J’imagine…
…tes fesses tendues vers moi.
Ton visage écrasé sur l’oreiller et ton regard scrutant le bas de mon
ventre.
Ton sourire en dit long sur les pensées qui te traversent l’esprit.
Tu te cambres davantage de manière à faire ressortir ta croupe et permettre
ainsi à l’objectif de saisir au mieux ton intimité.
Les éclairs du flash illuminent la pièce.
Tu prends plaisir à dévoiler les moindres détails de ton anatomie.
J’adore ton regard de belle petite vicieuse lorsque tu écartes largement tes
fesses de tes deux mains.
Zoom avant pour saisir cette merveilleuse rondelle dilatée par l’envie.
Zoom arrière pour ne manquer aucun détail de cette scène.
Tu es belle.
Et tu sais parfaitement que tout cela m’excite.
Un large sourire de ma part te donne l’occasion de te détendre encore plus.
Détendre dans tous les sens du terme. Je suis subjugué par la manière dont
tes doigts ouvrent cette magnifique petite chatte.
J’ai envie de plonger dans cette cavité ouverte devant moi.
Tu es trempée. Excitation maximale.
Ce terrain glissant te permet de jouer à nouveau avec ton petit trou.
Tu y glisses un premier doigt. Un second, puis un troisième.
Ton autre main vient à la rescousse.
Tes doigts écartent maintenant ce passage. Tu es merveilleuse de perversité
à cet instant.
Et j’adore ça !
Mon appareil chauffe lui aussi. Je dois déjà avoir pris une cinquantaine de
photos de toi ainsi offerte. J’en veux davantage. Dix de plus, cinquante,
cent. Je veux pouvoir te faire défiler sur mon écran en continu.
Je pourrais ainsi m’abandonner en me délectant de ton être. Jouir de plaisir
autant que je le souhaite. Inonder de mon sperme tiède toute la surface de
mon bureau. Jouir encore, et encore. Grâce à toi.
Tu saisis un magnifique double dong d’une matière gélifiée. Celui-ci doit
bien mesurer 60 ou 70 centimètres et sa flexibilité laisse présager un
merveilleux moment.
Tu simules une magnifique fellation sur l’une de ses extrémités. Son fort
diamètre t’impose d’ouvrir largement ta jolie bouche. Tu souris en me
regardant. Ma petite salope adorée !
Tu ne me quitte pas du regard, laisse échapper de ta bouche gourmande ce
terrible objet de plaisir, et te l’introduit aussitôt dans le cul.
Je lis dans tes yeux que le passage est difficile, mais me rappelle ton
adage selon lequel un degré d’excitation optimal permet d’ouvrir toutes les
portes.
Je vois ce gode pénétrer ton fondement tout en douceur. Tu le
retires. Ta rondelle reste ouverte quelques secondes. Tu es belle. Tu le
replonges au fond de toi. Ton cul se cambre pour laisser passer une bonne
vingtaine de centimètres.
Je sens monter en toi une jouissance rare, tu commences à proférer des
cochonneries pendant que l’objectif s’ouvre et se referme à un rythme
effréné.
» Oh oui mon chéri, je m’ouvre le cul pour toi, regarde bien comme j’aime
ça. Je suis une belle salope, hein ? »
Oh oui mon Bébé, tu es MA belle salope et tu sais que j’aime ça !
Tu en veux encore plus. Tu courbes ce double dong de manière à ce que
l’autre extrémité vienne ouvrir ta petite chatte déjà béante.
Tu glisses lentement ce beau morceau au fond de toi et prend plaisir à te
sentir ainsi double pénétrée. Puis tu joues avec ce bel objet. Le faire
entrer et sortir t’apporte apparemment beaucoup de plaisir.
J’adore lorsque tu le retires totalement. Tes deux orifices restent ouverts
et attendent d’être à nouveau défoncés.
Je n’en peux plus. Te voir remplacer ce gode par tes doigts me rend fou. Ta
main entière s’immisce dans ton adorable petite chatte. Tu jouis depuis plus
d’un quart d’heure sans t’arrêter et tu en veux toujours plus.
Je viens lécher tes doigts lorsqu’ils sortent quelques instants. J’aspire
avec bonheur ce doux liquide chargé d’intensité sexuelle.
Tu m’ordonne de te bouffer la chatte, puis le cul. D’enfoncer ma langue au
plus profond de toi. Tu me dis ce que j’aime entendre :
» Oh oui baise moi avec ta langue, défonce moi le cul, aspire mon jus « .
Tu reprends un peu tes esprits. Me rejette en arrière. Me dis de me branler
vigoureusement.
Tu t’accroupis devant moi, laisse échapper un filet d’urine.
» Je sais que tu aimes ça, mon chéri « .
Tu reprends ton gode pour l’enfoncer en toi. Tu continues de pisser sur lui
devant moi en te pénétrant. Je m’empresse de venir goûter à ce délice mais
tu me repousses à nouveau.
Tu sors ce gode. T’empales à nouveau dessus en t’enculant. Je crois rêver
lorsque je m’aperçois qu’il a presque disparu en toi. Tu me demandes de le
retirer doucement pour ensuite l’enfoncer dans mon propre cul. Je bande
comme un âne. J’ai envie de toi. Je saisis l’autre extrémité m’écarte les
fesses et commence à l’introduire en moi. C’est bon. Tout à coup tu te mets
à me baiser comme une chienne. Nos culs se dilatent en même temps et
subissent les mêmes assauts.
Tu me sens venir et m’ordonne de ne pas éjaculer de suite.
» Je veux que tu viennes te vider les couilles sur mon visage, je veux boire
ton jus, oui viens vite m’abreuver de ta semence »
Cette éjaculation n’en finissait plus. Tu t’es retrouvée couverte de sperme,
t’es amusée à le laisser s’échapper de tes lèvres, à le récupérer avec te
doigts pour ne pas en perdre une goutte.
Nous pouvions entendre le ronronnement de l’appareil photo durant les cinq
minutes qui suivirent.
Puis tu t’es levée et m’a lancé :
» Allez mon doudou, viens, les trans des Folie’s Pigalle nous attendent … »
Mysterbig
Qu’est ce que c’est lourd !
Le genre de texte qui m’excite à fond