Elle était si désirable… par Cindy01

Elle était si désirable…
par Cindy


Elle était si désirable et je la regardais déambuler dans les couloirs à la moindre occasion. J’avoue m’être parfois postée à des endroits stratégiques, par connaissance de ces habitudes, et simplement pour la dévorer des yeux. Elle ne semblait pas me voir, autrement qu’en collègue de travail. Bonjour, bonsoir, ni plus ni moins, tandis qu’elle me m’était dans tous mes états. Je me demandais si d’ailleurs elle avait eu un jour un désir pour une femme, n’ignorant pas que toutes les femmes ne sont pas attirées par les plaisirs saphiques.

Ce soir là, je devais rester tard pour terminer un dossier, ce qui était loin de m’enchanter car je serai seule dans ces grands bureaux. Personne à qui parler, ni même à admirer. Il était déjà plus de 21H lorsque j’entendis la porte d’entrée claquer. Une crainte évidente d’un cambrioleur me fit frémir quand je vis alors ma chère collègue tant désirée.

– Tiens Clara, tu es encore là ?
– Oui j’ai un dossier à finir. Et toi ?
– J’ai oublié mon portable et je ne peux pas vivre sans lui bien longtemps
– Ah oui évidemment, tu t’es retrouvée coupée du monde.
– Mais dis donc, tu as diné ? Parce que moi non, on pourrait aller se chercher quelque chose non ?

J’étais sur un petit nuage. Je passais de l’indifférence générale à un diner improvisé au travail. Je n’en revenais pas. J’essayais de ne pas avoir l’air trop emballée pour ne pas éveiller ses soupçons ou la mettre mal à l’aise.

– Oui avec plaisir. Je mangerai bien japonais ca te dit ?
– Ah oui bonne idée, on se prendra une bouteille de saké, ca rendra ton travail plus fun.

Nous voilà donc parti au japonais le plus proche, quelques trois cent mètres, ce qui nous avait laissé le temps de discuter des banalités d’usage sur le boulot. La pensée fugace de la montée de chaleur grâce au saké m’avait traversée l’esprit mais je m’étais alors raisonnée. Il ne fallait pas commencer à fantasmer, ce n’était clairement pas une bonne idée.

De retour au bureau, nous nous installons dans le canapé de l’entrée et commençons à manger tout en discutant. Puis attaquons le saké qui, comme je l’avais prévu, commence à me donner des bouffées de chaleur. C’est alors qu’elle attaque le sujet dangereux.

– Alors comme ca, tu es lesbienne ?
– Ah tu es au courant ? Oui effectivement.
– Et tu as déjà essayé avec un homme ?

Il fallait toujours que les gens posent cette question fatidique, comme si le fait d’avoir essayé justifiait ou non sa sexualité. Il n’était pas l’heure de rentrer dans des polémiques avec elle, pour ne pas plomber la soirée.

– Oui mais ce n’est pas mon truc. J’aime les femmes pour ce qu’elles sont et ce qu’elles ont. C’est irrécupérable. Et toi tu as déjà essayé avec une femme ?

Elle s’empourpra, n’imaginant peut-être pas que la question lui reviendrait.

– Heu… Non… Pas encore… Enfin j’aimerai bien mais ce ne sont que des fantasmes.

Elle était à côté de moi, et j’hésitais déjà entre me jeter sur elle pour lui faire réaliser ses fantasmes et ne pas déraper au risque de la faire fuir.

– Ce n’est pas difficile à réaliser. Tu peux toujours te rendre dans des bars ou des boites lesbiennes, belle comme tu es tu n’auras pas de mal à trouver une femme.

Elle était de plus en plus mal à l’aise, du moins c’est ce que j’imaginais. Elle était en train de jouer avec le feu et avait vraisemblablement peur de se bruler. Dieu sait que j’avais envie de l’embraser, de l’embrasser, de la baiser aussi… Le saké commençait sérieusement à réveiller en moi mes plus bas instincts tout en endormant ma raison. J’escomptais que cela en soit de même pour elle.

– Facile à dire mais plus difficile à faire.

Elle se déplaça imperceptiblement, vers moi. Quelques centimètres tout au plus mais j’ai toujours interprété les signes corporels et une femme qui n’est pas consentante a plutôt tendance à s’éloigner, pas se rapprocher.

Je n’avais pas eu le temps de répondre qu’elle lança une phrase qui aurait pu être anodine si nous n’étions pas déjà quelque peu ivre.

– C’était comment ta première fois avec une femme ?

Mon dieu, elle comptait vraiment me rendre folle. Je crevais d’envie de me jeter sur ses lèvres et de goûter sa langue, de sentir son corps contre le mien.

– C’était bien mais c’était notre première fois à toutes les deux, du coup ce n’était peut-être pas aussi torride que ca l’aurait été si elle avait été expérimenté.
– Ah oui je comprends, c’est un peu pareil avec les hommes en fait.

C’est alors qu’on entendit une sonnerie. C’était son portable qui sonnait et qu’elle avait laissé à son bureau. Elle se leva rapidement pour aller décrocher. Il fallait que j’agisse, c’était impossible de laisser passer une chance pareille. J’en mourrai de regrets et j’aimais autant l’idée de me prendre une gifle retentissante.

Je me levais alors et me dirigeais vers elle. Elle était debout, contre son bureau, en train de parler à un inconnu. Je ne lui laissais pas le temps de réfléchir et je l’embrassais, coupant sa phrase. Elle me regarda mi surprise, mi excitée. J’avais senti en elle ce désir si féminin. Elle annonça, très directive, à son contact, qu’elle devait raccrocher, et se jeta sauvagement sur mes lèvres.

Nos lèvres ne se décollèrent pas avant une bonne dizaine de minutes, tellement la frénésie était forte. Mes mains parcouraient ses formes par dessus ses vêtements, découvrant sans découvrir les contours de son corps. Ses bras étaient autours de mon cou et m’enserraient pour ne pas me laisser filer.

Il fallait accélérer les choses.

Je l’embrassais dans le cou tandis que j’enlevai un à un les boutons de son chemisier pour libérer ses seins, lourds et fermes. Je ne pus m’empêcher de les embrasser eux aussi. Elle respirait fort, au bord des gémissements.

Son chemisier traversa le bureau, suivi de près par son soutien gorge. Elle m’ôta mon tee-shirt et lécha suavement mon cou et mon oreille droite. Comment avait-elle deviné que j’adorai ça ?
Mon soutien-gorge disparut également et nos seins se collèrent les uns aux autres. Nous nous embrassions tout en nous frottant langoureusement.

J’étais surexcitée. Je me sentais mouiller comme une folle et je rêvais déjà de sentir ses doigts en moi et plus encore de la prendre violemment.

Je déboutonnais son jean prestement et sans attendre je glissais ma main dans sa culotte. Elle gémit de plaisir. Elle était elle aussi trempée. Je caressais son clitoris gonflé et dur.

Dans un soupir, elle me dit :

– J’ai envie de toi

Pour plus de commodité, je lui enlevais complètement son jean ainsi que sa culotte, et poussait les dossiers qui trainaient sur le bureau. Elle s’assit sur le bureau et je rentrais deux doigts dans sa chatte trempée. Elle me mordit la lèvre inférieure de plaisir évident.

– Mon dieu, que c’est bon. Vas-y, prends-moi !
– J’ai bien l’intention de te baiser comme une folle. J’en crève depuis des semaines.
– Je le savais

Les révélations sur l’oreiller, c’est connu, un peu moins sur un bureau mais c’était du pareil au même.

– Et tu m’as laissée attendre comme ca ? Tu devrais être punie

Je retirais alors mes doigts d’un coup. J’ai bien cru qu’elle allait pleurer de frustration

– Je ne savais pas comment t’aborder. Pitié baise moi.

Je remettais alors trois doigts au fond de sa chatte.

– Plus vite, plus fort… Défonce-moi.

Je lui pilonnais la chatte comme une enragée. Elle était agrippée à moi et me mordait le cou. J’adorai ca mais j’imaginais bien l’allure de mon cou le lendemain.

J’enlevais alors un doigt de sa chatte pour forcer son anus qui ne résista pas. Elle avait l’habitude cette salope.

– Oh oui ! Encule-moi.
– Oui je vois que ce n’est pas ta première fois, salope.
– Humm
– Retourne-toi !

Je devenais directive, je voulais la posséder. Elle ne se fit pas prier une seconde et s’appuya contre le bureau en tendant son cul. Je l’entrepris à deux mains, trois doigts dans la chatte, deux dans le cul. Elle hurlait littéralement

-Oh mon dieu, c’est bon ! Je vais jouir !

Et effectivement elle jouit quelques instants plus tard, dans un cri caractéristique et s’écroula sur le bureau. Je retirai mes doigts.

Après quelques minutes de repos, elle me fit son regard le plus lubrique.

– J’ai envie de te lécher la chatte. Je ne l’ai jamais fait.

Pour plus de confort, je m’installais sur le canapé. Elle écarta mes cuisses d’un geste décidé et se jeta sur mon clito qu’elle lécha avec talent.

– Tu es trempée
– C’est toi qui m’excite
– Tu aimes ce que je te fais
– Tais toi et lèche.

Elle me lécha pendant quelques minutes puis elle me pénétra sans me prévenir. J’émis un cri, de surprise mais surtout de plaisir. Elle avait de la ressource pour une première expérience.

– Dieu que c’est bon d’être dans ta chatte
– Dieu que c’est bon que tu y sois

Elle me fit un sourire complice, amusée par ma réponse et contente de s’y prendre comme il fallait. Je ne savais pas si elle oserait me sodomiser, je prenais alors les devants

– Prend moi le cul aussi, j’adore ca
– Tu es une chienne toi aussi. J’adore ca

Elle me prit alors le cul et commença à me baiser comme une damnée. Ce traitement déclencha rapidement un orgasme violent qui me fit hurler.

Elle m’embrassa passionnément.

– On va chez toi ?
– Avec plaisir !

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Une réponse à Elle était si désirable… par Cindy01

  1. Timaageri dit :

    Un peu naïf, un peu rapide, mais pas désagréable

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