Histoires de bons plaisirs – 3 – L’éducation de Rosie par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 3 – L’éducation de Rosie

Avec tout ça j’ai perdu un peu le fil de mon histoire. Je ne sais pas si je vais m’y retrouver et vous aussi !

On a donc un galopin Lucien, défricheur de trous de balle., Grâce à son aïeul il a été déniaisé chez Madame Claude. Ensuite il fait ses premières armes dans des bordels militaires. Puis décapsule quelques jeunes nunuches avant de folâtrer dans les bras plus âgés d’une dame toute aussi mûre que bien gourmande. Il finit par se marier un peu trop rapidement, avec Sophie, une pimbêche qui a la main sur le cœur, quelquefois sur la chatte, mais le cul scélérat. Elle a une maman’ Huguette’, qui est formidable et ne se démonte pas elle, pour une histoire de fesses car de la fesse, justement elle en a et elle sait s’en servir.

Voilà qui pourrait bien arranger les affaires de son gendre !

Il se remarie, avec ‘Rosine’, un sacré bout de femme qui a le mérite d’être la cousine de la précédente.

Donc si vous avez bien suivi on reste en pays de connaissance et il y a de fortes chances que si Lucien n’a pas pu baiser la belle-mère, il va se payer la Tantine en toute convenance, d’autant que toutes deux ne font qu’une…

……Bon et avec ça moi j’ai ma chère Ernestine qui ne manque aucune occasion pour venir me tarabuster les couilles toujours au moment le plus pathétique….elle le fait exprès cette petite vicieuse jalouse des bons petits soins que j’accorde aux personnages de mon roman ! Je dois avouer qu’elle si connait bien elle aussi dans le métier et que ses petites visites ne me sont pas si désagréables…
……………………….
Rosie (on la connait, c’est le petit nom de Rosine) est jouisseuse, elle aime faire l’amour, elle baise fréquemment, elle est passionnée et demandeuse. Avec Lucien ils ont l’esprit ouvert et coquin et n’entretiennent aucune jalousie. Si Lucien a déjà goûté aux délices coquins de l’existence il n’en est pas de même pour Rosie qui sans être vraiment novice avant de se marier, n’avait pas eu encore de fortes expériences dans l’art et surtout la manière d’être une parfaite amante. Ce qui ne veut pas dire que dans son joli corps grassouillet elle ne soit pas sujette à de délicieuses sensations et à de grosses émotions qu’elle ne peut finalement canaliser qu’en se caressant les seins et en titillant le tendre défilé entre ses deux guibolles.

Mais quand on a le pot d’avoir une Tante comme Huguette on ne peut pas faire la sainte nitouche vu que la chère Tata depuis longtemps renseigne sa nièce sur la façon de vadrouiller sur les chemins merveilleux et souvent creux de la concupiscence. Ainsi elle lui apprend qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien et que son corps possède mille petits endroits et mille petites façons de s’accorder du plaisir à soi-même, à l’autre et même à plusieurs.

Les choses se présentent donc bien pour notre couple en ces premières années de mariage. Ils n’ont pas l’intention de s’ennuyer. Lucien adore Rosine qui elle est ravie que sa Tante soit aussi l’objet de toutes les attentions de son mec. Pour elle c’est dans la règle des choses, du moment que tout le monde est content. Connaissant bien les deux personnages elle ne doute pas qu’ils sauront profiter l’un et l’autre de leurs attirances réciproques mais ça ne la gêne pas car elle compte bien en partager les profits.

Mais justement avant qu’ils ne se marient nos deux tourtereaux, Huguette a bien compris que sa nièce est une jeune fille de bonne composition qui semble apparemment être attirée par les bienfaits de sa nature et qui a besoin d’un petit complément d’éducation pour profiter des bonnes choses de la vie.

Ainsi s’étant aperçue que Rosie lui offrait facilement ses lèvres quand elles se font des bises, elle en a profité pour lui glisser la langue dans la bouche, ce qui n’a pas décontenancé sa nièce, bien au contraire, elle s’est plu à recommencer.

Bientôt c’est toutes nues qu’elles se sont rencontrées pour se congratuler pubis contre pubis.

Elle commence donc à la travailler à corps pour l’entrainer dans de sublimes jouissances. Bien dispo, Rosie se laisse caresser, chouchouter et adore se faire rafraîchir la craquette par sa Tatie qui nous l’avons vu est une excellente éducatrice besogneuse et gourmande en amour. À toutes les deux elles ne manquent pas de se faire de temps à autre d’agréables siestes crapuleuses en partageant leurs charmes. Elles ne sont pas épilées ni l’une ni l’autre et adore se fourrer le nez dans leurs abondantes broussailles.

– Hi, Hi ! Qu’est-ce qu’on est bien ensemble s’écrie la coquine Rosie en s’enfouissant dans les chairs accueillantes de sa voluptueuse tatie. C’est bon de se frotter l’une contre l’autre, oh que c’est doux !

Pour être une bonne amoureuse, Huguette lui explique qu’il faut d’abord s’aimer soi-même. Apprendre tous les bonnes pratiques qui permettent de flatter son propre corps et d’atteindre le nirvana c’est à dire ce désir d’existence et ce désir sensuel qui permettent le partage du bien-être avec les autres. Elle lui apprend le massage, les caresses et les gâteries que peuvent se faire deux femmes ensembles. Elle lui enseigne la délicieuse façon de se baiser foufoune contre foufoune ou tétons sur clito. Et quand en plus elles glissent entre elles un long godemiché en bois d’olivier Rosie découvre alors de merveilleux plaisirs.

Bien sûr il lui faut déniaiser aussi le petit trou du cul de sa nièce. Alors elle le titille avec un petit gode en bois.

– Il n’y a pas de honte à se toucher en cet endroit qu’elle lui dit. L’anus est un haut lieu de l’amour qu’il faut savoir solliciter autant pour toi-même que pour un éventuel partenaire. Un cul fripon et docile est un aimant puissant qui aiguise l’appétit d’un monsieur de bonne société. En tant que femme de grande qualité, il faut te préparer à offrir quelques menus services à un amant fougueux désirant te rendre par cet endroit les marques profondes et impatientes de son affection envers toi.
– Tu verras lui dit-elle, ma Chérie, que l’amour en passant par-là va te donner ce sentiment intense de plénitude. Ton abandon et ta soumission en amplifiera d’autant la magnitude de ta jouissance.
– Oh Tantine quand ça me rentre dans le cul ce petit sexe en bois, c’est drôle. Je me dis que ça ne se fait pas, que je suis une salope….Pourtant ça m’émotionne tellement que j’ai envie que tu pousses un peu plus fort !….que tu me pénètres…que mon anus s’ouvre…Oui comme ça, va-s-y c’est bon !…c’est cochon ! Ouah ! ma mère si tu voyais ta fille !…Oh regarde Tantine …je mouille ! ça doit être bon avec un homme !
– Oh vilaine ! Mais que fais-tu ? Pourquoi tu le retires ? C’était si bon ! Ça fait un peu mal quand le trou se resserre ! Je me sens vide….. Mais voilà que tu suces le joli bâton…Huguette tu es une cochonne !
– Sais-tu lui dit Tatie, que c’est souvent en ce bel endroit que se parachèvent gaillardement des amours coquines ou que se closent aussi de petites chamailleries dont on garde forcément un profond souvenir.
– C’est aussi bien sûr un joli piège à bites et je te souhaite ma chérie d’en attraper beaucoup grâce à tes beaux appâts.
– Mais fais attention tout de même, les hommes sont des salauds, il faut que tu apprennes à maîtriser les jeux de l’amour et de la soumission. Tu dois te faire respecter car tu as droit comme eux à ton plaisir et puis les hommes aussi ça se dressent !

Pour compléter son éducation par un petit travail pratique, elle se met à quatre pattes sur le lit, le cul face à sa nièce pour lui montrer sa grosse rosette de femme mure. En ouvrant en grand la raie de ses fesses elle lui dit :

– Tiens, lèche-moi la rondelle avec ta langue pointue taquine-moi le petit bourrelet de mon trou du cul.
– Oh ! Mais je n’ai jamais fait ça Tatie ! Et ce n’est pas propre un anus !
– Ben voyons, N’est-il pas propre mon cul ! dit-elle à la jeune femme en écartant bien ses fesses sous le nez de la plaignante. Et sais-tu ma coquine que si elle est parfois brune c’est qu’à certains usages l’ouverture est sommée de laisser s’échapper quelques bons soulagements naturels bien que pas toujours élégants à prendre sur le nez ! Alors surtout pas trop d’excès de délicatesse. L’endroit n’a que faire de considérations mesquines qui pourraient primer sur le bonheur de se faire si agréablement flatter par l’extrémité d’une langue talentueuse.
– Veux-tu toujours faire plaisir à ta tante Huguette, ma chérie ?
– Oh ! Oui…. Je trouve qu’il a une odeur très délicate ton œillet ma Tatie ! un petit goût de fine comme la bonde d’un tonneau rempli de vieil alcool! Mélange de sueur, de pisse et d’autre chose…Hi, hi !…il est beau ton cul Tatie !

Rosie surprise de son effronterie s’applique du mieux possible à contenter le postérieur d’Huguette qui apprécie bien la chose, en témoignent ses petits grognements de plaisir que pousse la Salope. Elle lui écarte bien les fesses avec les mains pour laisser sa langue pénétrer le plus loin possible. Elle y met aussi son nez, certes ça ne sent pas la rose mais ça sent sa Tante, sa chair, son parfum de femme mure. Du coup elle y enfonce aussi l’index, ce qui fait sursauter tantine qui aime qu’on lui taquine le trou du cul.

– Hum ! Que c’est bon. Retire-le ton doigt, tu le suce et tu me le remets tout humide de salive.

Ce n’est pas sans hésitation que la nièce suce son doigt, mais quand elle le représente elle est toute surprise de le voir s’enfiler si facilement dans le trou mignon qui l’avale comme un poisson qui gobe un ver.

Serrées l’une contre l’autre, elles font un délicieux amalgame de chairs voluptueuses d’où sortent des petits cris de plaisir accompagnés de féroces coups de langues, de tapes sur le cul et de petits jets de pipi qui jaillissent de leurs chattes en folie.

C’est une expérience extraordinaire que découvre la gentille butineuse. Elle prend plaisir à titiller les berges du fameux orifice qui se contracte à chaque léchage. Huguette mouille tellement que Rosine jalouse voudrait qu’à son tour elle lui cajole la rosette

– Tu vois ! Je ne t’ai pas menti….viens sur moi, comme ça, en 69. humm c’est bon n’est-ce pas, ouvre-toi bien!…tu te régales cochonne …
– Oh oui c’est bon, Tatie ! va bien profond…à que c’est bon !….Fais-moi de doux tourbillons à l’entrée de l’anus et pousse un peu ta langue ! Oui mets-moi ton doigt Tatie, oui comme ça, c’est bon !

Un régal pour la tatie qui se gave des tendres muqueuses de la jeune femme.

Hier après-midi Rosie s’étant allongée sur le bord de la piscine pour faire un petit somme, sa tantine gourmande est venue se positionner nue évidemment au-dessus du visage de sa nièce afin de se faire cajoler de nouveau son petit orifice. Vous pensez bien que la dormeuse qui ne dormait que d’un œil s’est vite mis à titiller le beau diamant qui la narguait.

Donc accroupie, les cuisses ouvertes et les deux mains sur ses genoux Huguette jouit on ne peut plus de ces faveurs pénétrantes que lui fait la jeune femme sur son anus qui pointe tel un petit volcan au milieu de la faille de ses fesses ouvertes

Tant elle sent la douce langue lui chatouiller la boutonnière et tant la bonne position lui permet la fantaisie, que la cochonne soulage le trop-plein qui encombre sa vessie. Et sur les seins de la Rosie gicle doré le jus bruyant de l’échancrure épanouie de la vicieuse mature.

Elle aimerait bien aller un peu plus loin la bonne tatie car la posture évidemment l’incite à quelques autres friponneries pour soulager son postérieur, mais par risque de froisser la novice elle préfère s’abstenir. Et le gros rat qui pointait déjà son nez par la petite porte, est vite retourner se cacher dans la jolie petite niche. La chose n’est pas facile à contenir et la Dame friponne va courir aux toilettes pour laisser échapper le vilain impatient qu’avait insolemment taquiné Rosie avec son doigt.

– Quand tu auras un chéri il sera ravi que tu lui fasses d’aussi bons mamours, tu verras les hommes adorent qu’on s’occupe de leur petit chose. Je te l’ai dit tout à l’heure, c’est fatal, tu seras ravie d’y passer. On n’en meurt pas, il faut d’abord lécher à langue plate le fond de la raie et terminer en pointe sur l’anus, comme tu me l’as si bien fait.
– Chez l’homme ça sent un peu plus fort !…le bouc certainement…mais tu feras la chèvre ! Tu sais, la chèvre, plus ça broute et plus sa se régale.
– Le trou du cul d’une femme c’est fin, c’est doux, c’est un entremet délicieux. Celui d’un homme est plus cru, c’est aussi fameux qu’un vieux fromage au cours d’un bon repas. Au début c’est relevé, ça vous emporte la gueule ensuite le service est remis, on y retourne gratis.
– Quand même ils sont cochons les messieurs !
– Oh ! Oui…Mais si vigoureusement cochons! Et telle que je te connais, tu verras, tu vas les apprécier.
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Dès qu’ils se sont mariés, Lucien n’a pas perdu de temps maintenant que par alliance il a gagné une tante qui remplace la belle-mère. Il entre de suite en action et profite de chaque visite de cette dernière pour se livrer à de petits empressements qui n’ont pas l’air de déranger son épouse.

Il se la tripote de partout la belle-tante et elle n’est pas innocente. Elle sait exciter son ex beau-fils. Dans la cuisine, dans le couloir ou dans la salle de bain elle n’est jamais trop couverte pour dévoiler ses formes appétissantes.

Rosie fait semblant de ne rien remarquer pour faciliter les choses, mais en réalité elle les guette et se régale d’assister en cachette à leurs ébats….Oh mais c’est que ça lui donne des envies coquines à la chérie!

Ainsi, l’autre jour en rentrant de faire ses courses, elle s’arrange pour surprendre son Lucien en train de baiser sa Tantine.
En travers de leur lit conjugal l’insatiable Huguette copule avec Lucien. C’est ébahi mais sans surprise qu’elle découvre les grosses couilles de son chéri entre les cuisses de sa tantine qui se fait baiser en levrette. Ça l’interpelle mais aussi ça la réjouit, elle se tripote instinctivement la chatte et mouille comme une fontaine en contemplant la belle prestation de son infidèle amoureux.

– Putain! Ce qu’il a un beau cul mon chéri quand il fait son service ! Et comme il baise bien ! Mais c’est qu’il profite de mon absence le salaud !
– Mais, mon chéri ! ce n’est pas permis une chose pareille…s’écrie la fausse jalouse.
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Non ! Mais vous la voyez cette petite friponne qui jalouse sa Tatie tout en se chahutant la foufoune devant son mari qui se décarcasse pour faire des amabilités à cette brave dame ! S’il n’y a plus moyen de s’envoyer en l’air en famille, où va-t-on !
J’ai bien l’impression qu’il y en a une qui ne va pas tarder à se faire chauffer le centre des délices….Il n’est pas content le Lucien ! Son épouse qui vient perturber ses affaires au moment le plus crucial! Où a-t-on vu cela !
Ne le voilà-t-il pas qui saute du train en marche pour courir après sa garce, avec la pine bandée en arc en ciel, toute gluante des bontés de la Tatie…
Mi-figue, mi-raisin la Rosie cherche à se cacher dans les bras de Tatie qui rigole tout en lui soulevant la jupe.
Oh mais c’est qu’elle n’a pas de culotte la chipie ! Et elle n’a pas l’air si traumatisée que cela….
N’y aurait-il pas un coup fourré là dessous ? Je sens qu’il va y avoir du spectacle dans pas longtemps……

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09/08/21

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4 réponses à Histoires de bons plaisirs – 3 – L’éducation de Rosie par Verdon

  1. Muller dit :

    Un vrai plaisir de lire cet auteur !

  2. Verdon dit :

    Merci pour les commentaires.
    C’est sympa.

  3. Harivel dit :

    J’adore cette façon de raconter où la gaudriole se joint à l’érotisme, c’est quand même plus agréable de lire ça que les histoires morgues genres Histoire d’O ou Emmanuelle !

  4. zazou12 dit :

    Un style rabelaisien, un fond a faire frémir les féministes radicales
    Tout ce que j’aime quoi !

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