La reine de la pénétration anale 1ère partie : Carla’s song par Euryanax

La reine de la pénétration anale
1ère partie : Carla’s song
par Euryanax

J’ai rencontré cette fille au cours d’une manifestation. C’était à Paris, du côté de Denfert-Rochereau, pendant les grandes grèves de 2003 contre la casse des retraites. Le cortège s’était scindé et nous faisons partie d’une bande de deux à trois mille personnes qui s’était retrouvée dans une rue adjacente ; quelqu’un s’était planté et nous avions suivi. J’avais perdu les copains avec qui j’étais et m’étais retrouvé avec une postière et quelques gras de chez Renault. J’avais un peu discuté avec la fille, qui était un peu perdue, une belle rousse comme on en voit parfois, avec un maillot laissant deviner des seins de toute beauté et une jupe à fleur des années 60 ou 70, un côté un peu bucolique mais pas vraiment d’appel à la sexualité.

Au bout d’une petite rue, tout d’un coup, des barrières et des flics : le modèle le plus fidèle, CRS sortis tout droit de leur car où les chefs les avaient conditionnés, à la moindre glissade, on avait droit à la correction. Comme la rue était petite et tortueuse, on ne découvrait ce spectacle que tardivement. Nous étions assez près de la tête de ce mini cortège et nous retrouvâmes bien vite coincés entre les flics et les gens qui arrivaient derrière. N’exagérons rien, pressés mais pas tout à fait étouffés, le petit groupe n’était pas assez nombreux pour que ce genre de chose arrivât. A quelques uns, nous jouâmes un peu des coudes pour se placer contre la barrière afin de tenter de discuter avec la maréchaussée, si tant est que ce fût possible. La postière était derrière moi.

La discussion s’engagea avec un officier de CRS. Nous lui expliquâmes que la bifurcation était une erreur, et que tout ce que nous demandions était de retrouver le cortège principal. J’ai su plus tard que nous n’étions pas les seuls, puisque cinq mini cortèges différents s’étaient constitués de manière anarchique autour de la place Denfert. La communication était quelque peu difficile. Heureusement, un gars des Renseignements généraux qui passait par là se glissa dans la discussion, comprit que nous étions de bonne foi et appela ses chefs pour mettre au point une stratégie qui nous permettrait de traverser une rue ouverte à la circulation, puis de rejoindre le cortège principal. Le RG, tiré à quatre épingles, comme à l’habitude, nous indique qu’il faudrait attendre sur place un bon quart d’heure.

Nous étions donc ainsi appuyés sur la barrière, serrés comme des sardines. Tout à coup, je sentis une main un peu fraîche se glisser dans mon short, dans mon caleçon, même. Ma réaction de surprise ne dura pas, car je sentis en même temps deux seins volumineux s’écraser contre mon dos. La fille s’excusa et me dit : « Ça pousse un peu derrière.» C’était ma postière. J’écartais un peu les cuisses et ne bougeai plus, attendant la suite. La main me caressa doucement les fesses, puis arriva jusqu’à mes bourses, les tâta délicatement. Ensuite, elle se replia légèrement et donna deux coups de son majeur contre mon cul, déjà légèrement humide de sueur. Heureusement que devant, il n’y avait que la barrière, car je commençais à avoir une érection conséquente.

Elle retira sa main et je l’entendis nettement sucer quelques-uns de ses doigts. Elle revint se loger entre mes fesses et entreprit d’humidifier mon trou du cul. Elle s’y prit à trois fois, puis, estimant que le travail était fait, entra délicatement en moi avec un doigt. Je me plaçais de manière à lui faciliter la tâche, me penchant un peu en avant ; j’essayai aussi de lancer une main derrière moi afin de lui rendre la pareille. Comme je palpai sa jupe, elle me repoussa gentiment et me murmura : « Nous avons le temps, tu me fouilleras tout à l’heure. »

Elle me doigtait merveilleusement. Son entrée fut douce, ses va et vient excitants puis franchement agréables. Elle se retira puis revint avec deux doigts. A l’intérieur elle caressait dans un sens et l’autre mes parois intimes, le plaisir montait à vitesse grand V. Elle se pencha sur mon épaule et me susurra : « Veux-tu que j’en mette un troisième ? »

J’étais littéralement stupéfait par l’audace de cette fille que j’avais crue bien plus timide.

– Ici ?
– Tant que les flics ne nous libèrent pas…

Joignant le geste à la parole, ou presque elle tenta de faire entrer son index. Je poussais un cri étouffé. Cela faisait un peu mal.

– Pas l’habitude, n’est-ce pas, pourtant une entrée assez souple, me semblait-il…
– Deux doigts, je connais, mais avec un peu plus de préparation, mais trois, c’est nouveau pour moi.
– Oh, dit-elle d’une voix rauque, tes fesses sont si bandantes, j’y mettrais bien le poing. Je ne sors jamais sans ce qu’il faut, au cas où, je vais te détendre…
– Poppers ? Ce n’est pas vraiment mon truc tu sais…
– Mais non, un truc bien plus simple. Ne te retourne pas et arrête de parler, on commence à nous remarquer… »

Elle retira sa main le plus délicatement du monde, se lécha les doigts, du moins je crus le comprendre et farfouilla dans son sac. Je ne savais rien de ce qu’elle faisait et la présence de ses doigts consolateurs dans mes entrailles me manquait déjà. Elle fut vite de retour, avec l’autre main, me semblait-il, tandis que la première me tenait le caleçon écarté du corps. Je sentis quelque chose de froid contre ma muqueuse. Elle m’enduisait d’une crème quelconque, genre vaseline. Elle tartina un peu partout, évidemment la position n’était pas facile. Tout en répandant son onguent elle glissait un ou deux doigts, elle malaxait presque mon entrée pour l’élargir ; à aucun moment je ne ressentis de douleur ni même de gêne. Toutefois, j’étais un peu tendu, elle le réalisa.

« Ne sois pas inquiet, me murmura-t-il d’une voix presque éteinte, mais o combien sensuelle, je maîtrise parfaitement la chose, je suis la reine de la pénétration anale. »

Elle finit par faire pénétrer ses trois doigts dans mon cul et ce fut divin. Elle allait et venait plus vite, plus sauvagement que lors de notre premier contact, je sentis que j’allais crier, que tout le monde autour allait s’apercevoir de ce que nous faisions. Il faut dire que quelques-uns déjà nous regardaient avec curiosité ou sourire. Je dus jeter mon bras en arrière saisir le sien et arrêter son branle. Elle comprit probablement et retira toujours aussi doucement ses doigts. Je me retournais alors les yeux humides de plaisir. Je lui prit le visage et l’embrassai. Cela dura longtemps. Si longtemps que je fus surpris, d’habitude, je ne suis pas considéré comme un aigle pour ce qui est de rouler une pelle. Lorsque nous cessâmes, je lui dis tout ému : « C’était trop fort, je suis du genre à exprimer mon plaisir, j’allais hurler… Mais je donnerai tout l’or du monde pour trouver un coin où continuer. »

Elle porta ses doigts à sa bouche et les suça l’un après l’autre, ostensiblement. Puis elle posa un baiser léger sur les lèvres et dit : « J’habite tout près. » C’est à ce moment là que le gars des RG revint et fit ouvrir la barrière. Tandis que les autres traversaient la chaussée afin de rejoindre la manifestation, elle me pris par la main et m’entraîna vers la gauche, dans un dédale de rues auquel je ne compris rien. J’étais dans un état tel qu’aucun souvenir ne me restât du chemin que nous avions emprunté.

Un immeuble parisien, plutôt vieux, dans un état moyen. Nous grimpâmes au premier étage, elle sortit une clé, ouvrit et me poussa à l’intérieur. Un bref couloir menait jusqu’à une pièce assez vaste, avec deux canapés et quatre fauteuils, mais peu de meubles, peu de livres aussi, ce fut ce qui me frappa, moi qui vit au milieu des grimoires. Elle me jeta sur un des fauteuils, j’y retombai assis et elle se jeta sur moi. Nous nous embrassâmes de nouveau ; cette fois je soulevai sa jupe et réussit à ne pas la déchirer ; je compris aussitôt pourquoi elle m’avait dissuadé de la toucher précédemment : elle était nue sous la jupe à fleur.

Je me retrouvai vite à genoux, en train de mouiller de ma salive son sexe et toutes les fioritures autour. Son bouton d’amour me sembla démesurément grand, je l’aspirai, le léchouillai, le lapai abondamment. Apparemment, elle était de la même tendance que moi ; elle se mit très vite à parler, à respirer fort, à lancer des cris en tous genres, des borborygmes indistincts.

Bien vite nous nous retrouvâmes en 69 sur le tapis. J’avais deux doigts dans son cul et son clitoris dans ma bouche. Elle criait presque aussi fort que moi. Je sentis que j’allais jouir si ça continuait ainsi, elle aussi, elle s’arrêta. Après une fraction de seconde, elle logea mon sexe en feu entre ses seins, écarta mes cuisses et s’en alla lécher ma rosette. Je fit une pause, le temps qu’elle darde sa langue dans mon anus, puis repris ma besogne. Elle ne tarda pas à jouir. D’habitude, les filles avec qui je fais l’amour se tortille pour échapper à ma langue au moment de la jouissance. Celle-là m’écrasa le visage, inondant ma bouche et manquant de peu me priver de respiration. On aurait dit qu’elle pesait de tout son poids ; un abandon total joint à un cri terrible et prolongé. Au bout d’un temps qui me parut interminable, elle se détacha de moi et roula sur le dos : « Ne t’en fais pas pour les cris, dit-elle avec un sourire au milieu de son visage apaisé, les voisins ont l’habitude ; nous nous faisons sauter presque tous les jours…»

Sur le moment, je ne fis pas attention au nous. Elle revint sur moi pour me lécher le cul, et j’en fis autant. Feuille de rose contre feuille de rose, un truc génial.

Ce fut encore elle qui arrêta. Elle changea de position, se remit sur le dos, s’assit et me regarda avec un sourire :

« Bon, étant donné ta carrure, je suppose que tu n’as pas le SIDA. Alors tu vas me prendre, parce que je commence à me lasser des préliminaires, j’ai envie d’un bon vit bien tendu qui me ramone le cul. Je vais m’installer. »

Sitôt dit, sitôt fait. Elle monta sur un des canapés, se plaça à quatre pattes, les bras et les épaules appuyés à la banquette, face à une fenêtre qu’elle ouvrit. Cela donnait sur une sorte de cour intérieure.

« Je ne déteste pas que l’on m’entende quand je me fais sodomiser, commenta-t-elle. » Elle me fit signe de venir, se retourna légèrement, attrapa mon sexe et le glissa dans son vagin. Une chaleur intense m’envahit et je commençai à bouger en elle.

« Pour le moment, tu n’es là que pour lubrifier un peu ton sexe, tu me feras la baise classique plus tard, là j’ai une envie folle de me faire enculer. » Un peu lubrifier… Elle en avait de bonnes ! Elle mouillait tellement que j’avais parfois l’impression d’avoir déjà éjaculé et de remuer dans mon propre sperme. Je me laissais faire, car j’avais envie autant qu’elle d’entrer dans son cul. Je la pénétrai d’un coup, ce fut extrêmement facile.

Lorsque j’eus trouvé la position idéale (je la «remontai» un peu pour cela), je me mis en branle, si je puis dire. L’endroit était doux et satiné ; elle bougeait et accompagnait à merveille mes propres mouvements, je m’agrippai à ses fesses que je claquai de temps en temps. J’avais l’impression que mon sexe allait de plus en plus loin en elle ; parfois, elle s’arrêtait de bouger, se laissait défoncer et crispait ses sphincters sur mon pénis enchanté de l’aubaine. Je respirai de plus en plus fort, lançait des cris ; elle aussi était en transes, elle parlai sans cesse, répétant son plaisir de subir la sodomie, me disant d’aller plus vite ou plus fort, me criant presque que tout à l’heure ce serait mon tour et que je devrais de nouveau accueillir ses doigts. Enfin, elle jouit, un vrai orgasme anal, dur et long, presque douloureux pour moi, tant ses chairs internes se tendaient. Lorsqu’elle redescendit du ciel, elle me demanda de se déverser en elle, c’est à cette occasion que j’appris son prénom, Carla, comme celle du film de Ken Loach ; je ne sais pas si elle connaissait la chanson…

Je me préparai alors comme pour un départ de 100 m et je mis toute la gomme, lui martyrisant les fesses de mes doigts pétrisseurs et à mon tour j’éclatai. A ce moment, ce fut elle qui prit l’initiative, reculant en venant à ma rencontre, avançant et reculant de nouveau. Au moment de la jouissance, c’est toujours un plaisir suprême de ne pas avoir à bouger et de laisser l’autre faire ; elle savait cela et me «termina» en beauté, je lui en sus énormément gré. Nous nous retrouvâmes bientôt assis côte à côte sur le canapé ; la jouissance avait été si forte que j’avais les yeux pleins de larmes ; je m’aperçus alors que les siens aussi étaient légèrement embués.

Elle nous fit du café, mais son envie de sexe refit surface assez vite. Elle m’installa exactement comme elle était auparavant, les épaules sur la banquette. Elle entreprit de me lécher le cul, puis me l’enduisit. Comme au moment de la manif, elle me glissa un puis deux puis trois doigts. Cela dura bien plus longtemps que je ne peux l’exprimer. Lorsqu’elle sentit les préliminaires terminés, elle s’appliqua à me défoncer avec ses trois doigts. Pour cela, elle se plaça debout, presque à côté de moi, me besogna de la main gauche tandis quelle posait la droite sur mon épaule et me caressait distraitement. Il était impossible pour n’importe quel voisin passant dans la cour ou à sa fenêtre de ne pas la voir ainsi, ses gros seins nus et sa main qui allait et venait dans mon cul. Le spectacle était garanti. Elle me confirma mon impression.

« Je suis sûre qu’il y en a deux ou trois qui se branlent derrière leurs rideaux. J’adore qu’on me voie ainsi, et je suis franchement ravie qu’on te voit aussi te faire enculer. »

C’est ainsi, tout en me parlant et me caressant les cheveux qu’elle glissa un quatrième doigt dans mon cul. Ce fut une sensation terrible, cela déclencha comme une perte de conscience. Je dus hurler de plaisir et sombrai. Quelques secondes plus tard, je me réveillai ; j’étais allongé sur elle, dans ses bras et elle me regardait langoureusement. Comme la fois précédente, elle suça méthodiquement ses doigts, me glissant à l’oreille : « J’aime bien ton odeur, mais surtout, j’adore ton goût. Plus tard je te sucerai à fond. Si j’aime aussi ton sperme, je te promets des années d’amour pour nous deux et des milliers d’évanouissements dans mes bras comme celui-là. Tu me plais vraiment parce que tu aimes ce que j’aime, tu aimes le plaisir que j’aime donner et tu aimes donner le plaisir que j’aime recevoir. »

Elle eut un temps d’arrêt, comme une hésitation, puis reprit tout en me branlant délicatement, afin de me redonner un peu de vigueur. Elle n’eut pas trop de difficulté, tellement sa main était douce et tellement la sodomie digitale m’avait excité.

« Nous allons maintenant faire un truc que je ne fais jamais la première fois avec un homme, j’espère que tu comprendras après pourquoi. Mais il faut que je te prévienne qu’il y aura peut-être une surprise, je n’habite pas seule ici et ma copine Laure risque d’arriver. Enfin tu verras. »

Elle alla alors s’asseoir sur le fauteuil situé à côté du canapé, écarta les cuisses sans aucune ambiguïté et m’invita à la rejoindre :

« Un bon petit missionnaire, mon joli. » me dit-elle.

Elle m’attira en elle, mis ses mains sur mes fesses et resta immobile, c’était à moi de jouer. Je fis de mon mieux, sans me forcer, tellement sa grotte était accueillante, je lui suçait les seins tout en la pénétrant. Tout à coup la porte d’entrée claqua, et une voix douce se fit entendre :

« Oh ! Mais c’est la fête ici, attendez-moi, j’arrive. »

Trop concentré et absorbé par la jouissance de Carla qui pointait son nez, je ne me retournai pas. En deux temps trois mouvements, la deuxième fille se retrouva derrière moi en train de me tripoter les fesses, les bourses, glissant parfois un doigt dans le sexe de Carla, au côté de mon pénis. Elle cessa son manège et passa devant moi puis posa un baiser délicat sur la joue de Carla.

« Ça va, lui demanda-t-elle. Tu apprécies ?
– Extrêmement, c’est divin, il est très bon… Tu vas pouvoir t’en occuper, je l’ai bien préparé. »

Je ne comprenais pas où elles voulaient en venir. Je m’arrêtais un petit peu d’aller et venir dans le sexe de Carla pour regarder la nouvelle venue. La fameuse Laure, déjà nue, était magnifique, petite brune, potelée à souhait et un cul, un cul !!! Elle s’éclipsa. Je repris mon manège et elle ne tarda pas à revenir.

Comme Carla auparavant, elle s’occupa de mon anus. Elle commença par y mettre la langue puis le doigt. Elle le badigeonna ensuite abondamment d’une crème onctueuse, je pensai que ce n’était pas la même que celle de Carla. Elle comprit que tout cela me déconcentrait un peu, alors elle glissa deux doigts en mon trou devenu béant et me donna une tape sur la fesse de l’autre main.

« Occupe-toi de ma copine ! »

Je m’exécutai. Tandis que Laure me fouaillai les entrailles, je pris un à un les magnifiques seins de Carla dans ma bouche, je les mordillai, en suite je relevai un peu la tête et accélérai mon va et vient. J’avais désormais ses seins dans mes mains et je les pétrissais. Carla me prit le visage pour le serrer contre le sien. Tandis que je piochais en elle je sentais comme une chaleur qui augmentait, sa respiration était saccadée, elle m’embrassa fougueusement puis fourra ma tête contre son épaule. J’étais éperdu de bonheur d’autant plus que Laure avait désormais trois doigts en moi. Carla se mit à chantonner doucement et je reconnus la mélodie, même si les paroles étaient difficiles à distinguer, tant la voix était confuse. Elle psalmodiait le «Chant des Canuts» : « Pour chanter Veni Creator… ». Je me dégageai doucement de son étreinte et la regardai. Elle avait les yeux mi-clos et des larmes coulaient abondamment sur ses joues. Emerveillé, je la fixai et lui donnai trois ou quatre coups de bite plus violents. Elle cria et me mordit l’épaule jusqu’au sang puis se laissa aller. Je n’avais jamais vu un orgasme comme celui-là. Il me semblait que ses chairs fondaient autour de moi. Mon corps était revêtu d’une sueur abondante et mon cœur d’une tendresse infinie. La reine de la pénétration anale jouissait aussi et o combien lorsqu’on l’aimait ainsi…

Lorsqu’elle eut repris ses esprits elle m’attira à elle et me serra dans ses bras. « Reste en moi, dit-elle sur un ton dans lequel je percevais comme des sanglots, reste en moi et cesse de bouger ! Il va t’arriver un truc formidable, laisse-toi faire… »

Ayant retiré ses doigts de mon cul, Laure s’affairait derrière moi, j’ignorais ce qu’elle faisait. Carla me prit la tête dans ses mains, colla ses lèvres aux miennes et me dit avec une douceur tranquille et une sérénité imperturbable :

« Elle s’est harnachée avec un gode ceinture. Elle va te sodomiser. N’aie pas peur, c’est assez large mais pas trop long, elle ne te perforera rien. D’ailleurs ce n’est pas son but. Rien ne l’excite plus que de faire jouir un garçon en l’enculant avec son gode fétiche. »

Effectivement, elle entra en moi, sans trop me ménager, dois-je dire. Aussi, je poussai un cri, elle m’avait fait mal. Carla serra ses muscles intimes autour de mon sexe et m’embrassa goulûment.

« Ne crains rien, dit-elle doucement, elle c’est la reine de la défonce anale, mais tu vas t’habituer, tu vas adorer, tu va même préférer à ce que je t’ai fait… »

Bientôt, décrispé par ses caresses, je me détendis, je sentais alors qu’elle aurait raison. Laure allait et venait en moi, plus elle me besognait, plus je trouvais cela agréable. Au bout d’un moment, me voyant complètement à l’aise et complètement pris, Carla lâcha mon visage et me regarda dans les yeux.

« Nous allons maintenant essayer quelque chose. Tu vas jouir et cracher ton sperme dans ma chatte, mais sans faire un seul mouvement. C’est Laure qui doit t’enculer si bien que le résultat sera que tu éclabousseras mon intimité. J’espère qu’il te reste beaucoup de sperme. »

A la vérité, je me dois de dire que la sodomie ne fut pas la seule «pression» exercée sur moi pour déclencher ma jouissance. Pendant que je restait immobile, enfin plus ou moins, penché sur ma belle Carla, pendant que Laure me défonçait le cul en me claquant les fesses, pendant que je criais de plus en plus fort, Carla contractait ses muscles intimes et surtout, elle risqua un doigt autour de mon sexe et une main sous mes bourses. Quand je sentis cette main, je sus que j’étais au bout du voyage, j’éclatai littéralement en elle. Je hurlai, bougeai dans tous les sens et crachai à n’en plus finir. Ensuite, je m’abattis sur Carla. Laure se retira, beaucoup plus tendrement que ce à quoi je m’attendais. Ce fut mon tour de pleurer dans les bras de Carla.

« Il est super, ton mec, dit alors Laure. On aurait dit l’éruption du Vésuve.
– J’espère que, dans quelques temps, tu voudras bien être Pompéi et Herculanum, pour moi, » réussis-je à dire d’une voix éteinte.

C’était le bonheur intégral.

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Une réponse à La reine de la pénétration anale 1ère partie : Carla’s song par Euryanax

  1. Richemont dit :

    Y’en a marre des manifs !
    On est sur un site de cul, pas sur « les lendemain qui chantent.fr »

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