presse.

Elle continue à m’astiquer le fion pendant quelques minutes, puis ressort le machin, et se met en levrette.

– Allez mets-toi une capote, c’est à ton tour de m’enculer.

Je ne me le fait pas dire deux fois, je me positionne derrière elle, ça rentre comme dans du beurre, quelques mouvements de va-et-vient et je jouis. Elle aussi, à moins qu’elle ait simulé, alors histoire de ne pas être vache je m’apprête à lui lécher de nouveau son clitoris.

– Non attends un peu, il est encore trop sensible.

Bon, bon ! Elle se remet sa robe de chambre… Dommage je serais bien resté plusieurs minutes dans ses bras nus. J’adore qu’on me câline !

– Tu as déjà sucé des bites ! Me demande-t-elle à brûle-pourpoint.
– Oui comme, ça une ou deux !
– Comment ça une ou deux ? Tu ne te rappelles plus si c’est une ou si c’est deux…

J’ai dû rougir, car voyant mon embarras elle cherche à me rassurer.

– Moi les histoires d’hommes entre eux, ça m’excite, tu ne veux pas me raconter ?
– Rien de bien extraordinaire. C’était à une soirée étudiante dans une grande propriété, on devait être une vingtaine, des garçons, des filles, ça a vite tournée en partouze, il y avait là un mec très ambigu, très beau en fait, un espèce d’ange, il s’est mis à me caresser, les nanas à côté de moi m’ont demandé de me laisser faire, alors il m’a tripoté le sexe, me l’a un peu sucé et il m’a demandé de lui faire pareil, j’ai hésité, mais les filles m’ont mis au défi, alors je me suis lancé, ça m’a bien plus, du coup un autre étudiant s’est pointé et je l’ai sucé aussi. Il voulait aller plus loin, mais je n’étais pas prêt pour ça.
– Et tu as aimé faire ça ?
– Oui !
– Tu recommenceras ?
– Si l’occasion se présente…
– Si ça te dis, mon mari, il a une très belle queue, je suis sûr que tu aimerais bien la sucer… et après il pourrait te prendre, il fait ça très bien. Souvent, il encule mon neveu devant moi, c’est génial…
– Ah, oui ?
– Mon connard de frère l’a viré de chez lui quand il a appris qu’il était à moitié pédé, alors on l’a recueilli et en échange il nous donne un coup de main.

Eh bien, quelle famille !

– Ah mais j’oubliais, reprend-elle, ça ne va pas être possible, puisque tu as décidé de ne pas rester.
– Euh, tout compte fait, je vais peut-être rester un peu…
– Je l’aurais pariée ! Dit-elle en se levant du lit. Je vais aller faire pipi, tu viens avec moi ?

Je la suis, je suppose qu’elle va me proposer de la regarder pisser, si c’est ça je ne vais pas dire non ! C’était bien ça !

Elle s’assoit sur la cuvette de façon à ce que je puisse bien voir… Effectivement un jet impressionnant ne tarde pas à jaillir, et mon sexe recommence à gonfler.

– Ça t’excite, hein de voir une femme qui pisse !
– J’avoue !
– Oh ! Je crois bien que je vais faire une petite crotte, ça ne te dérange pas
– Euh… non.

Elle a poussé, une petite merde est sortie de son cul. J’ai trouvé ça rigolo.

– La prochaine fois, je te pisserais dessus, si tu veux !
– Pourquoi pas ?
– En revanche si toi tu as envie, tu peux m’asperger, et après on prendra notre douche ensemble.

Je n’en reviens pas d’une telle proposition, l’uro m’amuse et je m’y suis déjà essayé avec une copine, mais là…

– Vous voulez-dire, vous voudriez que… que…
– Bon écoute, tu vas peut-être arrêter le vouvoiement… allez pisse ! Pisse-moi dessus…

Gros effort de concentration mais ça finit par venir. Le jet atterrit sur son ventre, je le dirige mieux de façon à arroser ses seins. Elle ouvre la bouche, j’ai compris le message, je vise et elle en avale une bonne rasade.

– Humm, ça m’excite ce truc-là, dit-elle en agitant frénétiquement deux doigts contre son clitoris.

Je ne sais pas trop quoi faire, il y cinq minutes, elle me disait qu’il était encore trop sensible…

– Viens lécher !

OK, me revoilà entre ses cuisses, tout cela sent l’urine mais ça ne me dérange pas, je la lèche consciencieusement, c’est bien plus long que la première fois, à ce point que je commence avoir des crampes à la mâchoire… Mais son orgasme est aussi plus fort. Elle pousse un cri de furie en se tétanisant sur le siège de la toilette, c’en est impressionnant.

– Maintenant une vraie douche, tu vas me savonner, j’adore qu’on me savonne…

Ben voyons !

On est resté je ne sais combien de temps sous la douche, je l’ai caressé sous toutes les coutures, introduisant à sa demande mes doigts partout. Elle, de son côté n’était pas en reste, me tirant sur mes piercings, me branlant, me titillant les testicules et me doigtant le trou du cul. Elle finit par s’agenouiller entre mes cuisses et me faire jouir dans sa bouche… et là au lieu de recracher elle voulut m’embrasser… drôle d’impression…

René, son mari et son neveu Dominique, sont rentrés un peu avant midi. Brèves présentations, ces messieurs sont sympathiques et joviaux, René, la bonne quarantaine, sportif et beau garçon, Dominique, fluet, légèrement efféminé, très souriant.

Je ne suis pas fou, je me doute bien que Florence a parlé aux deux lascars de ce que nous avons fait ensemble ainsi que de ses propositions, mais pendant le repas pris ensemble, le sujet n’est pas abordé. J’ai bien mangé et la conversation était intéressante, ces gens-là sont vraiment sympathiques, intéressants et intelligents. Décidemment, je crois bien que je vais rester.

L’après-midi, Florence et René étaient occupés, ils ont suggéré à Dominique de m’emmener jusqu’à une fromagerie située à quelques kilomètres, prétexte à faire une bonne balade. Va-t-il en profiter pour essayer de me draguer ? Suspense… mais je décide de jouer le jeu. En fait il passe son temps à me raconter des tas d’anecdotes sur les lieux que nous apercevons, le mec est vraiment captivant… et puis au détour d’un chemin, il me dit qu’il a envie de pipi. Il pile, baisse son bermuda devant moi, et le voilà les fesses et la bite à l’air… il pisse en plein milieu du chemin, puis virevolte en se tripotant son engin, il me fait un clin d’œil et voilà que je bande… et qu’il s’en aperçoit.

– Si tu veux me caresser, je ne dis pas non, mais si tu ne veux pas, on n’en parle plus, je ne serais pas fâché. Me dit-il.

Mais déjà une force invisible a porté ma main sur ses fesses que je caresse…

– C’est doux, hein ! Caresse ma bite !

J’avais dit que je jouais le jeu, alors je le joue, je prends sa queue dans les mains et la masturbe un peu, elle est magnifique cette bite, bien droite, bien blanche avec une grosse veine, et un joli gland violacé et brillant d’excitation. J’ai vraiment envie de la sucer… je ne sais pas encore si je vais attendre qu’il me le demande ou si je vais prendre l’initiative.

– Florence t’as dit que mon truc c’était de m’habiller en femme ? M’indique Dominique
– Oui !
– Si tu veux je te montrerais, ce soir, tu veux ?
– Oui, bien sûr.
– Comme ça tu pourras me prendre, et pendant ce temps-là René t’enculera bien comme il faut. Il fait ça divinement, et il a une si belle bite ! J’y suis accro.

Ok, ça c’est le programme de ce soir, mais là pour l’instant on fait quoi ?

– Quand je suis en fille, je suis plutôt passive, quand je suis en garçon, je suis plutôt actif… Tu ne veux pas me sucer ?

Je ne réponds même pas, j’ai déjà sa queue dans la bouche. Ce n’est pas vraiment une première, mais je n’ai pas fait ça souvent… et là je me régale, le lèche, je suce, j’aspire.

– Arrête, v’la du monde !

Merde, c’est vrai en plus, un couple de randonneurs, ils ne nous ont sûrement pas vu, mais ils s’approchent par le chemin en lacet.

– Viens, je connais un coin où on sera peinard… allez viens, je suis frustré, je n’ai même pas vu ta queue.

On marche encore une demi-heure avant d’arriver devant une baraque en bois. Je crois l’endroit abandonnée, mais Dominique frappe à la porte et un sexagénaire barbu vient nous ouvrir.

– Bonjour, père Michel, je te présente Thibault, on voulait faire des choses ensemble, mais il y a des randonneurs… alors je me suis dit qu’ici on serait tranquille, et puis ça va te faire un spectacle.
– Entrez, je vais voir si j’ai un drap propre pour mettre sur le lit… vous voulez une bière ?
– Non après peut-être tout à l’heure, à moins que Thibault en veuille une…
– Non, non…

Le père Michel a la grande bonté d’actionner un spray de déodorisant. Il y en avait besoin. Sinon c’est un peu le bordel cette baraque, rien n’est rangé et le dernier ménage ne doit pas être récent. Je suis quand même un peu gêné et dès que le père Michel a le dos tourné, je le dis à mon compagnon :

– On ne va quand même pas faire ça ici devant lui ?
– T’inquiète pas, il est super cool, le père Michel… Allez enlève moi tout ça…

Je rêve ! Mais j’avais bien dis que je jouerais le jeu, me voilà à poil ce qui provoque un sifflement d’approbation du père Michel.

– Il est bien mignon ton copain, une belle bite comme je les aime…

Le père Michel se met à poil à son tour, ça ne me plait pas trop, mais il finit par s’assoir, gardant juste un string féminin rouge vif, complètement incongru, par lequel il fait dépasser son sexe par le côté.

Prenez une serviette propre, dans le bas de l’armoire, je ne trouve pas de drap ! Nous indique-t-il.

Nous voilà, Dominique et moi à genoux, l’un en face de l’autre sur le plumard. Il me tripote la bite et j’en fais autant avec la sienne qui grossit à vue d’œil.

– Allez suce, fait la bien bander !

Je ne me le fais pas dire deux fois, et me voilà de nouveau avec ce bel organe dans ma bouche. Cette fois je peux y aller sans appréhension, personne ne nous dérangera… je jette un coup d’œil en direction du père Michel, il se masturbe mollement et se tortille les tétons en ne ratant rien du spectacle.

La bite de Dominique est bientôt raide comme un saucisson sec, je prends du recul, le gland dont la couleur tire sur le violet et qui luit à la lumière est magnifique, je l’embouche de nouveau et fait danser ma langue.

– C’est bon, je vais t’enculer, me dit Dominique, tourne-toi !

Je n’hésite même pas ! Me voilà en levrette tandis mon partenaire me lèche le fion en me complimentant :

– Humm, il est bon ton cul !

Je ne sais pas s’il est bon, mais ce qu’il me fait est tout à fait émoustillant, un doigt vient bientôt remplacer sa langue… puis un petit break, le temps qu’il s’encapote, il s’approche, me demande de l’aider en poussant, ce que je fais, il s’y reprend à plusieurs fois et finit par entrer.

– Tu la sens, ma bite ?
– Oui, vas-y encule-moi !

C’est le branle-bas de combat dans mon cul, ça va et ça vient et ça me fait un bien fou… Il est déchaîné le Dominique, le vieux sommier fait un bruit d’enfer… il finit par jouir en s’écroulant sur moi. Il décule me laissant avec le cul ouvert, drôle d’impression, manque d’habitude, peut-être… Je suppose qu’on va invertir les rôles, mais…

– Si tu enculais le père Michel, ça lui ferait plaisir ! Me suggère Dominique.

Le vieux sans attendre de réponse s’est déjà mis en levrette à même le sol de sa baraque.

On m’aurait proposé ce scénario il y a un quart d’heure, j’aurais carrément refusé, mais là ce doit être l’excitation, je m’enfile la capote que me tend Dominique, me positionne derrière l’ermite et le pénètre avec une facilité déconcertante. Je bouge un peu, essaie de ne pas partir trop vite, mais l’excitation est trop forte, je ne me contrôle plus et finit par décharger en poussant un rauquement de plaisir.

Il me félicite, me dit que je l’ai bien enculé, Dominique lui propose de le sucer mais il dit préférer se branler quand nous serons partis. Il nous offre de la bière, elle est tiède, mais ça désaltère quand même, puis se met à nous raconter ses souvenirs… des histoires d’aires d’autoroutes, car il avait été chauffeur routier, des bites qu’il suçait à la chaine, des partouzes dans les toilettes.

– Dés fois je me changeais en fille dans ma cabine, j’avais une petite robe, une perruque, je me maquillais, je me faisais appeler Micheline, j’avais du succès, maintenant je ne peux plus me travestir, le physique ne suit plus, on ne peut pas être et avoir été….

On finit par partir, on lui promet de revenir dans quelques jours.

– Comment t’as connu ce vieux ? Demandais-je.
– C’est un type qui a hérité d’un bout de terrain, il s’est construit sa baraque dessus, il se débrouille… Un jour je me baladais, et un gros orage est dégringolé, je lui ai demandé de m’abriter. Il m’a offert une bière, on a papoté, et puis je me suis aperçu qu’il avait dans un coin quelques revues pornos avec des transsexuelles… le reste s’est fait tout seul…, il m’a sucé, je l’ai enculé… je l’aime bien, il est sympa !

– Bon, on va voir Claudine ! M’informe-t-il
– C’est qui, ça Claudine ?
– Ben c’est la nana qui fait des fromages. Tu vas voir, tu ne devrais pas être déçu ! Me confie Dominique.
– Ah, ah ! Et pourquoi donc ?
– Surprise, fais-moi confiance. Bon allons-y, il y a une heure de marche, je suis un peu crevé.

Claudine a de jolis cheveux auburn, coupés assez courts, elle doit avoir la quarantaine, une robuste femme aux formes bien affirmées, son visage à un côté « Belle des champs » qui lui va très bien, de beaux yeux bleus aussi. Elle salue Dominique en l’embrassant avec bonne humeur.

– C’est Thibault ! Me présente-t-il. Il est aussi cochon que moi !

En voilà une façon de me présenter, je deviens rouge de confusion.

– Alors on se fait la bise ! Embraye la fromagère. Je suis un peu débordée, mais entrez cinq minutes…

Elle nous propose du café et nous fait entrer dans la partie privée de son corps de ferme, puis nous laisse quelques instants, histoire de faire bouillir la cafetière.

– Tu vas voir, elle est super sympa ! Me dit Dominique
– Oui ça a l’air !

Claudine revient avec le café, nous le sert.

– Alors comme ça, vous êtes aussi cochon que Dominique, c’est vrai ça ? M’apostrophe-t-elle
– Je ne suis pas cochon, j’aime les plaisirs de la vie ! Parvins-je à balbutier.
– Vous avez bien raison ! Répond-elle.

Puis elle s’approche de Dominique, et lui met sa main sur la braguette.

– Et ça c’est en forme aujourd’hui ?
– En pleine forme ! Tu peux lui faire prendre l’air si tu veux ?
– Je te dis, je n’ai pas beaucoup de temps… et puis, je ne voudrais pas gêner ton ami !
– Ça ne le gênera pas du tout, il la connait ma bite, il la même déjà sucé ! N’est-ce pas Thibault ?

Je réponds par un sourire niais, que la marchande de fromage doit prendre pour un signe d’encouragement car voici la bite de Dominique de nouveau sortie de sa braguette.

– Toujours aussi mignonne, cette quéquette ! Commente-t-elle en la masturbant un petit peu.

Puis, elle la porte à sa bouche et se met à la sucer ! Pour ma part je bande comme un dingue et me tripote l’entre jambe d’un air faussement négligé ! J’aimerais bien qu’elle s’occupe aussi de moi, j’aimerais bien la voir un peu déshabillée, la fromagère… j’aimerais bien un tas de choses.

Claudine fait une petite pause et tout en caressant les couilles de Dominique, elle me demande :

– Alors comme ça, toi aussi tu aimes bien sucer des bites ?
– Ben c’est un peu nouveau, mais j’avoue que ce n’est pas désagréable !
– Et tu t’es déjà fait enculer aussi ?
– Oui ! C’est tout récent d’ailleurs !
– Oh, ça m’excite de faire des trucs avec des mecs qui s’enculent… dommage que j’ai pas trop de temps… suce-le un peu pour me montrer comment tu fais.

Ok, je reprends dans ma bouche la bite de Dominique, je vais finir par la connaître par cœur, mais c’est vrai que je ne m’en lasse pas. Pendant ce temps-là fromagère a ôté sa blouse, enlevé son pantalon et retiré sa culotte. Mais elle ne va pas plus loin. Elle a une touffe de poils impressionnante, et je suis en train de me demander si je peux pendre l’initiative d’y aller voir de plus près… mais elle ne me laisse pas ce temps…elle se couche en deux sur la table, le cul offert. Le cul ! Qu’il est beau son cul ! Je bande comme un malade.

– Allez, Dominique ! Bourre-moi le cul !
– Directement !
– Oui, directement, un bon petit coup vite fait, après je retourne au travail… tu aurais dû me téléphoner au lieu de te pointer comme ça, on se serait organisé… Aïe ! Oh, oui vas-y enfonce moi bien ta bite, je la sens bien, allez encule-moi, c’est bon !

Il y met une telle énergie que la table avance toute seule. J’ai sorti ma bite mais je ne sais pas trop quoi en faire, me faire sucer en même temps est impossible dans la position qu’ils ont adoptée.

Claudine s’efforce d’étouffer ses cris de plaisir, son visage se congestionne, elle serre les dents. Dominique finit par jouir dans un râle et décule.

– Tu veux la sienne ? demande-t-il
– Oui, viens vite !

Proposition inespérée, je m’encapote (si ça continue comme ça on va épuiser tout le stock de Dominique) et pénètre dans le trou béant. Je la laboure en fermant les yeux, je suis dans un autre monde, je dois accélérer le mouvement pour qu’elle reprenne ses râles, ça marche, mais je sens que je vais partir trop vite, je finis par jouir en m’écroulant sur elle.

Elle se rhabille aussi sec, elle est radieuse.

– Buvez-vite votre café, il doit être froid… la prochaine fois appelez-moi, on prendra notre temps et on fera des tas de trucs… vous serez mes petits esclaves… d’accord !
– D’accord dit Dominique en me faisant un coup d’œil complice. Euh… Florence nous a demandé de rapporter un peu de fromage, tu nous fais un assortiment… avec de la Fourme…

– Tu as entrepris de me faire faire le tour des toutes les coquines et de tous les coquins du coin ? Plaisantais-je sur le chemin du retour.
– Hélas, le tour est fini ! S’il y en a d’autres, ils se cachent… Claudine n’est pas comme ça avec tout le monde, c’est une amie de Florence, elles se voient de temps en temps et elles se font des trucs, évidemment elle m’a présenté…

Pour le repas du soir, Dominique a décidé de s’habiller en fille, le résultat est impressionnant, le visage est très bien maquillé sous une petite perruque blonde frisée, il s’est mis un chemisier bleu, recouvrant un soutien-gorge garni de faux seins. Mini-jupe, porte-jarretelles, bas noirs et escarpins complètent la tenue.

Dominique s’est assis à côté de René et moi à côté de Florence. Celle-ci nous a mitonnés un excellent cassoulet, hélas arrosé d’une pauvre piquette. La conversation est enjouée, mais très curieusement n’aborde pas le sexe. Ce n’est pas à moi de démarrer le sujet, j’attends, donc.

Arrive le fromage…

– Alors les jeunes, vous avez été dire un petit bonjour à Claudine ? Lance René.
– Elle était pressée, mais on l’a baisée quand même ! Répond Dominique
– Tous les deux ?
– Tous les deux ! Reprend-il. On lui a bien ramoné son petit trou à la coquine.
– Hum, tu m’excites quand tu parles comme ça ! Répond René qui attirant le travesti, entreprend de lui rouler une pelle.
– Je suis jalouse ! Me dit Florence qui m’embrasse à son tour tout en me mettant sa main sur la braguette. Et me voilà en train de bander…

Elle me demande de me lever de ma chaise, je m’exécute.

– Tu fais quoi, Florence ? Demande René.
– Je vais libérer le sexe de ce jeune homme, sinon, il va exploser…
– Ah ! Je te reconnais bien là, toujours prête à rendre service.

La maîtresse de maison est passée derrière moi, m’a dégrafé ma ceinture, baissé mon pantalon et mon slip, m’exhibant ainsi devant tout le monde. Elle m’enlève ensuite mon tee-shirt et se met à tirer sur les piercings de mes seins. Du coup, je me pâme et je bande un maximum.

– Oh, la belle quéquette ! S’exclame René, il faut absolument que j’y goûte !
– Attends, tu n’as pas tout vu ! Thibault tourne-toi et montre tes petites fesses à mon mari ! Ajoute Claudine.

Je me tourne et jouant le jeu à fond, je me mets à tortiller du cul.

– Mais c’est une véritable provocation, que ce petit cul là ! Clame René. Approche-toi de moi… ou plutôt non, tu vas passer sous la table et tu vas venir me sucer ! Tu veux bien ?
– Bien sûr !

J’obtempère, en fait je suis super excité par la situation, et par le fait de sucer ma deuxième bite de la journée. Je pensais trouver sa queue déjà dégagée… mais non, c’est à moi de faire tout le boulot, la procédure doit l’amuser. Donc OK, je dézippe la braguette, entre ma main là-dedans, sens la grosse bosse de sa bite bandée, caresse un peu tout ça, essaie de l’extraire, mais m’y prend comme un pied. Alors je change de tactique, je dégrafe la ceinture, écarte tout ça, dégage le haut du slip que je peux à présent descendre… et libère popaul qui se redresse fièrement. Une jolie queue, je la masturbe un petit peu, lui fait quelques bisous affectueux, puis je commence à sucer.

– Oh, mais c’est qu’il suce bien, ce petit minet ! Commente René.
– Et nous on fait quoi ? Demande Florence !
– Mais tu fais ce que tu veux, ma chère, pourquoi tu ne suces pas Dominique ? Elle est superbe, ce soir.
– J’y pense très sérieusement, mais on a le temps, il n’y a rien à la télé ce soir…
– Remarque si tu ne fais rien d’autre, tu pourrais peut-être aller chercher des capotes, car je crois que je ne vais pas tarder à enculer ce jeune homme… Sors de là-dessous, Thibault, on va faire une pause. Tu m’as bien sucé, alors dis-moi, ça te dirais que je t’encule ?
– Bien sûr !
– On va faire ça… on va faire ça là, par terre, vas-y met toi en levrette et écarte les fesses, j’arrive.

Encore une fois j’obtempère, finalement j’aime bien la passivité…

– Hum, c’est serré tout ça… Commente Monsieur René.
– Un peu, oui, mais ça va aller, ce matin je lui ai foutu un bon gode dans le cul, il en redemandait, ce petit cochon, pas vrai Thibault ?
– Oui, c’est vrai ! Confirmais-je en entrant dans leur jeu.

Pour l’instant René est en train de me lubrifier le trou en me le léchant avec frénésie, et j’avoue que ses mouvements de langues sont très agréables. Dominique a enlevé sa petite jupe et est venu se positionner devant moi, bite à l’air déjà bien tendue. J’ai compris le message, et la mets dans ma bouche alors que pratiquement au même moment la bite de mon hôte pénètre dans mon étroit conduit. Quelle sensation, me voilà occupé avec deux bites l’une dans la bouche, l’autre dans le cul, et je n’ai ni à me forcer ni à me mentir pour me dire que j’aime ça.

René me fait ça très bien, il est moins « brutal » que Dominique et sait se tempérer. Quant à Florence, elle nous a rejoint, elle se met sur le dos, rampe afin de venir sous moi et se met à me tripoter les tétons en tirant sur les piercings. Je bande comme un mulet et je sens que je ne vais pas tarder à éclater, même sans qu’on me touche la queue.

– On change ? Propose René à Dominique.

Ce dernier s’encapote et viens à son tour me prendre le cul, tandis que René me présente sa bite. J’ai un mouvement de recul, pourquoi n’a-t-il pas retiré la capote ? certes elle n’est pas vraiment sale, mais elle n’est pas non plus clean et puis elle sent mon odeur intime. L’autre n’est pas un sauvage, il a compris.

– Tu préfères que je la retire ? Me propose-t-il.

J’apprécie son tact, du coup j’ai envie de lui faire plaisir.

– On va essayer comme ça ! Répondis-je en embouchant la bite qui venait de m’enculer.

Effectivement pas la peine d’en faire un plat, et c’est le gout du latex qui domine. Dominique me pilonne derrière de plus en plus vite, je comprends qu’il va décharger… effectivement. Du coup René se replace derrière et s’agite de nouveau dans mon cul jusqu’à ce qu’il jouisse. J’ai un peu mal au cul, mais surtout j’aimerais bien jouir à mon tour. Je commence à me branler tandis que tout le monde se relève, René me donne une petite tape amicale sur les fesses.

– Alors c’était comment ?
– Super !
– Ça te dirait de m’enculer à ton tour ?

Demande complètement imprévue, mais pourquoi pas. Il se plie en deux sur la table, écarte ses globes fessiers, attendant ma bite. De l’autre côté, Florence utilise tout son savoir-faire pour faire rebander Dominique. Quelle vitalité celui-ci !

– Vas-y encule moi bien ! Me dit René

Je comprends que les mots l’excitent, je joue le jeu :

– Tu la sens bien dans ton cul, ma bite, hein ?
– Hummm… J’adore me faire enculer devant ma femme…

Je ne tarde pas à jouir et après avoir déculé, je m’affale sur une chaise, regardant d’un œil envieux Dominique en train de pilonner le cul de la belle Florence.

©Enzo Cagliari mars 2010
(à suivre)

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10 réponses à Les libertins du Cantal 1 – Pension de famille par Enzo_Cagliari

  1. Orsini dit :

    Entendez-vous dans nos campagnes
    s’enculer ces braves paysans…
    etc….

  2. Roques dit :

    S’enculer en famille
    C’est de la joie qui pétille

  3. Rocky dit :

    Moi j’aimerais bien me faire héberger chez des gens comme ça !

  4. Muller dit :

    Un petit bijou de perversité, à lire la braguette ouverte !

  5. Fornet dit :

    Peut-on avoir l’adresse de cette pension de famille ? Je suis bisexuel et adore sucer des bites bien bandées, des chattes juteuses et des trous du cul odorants, j’aime plein d’autre choses aussi

  6. Sapristi dit :

    J’adore ces ambiances ou le sexe devient quelque chose de naturel quelque soit les partenaires. Si seulement c’était comme ça dans la vraie vie !

  7. baruchel dit :

    De la saine décontraction sexuelle comme je l’adore.

  8. Farinelli dit :

    Bienvenue chez la famille tuyau de poil

    • Eddy dit :

      On doit prendre ça comment ?
      Et d’abord on n’écrit pas « Tuyau de poil », ce qui ne veut rien dire mais « tuyau de poêle »

  9. darrigade dit :

    Toute une ambiance, un souffle libertin qui caresse sur nos campagnes, et c’est savoureux à lire

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