Dans la fournaise de Marie – 1 par Bernard_le_photographe

Nice, année 1974, Aéroport… Je ne suis qu’un touriste V.R.P. de passage à la poste de l’aéroport pour téléphoner, le parking était vaste et gratuit, oui GRATUIT à l’époque !

Je regagne ma voiture quand je vois à une vingtaine de mètres, deux femmes… mes yeux sont en fait attirés par l’une d’elles : en robe claire, évasée et courte… si courte qu’avec le balancement de la marche, je croyais voir sa culotte ! Je me rapprochais rapidement, je n’avais pas rêvé, un peu de sa culotte rose apparaissait ! Mais elles s’arrêtent près d’une mini Cooper, en vogue à cette période.

Cela me coupe toujours le souffle de voir çà… mais je me calme, arrive à la voiture alors que, celle habillée si court est installée au volant et descend la vitre ; nous sommes en début juillet, il fait très chaud… Je vois des jolies cuisses bronzées :

– Excusez-moi, Mesdames, n’ayez pas peur, je suis photographe amateur, est ce que vous accepteriez de faire des photos ?

Surprises toutes les deux, la « court-vêtue » me dévisage et me sourit :

– Quel genre de photo ? C’est pas du porno au moins ?

Surpris à mon tout, je rétorque :

– Du porno ? Pas spécialement ! Pourquoi dites-vous ça ?
– Parce qu’il y a deux jours on m’a demandé ça !
– Il y a des gens gonflés quand même ! Moi, je vous ai remarqué en marchant… jolies jambes, belles démarches et je voyais de temps en temps un bout de votre culotte rose…
– C’est vrai ? On voit ma culotte ?
– Juste un peu pour les yeux curieux, seulement !

Je ne garanti pas les dialogues exacts, mais l’esprit y est et sur un ton badin… Bref, je dis que j’aime les photos sexy, elles me demandent laquelle m’intéresse, je dis « les deux ! » On rigole… J’apprends qu’elles sont sœurs et habitent ensemble… Je change de place face à la court-vêtue dont je vois carrément l’entrecuisse grâce à quelques centimètres d’ouverture ! Je lui dis :

– Voilà le genre de photos que j’aime, comme vous êtes assise là !

La sœur en rigolant dit :

– Et comme ça c’est mieux ?

Elle tire sur le genou de sa sœur et me montre toute sa culotte ! Je dis que c’est beaucoup mieux ainsi. Puis, je propose de les voir le soir même et c’est d’accord pour 20 heures, elles expliquent leur adresse et on se sépare après leur avoir dit que je viendrais peut-être avec un ami sans qu’elles refusent.

J’étais à la fois heureux de cette rencontre et incrédule tellement c’était facile.

Mais je file vite à Nice voir mon copain, un toubib, content de cette aubaine et à 20 h on se retrouve au pied de leur immeuble. On trouve l’entrée, leur nom et bien sûr une plaque… ascenseur et on sonne à leur porte…
Pas d’imprévu, elle s’ouvre, on entre et on fait les présentations, Philippe mon copain, Marie, la court-vêtue (habillé pareil) sa sœur Michèle… contact très sympa devant un apéro et comme hélas, je n’ai pas d’appareil photo avec moi, je demande à Marie de me montrer les tenues qu’elle pourrait porter pour mettre son corps en valeur…

Je suis à nouveau surpris qu’elle accepte, on laisse les deux autres, elle me précède dans une chambre, ne voulant pas faire ça devant eux… « Ça » en fait, c’est me dire carrément :

– Qu’est ce tu préfères voir ?
– Mais, tout bien sûr !

Cette coquine remonte sa robe jusqu’à la culotte, puis l’enlève carrément… petit soutien-gorge pigeonnant… j’apprécie l’ensemble lui faisant des compliments, mais je lui demande d’enlever le haut…
Elle descend les bretelles, puis s’approche de moi, me tourne, le dos pour que je le dégrafe… je me fais un plaisir et je le jette sur le lit quand soudain la porte s’ouvre et le visage de Philippe apparaît… tout de suite elle vient se cacher derrière moi…

– Bernard, je vais m’en aller, ça colle pas avec sa sœur, alors…

Je dis que c’est dommage tout en sentant les seins de Marie dans mon dos ! La porte se referme… Je pose mes mains sur les hanches derrière moi… Elle se plaque contre moi quelques instants, c’est délicieux, puis, je me retourne, m’écarte un peu pour l’admirer… petits seins jolis… Je m’approche et tire lentement sur les cotés de la culotte pour la faire glisser sur ses cuisses découvrant une petite toison châtain.

Elle se laisse faire… on s’enlace, on s’embrasse… et…la porte s’ouvre encore… sa sœur nous dit qu’elle part !

Marie me dit que c’est mieux ainsi… on retourne dans le salon pour boire encore un coup… je la contemple évoluer à poil, pas gênée du tout…elle m’incite à en faire autant…ce sera vite fait… La première fois que je trouve à poil buvant un apéro avec une presque ‘inconnue à poil aussi… c’est le paradis… on s’embrasse encore, puis, je la pousse sur le canapé… je lui écarte les cuisses, découvre sa fente très rose… la caresse, puis, je me mets à la sucer… très réactive et déjà mouillée en une minute, elle se met à jouir superbement… puis elle me serre contre elle et me chuchote :

– Je vais te faire pareil, mais tu ne pars par dans ma bouche… je veux te sentir en moi.

C’est fou d’entendre ça, et aussitôt elle se met à jouer avec mon sexe et me suce divinement mais je lui dis de se calmer, et comme elle est à genoux sur le tapis, je lui dis de rester ainsi. Je me place derrière elle, caresse son joli cul, la tête sur le canapé, elle écarte ses cuisses pour mieux me recevoir et je la pénètre lentement… bientôt ce sera avec frénésie que je verrais mon sexe sortir et entrer en elle autant par mes poussées que par les siennes…

On ne résistera pas longtemps… Nos gémissements de plaisir emplissent la pièce et on jouit ensemble comme des fous… je repense au parking de l’aéroport !

Puis, je lui propose d’aller manger au restaurant, elle est d’accord, on prend une douche, on s’habille, petit restau, pas loin où l’on pourra se caresser discrètement… cette fille est très chaude… moi aussi.. Et sitôt sorti, on prend l’air sur la promenade des Anglais, on descend sur les galets et on s’enlace dans l’obscurité… comme elle a remis cette robe ample, l’accès à sa culotte est d’autant plus facile… Je la lui enlève. J’ai envie de la prendre là, à quelques mètres de la ville pleine de lumière et des gens qui profite de l’air plus frais… C’est réciproque Je m’assieds sur un muret, elle se penche, ouvre ma braguette… je suis déjà bandé… Elle vient s’asseoir sur moi se tenant à mes épaules… Je guide mon sexe qui entre facilement en elle…Elle m’embrasse à pleine bouche et le plaisir nous envahit à nouveau, très vite, trop vite…

Je ne réalise même pas qu’on pourrait nous voir, on oublie tout et on jouit encore ensemble magnifiquement…

On retourne dans son appart, encore étourdi par tous ces émois, alors qu’elle m’a déjà demandé si je voulais bien la sucer comme tout à l’heure !

On boit un verre car il fait très chaud, puis le canapé reçoit nos vêtements avant nos corps… on flirte, on se caresse… on vibre déjà… je m’agenouille sur le tapis, lui écarte doucement les cuisses… contemple sa chatte ouverte, je prends mon temps, je l’effleure d’un doigt, écarte les pétales très roses… pour découvrir un petit trou béant. Elle regarde ce que je lui fais et quand je glisse doucement mon doigt, elle trésaille et ferme les yeux.

Je m’approche de cette chatte offerte et je commence à la sucer, en haut sur le clito en faisant bouger mon doigt. Elle respire fort…Mon doigt est trempé, et bientôt j’en glisse un deuxième à coté…c’est si mouillé que je peux les tourner côte à côte …Elle gémit, ce qui m’encourage à faire mieux et plus… je me souviens lui avoir fait saillir le clitoris de ma main droite et ma main gauche avec deux doigts dedans titillait ce clito avec le pouce… je me dis qu’il y avait de la place…un troisième doigt entre sans difficultés. Je la sens « couler » sans qu’elle me serre ces trois doigts qui vont et qui viennent. Je commence à penser à une folie jamais réalisée : Et si ma main pouvait la pénétrer pour la branler monstrueusement ?

Je ne pensais plus qu’à ça, encouragé par les gémissements, je mis mes doigts « en pointe » sauf le pouce, la suçait avidement, poussais ma main et petit à petit les quatre doigts pénétrèrent les chairs distendues.

Je contemplais mon « travail » tandis que mon pouce massait son clito, les quatre doigts disparaissaient dans son trou et visiblement elle y prenait un plaisir certain.

Moi, j’étai subjugué par cette première pour moi, je fouillais ses chairs les plus secrètes et elle y prenait un plaisir de plus en plus fort… son visage était pâmé, son corps vibrait, une main crispée sur un sein, l’autre sur le canapé.
Il fallait aller plus loin… Je mouillai mon pouce de salive, le plaçant à coté des autres et ouvrais cette fente… je poussais, poussais, surpris de voir disparaître mes doigts lentement… Je poussais encore pour faire passer le plus épais et d’un coup l’ouverture dilatée me laissa passer jusqu’au poignet !
Incroyable ! Elle suffoquait… son ventre ondulait, ses seins se soulevaient par saccades…Je bougeais doucement ma main prisonnière pour la branler quelques instants sublimes, et elle ouvrit les yeux pour regarder ce qui lui faisait ça… regard très troublé…

– Tu as mis ta main entière ? Oh ! Non ! C’est fou !

Je lui demandais si je lui faisais mal, elle referma les yeux et son bassin s’agita…Je la branlais carrément maintenant et elle délirait…Je sentis venir sa jouissance par des contactions sur ma main et elle poussa une longue plainte aiguë secouée de tremblements

Je n’avais jamais entendu ni vu tout ça et je faillis jouir aussi, mais je sortis ma main de sa « fournaise » contemplant le trou laissé qui se refermait lentement… Je l’entends encore dire :

– Bernard, prend moi vite !

Ce que je fis immédiatement et mon éjaculation, la troisième ne tarda pas tellement cette soirée fut inouïe !

Et surtout il eut une suite que vous pourrez connaître bientôt !

Bernard
© 2000 Bernard Photographe

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3 réponses à Dans la fournaise de Marie – 1 par Bernard_le_photographe

  1. Camaret dit :

    Pas bien compris pourquoi Michelle disparaît du récit

  2. Golo dit :

    Une nouvelle façon de draguer ? Faudra que j’essaie !

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