La métamorphose 5 – Ça y est, je suis enfin une salope ! par lotrebord

 

La métamorphose
5 – Ça y est, je suis enfin une salope !
par lotrebord

Après le dîner, il téléphone pour savoir si ça tient toujours.

– Bien sur que ça tient. Je t’attends avec impatience. Oh, à propos, ma femme souhaite être présente. Elle adore me voir faire l’amour. Et puis, je voudrais savoir si tu as une préférence pour ma tenue. Comment veux tu que je t’accueille?
– Je veux bien que ta femme soit là, mais je ne veux pas qu’elle participe. Elle pourra si elle veut se mettre à poil et se masturber avec un gode. Toi, je veux que tu sois nu comme un ver pour m’accueillir.
– D’accord Daniel, je serais nu pour te recevoir. Je t’attends. Ne tarde pas trop.
– Ne crains rien, j’ai hâte de profiter de toi, ma salope.

Je me dévêts et me parfume pendant qu’Hélène fait sa toilette et reste en string et soutien-gorge sous son peignoir. Je prépare le godemiché qui servira soit à ma femme, soit à moi.

Quand enfin retentit la sonnette, je vérifie qu’il s’agit bien de Daniel, enfile des nu-pieds et très ému, je vais lui ouvrir la petite porte du jardin. Il entre, me regarde attentivement et me dit:

– Putain! Tu n’es pas mal, tiens, regarde, je bande déjà.

En disant cela, il a pris ma main qu’il a placée sur son pantalon. Il est en érection, moi aussi. En me mettant la main au cul, il me pousse vers la maison. Hélène nous reçoit, se présente et demande si elle peut lui offrir quelque chose.

– Oui, lui, dit il en me désignant. Il nous montre un test concernant sa santé, test qui n’a qu’une semaine et nous affirme qu’il fait très attention, que nous pouvons lui faire confiance.
– Sans hésiter, je dis que je suis d’accord. J’ai trop envie de lui.
– Alors, déshabille-moi.

D’abord sa chemisette. Je défais les boutons, écarte les pans de la chemise, caresse sa poitrine, dénude ses épaules et enlève le vêtement.

A genoux devant lui maintenant, je caresse la bosse sur son pantalon puis dégrafe la ceinture, fait glisser la fermeture et descend le vêtement.

Il porte un string noir. Je caresse ses fesses puis baisse son string pour que sa queue magnifique se dresse fièrement devant mon visage. Je continue à faire descendre son string en même temps que je lèche son sexe. Lorsqu’il est aussi nu que moi, je décalotte son gland, le titille avec ma langue avant d’avaler son sexe qui vient taper le fond de ma gorge. Je cherche le regard d’Hélène. Elle me fixe, les yeux grands ouverts, son peignoir est ouvert, ses cuisses écartées et sa main droite s’agite sous son string.

– Tu es magnifique ma salope dit elle, fait le bien jouir.

Il me tient par la tête et donne des coups de reins. Je le tiens par les fesses, glisse un doigt dans son anus et ne relâche pas son sexe. Soudain, son rythme se fait plus rapide, il me dit qu’il va exploser. Je maintiens ma prise et soudain, il se vide dans ma bouche. Sa liqueur tiède a un goût légèrement salé. J’ouvre ma bouche pour montrer à ma femme ce qui m’arrive.

– Avale tout ! M’ordonne-t-elle.

Je referme la bouche et bois le sperme de Daniel. Elle a introduit le godemiché dans sa chatte et jouit intensément pendant qu’avec ma bouche je fini de toiletter la queue de mon amant.

Nous ouvrons une bouteille de champagne et la buvons en reprenant des forces. Je caresse le ventre de Daniel pour l’aider à retrouver sa vigueur. Je veux qu’il bande, je veux qu’il m’encule.

Il se tourne vers Hélène, aussi nue que nous.

– C’est toi qui lui as appris à faire des pipes ?
– Oui
– Bravo, il fait ça aussi bien qu’un travelo brésilien.
– Maintenant, tu vas voir s’il est aussi bon avec son cul. Si tu veux, je le lubrifie maintenant.
– Oui, fais-le.

Lorsque je suis prêt, je dois me coucher sur le dos et reprendre la position jambes en l’air, cuisses écartées. Il s’installe et guide son gland vers mon trou puis doucement d’abord, il force l’entrée et me baise. Je deviens fou, sentir coulisser son sexe dans mon cul est un bonheur. Je fais des efforts pour serrer mon sphincter et accroître son plaisir. Je crie ma joie pour que ma femme l’entende et je n’y tiens plus, je me mets sur mes coudes, attrape sa tête par le cou et l’embrasse à pleine bouche. Il n’en revient pas et se recule pour me traiter de radasse, de chienne puis il jouit dans mon cul au moment ou j’éjacule. Il reste épuisé, allongé pendant que je me lève pour aller me laver sous le regarde d’Hélène. Du sperme coule de mon cul le long de mes cuisses et j’ai déjà envie de recommencer.

Lorsque je reviens, Hélène demande à Daniel s’il peut, la prochaine fois, être accompagné d’un ou deux amis. Elle aimerait que je sois partousé devant elle pour qu’elle voie jusqu’où je peux aller dans le vice. Moi, je le sais, j’irai jusqu’au bout du plaisir.

– J’ai un bon copain qui peut venir avec moi demain pour tirer ta tapette, si tu veux.
– Oh oui, je veux voir ça. As-tu une préférence pour sa tenue?
– Oui, comme je serais avec un copain, je veux qu’il ressemble à une pute.
– Ce sera fait.

Comme il est resté allongé sur le dos, j’ai pris une lingette pour faire sa toilette intime puis je suis venu m’installer tête-bêche sur lui et j’ai repris son sexe dans ma bouche. Il ne tarde pas à bander de nouveau et à son tour il se saisit de ma queue, décalotte mon gland et l’engloutit pendant qu’avec ses deux mains, il écarte mes fesses. Ma femme, restée nue, vient se mettre à genou à côté de lui et lui tend le godemiché en lui ordonnant:

– Enfiles lui ça dans le cul à cette chienne.

Daniel saisit l’objet et le fait pénétrer au maximum. Défoncé et sucé, je jouis sans retenu.

Le lendemain, sur ordre de ma femme, je reste nu pour la journée. Elle rentrera à midi avec de quoi me transformer en putain.

Pour l’instant, elle a trouvé dans ses bijoux un bracelet en jade, de 6,5 cm de diamètres et avec précaution, elle me l’a enfilé sur les parties génitales, faisant passer l’une après l’autre mes testicules dans l’anneau. Je suis déjà en érection. Elle va chercher mon collier de chienne offert par Geneviève et me le fixe au cou. Elle va alors chercher un ruban de velours noir dans ses affaires, le noue autour du bracelet, puis le fait passer entre mes fesses, le tend dans mon dos et le fixe sur l’anneau du collier. Elle exige que je m’installe à quatre pattes. Le ruban se tend. Elle disparait dans notre chambre et revient avec le godemiché et le lubrifiant. Elle m’enduit l’anus de pommade et fait pénétrer le plus loin possible le sexe artificiel. Ensuite, elle fait passer dessus le ruban afin qu’il exerce une pression permanente et l’empêche de sortir de mon cul. Je me remets debout et marche. Je me penche, il bouge entre mes fesses. Elle m’insulte et dit qu’elle reviendra avec de la lingerie de pute. Pas question d’enlever cette parure durant son absence. Elle me prend en photo à genou sur une chaise, penché sur la table puis à quatre pattes et disparait jusqu’à midi, non sans m’avoir embrassé en même temps qu’elle fourrageait le godemiché dans mon cul de salope, comme elle dit.

Lorsqu’elle rentre quelques heures plus tard, elle a fait l’acquisition d’un slip fendu devant et derrière. Difficile de faire plus vulgaire. Il est noir, et les bords sont de dentelle rouge. Un porte-jarretelles assorti, noir, avec les supports des agrafes rouge complète ma garde robe. Quant aux bas, ils sont à grosses mailles genre filet, noirs et le parement autour des cuisses est rouge.

Pendant qu’elle va prendre une douche, j’enfile les éléments de cette nouvelle tenue. Mon sexe bandé sort fièrement du slip. Je me regarde dans le miroir et apprécie d’avoir le cul toujours disponible. Avec des chaussures à talons hauts je fais vraiment radasse. Lorsqu’elle revient, elle me fait marcher, tourner sur moi même et enfin appelle Daniel pour lui dire que je suis conforme à ses désirs. Qu’il peut, quand il veut, venir seul ou accompagné pour me baiser. Il passera avec un copain pour me présenter, pour me sauter et pour m’offrir à son pote. Celui la, sait déjà que je suce à fond et veut jouir dans ma bouche. Hélène veut me filmer en train de faire la putain. Comment pourrai je refuser, j’en ai tellement envie.

Comme elle est très excitée à l’idée de me faire baiser par Daniel et son copain, elle se déshabille complètement puis s’installe les cuisses grandes ouvertes sur notre lit. Elle m’appelle.

– Viens ici salope. Approche-toi et tourne-toi. Mets tes mains dans le dos.

Oh la vicieuse, elle me passe des menottes qu’elle a du acheter en cachette. Mes bras sont prisonniers.

– Maintenant espèce d’enculé, tu vas me faire jouir uniquement avec ta langue et ta bouche. Tu as intérêt à y parvenir, si tu ne veux pas devenir mon esclave. D’ailleurs, tôt ou tard, tu vas le devenir.

Je suis maintenant à genoux au bord du lit. Elle, assise, cuisses écartées, me tient par le collier. Elle tire de temps à autre sur le ruban pour que le godemiché entre à fond pendant que je pénètre sa chatte rasée le plus loin possible avec ma langue. Je suçote son clitoris et me prends à rêver que c’est un sexe d’homme. Au bout d’un certain temps, elle chavire, le dos sur le lit, m’enlace le cou avec ses cuisses et, donnant des coups de reins, elle gémit et m’encourage de la voix:

– Oh oui, lèches moi sale pédé, je vais venir, je vais jouir dans ta bouche de vicieuse.

Puis elle s’épanche, sa cyprine coule entre mes lèvres, je la bois et je m’applique à faire sa toilette en la léchant. Elle défait les menottes qui, dit elle, n’ont pas fini de servir.

Je suis libre de mes actes pour cet après midi. Elle a une idée pour m’humilier ce soir devant mes baiseurs, comme elle dit mais c’est encore une surprise. Elle tapote le godemiché toujours calé en moi, me dit:

– Enlèves ça, vas laver ton cul et n’oublies pas que ce soir, tu seras une prostituée.

Quand elle a quitté la maison, j’ai passé pas beaucoup de temps à me laver, m’épiler, me raser, puis me parfumer. J’ai remis ma tenue vulgaire pour m’y habituer, pour marcher avec mes hauts talons et m’admirer dans tous les miroirs.

J’ai vraiment envie d’être une chienne lubrique.

Avant de rentrer, elle m’a d’abord téléphoné pour me provoquer.

– Décris-moi ta tenue, salope.
– Je suis comme tu l’as exigé.
– C’est à dire?
– Culotte fendue, bas, porte-jarretelles.
– C’est tout?
– Oui
– Mets ton collier de chienne, le bracelet autour de tes couilles, avec le ruban tendu entre les deux et encules toi avec le godemiché. Tu rappelles quand c’est fait.

Et elle raccroche.

– Quelques minutes plus tard, je la rappelle pour lui dire que j’avais obéi à ses ordres.
– Bien. Lorsque j’arriverai, je veux que tu viennes m’ouvrir le portail. Ensuite je veux te voir choisir une fleur pour ta queue, l’introduire complètement. Moi, je resterai dans la voiture et tu viendras devant le capot pour te caresser et te branler. A tout de suite.
– Je ferai tout ce qui te plaira.

Puis, j’ai attendu en cherchant déjà la fleur que je ferai glisser dans ma queue. L’ayant choisie, j’ai marché en ondulant de la croupe et j’ai attendu.

Au coup de klaxon, je suis allé ouvrir le portail, je l’ai vu rentrer, j’ai refermé. Lorsqu’elle a baissé les vitres teintées, j’ai vu qu’elle n’était pas seule. Geneviève l’accompagnait. Je suis allé cueillir la fleur, l’ai introduite dans mon sexe en érection et suis venu me mettre devant la voiture.

– Ecartes tes jambes de pute. Caresses toi et branles toi.

J’ai vu alors que Geneviève tenait une caméra et me filmait. J’étais très excité. Je me suis tourné un peu pour qu’elle voie mon dos avec le gode enfoncé entre mes fesses et me suis remis de face pour jouir comme un fou en gémissant. Ma main était inondée.
– Tu sais ce qu’il te reste à faire?

J’ai léché mes doigts.

– Félicitation ma Chérie dit Geneviève à ma femme. Tu as vraiment fait de lui un pédé. J’ai hâte de le voir avec deux mâles, et se tournant vers moi, elle demanda:
– Ça te plait d’être pris par des hommes?
– Oh oui, j’adore ça.
– Tu étais vraiment fait pour ça toi. Je veux que tu sois au maximum du vice lorsqu’ils viendront t’enfiler.

Pendant qu’elle me parlait, Hélène après lui avoir ôté sa jupe et son string, lui caressait la chatte et les fesses. Geneviève se désintéressa de moi pour embrasser Hélène à pleine bouche en même temps qu’elle la déshabillait. Nues, elles se dirigèrent vers la chambre, laissèrent la porte ouverte et s’aimèrent sans retenue.

Lorsqu’elles sortirent de la chambre, Geneviève me demanda d’aller chercher dans la voiture un sachet contenant une bouteille. Lorsque je revins avec la bouteille: un vin d’Alsace, les deux Nanas, toujours nues sur le divan me dire qu’elles allaient m’apprendre autre chose pour plaire à mes sauteurs.

– Vas dans la cuisine, enlèves le capuchon doré sur la bouteille, laves bien le goulot et reviens avec la bouteille, sans l’ouvrir.

Une fois ceci fait, je revins avec la bouteille.
– Vas dans la salle de bain enlever ton godemiché et le ruban. Lave aussi ton cul. Reviens avec le lubrifiant.

Je commence à comprendre…

– Maintenant, mets du lubrifiant sur le goulot puis mets-toi à genoux au dessus de la bouteille et descends doucement pour t’empaler sur le goulot.

Je m’exécute jusqu’à sentir le goulot écarter mes fesses et glisser dans mon anus.

– Tu es vraiment une salope dit Geneviève. Cette bouteille sera ton siège ce soir, lorsque tes copains homosexuels seront là.

Puis, elle s’approche de moi, vérifie que ma bouche était à la hauteur de son sexe et me demanda de la lécher pendant qu’elle m’appuie sur la tête. Hélène vint la remplacer et c’est ainsi que je fus associé à leurs amours.

Le soir, Daniel nous présenta Laurent. Geneviève avait été invitée et Les filles promirent qu’elles baiseraient entre elles, sans hommes et eurent le droit de rester, de filmer, à la condition qu’on ne voit que mon visage.

Quand la sonnette tinta, J’allai ouvrir dans ma tenue de pute, le cul et la queue offerts.

– Regardes cette salope dit aussitôt Daniel à Laurent en me montrant du doigt. Je t’ai dit que c’est un bon coup. Tu peux tout lui faire. Il accepte tout.

Je les guides vers l’entrée. Après les présentations, je vais chercher à boire pendant qu’ils se mettent à poil, comme les filles.

Je revins avec les verres, un seau à glace et du champagne. Pendant que je fais le service, Laurent, tout en se caressant le sexe, montra la bouteille de riesling posée au milieu du salon.

– C’est quoi ça?
– Il va vous montrer. Ce soir, c’est son siège. Installes toi ordonna Hélène.

Comme avant, je reprends la position: cuisses écartées et descends doucement pour m’empaler sur le goulot et le faire glisser dans mon cul. Je garde la position et Laurent se lève pour approcher un super sexe qui bande devant mon visage. Je prends Laurent par les fesses et tout en le caressant, je le tire vers moi. Je décalotte sa queue, la lèche, la suce, la mordille et la fais glisser entre mes lèvres pour la sentir toucher le fond de ma gorge. Il me tient par la tête et parfois donnes des coups de reins, parfais m’appuie sur le crâne pour que la bouteille pénètre mon cul au plus profond. Hélène, nue, a pris la caméra et filme mon visage, ma bouche qui engloutit avec gourmandise ce sexe. Elle filme mes fesses avec la bouteille, puis revient sur mon visage. Moi, j’excite Laurent en caressant ses couilles et enfin, je glisse un doigt entre ses fesses et l’introduit dans son joli cul. C’est le moment qu’il choisit pour jouir. Pour être sur que rien de m’échappera, je le tiens fermement et sens son sperme qui emplit ma bouche. Je le regarde amoureusement sous l’œil de la caméra. Hélène me demande d’ouvrir la bouche. Je le fais en faisant attention à ne rien perdre. Elle filme toujours. Je referme la bouche et avale tout.

Puis, c’est Daniel qui donne des ordres.

– Mets-toi à genoux devant moi. Branles moi et regardes bien la camera de ta femme. Allez plus fort… oui, ça vient, ouvre ta geule chienne

Il jouit.

– Avales tout ma pute.

Puis avant de s’en aller, il s’empare du gode de ma femme et me l’enfonce dans le cul. Je suis debout, penché sur le fauteuil ou Geneviève est assise. Je jouis sur et elle me gifle en me traitant de malappris.

Daniel et Laurent sont restés nus le temps de retrouver de l’énergie car Hélène a demandé… on pourrait dire exigé qu’ils me baisent à deux, en même temps. C’est Laurent qui s’installe allongé sur le dos et que je branle pour qu’il retrouve toute sa virilité. Je peux maintenant avaler son sexe. En même temps, je suis à genoux et cambre mes reins pour dire à Daniel: « prends-moi », je suis à toi. Il a compris. Ma femme enduit mon anus de vaseline et lui dit: Elle est prête ta salope, vas y. Alors, d’un coup de rein, il me défonce et me tenant par les hanches, il m’encule sans retenue. Je crois bien que nous avons jouis tous les trois en même temps.

Fourbu, mes « violeurs » se rhabillent et s’en vont.

Hélène m’attache avec les menottes à un radiateur et revient avec un martinet qu’elle donne à sa maitresse.

– Fouette cette trainée, rougit son cul.

Elle le fait puis me plante le martinet entre les fesses et entraine Hélène vers la chambre.

Je reste à genou, avec le martinet entre les fesses et menotté au radiateur pendant qu’elles font l’amour

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *