La promenade du chien par Jean-Marc04

Tous les soirs après le dîner, je sortais notre cocker qui n’attendait évidemment que cela, la queue frétillante et jappant comme un fou en tournant autour de moi.
Le circuit était à peu près le même tous les soirs dans le quartier de la gare de Strasbourg ; je venais de terminer mes études et commençait à travailler comme ingénieur commercial dans un garage de la ville.
Ma femme Nadia, accroc de télé, m’octroyait cette promenade libre pendant qu’elle s’installait devant le petit écran après avoir débarrassé la table
Elle n’aimait, comme beaucoup de femmes d’ailleurs, que des mièvreries que je détestais pour ma part.
Ce soir là, j’étais sorti de mauvaise humeur, car j’avais eu une petite intention de lui faire un câlin, vertement refusé car elle ne voulait pas rater le 3éme épisode de la Demoiselle d’Avignon ; vous voyez, ce n’est pas d’hier ! !

Je longeais un grand bâtiment qui hébergeait un foyer de jeunes artisans compagnons, l’esprit un peu soucieux, et toujours contrarié par le refus de Nadia ; mon cocker tirait un peu et j’allais le gronder lorsque j’entendis des pas derrière moi ; je regardais approcher un jeune homme simplement vêtu, une veste grise sur une chemise sport et un pantalon genre velours ; pas de jean ni de basket dans les années 75 ! !

Il venait visiblement vers moi

– Excusez moi, vous ne seriez pas homosexuel ?
– Ben non, je regrette, me surprends-je à lui répondre.
– Tant pis, bonsoir

Et il allait franchir le portail du foyer.

– Attendez, je ne suis pas homo c’est vrai, (je ne sais toujours pas ce qui m’a poussé à rajouter la suite) … mais çà me dirai d’essayer !

Un petit sourire, le garçon me tend la main

– Joël, enchanté ; Et ton nom ?
– Je m’appelle Jean Marc.
– Tu as quel âge ?
– Comme toi sans doute, j’ai 23 ans
– Non, je n’ai que 20 ans.
– Tu es de Strasbourg me demande-t-il ?
– Non de Metz, et toi ?
– Je viens de Nîmes, je suis charpentier, et je fais le tour de France des Compagnons

Les présentations étaient faites ; nous étions devant la porte, gênant d’ailleurs tout un groupe qui sortait du foyer.

– Tu viens boire un coup à la gare, Joël ?
– Non, non, je reste ici avec un copain.

Les autres mecs partis, un peu gênés l’un et l’autre par cette soudaine et curieuse rencontre.

– Alors qu’est ce qu’on fait ? ,
– Tu peux monter à ma chambre ; ils sont tous en ville ; on est peinard pour 2 heures
– J’ai le droit, avec le chien ?
– Ouais, ouais c’est permis pour les visiteurs

Nous montâmes doucement s’observant à la dérobée ; il était grand, mince, blond et les yeux vifs ; pour ma part, plus petit et plus charpenté, une moustache assez fournie barrait mon visage.
Jamais je ne m’étais laissé entraîner à ce genre de relation ; et j’avais l’impression que pour Joël, c’était pareil.

– C’est souvent que tu fais cela ?
– Ben non c’est la première fois, j’ai envie de trucs ce soir mais pas seul.
– C’est comme moi, mais je veux tout de suite te préciser : que du sexe, pas de baisers ou autres trucs ; j’aime pas les mecs, c’est pour essayer t’es d’accord ?
– Bon, ok tu me diras ce que tu veux ! !
– Comme cela, d’accord !

Nous arrivâmes à sa chambre ; un peu anxieux mais aussi très curieux de la suite, je l’observais ; il avait l’air très timide, n’osait pas me regarder en face ; mignon, en fait, habillé très correctement.

– Allons, on se déshabille !

Ce ne fut pas très romantique ; une trouble excitation survint en moi ; j’avais déjà vu d’autres garçons nus, mais jamais d’aussi près et surtout dans l’intention de toucher à leur sexe.
Il ne bandait pas, mais semblait un peu gonflé tout de même ; au repos, le sexe un peu petit et recroquevillé, posé sur deux bourses poilues et bien rondes. Ses fesses poilues et bien musclées indiquaient l’homme sportif et jeune.
Il me détailla de la même façon ; un peu plus gros que lui, mon ventre replet se terminait avec une queue de taille moyenne au repos, dont la base était entourée d’une couronne de poils drus.

– Attends, j’ai une cassette de cul et je viens d’acheter un magnétoscope; et au fait, tu veux boire quoi ?
– Une bière, tu as ?
– Oui, moi aussi ; tu nous sers pendant que je mets le film.

Contrairement à ce que je pensais, il nous mit un film danois avec de superbes filles aux seins plantureux qui dès les premières images se mirent à sucer les queues des acteurs.

On était assis tous deux sur un canapé, nus tous les deux côte à côte devant ce film de cul ; les vidéos x venaient d’apparaître chez les particuliers ; comme tout homme, j’en étais friand mais bien entendu pas ma femme qui trouvait cela « dégradant et vulgaire » Eternelle discussion, encore de nos jours, 30 ans plus tard ! !

Les filles du film étaient très natures : des chattes blondes très velues, des seins naturels ballottant au rythme de leurs fellations ; pas de sexes rasés comme maintenant.

Joël et moi regardâmes quelques minutes ; machinalement chacun attrapa son sexe entre le pouce et l’index et commençait à frotter doucement le gland à travers la peau du prépuce, jetant des regards intéressés à l’activité du voisin.

Joël, plus dégourdi que moi, fut le premier à lâcher son sexe et à commencer à me caresser les couilles, puis à me saisir la queue.

– Caresse moi aussi

Pendant que le garçon s’emparait maintenant franchement de mon sexe qui commençait à gonfler et à se raidir, je tendais la main vers son bas ventre.
Joël commençait à bander, je saisis sa queue ; c’était chaud, fort agréable au toucher, et en imprimant un mouvement de bas en haut, lent au départ, je me mis à le branler, faisant à chaque mouvement sortir son gland bien rouge de son prépuce.
Il m’en faisait autant, et très vite, nos ventres eurent un mouvement saccadé au rythme de la caresse de chacun ; nos yeux buvaient les images pornographiques sur la télé, nos mains montaient et descendaient de plus en plus vite…

– Oh attend, on va pas juter comme cela, ce serait dommage.
– Non allons, on passe à autre chose

Depuis que je branlais cette queue bien raide, chaude, vivante et qui n’était pas la mienne, je n’avais qu’une envie ; la sucer !

– Tu veux pas me sucer me surprends je à dire à Joël.

Pour toute réponse, il se baissa et engloutit mon sexe jusqu’à peu près le milieu ; je sentais ses lèvres, sa langue travailler sur mon gland complètement découvert. Excellent, aucune différence quand ma femme me suce, les jours où elle est de bon poil ! !

Ne voulant pas être en reste, et n’ayant pas lâché le sexe de Joël à présent bien raide, je me mis un peu de côté, lui tendant mon bas ventre pour le laisser déguster, et je dirigeai sa queue vers mon visage ; l’odeur était un peu forte, le gland presque violacé montrait quelques petits éléments blanchâtres que j’aurais aimé nettoyer ; mais pris par l’élan, et quand même passablement excité, je gobait cette boule de chair brillante et me mis à la sucer avec application, l’enfournant le plus loin possible.
Mon partenaire se mit à onduler du bassin, imprimant à sa queue un mouvement saccadé de plus en plus fort et puissant, comme s’il me baisait la bouche !

– Fais gaffe, ne me jute pas dans la bouche au moins ! !
– Non, je fais gaffe ; toi aussi ; mais c’est super bon de te sucer, c’est génial :

Tout le monde était content au moins.

Nous nous suçâmes encore quelque temps ; et ce sont des hurlements venus de la télé qui nous ont fait lever le nez ; les deux filles hurlaient, les queues de leurs partenaires plantées entre leurs fesses écartées

– Regarde, elles se font enculer me dit Joël; je sais pas si c’est si agréable ; j’aimerais que tu me le fasse, je vais mettre de la vaseline ;

Il abandonna ma queue, attrapa un tube de lubrifiant (il avait tout prévu) et s’enduisit le cul puis ma queue. Cela m’excitait, j’étais bien raide.
Joël se mit à genoux, m’offrant son cul un peu poilu ; au milieu de la raie du cul, son anus brillait de vaseline.

– Vas-y doucement, viens, encule moi ; il m’attrapa la queue, plaça le gland contre son orifice
– Vas-y pousse, pousse doucement, enfonce bien, enfonce bien au fond ; je regardais ma queue disparaître entre les fesses du jeune homme, doucement.

C’était étroit, humide, et mon sexe rentrait imperturbablement, jusqu’aux couilles, puis il ressortit doucement, repénêtra, et ce plusieurs fois lentement ; Joël se mit à soupirer et à gémir doucement pendant que je limais son arrière-train de ma gosse queue raide.

Je cherchais de la main droite son sexe libre et qui était resté bien raide, et me mis à le branler au rythme de mon enculade ;

Tout s’accéléra vite, ma main frottait vivement la queue raide et palpitante, et mon sexe toujours bien dur plongeait dans le cul de mon partenaire, jusqu’à ce que mes poils et mes couilles touchent ses cuisses.

La cavalcade s’accélérait, je branlais et enculais sur le même rythme ; Joël annonça son plaisir imminent, j’accélérais mes mouvements et au moment où dans un râle expressif, Joël eut une forte éjaculation que je pris en partie dans mes mains et sur le drap, en 2 ou 3 coups de reins puissants, je vidais mes couilles au fond de son anus, longuement, puissamment.

Nous nous effondrâmes sur le lit, soufflants et à demi inconscients, suants mais heureux ; nous nous avouâmes que jamais nous n’avions pris un tel pied l’un et l’autre.

Nous nous rhabillâmes, je quittais un peu subrepticement la chambre et me retrouvais dans la rue, heureux, satisfait, repus mais avec un sentiment un peu étrange d’avoir peut-être un peu mal agit ; et pourtant cela avait été si bon ! !

Le portable n’existant pas en 1975, nous n’eûmes pas l’occasion de nous revoir ; je suis bien allé traîner quelques fois par là bas, sans succès.
Cette expérience fut pour moi la seule ; sans regret d’ailleurs , car j’aime tant les femmes et leurs courbes troublantes qu’elles m’ont vite fait oublier le cul serré et bien lubrifié de ce jeune homme ; le plaisir est le même, cela je vous puis l’affirmer ; en fait enculer un cul de fille ou un cul de garçon , la différence est plutôt esthétique ; je préfère quand même de belles fesses bien charnues et sans poils d’une fille, que j’écarte largement pour dévoiler le petit orifice bistre, plissé et serré à un cul ferme souvent poilu et moins joli à mater.

Mais çà c’est une question de goût !

Au retour de ma ballade, ce soir, j’ai admiré un moment Nadia qui regardait la télé allongée nue sur le canapé ; elle faisait saillir (sans le faire exprès ?) ses belles fesses et je la voyais se lisser de la main droite les poils de son bas ventre, et même un peu plus loin, du côté de son clitoris (était-ce innocent ?)

Nadia ne sut d’où cela venait ; m’étant déshabillé discrètement, je grimpais sur le canapé, attrapais ma femme par les hanches et vint glisser entre ses très belles fesses bien charnues un sexe raide comme jamais ; je la violais quasiment, forçant brutalement le sphincter anal ; un petit cri de sa part quand même, vite calmé et remplacé par des soupirs « éloquents » ; madame avait l’habitude, déjà avant le mariage, de pratiquer la porte étroite pour éviter certains inconvénients.

Ce fut intense et rapide; elle se branlait vivement le clitoris pendant que je la sodomisais, et au moment où je lui envoyais une bonne giclée de sperme dans les boyaux, elle cria son plaisir.

– Et bien je ne sais pas ce que tu as vu ou fait pendant cette ballade, mais çà t’as bien émoustillé mon chéri ! Ah si les chiens pouvaient parler, hein ? ?

Cet intermède est resté unique dans ma vie ; je suis très tolérant en ce qui concerne le sexe, et l’homosexualité ; je ne renie pas du tout cette épisode durant lequel j’ai pris un pied fantastique, mais la compagnie des femmes me comble bien plus ; elles sont si douces, si belles, si câlines, même si leur trou du cul n’a rien à envier au nôtre ! !

Jean Marc

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2 réponses à La promenade du chien par Jean-Marc04

  1. Muller dit :

    L’art de tous gâcher
    1) avec des propos misogynes (je ne suis pas féministe, mais la beauferie est parfois insupportable)
    2) avec ce dialogue complétement débile :
    « – Excusez-moi, vous ne seriez pas homosexuel ?
    – Ben non, je regrette, me surprends-je à lui répondre.
    – Tant pis, bonsoir »
    Comprenez qu’après ça on n’a plus beaucoup envie de lire la suite

  2. Jacque Uzi dit :

    L’amorce est trop simpliste, mais sinon c’est pas mal du tout et illustre bien ce que votre site nomme « la bitophilie ». Un bon texte !

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