Histoires de bons plaisirs – 1 – L’éveil des sens par Verdon
Par cette chaude après-midi d’un dimanche d’été qui me pousse au farniente plutôt qu’à l’agitation, je suis nu et assis dessus mon canapé dont le cuir vernissé me colle à la peau des fesses et je regarde un CD porno, histoire de passer agréablement ce moment.
Les volets ont tirés, sauf la vitrine côté terrasse. Il fait assez sombre pour me permettre de voir sur l’écran de mon moniteur un joli petit cul blanc en train de se faire endimancher (bon vous pouvez supprimer le » di » si ça vous chante….c’était juste pour honorer le jour du Seigneur !) par une superbe bite noire. Oh ça ne lui fait pas tellement de bien à la mienne, la pauvre elle a déjà tant donné, mais tout de même ça renouvelle de bons souvenirs et puis à la branler je trouve ça agréable, ça me fait du bien, même que des fois elle fait un peu l’orgueilleuse….Si, si, je vous le jure !
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Pas terrible le scénario de ce film, je me demande où ils sont allés chercher une histoire pareille…
Boff de toute façon c’est l’image qui compte, le reste je m’en fous ! D’ailleurs je coupe le son et je me gave des jolies vues en supprimant tous ces beuglements anachroniques et faux de nanas toujours inassouvies et de supers étalons qui jamais ne débandent.
Engoncé dans mon divan, dans le silence, je commence à m’endormir tout en gardant encore un petit œil vicieux sur la bite du beau noir, qui danse maintenant sous le nez d’une Belle affamée qui ne va pas tarder à finir le travail. C’est alors que j’entends frapper sur la vitre de ma porte-fenêtre… putain un emmerdeur !
– Ah non, c’est Ernestine ma vieille copine d’à côté ! Qu’est-ce qu’elle veut bien me demander la mémé ?
Même si elle est un peu chiante, je l’aime bien ma voisine, aussi je me redresse aussitôt et je vais l’accueillir à la porte.
Oh mais c’est que je suis à poil ! Ben oui à voir ses yeux ronds à travers la vitre, j’ai compris.
Remarquez, ce n’est pas grave, elle fait la fillette effarouchée mais plutôt alléchée, la p’tite Dame, pourtant elle le connaît de vieille date mon pierrot et elle l’a même secouru plus d’une fois le gourmand quand il avait besoin de bouche à bite. Je la soupçonne même d’être encore utile en ce domaine pour faire du Samu sexuel dans notre environnement un peu délaissé par ces Dames de bonne fréquentation.
N’empêche qu’elle est là quand j’ouvre la porte et sans même me demander la permission elle s’arroge le droit de me mettre la main à la grappe …
– Oups ! Merci ma Belle, c’était pour ça ?
– Boff ! Ton vieux machin, il pendouille dans tes chaussettes !
Oh la garce ! Non mais je vais lui montrer de quoi il ressort mon engin !
– Dis donc salope, tu ne disais pas ça, il n’y a pas si longtemps quand tu l’avais entre les fesses ! Alors s’il te plaît un peu de respect pour mes roupettes….
Ravisée et plus sage elle me tripote et me fait des bisous sur le gland en me mettant le doigt au cul. Ses lèvres pincées comme le trou de mon cul son un sacré réconfort…elle n’a pas perdu la main la mamie !
– Non ! Dit-elle, le doigt dans la bouche (décidément elle ne sait pas trop où le mettre !), je suis venue parce que mon neveu s’est fait piqué sur les fesses par une guêpe. Aurais-tu une pommade pour lui calmer son arrière-train avant qu’il me fasse une crise ce gamin (rassurés vous il a 20 ans).
– Chez moi tu ne trouveras pas des conneries de ce genre, le mieux pisse-lui sur le cul, tu vas voir résultat garanti et je parie qu’en suite il va te remercier vivement… (sûr que ça va lui convenir à la vieille !) , aller file, il va te refaire une jeunesse et je suis sûr qu’il n’en fera pas toute une histoire de sa guêpe !
Bon me voilà de retour sur mon canapé.
Le film est fini, j’ai raté le final, tant pis, je me branle de nouveau le chichi pour me dorloter avant de faire une petite sieste… humm ! C’est bon surtout qu’il est encore tout trempé de la salive de ma bonne voisine…. et puis je biche en pensant qu’Ernestine doit être en train de se faire sauter par le neveu !
Tiens ! En fait d’histoire de neveu et de Tante et de baise, ça me rappelle une saga que j’ai bien envie de vous raconter maintenant que le sommeil m’a quitté et que j’ai le cerveau qui tourbillonne à cent à l’heure après cette visite qui remue un tas de souvenirs qui trainent au bout de ma queue pas avare et garante de moments fantastiques qu’elle a vécus au cours de sa longue existence.
Avant de commencer mon histoire, il faut savoir qu’elle se déroule, tout au moins pour la première partie, dans une époque où le SIDA n’existe pas. Pour se protéger des maladies vénériennes on utilise la capote, le condom, c’est l’équivalent de notre préservatif actuel. Alors de soyez pas choqués si je n’en mentionne pas l’usage dans mes histoires. A l’époque bien que recommandé il était moins utilisé. Aujourd’hui il est indispensable. Restons couverts.
On est dans la deuxième moitié du XXème siècle, une époque qui commence à oublier les stress de l’après-guerre. La vie reprend et on commence à secouer ces mentalités rétrogrades et conformistes qui encadrent notre société. Les années 60 sont là, les mœurs doucement se libèrent.
Faisons justement connaissance de Lucien, un charmant jeune homme ‘bien comme il faut comme on dit’. De bonne famille, il a 22 ans, élevé à la dure, instruit, honnête, plein d’égards pour les institutions, ses devoirs et le respect des Dames en particuliers qu’il charme facilement. Marié de bonne heure dans la tradition il mène avec son épouse une vie bien trop sage et assez plate, vouée à la bonne application des règles coutumières.
À vrai dire il s’ennuie le jeune marié. Il n’est pas à sa place dans ce ménage. Baises monotones, pas beaucoup d’érotisme avec sa compagne très pudibonde.
Pourtant il a déjà connu autre chose ce garçon. Très tôt il a fourré son nez sous les jupes des filles. Il a même eu le kif de faire sa première expérience sexuelle dans une de ces maisons discrètes et très accueillantes où il était encore possible de passer de joyeux moments. À sa majorité, accompagné par son grand-père, (c’était encore la tradition dans des familles vieille France), il a été confié à quelques gentilles demoiselles qui lui ont enseigné l’art, la manière et les bons vices de l’Amour. Bien sûr pendant ce temps-là, le vieux se faisait entretenir l’andouillette par les bons soins de madame Claude, la tenancière de ce bel établissement qui n’était pas situé en métropole. Au retour le fiston était tenu de bien tenir sa langue. Mais en réalité le pépé ne pouvait pas retenir la sienne et ni sa main d’ailleurs qui tâtait les fesses de la maman tout en lui soufflant : » c’est un homme ton fils « , celle-ci, en renvoyant à sa place la main du licencieux beau-père, n’en était pas moins fière, car discrète elle embrassait son môme en silence non sans penser au bon moment où elle avait tant ouvert les jambes il y a quelques 20 ans. (Mais ce salaud de beau-père avec sa manie de lui tâter les miches ça lui chauffait quand même la cressonnière !).
Par la suite le Lucien très dégourdi continua par lui-même à faire fonctionner sa pompe à fille. D’abord il taquine un peu les jeunes filles de son âge et fait la cour à quelques bonnes garces qui ne lui rendent pas vraiment les plaisirs qu’il désire. Elles ont du mal à tomber sur le dos et la romance prime sur la bagatelle.
Il fait de très bonne heure son service militaire. Ça lui permet d’aller revoir en toute discrétion les copines du bon aïeul et il ne se gêne pas d’aller tâter aussi les bonnes petites femmes de la rue Thubaneau à Marseille, avant de partir pour les colonies.
Un après-midi de perme il va dans cette fameuse rue et se laisse entraîner non pas par une, mais par deux filles qui devaient avoir tout juste son âge. Ça va lui coûter bien cher au bleue-bite, mais tant pis. Il monte avec elles à l’étage, C’est la vieille maquerelle qui vient ouvrir la porte de la chambrée et il faut voir comme elle le zyeute la mémère, sûrement envieuse du bon moment que vont passer les deux filles dans les bras d’un si beau jeune homme. Et elles lui en font des bonnes choses, en effet. Elles te le sucent chacune son tour, quand il tète les nichons de l’une, l’autre lui lèche le trou de balle, oh les putes vous êtes formidables ! Et il en bouffe des foufounes, l’une rousse, l’autre blonde, baveuses et odorantes comme des abricots murs, oh putain que c’est bon !
Il a commandé une heure, mais elles en veulent encore les gourmandes et il n’a rien contre.
– Pour quelques billets de plus, on se gamahuche devant toi mon chéri lui dit la blonde.
Il hésite, la rousse qui insiste lui fouille son porte-monnaie et triomphante, les billets dans la main elle appelle la maquerelle qui monte pour conclure l’affaire en encaissant les sous, non sans donner encore un coup d’œil concupiscent sur les jolies prétentions du client (elle en bave d’envie la salope).
Alors Lucien va découvrir un de ces plus beaux spectacles que deux femmes vicieuses et gourmandes peuvent offrir. Je vous laisse imaginer la beauté de ces filles en 69 qui se lèchent le minou à en veux-tu en voilà, lapant à grands coups de langues les chairs roses et baveuses de leur joli bijou, sans oublier leur petit œillet tout ouvert d’insolence. Il les mate en train de se tirebouchonner le trou du cul avec leurs doigts agiles et en suite se coller vulve contre vulve comme pour se baiser.
Elles pensent le petit gars un peu puceau mais il va leur montrer qu’il peut bien assurer, tellement elles l’ont excité. Pendant cette longue passe il les baise plusieurs fois à tour de rôle, sort de l’une pour entrer dans l’autre et se fait faire de superbes fellations. Très intéressé par leur petit trou, il aurait bien aimé y glisser aussi sa pine mais elles n’ont pas voulu…
– Touche pas c’est à nos hommes ! qu’elles disent tout en se bécotant.
– Tant pis n’en parlons plus !
» Joséphine et Pauline « il ne les oubliera jamais. Il essayera de les revoir à son retour mais elles n’étaient plus là. Dommage il aurait bien remis cela. En tout cas depuis il garde beaucoup de considération pour ces femmes qui font ce beau métier.
Pendant son séjour en Afrique il a l’occasion de rencontrer de jolies filles noires, envoutantes, qui ajoutent à leur beauté : leur savoir-faire, leur surprenante gentillesse et leur gaité légendaire. Leurs croupes aussi agiles que volumineuses sont rebondies et appétissantes et le jeune homme fait enfin la découverte de la sodomie qu’elles pratiquent de façon sublime. Il gardera longtemps le beau souvenir de sa bite rose en train de se fourvoyer dans leur accueillant petit trou rouge ouvert au milieu de la raie de leur cul d’airain. Il adore les curieux petits cris de jouissance qu’elles poussent en se faisant enculer. Mais qu’est-ce qu’elles sont bavardes ! Entre deux coups de pines elles dégoisent leur vie ! Heureusement tout cela se passe avec ses copains bidasses, ils rassemblent leurs sous pour partager les filles, aussi bouches et culs foutus les voilà qui sont sages.
-Allez-y ! Qu’elles leurs crient, enculez-nous avec vos petites bites de français…ça les amuse les garces qui ont le trou déjà bien alésé tant elles se font sauter par les gros braquemarts des mecs du pays.
Pour quelques petits sous de plus elles finissent le travail en leur pompant le nœud avec leurs grosses lèvres pulpeuses faites on croirait exprès pour sucer de grosses pines.
Pour ajouter au charme il faut dire aussi que cette petite orgie se passe à l’extérieur, sous la lune et les étoiles, sur un grand paillasson entouré de canisses, à l’abri des regards mais pas des oreilles de quelques promeneurs qui cherchent à voir le spectacle en écartant les roseaux
Depuis ce temps-là, Lucien s’est juré de toujours sodomiser les femmes qu’il rencontrerait, en douceur bien sûr et avec leur permission.
A la fin du régiment, pour le père Cent (100 jours avant la libération), les anciens chahutent les bleue-bites dont certains se font enculer comme des PD. C’est comme ça que le Lucien se fait pour la première fois un mec. Ça lui fait drôle. Le gars a eu l’air d’apprécier et du coup Lucien prenant goût à faire la chose ça ne lui déplaît pas de s’envoyer un mec de temps en temps. Ce n’est pas pour autant qu’il a viré sa cuti, il aime trop les femmes. Mais il est très fier de voir sa pine à l’œuvre en train d’enfiler un petit trou juste au-dessus d’une paire de couilles. C’est beau, ça fait viril, une bonne tapette ça se prend à l’emporte-pièce, c’est quémandeur et ça en redemande ! Et ça vous suce une pine comme si c’était la sienne, avec acharnement. Et sortie de son cul pas toujours reluisante il vous la dépoussière comme une femme de ménage et sans faire de grimaces.
Donc pour poursuivre mon récit, on voit bien que notre homme n’est pas tombé de la dernière pluie, qu’il a de la couille, de la vigueur et du savoir-faire appris sur le tas.
De retour au civil il se fait mettre le grappin dessus par une riche rombière (une cougar dirait-on de nos jours) ardente fellatrice et généreuse qui lui fait découvrir qu’elle peut être aussi habile que des plus jeunes, si non plus. Elle apprécie la jeunesse. Elle a un petit côté maternel, ensorcelant et bichonne le jeune homme un peu comme un gamin, fière de se montrer vicieuse tout en profitant des atouts du jeune Apollon. Celui-ci couché sur son ventre voluptueux se vautre avec plaisir sur ses gros seins. Il apprécie l’onctuosité, la largeur et la souplesse de sa foufoune ; il y fourre son nez et en renifle les bonnes saveurs moins acides que celles de femmes plus jeunes.
En 69 écrasé sous elle, il lui ouvre les cuisses. Coincé là-dessous, il regarde avec plaisir ce bon gros cul moelleux et profond. Il le malaxe, l’ouvre, le fouine, le caresse avec gourmandise. Il ouvre aussi l’échancrure de sa chatte, en lisse les bordures avec un doigt, enfonce avec précaution son index curieux dans ces chairs rouges, chaudes et humides, déniche son petit trou au milieu de ses fesses et il est surpris de voir qu’elle a des poils au cul. Il y décèle de très fortes odeurs qui loin de le rebuter, au contraire l’excite et le pousse à y enfoncer davantage son nez. Vu l’âge de la Dame, il se plaît à s’imaginer combien de belles et grosses bites ont dû forcer déjà ce diable de petit trou. Un vrai régal pour un jeune de son âge qui découvre combien une femme mure peut être appétissante et salope. C’est naturel en somme et en se demandant si sa mère pouvait être pareille il bande.
Pendant ce temps, la mature coquine le suce avec tant d’ardeur en lui tripotant les couilles et le trou du cul qu’il jouit d’une bien grosse éjac qui remplit le palais de la brave mémé. Il gigote sa pine dans son palais comme carpe en filet, et il pousse son nez entre ses fesses tel une petite bite qui voudrait pénétrer dans son cul.
Elle aime, elle adore, elle en pisse même un peu, oh la cochonne, sur le nez du garçon ! Un jus odorant, chaud et suranné.
Voilà donc notre jeune homme joliment baptisé, stupéfait, écœuré, ahuri et heureux tout de même de découvrir cette expérience dont il avait souvent entendu parler. C’est la première fois qu’il voit le pipi sortir du trou à pisse d’une nana.
Il n’en a pas trop bu du bon jus qui gicle sur son nez mais son visage en dégouline et il se plaît à regarder la grasse pachole qui égoutte encore ouverte et toute chaude.
Il s’essuie les lèvres. Elle finit sa fellation, il est heureux.
– Oh la vache ! Tu es une drôle de salope qu’il dit à la pisseuse.
– Ben oui mon p’tit gars, tu l’as aimé la pisse de la salope, n’est-pas ?
– Oh oui qu’il lui répond, non sans faire la grimace, mais conscient qu’il vient de vivre une fort belle expérience.
C’est une brave Dame. Une Dame de qualité. Il va la revoir plusieurs fois. Vicieuse à point, elle aime se faire baiser et enculer, elle profite de lui, pour réaliser tout ce qu’elle ne peut plus faire avec son vieux qui est devenu impuissant et dort dans la chambre à côté et qui n’était pas un tendre.
Il en serait presque devenu amoureux de la vieille, mais ça ne dure pas, car il lui faut passer à des choses dites plus sérieuses.
Eh bien voilà une histoire qui commence pas mal, il me semble !
Il me plaît ce petit gars qui commence de bonne heure à se dégourdir les roupettes d’abord au frais du Papé, profite ensuite des gaietés coloniales pour finir enfin sur le dos d’une aimable rombière, mécène de son état et dévouée pour jeunes gens en devenir d’hommes.
Délicieuses aventures que n’ont pas forcément connues les jeunes d’aujourd’hui, mais qui peuplent les souvenirs des plus anciens ! Mais à chacun son siècle.
Bien. On ne va pas cependant en rester là.
Je sens que ce petit gars a de l’avenir dans le caleçon, il faut que je m’en occupe sinon il va faire des bêtises ….des choses sérieuses, des choses sérieuses, il me semble que c’est un peu tôt !
Alors à bientôt, je vais m’en charger de ce pas…
27/07/2021
Verdon se met à la prose et ce n’est pas triste. Que voilà ce la bonne gaudriole comme on a plaisir à en lire
Quel style agréable, un vrai plaisir