Cours de math par Eric 3

Cela faisait à peu près un an que je sortais avec cette nana, une pure vraie baba de quelques années mon aînée, lorsqu’un soir que nous dînions avec sa soeur et son copain, celle- ci parla de l’idée qui lui était venue (devrais- je dire la lubie ?) de reprendre ses études afin d’obtenir un diplôme digne de ce nom qui lui permettrait de travailler pour un salaire décent. Vu le genre de la nana, ce mot « travailler » dans sa bouche me faisait doucement sourire, mais je n’ai pas pour habitude de décourager ce genre d’initiatives.

Comme elle avait laissé tomber ses études peu avant le bac (ou juste après, je ne sais plus) il lui manquait pas mal de bases, notamment dans le domaine des mathématiques ou ma formation « hautement scientifique » pouvait sûrement l’aider.

J’en discutai donc les jours suivants avec ma copine, et nous tombâmes d’accord que l’idée était digne d’être suivie. Ma copine avait tout à fait confiance en moi par rapport à sa soeur, et moi- même aucune idée scabreuse n’aurait su m’effleurer.

Elle se présenta donc chez moi un Samedi en fin d’après midi, et nous commençâmes à reprendre son programme. Cela dura une heure ou deux, puis je la ramenai chez elle en allant chez ma copine, nous donnant rendez- vous le Samedi suivant. Cette routine dura ainsi plusieurs semaines de suite. Un beau jour, je la vis arriver vêtue d’une ample jupe à mi- cuisse et de bas noirs, ce qui me surprit plutôt agréablement. Elle était ainsi très sexy, avec un pull-over de cashmere qui ne laissait rien entrevoir mais mettait ses formes douces savamment en valeur, elle qui habituellement s’habillait pour ces cours de façon plutôt négligée.

Je lui lançai un regard appréciateur et la félicitai de son apparence, à quoi elle me répondit avec un sourire coquin qu’après, elle devait retrouver son copain pour dîner, et que c’était un certain anniversaire de leur rencontre. Je nous préparai comme à l’accoutumée pour elle un thé, pour moi un café, avant d’attaquer notre séance. Au bout d’une demi- heure environ, alors qu’elle peinait sur un exercice à mon bureau tandis que je m’étais assis dans un bon fauteuil le temps de fumer une cigarette, elle se retourna vers moi et me dit l’air dépitée :

« – Mais c’est trop compliqué, je n’y arriverai jamais ! ! Viens m’aider »

Je retournai donc m’asseoir à côté d’elle et remarquai qu’elle avait légèrement remonté sa jupe, laissant voir l’élastique de ses dim’up et une petite portion de la chair de sa cuisse. Malgré l’excitation qui me gagnait, je m’arrachai à cette vision érotique et me concentrai sur ce qu’elle avait fait, ou son raisonnement bloquait. J’étais en train de lui expliquer comment résoudre le problème, quand elle me dit : ^

« – Non je suis pas en forme… Je ne comprends rien ! Tiens si on faisait un petit break et qu’on se fume un pète ?
« – Bah pourquoi pas…

Je la laissai donc préparer la chose tout en lui disant que ce n’était peut- être pas l’idéal pour bosser, mais elle me répondit qu’elle en avait marre pour aujourd’hui et qu’on reprendrait la semaine prochaine. Bon, qu’à cela ne tienne, je n’allais pas la forcer à bosser ce n’est pas mon genre ! Une fois le pète préparé, elle se leva pour aller s’asseoir dans mon fauteuil pour l’allumer. Je retournai ma chaise pour lui faire face et la regardai assise là, cuisses entrouvertes, détendue…c’était très troublant ! ! Elle dut s’en apercevoir car elle m’envoya un de ces regards langoureux, provocateur, tout en écartant les cuisses un peu plus pour me laisser entrevoir sa culotte de dentelle blanche.

J’eus un rire gêné, et lui proposai de lui refaire du thé. Elle accepta et je partis m’affairer à la cuisine. Lorsque je revins, elle était toujours assise là, feuilletant une revue, mais les jambes croisées. Je lui posai son thé sur la table et retournai m’asseoir sur ma chaise (je vivais à l’époque toujours dans mon mobilier d’étudiant très rudimentaire) et nous commençâmes à discuter de choses et d’autres. Puis brusquement

– « Mais, dis, je l’ai fumé toute seule ! J’en ai préparé un autre, rien que pour toi tu vas voir il est excellent ! Je te l’apporte ! »

Et la voilà qui se lève avec en décroisement de jambes savamment calculé, prend sa tasse et le joint et vient s’asseoir sur ma cuisse ! J’étais tellement surpris que n’osai pas la remettre à sa place (et d’ailleurs, en avais- je vraiment envie ?) et ne savais trop quelle attitude adopter. Elle me mit le joint dans la bouche et l’alluma. Entre- temps, je n’avais pu résister à lui passer une main autour de la taille sous son pull juste sur sa hanche douce et chaude, et l’autre sur sa cuisse. Elle ne broncha pas et continua à me faire fumer tandis que je la caressais légèrement. Puis elle porta le pète à sa bouche et aspira une grande goulée, et juste à ce moment m’embrassa à pleine bouche en ressoufflant la fumée. Je lui rendis son baiser, ayant décidé d’oublier ma culpabilité (d’autant plus forte que son copain était devenu un très bon pote !). Je me laissai doucement aller à l’ivresse du moment, faisant fi de mes principes.

–  » Oh dis « , me dit- elle soudain,  » je n’aurais pas du boire tant de thé, maintenant j’ai une de ces envie de faire pipi ! Mais en même temps je suis si bien là que je n’ai pas envie de bouger… »

Je m’apprêtais à lui rétorquer que pourtant, ça allait être nécessaire et que je la porterais volontiers jusqu’aux toilettes lorsque je sentis soudain un fluide chaud me couler sur la cuisse et le long du mollet…J’étais tellement soufflé que j’en restai baba !

– « Oh mhhh…je crois que ça ne va plus être nécessaire que nous bougions » l’entendis- je dire d’une voix un peu rauque…
– « Mais, lui répondis- je, tu n’as rien pour te changer ! »
– « Bah laisse c’est pas grave, on verra plus tard… » Et puis, brusque revirement : « Oh mais il est déjà 7 heures ! ! Et dire qu’il faut que je sois aux Halles à 8 heure pour retrouver Olivier ! »
– « Houlà ça va être juste, le temps que je me change et me lave un peu et je te ramène chez toi que tu puisse te refaire une beauté… »
– « OK, mais speede ! »

J’enlevai donc mon pantalon et mon slip mouillés, en attrapai un au vol dans la penderie et allai dans la salle de bain. Alors que j’étais en train de me débarbouiller rapidement, j’entendis la porte de l’appartement claquer. Je sortis, toujours à demi- nu, et m’aperçut qu’elle était partie ! ! Elle avait juste laissé sa culotte trempée sur mon lit, avec ce petit mot

– « Merci, j’ai adoré cette leçon…à la semaine prochaine ! »

Je pris une douche et téléphonai à ma copine pour l’inviter au ciné.

La semaine suivante, j’étais très impatient qu’elle arrive pour continuer nos leçons, bien que ne sachant quelle attitude adopter vis- a- vis de notre comportement de la semaine précédente. Je lui avais téléphoné dans la semaine pour confirmer sa venue, mais je n’avais osé aborder le sujet. En mon for intérieur, j’avais décidé qu’on verrait bien ce qu’il adviendrait, et que je ne chercherais pas à provoquer quoique ce soit. Elle arriva avec un petit quart d’heure de retard, vêtue comme elle m’y avait habitué de manière très décontractée, d’une salopette et d’un Tee-shirt assez ample. Rien qui n’éveille mes sens, je restai un peu sur ma faim. Je ne lui fis aucune remarque à ce sujet, et nous nous attelâmes à la tâche de manière fort studieuse. Puis au moment où je m’apprêtais à la reconduire, elle me dit en rougissant un peu :

– Dis, j’ai du oublier quelque chose chez toi la semaine dernière.
– Ah ? Quoi donc ? Je n’ai rien trouvé.
– Mais si, tu sais bien…Je l’avais posée sur ton lit avant de partir et je l’ai oubliée. Il faut absolument que tu me la rendes, c’était un cadeau d’Olivier !
– Mais de quoi parles- tu donc ?
– Mais, tu sais bien ! ! Tu ne peux pas ne pas l’avoir trouvée !

Elle avait atteint une teinte très rouge, et je prenais un grand plaisir à l’agacer sur l’objet de ses recherches.

– Ecoute, Coco, je ne sais absolument pas a quoi tu fais allusion, mais si tu l’as posé sur mon lit ça ne doit pas se trouver bien loin ! Cherchons donc… Mais dis- moi de quoi il s’agit
– Mais, tu sais bien ! ! Ma c…mon…mon slip !
– Non ? Vraiment ? Mais…comment as- tu pu l’oublier ici ? Ça ne fait rien, cherchons…peut- être est- il tombé sous le lit ?

Et nous commençâmes à chercher…aucune culotte sous le lit…

– « Le linge sale ? »

Et nous voilà à retourner mon linge sale, sans succès…je me détournai de cette tâche pour aller prendre une bière, et la surprit à sentir goulûment le jean que je portais la semaine précédente. Cela me fit sourire dans ma barbe. Lorsque je revins, elle était assise par terre au milieu du linge.

– Mais qu’as- tu bien pu en faire ? Ah tu me fais marcher, je suis sûre que tu l’as retrouvée et que tu la caches exprès ! !
– La cacher ? Mais on a regardé partout, tu vois bien qu’elle n’est pas là !

Je m’étais couché dans mon hamac, sirotant ma bière…

– Partout ? Il doit bien y avoir un endroit qu’on a oublié ! !
– Tu crois ? Ou donc ?

Et je la vis baisser doucement son regard sur mon entre- jambe…

– Allez, je crois que je sais bien, rend- la moi !
– Tu crois ? Mais moi je ne sais pas, ou irais- je la chercher ?

Alors, sans un mot de plus, elle vint vers moi et commença à me déboutonner…

– Mais ? Crois- tu vraiment la trouver là ?
– Grrr…Je vérifie ! !

Evidemment je ne m’opposais pas a cette vérification, qu’elle effectuait d’ailleurs sans trop de hâte et en laissant ses mains légèrement vagabonder, prenant la mesure de l’excitation qui me gagnait…Enfin elle se décida à baisser mon pantalon pour terminer sa vérification…

– « Oh, mais dis- moi, c’est pas une tenue pour un mec ça ? Et puis, c’est trop petit en plus ! » dit- elle en éclatant de rire. « Tu m’as bien eue ! »

Et d’enfouir son visage entre mes jambes, le nez collé à son sous- vêtement.

« Mhhh… t’es un petit cochon, tu ne l’as même pas lavée ! ».

Le ton rauque qui gagnait sa voix démentait clairement ces propos réprobateurs, s’il en était besoin puisque je sentis bientôt sa langue commencer à me lécher à travers la dentelle, puis sa bouche prendre le relais.

« Oh, arrête, je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps ! ».

Loin de la faire arrêter, cette phrase eût plutôt pour effet de la faire redoubler d’efforts, et je vins au moment ou elle enveloppait mon gland de ses lèvres, toujours à travers la frêle cloison de sa culotte heureusement assez extensible. Après m’avoir proprement nettoyé, elle me regarda :

– Salaud ! Prendre ton pied tout seul ! Et moi qui commençais juste à être un peu moite ! !
– Désolé, je n’ai pas réussi à me retenir…Je t’avais prévenue pourtant !
– Tiens, sens dans quel état tu m’as mise !

Et de se relever pour se poster debout au dessus de moi, une cuisse passée autour de chaque épaule. Je sentais effectivement une odeur d’excitation plutôt prononcée ! J’appliquai mon nez fermement sur son entre- jambe et me mis à respirer a pleins poumons. Je sentis alors qu’elle faisait glisser sa salopette, et, lestement, elle s’en débarrassa pour reprendre la même posture, en slip de coton blanc. En poussant plus loin l’analyse des odeurs qu’elle dégageait, je sentis un suave relent d’urine, que confirmait l’humidité très prononcée du sous- vêtement.

– Mmmhh…Tu commençais tout juste à être moite disais- tu ?
– Euh non…déjà ce matin je m’étais préparée… Mais il n’a pas eu tout a fait le temps de sécher !
– C’est tant mieux !

Puis j’abrégeais cet échange verbal pour permettre à ma langue de prendre des activités plus appropriées. J’entendais son souffle qui devenait de plus en plus court, en même temps que ses seins se tendaient sous son tee- shirt. Elle se retourna alors afin que nous adoptions une position plus post- soixante-huitarde et je sentis mon érection qui commençait à reprendre. Je continuai à pousser de plus en plus loin mes explorations, ayant suffisamment écarté l’élastique de son slip pour pouvoir goûter à tous ses attraits. Au moment ou je m’apprêtais à jouir a nouveau, elle se redressa et fut prise de soubresauts, puis je sentis un grand flot de ses fluides mêlés me couler sur les lèvres, puis le cou et le torse. Elle se releva alors, puis s’empala sur mon sexe pour terminer son oeuvre. Après être quelque temps restés enlacés suite à cette étreinte, nous allâmes prendre une douche ensemble, et elle profita encore de cette circonstance ou ma bière commençait à faire son effet pour me prodiguer quelques caresses fort agréables.

Je la vis alors qu’elle se rhabillait enfiler sa précieuse culotte de dentelle, puis jeter négligemment celle qu’elle portait originellement dans mon tas de linge sale en me faisant un clin d’oeil. Ce soir là alors que je dînais avec ma copine, nous nous engueulâmes copieusement au sujet de ce que j’étais distrait, ailleurs, et je finis par rentrer chez moi ou je dormis seul, simplement vêtu du slip que m’avait laissé Coco.
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4 réponses à Cours de math par Eric 3

  1. Kriss Baxter dit :

    Ce doit âtre l’effet caméléon, en lisant cette histoire j’ai eu envie de pipi. J’aurais du me lever et aller me soulager dans l’endroit approprié.
    Eh bien non, je me suis retenue le plus longtemps possible et j’ai fini par me pisser dessus
    Franchement est-ce sérieux 😉

  2. Honorine dit :

    J’aime bien les récits mouillés au pipi

    • Cooper dit :

      On peut s’arranger, tu préfères que je te pisse dessus (sur les seins ? dans la bouche) ou que ce soit toi qui me pisse dessus ?
      Remarque que l’un n’empêche pas l’autre.

  3. Claire dit :

    Mignon

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