Les Auto-stoppeuses
par Mondoi
Je roule depuis une centaine de kilomètres vers des vacances en solitaire car j’avais divorcé six mois avant, quand je vois deux nanas faire du stop sur le bas côté, j’ai été auto-stoppeuse dans mon jeune temps et solidarité féminine oblige, je m’arrête pour les prendre.
Deux brunettes, mignonnes et sympas, elles vont vers un festival de music dans la région où j’ai réservé une villa, elles ont l’air de manger la vie à pleine bouche, 22 et 23 ans, le bel âge de la liberté, malgré mes 45 ans, elles n’ont pas l’air d’être trop coincées et nous nous sentons de suite à l’aise toutes les trois, la discussion va bon train et tous les sujets sont abordés, surtout les mecs et le sexe arrive sur le tapis au bout d’une centaines de bornes, ça rigole grave, comme elles disent, elles ont l’impudeur verbale des filles de leur âge sur l’air de la liberté, j’en entends des vertes et des très mures sur leurs expériences sexuelles, même des choses que je n’ai jamais faites.
Elles sont montées à l’arrière quand je les ai prise et dans le rétro, je vois qu’elle se font des bisous, Juliette avec ses un an de plus à l’air un peu dévergondée, sa copine Marie, plus discrète, se laisse faire en riant, leurs robes légères d’été ont tendance à remonter haut sur leurs cuisses bronzées, je ne suis pas homo, mais leur peau fraîche de jeune fille, l’aperçu que j’ai sur leurs fonds de culottes et leurs seins qui bougent sous le tissu me rappelle que quand j’avais le même âge, j’avais une bonne copine avec qui j’avais été plus loin que la simple amitié, cela m’émouvait de les voir se faire des câlins en riant, je ne savais pas si elles avaient franchies le pas et je me sentais tout à coup excitée par le spectacle de la banquette arrière, il fallait que je me concentre sur la route mais je ne pouvais pas m’empêcher de jeter des coups d’œil envieux sur leur chaude complicité amicale.
Il est temps de faire une pose, j’ai les rideaux qui collent à la fenêtre, une envie pressante et un petit creux, j’ai prévu de quoi manger dans ma glacière, il y en a assez pour trois, je les invite à pique-niquer sur une aire de repos, elles sont contentes, elles ont faim et ont comme moi, une envie pressante, je me gare à l’ombre car le soleil cogne dur et nous nous installons sous des arbres à l’écart des foules de vacanciers bruyants, les petites nanas filent aux toilettes en courant mais reviennent de suite en grognant.
– C’est trop crade, et puis il y a plein de monde, nous on va faire pipi ailleurs.
– Bon ben moi aussi, cherchons un petit coin tranquille dis-je en gigotant mon postérieur.
Un rapide coup d’œil autour de nous et nous apercevons derrière les haies de limitation de l’aire de repos, une prairie bordée d’ombrages, cela nous convient à merveille, nous prenons nos affaires et filons discrètement nous installer, les filles jettent leurs sacs au sol et sont les première à baisser culotte en se mettant dos à dos accroupies, je dirais même fesses à fesses, pour évacuer leurs mictions, mon envie de faire pipi me brule mais je n’ose pas faire comme elles, surtout devant elles, je commence à m’éloigner, cherchant à me cacher.
– Vous pouvez rester avec nous Florence, ça ne nous gênes pas, me dis Juliette.
– On est toutes faites pareilles rajoute Marie, faites pipi avec nous, les deux copines rient encore quand leurs jets dorés fusent de leur entre-jambes.
J
e ne tiens plus, je trousse ma jupe et baisse ma culotte humide en m’accroupissant devant elles, je me soulage avec bonheur, depuis le temps que je me retiens, une vraie libération, un gros jet bruyant frappe le sol et m’éclabousse les chaussures, je n’ose pas trop les regarder faire mais c’est pas l’envie qui me manque, j’entends le chuintement de leurs mictions entre leurs lèvres et cela m’excite au plus haut point, j’ai eu des jeux de pipi avec ma bonne copine dans le temps et la vision de ces deux petites fentes dégoulinantes me met dans état proche de la chienne en chaleurs, je voudrais être en dessous et me faire arroser, boire à la source de leurs jeunes vulves odorantes.
J’ai remonté ma jupe en me baissant pour pisser et ma chatte est exposée aux regards des filles qui ne se gênent pas pour m’observer dans cette posture indécente, je m’aperçois qu’elles ont une main entre les cuisses et qu’elles se tripotent en pissant, Juliette a même l’impudeur de se tourner vers moi en écartant largement les cuisses pour me montrer que je ne rêve pas, Marie rigole de cette provocation et se met à caresser l’entre-fesses de sa copine, celle-ci s’astique la motte de plus belle, ses doigts ruissellent de pipi, Marie me fait un signe de la main le Majeur en l’air, elle le suce, l’enduit de salive et je comprends qu’elle le rentre dans l’anus de Juliette qui se met à miauler sous la caresse digitale, les petites garces sont en train de me mettre le feu aux sens, je ne résiste pas et les imites en envoyant une main sur mon sexe dégoulinant, mes doigts caressent ma vulve sous le chaud jet de liquide.
Les filles ont finies de pisser et se doigtent sans retenue en me regardant me caresser, la situation est d’un érotisme fou, dans la campagne, les fesses au raz de l’herbe, le ciel bleu, les petits oiseaux, tout cela donne à notre pipi-masturbatoire un côté bucolique.
– Vous avez du papier toilette, Florence ? demande Marie
– Dans mon sac oui mais pas là, j’ai oublié de la prendre avec moi, attendez, je vais le chercher
Je me relève, la motte en feu, je remonte ma culotte sur mon sexe trempé et part prendre un rouleau de papier dans mes affaires, en revenant, j’entends Juliette qui alète, elle est en train de prendre son pied, elle crie qu’elle vient et jouie devant moi.
Je m’accroupi émue et lui caresse le front, elle a les yeux dans le vague mais me tend ses lèvres, je l’embrasse sur la bouche, sa langue chaude vient à la rencontre de la mienne et s’enroule autour, un baisé fougueux, elle me fouille, je la fouille, nos salives se mélangent.
– Et moi alors ? C’est Marie qui me tend sa bouche, elle aussi a besoin d’affection, je lui roule une super pelle, elle me la rend.
– Bon, on s’essuie et on mange un morceau ? dit Juliette
– Tu es gonflée quand même, nous on n’a pas jouis, hein Florence ?
– Oui, c’est vrai dis-je, je veux bien t’essuyer la minette, si tu veux ?
– Avec la bouche ? me demande-t-elle
– Si tu veux! Dis-je sans me dégonfler, vous êtes de vraies cochonnes dites donc.
– Nous on aime bien de temps en temps dit Marie.
– Heuuu, mangeons d’abord un morceau, on verra ça après, pour le dessert.
– Ouiii…restons comme cela, j’aime bien les parfums intimes dit Marie.
– D’accord mais Florence me fera ma toilette avec la bouche comme elle l’a promis dit Juliette.
– Mais oui « petite fente », je te le ferais…
Je l’embrasse et vais installer le piquenique, les deux copines se remontent les culottes en se les collant bien à la fente, ça promet au niveau des odeurs pour plus tard.
Nous mangeons avec appétit, les émois nous ont creusés, nous discutons en même temps, de notre bissexualité, de notre différence d’âge, ça ne les dérange pas, comme elles disent, elles aiment bien se taper une « vieille » de temps en temps ou un « vieux », elles sont vicieuses à souhait et savent que les personnes d’âge mûr sont plus cochonnes que les « jeunots » avec qui elles baisouillent, plus on en parle, plus j’ai envie de me laisser aller à tous mes fantasmes et subir les leurs, je n’ai pas eu de relations sexuelles avec des filles depuis longtemps mais maintenant que je sais que j’ai avec moi deux petites coches pleines d’envies, je mouille de faire la chienne avec elles et j’ai un petit jet d’émotion dans ma culotte.
Nous avons fini de manger et je fume une cigarette en les regardant se tripoter les seins, elles sont tout le temps en recherche de plaisir, insatiables, j’ai étendue une couverture sur l’herbe pour le repas, nous rangeons les restes pour pouvoir nous étaler à notre aise, les mains glissent furtivement sur les corps, l’excitation est là, elles sont belles, jeunes, brunes à la peau bronzée et aux cheveux longs, je déguste l’instant, la chance que j’ai de les avoir trouvées sur ma route de vacances.
Juliette vient à genoux m’embrasser sur la bouche, elle me caresse la poitrine, évalue la taille et le poids de mes seins, elle passe une main entre mes cuisses pour me toucher la culotte, elle me masse le pubis, descend sur mon sexe pour me branler un peu puis porte ses doigts à son nez.
– Hummm, tu sens bon, tu sens bon la pisse et la mouille de femelle en rut, on va se donner du plaisir toutes les trois, bouffe moi la chatte, tu me l’as promis!
C’est tombé comme un ordre, une branleuse de vingt-trois ans me dit de lui bouffer la chatte et je vais le faire, je vais le faire parce que j’en ai envie depuis que je les ai vues sur le bord de la route, inconsciemment, ma libido m’a ordonnée de les prendre en stop, pour avoir une aventure sexuelle avec des filles, désir refoulé depuis si longtemps.
De son côté, Marie se branle toujours la motte en nous regardant nous gouiner, elle s’est enfoncée le goulot de la bouteille de vin du repas dans l’anus et accroupie dessus, se le rentre profondément par de petits vas et viens, elle s’est mise deux doigts dans le vagin et le fourrage dans un bruit de clapot, Juliette me mange la moule en me doigtant l’anus, elle me relève les jambes pour avoir un accès buccale à ma petite porte, quelle bouffeuse de cul, elle me branle d’une main et m’enfonce deux doigts dans le fondement de l’autre, nous jouissons ensemble comme des chiennes en chaleurs, je me mets à lui pisser au visage de plaisir, à côté de nous j’entends la voix de Marie qui prend son pied avec la bouteille dans le cul.
– Ho oui, ho ouiii, ça viens, regardez moi grosses salopes.
Je jette un œil vers elle, la bouteille est rentrée au maximum dans son œillet, elle se triture la vulve sauvagement, son orgasme est à la mesure de ce qu’elle a dans l’anus, elle aussi se met à pisser, un instant une angoisse m’effleure, augmentant ma jouissance, et si des gens nous voyaient, quel scandale, la honte sur moi mais bon nous sommes loin de l’aire de repos et puis tant pis, le plaisir pris est plus important, il efface toutes notions de danger.
Nous redescendons sur terre après un bon moment de passage à vide, de laisser-aller intégral, vulves, fesses et nichons à l’air, nous remettons nos culottes sur nos intimités poisseuses et j’invite les deux nymphettes à venir passer quelques jours avec moi dans ma maison de vacances, c’est au bord de la mer et à côté du festival où elles se rendent, elles acceptent, pour mon plus grand bonheur, mes vacances seront « lesbiennes », pas de mecs, désolée.
Sans doute l’un des meilleurs texte de son auteur !