Histoires de bons plaisirs – 11 – Ça partouze… toujours. par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 11 – Ça partouze… toujours.

Donc ce lundi matin, il fait chaud, la nuit a été douce. Dans la maison qui baigne dans une chaude torpeur estivale, tout le monde dort à poil. En plus de ces violentes odeurs de mâles en rut qu’exhalent les bites débandées de ces Messieurs, la tiédeur de l’air fait remonter dans l’atmosphère de la chambre, ce sublime parfum aigre doux de femelles en chaleur, qui imprègne encore la couche de ces Dames.

Pour l’heure chacun git sur un lit ou couché sur la moquette épaisse et moelleuse, aménagée exprès pour la circonstance et qui a permis, on s’en doute, de pratiquer de fort belles acrobaties. Un soutif traîne ici, une culotte ailleurs quelque peu maculée, sans compter ces traces bizarres qui zèbrent les draps froissés. Au beau milieu de cet édifiant désordre on ne peut que se réjouir de la vue de Gertrude allongée sur le dos en travers du lit, ses grosses cuisses écartées et abandonnées de façon délicieusement obscène sur le bord du matelas. Le sillon vertigineux de sa chatte béante laisse deviner des profondeurs troublantes aux chairs boursoufflées et aux remugles violentes. Devant la belle offrande quel homme ou quelle femme resterait de marbre et ne serait tenté d’en faire un bon usage. Mais ces messieurs HS s’y sont déjà usés et la Dame endormie profite encore un peu de la bonne fraicheur d’un fripon courant d’air qui lui flatte la chatte encore tourmentée par les vigoureux et bons assauts qu’elle a dû surmonter tout au cours de la nuit.

Fernand et Gertrude repartent en forme et de bonne heure car ils vont rejoindre un petit groupe d’amis dans un camp naturiste. Ça promet !

Cependant, Lucien n’est pas du genre à moisir dans un lit si ce n’est pour baiser ou tout au moins dormir. Or justement debout en fin de matinée, il observe sa femme alanguie, écrasée sur le lit comme si elle était passée sous un rouleau compresseur.

Maquillage barbouillé, les yeux bouffis, la lèvre distendue, les cheveux emmêlés. Sans retenue aucune elle s’étale et s’offre ouverte à l’appétit glouton de Lucien. Sa ravine écarlate encore humide est maculée des ondées amoureuses que de fameux compères ont déversées cette nuit sur sa toison ardente.

Elle est superbe cette meuf dans son écrasement ! La moule ouverte et ses tétons bandés sur ses deux seins flapis, attisent la gourmandise de son chéri qui ne peut s’empêcher d’aller du bout des lèvres quémander les mamelons de la Belle endormie. Ils sont ‘al dente’ ces petits bouts de chair bruns qui toujours aussi insolents, bandent sous la pression des lèvres de Lucien qui les mordille avec délicatesse.

Mais minée de sommeil, Rosie refuse la caresse et se tourne sur sa couche. Tandis que ses nichons s’écroulent sur le côté, elle libère en retour à la lumière du jour son adorable cul aux chairs ramollies et zébrées d’hiéroglyphes bistrés, témoignages égrillards de ses lubriques amours. La cuisse potelée laisse la fesse s’ouvrir sur le spectacle sublime d’un vrai champ de bataille. Dans sa ‘tranchée des Dames’ qui a subi de si nombreux assauts toute la nuit, c’est plus qu’un seul obus qui a fait mouche et déversé en ces lieux stratégiques des décharges gluantes, humides et généreuses de sperme impétueux.

Son p’tit trou du cul copieusement rassasié, transpire encore l’amour en larmes argentées qui vont se dessécher à la jointure de ses cuisses entre les deux plis fessiers sur les rives étroites de la raie de son cul. Ce médaillon si tendre et rose au début des conflits est un peu tuméfié. Sa couleur rouge marbré contraste maintenant avec la pâleur de ses fesses. Il n’en est que plus appétissant !

Lucien reste toujours sidéré devant le spectacle de ce petit endroit si serré et profond. Ça lui donne le vertige, il se sent tellement attiré par l’intrigant orifice qu’il ne sait résister à l’appel du vide si ce n’est qu’à l’instant, n’étant tout de même pas ‘chien’, il n’ose pas y toucher de peur de déranger sa paresseuse et il recouvre d’un drap pudique le délicieux postérieur de sa Belle endormie. (Elle ne perd rien à attendre !).

Il est temps maintenant, d’aller voir ce qu’il se passe au rez-de-chaussée car semble-t-il, on y fait bien du bruit…. Ce doit être Huguette l’ex-belle-mère de Lucien, toujours debout avant les autres. Allons voir ce qu’elle promet la cochonne d’autant qu’il doit y avoir avec elle son vieux cochon de Momo. Ce serait bien étonnant qu’il ne laisse pas traîner son museau quelque part, celui-là, car s’il a la bite légère il n’en a pas moins l’odorat performant. Il sait qu’à cette heure le cul de la mamie exhale des effluves à réveiller un mort. Il accourt parce que la vieille a toujours besoin après l’amour, qu’on lui décrasse un peu le paysage. Ça colle dans la faille et ça démange aussi pour peu qu’en cet endroit elle ait encore quelques broussailles. Ce n’est pas ce qui est le plus appétissant pour un p’tit déj; mais loin de rebuter Momo, sa langue pénétrant dans les profondeurs de ce sillon charnu lui procure une grande stimulation. Et, qui au p’tit matin a déjà mis son nez dans une raie mature après une nuit d’amours, sait ce que ressent Momo, d’autant que réceptive à la bonne caresse la meuf pousse déjà des cris de mémé en chaleur, en tortillant lentement son charnu.

– Oh oui, fourre-moi ta langue, fais-moi du bien, c’est bon !
– Va s’y salope, ouvre tes fesses…
– Oui mon Chéri, met-la moi bien au fond et ce disant elle s’écarte les fesses pour lui offrir son p’tit trou rose.

Putain la meuf, à peine un œil éveillé et son œillet qui en redemande !

– Oh mon chéri met-moi du beurre au cul et vient vite m’enculer dans la salle de bain pendant que je me lave les dents. (elle aime bien se faire briquer par les deux bouts !).

Pensez-bien que le Momo il n’a pas tardé à lui beurrer le verre de lampe tandis que courbée sur le lavabo elle lui tend son jardin d’agrément.

Putain le joli cul bien fendu sur deux jambes fuselées et ouvertes, prêtes à soutenir l’assaut tant désiré d’un mâle bien bandé ! Elle a toujours de beaux reste la meuf, des cuisses robustes, de jolies guibolles, et l’entre jambes décoré d’un fourrage prospère, grisonnant et humide qui entoure son échancrure amoureuse telle un écrin entouré de festons lumineux. L’anus grand ouvert dans le fond de sa raie noire et profonde réclame sa pitance, mais la pine de Momo est bien molle…

(On reconnait là, la beauté de certaines Dames un peu matures, qui bien entretenues méritent par leurs charmes nos plus grands empressements. Le sein volumineux, la chagatte épanouie et même encore juteuse, un cul époustouflant et qui a du métier. Le visage jovial et la bouche gourmande tout autant que l’œillet, elles nous gobent la bite d’une façon divine. Elles sont plutôt maîtresses mais parfois bien soumises et nous livrent leurs chairs en prenant du plaisir aussi bien qu’elles en donnent)…

Huguette est de celles-là et c’est donc dans une posture superbement impudique que Lucien la découvre avec son mec qui essaie, désespérément accroché à ses hanches, de lui faire un marmot dans le dos. Il tente vainement de lui foutre son serin dans le trou qui baille comme le museau d’un poisson nettoyeur sur la vitre d’un aquarium.

Penchée face à la glace, les bras appuyé sur le lavabo, les mains de la Baronne écrasent le tube de dentifrice qui gicle de partout. Elle souffre la bonne dame de tous ces dérapages que fait la molle pine derrière son bastingage. Plus il s’entête le gars et moins l’outil s’engage, et plus la pauvre Huguette se prend le crâne dans le lavabo.

Devant ce spectacle, Lucien en reste baba. Il se marre. C’est un peu vache sans doute pour Huguette qui mérite mieux. Ce trou du cul qui baille ça devient indécent de beauté et d’envie. Il va falloir qu’il s’en occupe. Mais pour l’instant il trouve trop hilarant de la voir se faire pilonner le fessier par son costaud d’amant bougrement impuissant.

Bon sang qu’il est joli ce gros cul, robuste, bien charpenté et donc fait pour résister aux bons coups de butoirs de Momo et aux claques têtues de son ventre affamé.

Aussi est-il content le Lucien car la vieille est en train de se faire chauffer le cul et sous peu c’est lui qui va en profiter…il la connait son ex-belle-mère, elle a un cul d’enfer ! C’est du gras, c’est du chaud et puis c’est du profond…et devant l’impuissance de Momo il lui dit :

– T’inquiète pas, je vais te l’enculer ta salope…chauffe la encore un peu, je bande pour toi !

C’est un plaisir savoureux que de voir le fouteur accroupi sur le dos de l’impatiente qui beugle comme un veau, tandis que les gros roustons de Momo s’ébattent entre ses cuisses. La scène a un aspect à la fois burlesque et érotique et les cris que pousse la meuf en rajoute à l’excitation.

Aussi Lucien tapote-t-il le cul de Momo pour l’encourager et lui fout même un doigt dans l’anus… (Un doigt dans le cul et gratis !…).

– Tiens, un bon doigt qui gigote dans ton petit conduit !

Mais rien n’y fait, la quéquette bataille mais reste molle. Finalement Huguette qui, entre le lavabo et la défonce de Momo, commence à en avoir plein le dos, (mais pas là où il faut), s’écrie, furieuse :

– Mais tu vas la bander ta putain de bite ?… mais qui m’a donc foutu cette lopette entre les jambes !
– Attends ‘Nénette ! … Attend, ça vient, ouvre ton cul, salope ! qu’il lui répond tout essoufflé…. et en lui écartant vainement la raie du cul, ça vient, je sens que ça vient !…

Mais le pauvre homme bataille et ses couilles bringuebalent sans qu’au trou de la vieille ne s’enfile sa bite.

– Zou ! retire-toi, j’ai envie de pisser. Couche toi sur le sol…je vais te réveiller….moi !

Eh bien que voici donc une bonne proposition !

Momo s’allonge dessous Huguette qui écarte ses jambes, ouvre sa vulve tandis que son anus boudiné fait le guignol dans le fond de sa raie!…. « Putain le joli trou ! ».

Elle administre une sacrée saucée dessus le crâne chauve de Momo. C’est un bon jus doré que livre la grasse moniche qui baille comme une huître. Il ne voit même plus très clair notre brave mateur. C’est de la bonne liqueur, du cru, du nectar de vieil âge, goûteux et relevé au fumet de ces pines qui lui ont accordée tant de mâles faveurs. C’est une pluie torrentielle avec un bruit d’enfer comme celui d’une mulassière insolente qui vide sa vessie au nez de l’étalon avant qu’il ne la monte. Il est gâté le Momo !

Avec ses deux mains elle écarte bien les lèvres de sa vulve et dirige le gros jet qui sort de son petit trou à pisse sur le visage de son homme. Et elle y va la cochonne, jusqu’à sa dernière goutte.

L’intempérie finie Huguette s’accroupit afin que son amant termine le travail en lui léchant la chatte qui gougoutte encore un peu. Bien moins traumatisé que celui de Rosine, l’anus de la meuf étant déjà rôdé, est beaucoup plus docile. Elargi à l’usage par de nombreuses sodos, ouvert et boursouflé il accueille aisément la langue de l’amant qui se gave des restes légèrement corsés, des généreuses humeurs déposées cette nuit par des bites en folie. C’est du bon consommable, du gras-double bien frais, de la trippe du terroir…bref de la bonne ripaille !

Grâce à si bonne chère, tant grimpe le plaisir, que Huguette pose son cul sur le visage de son amant.

– En veux-tu, en voilà ! Aller salopard, fais le ménage !

Elle se torche l’entre cuisses sur le nez de Momo qui s’étouffe, coincé dans l’étau de ses fesses. Puis d’avant en arrière elle balance son corps et frotte avec délice son clito et l’anus sur le nez de la lopette, un vrai petit bouchon d’amour. C’est une position qu’elle adore. Toujours accrochée au lavabo elle s’ébat lentement sur le visage au-dessous. Le nez, la bouche, la langue de Momo la gratifient de merveilleux frissons sans compter les moustaches du compère qui lui chatouille les muqueuses. Elle lui pète au visage la cochonne, c’est une façon prémonitoire d’avertir l’ouvrier que dans cette position son anus qui s’ouvre semble bien décidé à se livrer à quelques polissonneries de chevrettes en pâture en libérant des crottes sur le nez du bonhomme.
Ça aurait pu être du Chavignol voire même quelques pets de nonne, mais c’est plutôt du genre Cambronne et le Momo n’appréciant pas la qualité de ce présent, coupe court à l’indigne offense en foutant son index dans le trou pernicieux. Merveilleuse insolence, Superbe maladresse !…car ce cul n’a que faire d’un si joli doigté qui lui bouche la joie d’en prendre à ses aises !… Quel manque de savoir vivre! Quel gâchis ! J’en connais qui du geste ‘gracieux’ en aurait fait perte et profit et à n’en pas douter Lucien est de ceux-là… Il bande joliment. Il s’approche d’Huguette… L’aide à se redresser. Se serre contre son cul prometteur, une main sur un sein et l’autre dans sa chatte pisseuse.
Surprise tout d’abord, très vite elle se rassure et puis elle s’abandonne comprenant à qui elle a affaire. Appuyée sur le lavabo elle arrondit le dos, se baisse légèrement en écartant les jambes et attend le bon geste. Quelle jolie position ! Oh la superbe offrande ! L’échine arrondie, les fesses ouvertes, le cul béant ! Elle miaule en sentant entre ses cuisses grimper une promesse qui est de belle espèce et qui grimpe doucement dans le creux de sa raie. À si bonne sensation nulle femme ne résisterait et la Belle en chaleur n’offre aucune résistance. Une bonne pine comme celle-là pour son cul impatient qui s’est décompressé sur le nez de Momo… ce n’est pas un outrage mais un superbe hommage à la gloire de Madame. Elle s’impatiente la Belle, elle l’ouvre son cul, elle frémit déjà en sentant sur sa fine corolle brune la fraîcheur du joli gland.

– Mon Lucien s’écrie-t-elle …Met le moi…Toi au moins tu bandes comme un cerf !…
– C’est que ton cul ma biche ferait bander un pape !
– Je ne veux pas d’un pape, mais je veux ton pilon! Enfile-moi mon beau, encule la Belle-mère et la Tante! Va-s-y, fais-moi du bon ouvrage. Viens dans le cul d’une vieille, tu verras qu’il est bon et ta femme attendra.

Il vise avec son gland le trou du cul d’Huguette, mais allez savoir pourquoi l’œillet fait résistance, peut-être paresseux mais plutôt blasé par les maladresses du fouteur précédent.

La pine a beau pousser mais l’anus revêche n’ouvre pas l’écoutille.
Lucien étant de ceux qui dans ce beau métier ne sont pas fainéants, récupère au hasard du savon dessus le lavabo, s’en barbouille le gland et l’anus impudent qui une fois graissé aussitôt se détend. Elle s’ouvre la rosace laissant le gros bouchon pénétrer la rondelle de la chaude Baronne. La rosette s’égaye et finalement d’un coup engloutit le manche infernal qui s’enfonce triomphant dans le joyeux canal en se foutant des cris que pousse la gourmande qui se prend un instant pour une vierge offensée. :  » Au secours on me viole ! On défonce mon cul ! Aye !…

– Oh putain mais ça brûle ! « ….
– Mon salaud tu l’a grosse ! s’écrie alors la meuf…mais qu’est-ce que m’as-tu foutu au cul ! …salopard, ça brûle !
– C’est l’amour chère Baronne ouvre-le donc ton cul et ça ira bien mieux !…
– Putain ! Ce n’est pas du savon mais c’est du dentifrice que tu m’as mis au cul !
– Oh pardon ma chérie mais c’est autant pour moi car j’ai la bite en feu !…qu’importe, ça fait l’haleine fraîche et le pet odorant, mais n’es-tu donc pas femme à avoir le mors au cul ?

C’est vrai ça chauffe (essayez, vous verrez)…mais ça excite aussi et quelle fraîcheur ensuite ! Alors tant pis la meuf, si ça chauffe au départ par la suite ça glisse, ça mousse et ça fait reluire l’anus comme celui d’une jeune fille!

– Oh putain que ça chauffe !…arrête, arrête ça brûle !

Mais il ne s’arrête pas le bandit !

– Allez, ouvre ton cul, salope, je te le fais tout neuf !

Ben voyons ! Comment voulez-vous arrêter un jeune homme en train de briquer la rosace de la meuf avec sa brosse à reluire bien dure et un bon dentifrice’ (Quelle Pub ça ferait aujourd’hui à la TV !)/i>

C’est là que notre ami Momo couché entre les pattes de nos deux batailleurs est ravi par la beauté du spectacle. Tout à la fois jaloux de la pine de Lucien et ému par la générosité d’Huguette, il assiste avec ravissement à l’assaut que subit sa vieille dans une posture merveilleusement impudique. Il admire ce don de soi dont elle est capable quand elle fait l’amour, il lui écarte les fesses pour qu’elle se fasse bien enculer.

Il se saisit du bel outil pour le guider dans le p’tit trou. (N’est-ce pas là un des plus beaux gestes que puisse faire un bon cocu qui serre dans son poignet le sublime pénis pour l’enfiler dans le cul de sa chérie !).

Elle crie, c’est sûr, mais elle prend, elle en veut…Le geste devient sublime quand Lucien pousse sa pine à fond en écrasant ses couilles contre la raie culière de la Belle conquise.

– Allez, va-s’y qu’il crie à Lucien, bourre-la, la bourrique, plante-lui ton vié ras tes roustons, farcit-lui la pachole, mais pousse donc, elle adore !….

Subjugué par la vue du trou de balle de Lucien, qui pointe au-dessus de son nez, Momo y fout un doigt (bon sang chez lui c’est donc une manie !). Du coup le vaillant enculeur trépigne et se déchaîne en foutant violemment le derrière de la Belle qui n’a plus rien à dire si non que de se fendre.

(Ben oui, Belle-maman, quand les chiens sont lâchés plus rien ne les retient).

Il pousse, il fend, il bourre, dit des insanités… .  » Salope, enculée…morue…grosse poufiasse !…trou à rats « ….un tas de mots qu’elle aime !

De nouveau la tête dans le lavabo, (mais là c’est pour la bonne cause), elle arrondit la croupe. Campée sur ses deux jambes elle cherche à amortir les chocs du brave homme qui la secoue comme un sac de patates !

Salope comme elle est, elle dégoise :

– A l’assassin !…au viol !…mais on me troue le cul !…oh putain mais c’est bon !… Oui c’est diablement bon….et elle dit même…Encore !

Elle joue la vieille apeurée… celle qui crie au loup tout en ouvrant son cul…. ce n’est pas si mauvais… oh que de temps perdu et de bonnes queues aussi !…. mais celle-là quelle est grosse !

– Elle dit Aye !…elle dit Oui !…et puis Non !…. et puis Ho ! …Et puis…. va s’y encore !…oh oui…oh oui !…elle braille !…Salaud, salaud, salaud ! Oh que c’est fort ! Arrête…va s’y encore un peu !… Va plus vite !…Ouille !

Le Lucien lui jouit. Il y va franc de bite. Peu importe qu’elle couine (ta gueule, qu’il lui dit, ouvre ton cul salope !)…et il entre et il ressort sans refermer la porte … et finalement ‘décule’…. tout en vidant ses burnes ….bazardant le trop plein de ses amabilités sur le râble d’Huguette…et le nez de Momo.

Elle dit : Ouf!, elle pète un bon coup et puis elle se redresse, s’extirpant de sous lui encore toute groggy….

– Oh la vache…mon salaud tu m’as cassée !…dit-elle assez fière d’elle, la main dessous son cul. Tu es un brave gars !

Il la prend dans les bras. La cajole, l’embrasse, lui tapote la fesse, …et lui fout un patin à lui décrocher les amygdales ! Ce n’est pas tous les jours qu’on encule sa belle-mère, ou tout au moins son ex, et qu’importe la fille, vu qu’il reste la mère.

– Pardon qu’il lui dit le Lucien, pour mes insanités…
– Qu’importe, tu as fait fort, mais je suis défoncée !

Elle est pantelante, échevelée, les cuisses et le dos dégoulinants de sueur et de foutre, elle a mal à son crâne… au cul n’en parlons pas…mais elle sourit la meuf, elle est heureuse Huguette ! Putain quel diable de gendre, il est une bonne affaire ! Elle prendrait bien tous les jours la place de l’épouse dans son lit !

Cependant Momo, l’heureux déclencheur de ce charivari, n’a pas perdu le nord. Il avale aussitôt la pine de l’enculeur et goulûment la suce, bouillante comme un p’tit pain qui sort tout chaud du four, légèrement bronzé. Elle a ce bon goût rude mi-caca, mi- salé, ce bon goût de femelle et mâle rajouté, ce goût de jeune verge effrontée et laquée par quelques vilenies amères et poivrées de la Dame pas propre.
Ce qui permet à Momo, d’administrer à sa meuf vilaine, quelques délicatesses sur le gras de ses fesses. Elle aime ça la vieille, une bonne déculottée, après l’amour ça fait du bien, ça remet les choses en place, ça assouplit la couenne telle une pouliche qu’on flatte sur la croupe après un bon travail, ça lui donne la fierté d’avoir bien accompli sa tâche. Elle lâche encore du lest qui encombre ses reins et s’en va aux tinettes vider ces embarras qu’une bonne sodo permet d’évacuer avec soulagement et même jouissance….

La journée est bien entamée, nos trois personnages ont profité de leurs bons instincts naturels et après leurs toilettes réciproques il va falloir qu’ils passent à autre chose.

Tiens ma petite voisine Ernestine n’est pas venue me rendre visite ce matin ! Ce n’est pas dans ses habitudes, elle vient toujours fouiner chez moi pour voir qu’est que je fricote sur mon ordi et ce n’est pas rare qu’elle en profite pour me suçoter le bouchon, c’est son petit déj. Et moi j’aime ça. Serait-elle malade, je vais voir ça de plus près…

Bof ! Elle n’a pas l’air de bon poil, elle fait la gueule ….elle ne m’ouvre pas sa porte….certainement quelque chose qui lui est resté en travers du cul…je veux dire de la gue… (c’est moins poétique !)…Bon on verra ça plus tard.

Arrêtez de vous branler les gugusses demain vous aurez la suite et largement le temps de vous astiquer la breloque !……
……………………………………………  13.09.21

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Une réponse à Histoires de bons plaisirs – 11 – Ça partouze… toujours. par Verdon

  1. Harivel dit :

    Je ne crois pas que Jésus soit revenu, (d’ailleurs on s’en passe fort bien) par contre on dirait bien que Rabelais est revenu parmi nous !

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