Fesses festives par Verdon
Fesses festives
Quand la fesse cossue d’une Dame ou d’un Homme
Se prête joyeusement aux plaisirs de Sodome
Il n’est rien plus charmant que de la voir s’ouvrir
Pour montrer, licencieuse, son petit orifice
Pivot sans équivoque du plus gaillard des vices
Et source clandestine de délicieux plaisirs.
Le cul en vérité n’est pas toujours facile
Non que l’envie lui manque ou qu’il ne soit docile
Mais la vigueur d’une pine qui tutoie la rosette,
Attise des désirs autant que d’inquiétudes
Qui font que bien souvent avec ingratitude
La fesse se refuse à d’honnêtes requêtes.
Il n’est de bons amants qui ne sachent pourtant
Investir la place sans user de bon sens
Pour convaincre la fesse à moins de résistance
Et laisser pénétrer sa majesté le Gland
Qui va dans l’antichambre du vertueux chenal
Déclencher les prémices d’un joyeux festival.
Certes il faut bien sûr serrer un peu les dents
Ou flatter vertement le cul récalcitrant,
Mais forteresse prise, c’est la fête à gogo
Car enfin soulagé après un p’tit repos
Le conduit exigu avale le conquérant
Qui s’engouffre vaillant à travers l’œilleton,
Escorté de bien près par ses deux gros roustons.
Et quiconque regarde, est ravi du spectacle
Que lui offre docile le profond réceptacle
Où une bite amoureuse fait des allées venues
Dans une raie du cul aux miches bien dodues
Qu’empoigne avec vigueur le vaillant zélateur
Pressé d’y déverser ses liquides vapeurs.
Puis l’affaire terminée, quand l’intrus se retire
Et que le cul dégorge les larmes du plaisir
Il est du meilleur ton qu’un troisième larron
Vienne se délecter du délicieux bouillon
Pendant que le soumis s’occupe des saveurs
Qui embaument la pine de son bon serviteur.
(31/07/2017)
Bravo l’artiste, votre poème m’a fait bander ! Si, si !!!
Merci, ça fait plaisir et c’est fait pour ça, d’autant que l’illustration amplifie l’émotion…