Une passion commune La fin d’un plaisir solitaire par Aurélia_1

Bonjour à tous,

Je m’appelle Aurélia, je suis étudiante et j’ai 20 ans. Pardonnez moi l’expression, mais je suis une pisseuse ! Je ne crois pas qu’il existe de terme plus précis pour me désigner. Ce n’est pas d’hier. L’idée de me pisser dessus me trottait dans la tête depuis mon début d’adolescence, vers mes 14 ans. Pourquoi ? Aucune idée. Dés que j’en ai eu la possibilité, j’ai commencé à visiter des sites Internet qui parlaient de pipi, d’ondinisme, de wetting, de desperation… et je me suis sentie moins seule, même si c’est vrai que ça semble intéresser plus les mecs que les filles.

Quand je suis partie de chez mes parents pour les études, j’ai découvert tout le sens du mot Liberté ! Dans mon petit studio, j’ai attaqué en parallèle les nuits de sexe avec mes camarades étudiants et le plaisir solitaire et secret des inondations d’urine dans mes vêtements, debout dans ma douche, puis dans la cuisine, puis dans mon lit (avec une protection). Je me suis tellement lâchée que j’ai dû acheter une machine à laver. J’ai découvert le plaisir sans égal de pisser dans un jeans très serré, qui garde bien l’urine et la laisse glisser jusqu’aux pieds, celui, plus original d’uriner tête en bas et pieds en l’air et de sentir l’urine me couler entre les seins, sur le visage et dans les cheveux.

Et puis j’ai eu des envies d’exhibition, ou plutôt l’envie de risquer d’être surprise. J’ai commencé à me faire pipi dessus en extérieur, dans le garage de l’immeuble, dans des ruelles sombres, tard le soir, puis moins sombres, moins tard le soir ou tôt le matin, dans le bus, les petites fuites, dans le train… J’ai continué à fréquenter les divers sites et forum parlant de mon grand plaisir secret depuis les ordinateurs de la fac, jusqu’au jour où…

C’était au printemps, un vendredi vers midi, après l’entraînement de handball, il ne me restait plus qu’un cours et je faisais le tour de mes mails, tout en zapant sur un célèbre forum uro anglo-saxon. J’avais pris soin de me placer au dernier rang de la salle informatique pour ne pas être vue et je gardais ouvert un document d’exposé pour couvrir mes coupables activités aux yeux d’un éventuel arrivant. Toute excitée par le fantasme d’un « ami uro virtuel » du forum, j’avais discrètement glissé ma main entre mes cuisses pour me caresser, sentant déjà mon sexe brûlant commencer à humidifier ma petite culotte blanche au risque de tacher l’entrejambe de mon jeans.

A ce moment quelqu’un s’approcha et je zappais vite sur mon exposé. C’était Marc, l’entraîneur de notre équipe de handball féminine et capitaine de l’équipe masculine, un beau gosse typé nordique, rien d’une baraqué mais bien proportionné et surtout de caractère très doux et très calme, mais jusqu’alors nos relations c’étaient limitées à un slow à une fête étudiante de l’année passée. Après la bise il se glissa derrière moi pour rejoindre le poste voisin, de l’autre côté de l’imprimante, et démarrer la bécane.

De mon côté, j’avais déjà repris mes lectures sur le forum, non sans avoir oublié de retirer ma main d’entre mes cuisses mais tout en continuant à les frotter discrètement l’une contre l’autre. Avant de changer de site Internet, je remontais vers les derniers messages du forum pour les lire et je tombais sur l’un d’entre eux qui me fit comme un coup à l’estomac « Hello Aurélia ! ». Fébrile, j’ouvrais ce court message rédigé en français : « Il semble que nous partagions un même centre d’intérêt », signé Marc ! Je tournais la tête vers mon voisin qui me souriait posément…

Difficile de jouer l’innocence dans ces conditions, d’autant que la crainte d’avoir été découverte se mêlait à une sorte de plaisir.

– On peux s’isoler un peu pour discuter, attaqua Marc ?
– On a qu’à aller dans le hall du gymnase, répondis-je.

Nous fermâmes nos sessions Internet et partîmes vers le gymnase sans un mot. Tout en marchant, j’hésitais entre l’idée de partager mon secret avec Marc et celle de nier l’évidence, mais il était trop tard. Et puis, il avait joué franc-jeu dés le départ : « un même centre d’intérêt »…

– Comment as tu deviné, lui demandais-je, une fois que nous fûmes seuls dans le hall ?
– La fenêtre masquée au bas de ton écran ne laissait aucun doute sur le site que tu fréquentais et que je connais bien.
– Bien vu ! Alors qu’est ce qui t’intéresse dans l’uro, demandais-je sans détour ?
– Les filles qui se mouillent, l’idée de pratiquer des jeux uro avec une fille, et toi ?
– On se complète bien, je suis assez intéressé par l’idée de me mouiller ou de jouer avec un ou une partenaire…
– Et tu pratiques ?
– Et toi ?
– Franchement, j’ai jamais rencontré personne que ça intéresse et tout seul j’ai jamais osé rien faire. Et toi ?
– J’ai testé quelques trucs…
– Avec ton copain ?
– J’ai pas de copain en ce moment et toi t’as une copine ?
– Ben non, pas depuis l’été dernier…

A ce moment de la discussion, je me suis aperçue que je planais complètement. On était dans un coin du hall, à parler tout bas de peur d’être entendus, nos visages à vingt centimètres l’un de l’autre. Je me suis approché de Marc, il m’a prise dans ses bras et nos lèvres se sont jointes pour un long baiser ; c’étais magique. J’avais chaud, je sentais mon sexe fondre dans ma culotte, mes seins trop durs sous mon pull léger…

Quand nous nous sommes séparés, le monde aurait pu s’effondrer, je n’avais plus d’yeux que pour mon nouveau mec.

– On va au RU, dit-il ?
– Oups t’as raison, on est à la bourre pour le cours de cet aprèm’…

Insouciant aux regards de nos amis nous sommes allés déjeuner ensemble dans un coin tranquille du RU, commençant tout juste à faire connaissance entre handballeurs et « wetteurs ».

Après manger, alors qu’on se dirigeait vers l’amphi, je dit à Marc (un peu pour le tester OK) :
– Excuse moi, il faut que je passe aux toilettes.
– Tu ne peux pas te retenir un peu, me fit-il avec un sourire.
– J’ai pas été aux toilettes depuis avant le déjeuner et on a bu pas mal à midi…
– On ira aux toilettes après le cours…
– « On », je peux encore y aller seule…
– Tu es certaine ?
– On verra…

Entre-temps, on était entré dans l’amphi, déjà un peu en retard, et on s’était assis côte à côte au fond. Comme on est plutôt studieux tous les deux, on a à peu près suivi le cours, même si de temps à autre, la main de Marc s’égarait sur ma cuisse… On est sorti du cours parmi les premiers.

– Pourquoi tu gigotes comme ça, me fit Marc ?
– A ton avis ? Je meurs d’envie de pisser, lui répondis-je crûment, tout en continuant à sautiller sur place.
– OK, je te laisse aller aux toilettes si je peux les choisir et t’accompagner…
– Ça fait deux conditions…
– J’ai mes raisons…
– Tu crois que je te vois pas venir, dans un sourire…, mais OK
– On va aux toilettes du gymnase !
– T’es fou, c’est au bout du campus
– Ouai mais on sera tranquille
– Grouille alors…

On a traversé le campus en marchant à grands pas, pour enfin arriver aux toilettes du gymnase, désertes en cette fin de vendredi après-midi. Je suis entrée chez les filles, suivie par Marc, pas intimidé du tout…

– Et là on fait quoi, lui demandais-je en me tortillant, sentant ma vessie prête d’exploser ?
– Je ne sais pas, de quoi as tu envie ?
– Il est pas question que je me pisse dessus ici, si c’est ce que tu attends mon chérie, j’ai rien pour me changer et je veux pas ruiner mes nouvelles baskets.
– Tu as ton sac de sport avec tes affaires dedans dans le local du handball, tu vois qu’on a bien fait de venir au gymnase.
– Mais tu es un vrai Machiavel toi (on venait de parler de Machiavel en cours) et en plus tu m’as l’air bien excité, ajoutai-je avec un coup d’œil à l’énorme bosse qui déformait son jeans au niveau de son sexe.
– Difficile à cacher en effet, mais voir une jolie fille comme toi avec une grosse envie de pisser, ça me fait de l’effet.
– Viens, je vais t’arranger ça, concluais-je avec malice.

Le prenant par la main, je l’attirais vers une cabine des toilettes et m’asseyant sur le couvercle du siège, j’entreprenais d’ouvrir sa braguette pour extraire de son boxer un sexe aux proportions plus que généreuses. Toute l’excitation de la journée, ajoutée à mon énorme envie d’uriner me rendait folle. J’entrepris de sucer le bel engin de Marc, qui commença à soupirer de plaisir. Tandis que je taquinais son gland de la langue et faisait coulisser son sexe dans ma bouche, je sentais que je ne pourrais plus me retenir longtemps de pisser. Soit j’arrêtais tout, soit…

– Mon amour lui fis-je, après avoir retire son sexe de ma bouche.
– Oui Aurélia ?
– Regarde !

N’en pouvant plus d’attendre, j’ouvris les vannes de ma vessie. Un torrent de pisse brûlante envahit ma petite culotte blanche, la trempant instantanément. Je lus dans les yeux de Marc l’instant ou l’urine commença à tacher l’entrejambe de mon jeans moulant, qui devin tout brillant. Je sentais mon sexe et mes fesses qui baignaient dans ma pisse. Celle-ci continuait à jaillir spasmodiquement de mon corps, saturant mon jeans, coulant dans le tissus sur le derrière de mes cuisses, inondant le couvercle des toilettes, dégoulinant sur le sol carrelé…

A cet instant, le sexe de Marc se contracta dans ma main, alors que je ne le caressais même pas, et commença à expulser des jets de sperme chaud et épais qui atterrirent principalement sur ma braguette et le bas de mon pull, déjà un peu humide. N’en pouvant plus, je commençais à caresser mon sexe à travers mon jeans, étalant la semence de Marc, la faisant pénétrer le tissu gorgé d’urine chaude. Un orgasme géant ne tarda pas à me submerger et je m’appuyais contre le réservoir des toilettes, à moitié sonnée pendant quelques instants.

C’est la voix de Marc qui me tira de ma torpeur :

– Moi aussi je pisserais bien tu sais ?
– Oui mon chérie mais ici, tu es chez les filles, pour toi, on va passer chez les garçons, lui fis-je retrouvant tout à coup un début d’excitation assez surprenant, suis moi…

Me levant des toilettes dont le couvercle était inondé d’urine, je pataugeais dans la flaque s’étalant sur le sol pour sortir de la cabine. Aucun bruit aux alentours, Marc et moi nous dirigeâmes vers les vestiaires des garçons.

– Imagine si quelqu’un nous voyait Aurélia, surtout toi, ton jeans est trempé de pisse de la taille aux genoux.
– Très marrant, mais dit que ça te déplaît ?
– Non, je dois dire que tu as un cul sublime comme ça !
– Je vais prendre ça comme un compliment.

Il faut dire que sentir mon jeans et ma culotte trempés et déjà froids contre mon sexe, mes fesses et mes jambes me maintenaient dans un état de doux plaisir et me donnait une idée pour la suite des évènements. Arrivés dans les toilettes des messieurs, je me dirigeais vers les urinoirs et m’asseyais dans celui du milieu, les fesses bien calées dans le fond, la bonde contre le sexe, jambes pendantes :

– C’est à toi mon chéri, j’espère que tu as une grosse envie…
– Tu veux que je pisse où, tu vas t’en prendre plein ?
– Vise bien mon amour, juste entre mes cuisses…
– Tu es sûre ?
– Vas y !

Sortant son sexe, déjà en légère érection, Marc le pointa sur mon entrejambe. Au début rien ne se passa, puis un premier jet atterri sur mon pull, trempant mon tee-shirt en dessous. Corrigeant sa visée, Marc commença à uriner en continu sur ma braguette, trempant à nouveau mon jeans qui se remit à briller. Très vite la cuvette, bouchée par mon derrière se remplit d’urine, mon sexe et mes fesses baignant dedans, à ma très grande excitation. Comme Marc avait vraiment une très grosse envie, elle ne tarda pas à déborder, empruntant le chemin de mes jambes, ruisselant sur l’arrière de mes cuisses, mes genoux, mes mollets. Bientôt je sentais mes épaisses chaussettes blanches s’imprégner d’urine chaude et mes baskets neuves se remplir de pisse, mais je m’en foutais, c’était tellement bon ! Une nouvelle flaque commença à se former sur le sol.

Mais l’excitation était trop forte pour Marc, son érection mit fin à la précieuse source. Sautant de mon bain de siège improvisé dans une vague d’urine, je m’agenouillais devant lui dans la flaque, prenant son sexe en bouche et les suçant avec frénésie, même pas gênée par le goût de son urine. Pour ajouter encore à son excitation je vidais à nouveau ma vessie dans mon jeans et ma culotte, laissant l’urine ruisseler sur mes mollets. Je ne tardais pas à sentir son sexe enfler dans ma bouche et expulser de gros paquets de semence que je déglutis avec difficulté, tandis que les soupirs de Marc en disaient long sur son plaisir. Quand je me redressais, Marc me souriait.

– Merci pour tout ce plaisir ; j’aurais jamais cru qu’une fille comme toi puisse exister, un vrai rêve éveillé ; mais tu es trempée ma puce !
– Et toi tu es tout sec, mais merci du compliment, tu ne me trouves pas complètement folle ?
– Non tu es formidable, je suis vidé !
– Moi aussi, tu permets que je prenne une douche ?

Gardant mes vêtements trempés et parfumés, j’allais prendre une bonne douche chaude dans le vestiaire des filles, pendant que Marc faisait le guet. Sous le jet chaud, j’ôtais mes fringues ruisselantes, m’extirpant avec difficulté de mon jeans serré, collé par l’humidité. J’en profitais pour me revider la vessie en me caressant et me pénétrant de mes doigts, déclenchant un nouvel orgasme libérateur. C’est vêtue de mon collant de sport que je suis rentrée chez moi, accompagnée de Marc avant qu’on ne se sépare pour partir chacun chez nos parents en week-end. J’ai juste oublié de passer aux toilettes avant de monter dans le train…

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3 réponses à Une passion commune La fin d’un plaisir solitaire par Aurélia_1

  1. Claire dit :

    De l’uro, rien que de l’uro mais c’est très sympa

  2. Icaretoon dit :

    C’est un texte sympa. J’ai bien aimé.

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