Clotilde 7 – Nymphomane de service ? par Fafalecureuil

Clotilde
7 – Nymphomane de service ?
par Fafalecureuil


Les cabines sont grandes, et à l’invitation de Véra, j’entre et je tire le rideau. Deux secondes plus tard, elle a à nouveau les seins à l’air devant moi, je vais finir par craquer… Cette jolie blonde commence à m’exciter, heureusement que Serge m’a comblée ce matin, sinon je crois que je lui ferai des avances.

Elle enfile un petit chemisier ultra léger qui ne cache pas grand chose de ses aréoles roses. Elle se tourne devant moi

– Comment tu trouves ? Je te plaise ?
– Si tu me plais ?
– Je ne comprends pas ?
– Je te plais ?
– Oui tu me plais !
– Non, je veux dire, il faut dire : je te plais ?
– Ah, excuse-moi, alors je te plais ?
– Oui, c’est un peu transparent par contre.
– Et c’est pas bien ?
– Si c’est très joli, au contraire, mais pour le travail c’est un peu…
– Comment ?
– Un peu trop osé…

Je suis bien placée pour dire ça, moi, à poil sous ma robe. Elle l’enlève et le met de côté, son pantalon glisse sur ses chevilles, une petite culotte de dentelle cache l’essentiel, ses fesses sont rebondies, un beau cul, bien en chair, j’y mettrai bien la main, mais ça gâcherai tout. Elle enfile maintenant une robe, je l’aide à la fermer, je suis derrière elle, je me débats avec la tirette. Je la vois dans le miroir, elle ferme les yeux. Je commence à m’imaginer des trucs bien plus intéressants qu’une séance de shopping. Je ferme sa robe, elle ne lui va pas, on dirait un gros sac. La deuxième robe est trop grande, la troisième est abimée. Elle est déçue. Je lui dis de m’attendre, je retourne dans les rayons et prends d’autres robes bien plus sexy que les trucs qu’elle avait choisis.

Je la retrouve dans la cabine, en culotte, les seins toujours à l’air, j’aimerai bien embrasser ses petits tétons rougis. Je suis sûre qu’elle s’est caressée. Je l’aide à enfiler la première robe, bien décolletée, un peu moulante, elle lui va à ravir, on voit un petit peu la forme de ses tétons pointer et ça me plait beaucoup.

– Tu es superbe !
– Merci, ça te plaît,
– Ca te va très bien Véra, mais essaye encore celle-ci !

Je lui ôte sa robe, et lui tends la seconde, c’est un dos-nu qui met aussi sa poitrine en valeur, on voit bien le sillon entre ses deux seins bien ronds, il est humide de transpiration. Elle est superbe, je le lui dis et elle rougit de plaisir.

– Et toi tu ne veux pas essayer ?
– Euh, pas spécialement, non.
– S’il te plaît, essaye celle là
– Si tu veux…

Je laisse tomber ma robe, je suis nue devant elle, elle me regarde, sans un mot, elle est surprise de voir que je me balade nue sous mes vêtements. J’enfile la robe, bof rien de fabuleux, elle ne me va pas, j’ai les seins trop petits. Tant pis. Je remets ma robe. J’espère que je n’ai pas choquée Véra qui rassemble ses affaires. Elle appelle la vendeuse et lui demande si elle peut conserver la première robe sur elle. La fille est un peu surprise de nous trouver toutes les deux dans la cabine, elle accepte sans discuter et prend l’étiquette, Véra plie la première robe.

– Tu ne la prends pas ?
– Non, ça fait un peu trop, je veux encore des chaussures.
– Alors je te l’offre,
– Je ne peux pas accepter, Clotilde,
– Elle te va tellement bien, et ça me fait plaisir, alors ne discute pas.
-…

Nous dirigeons vers la caisse, elle paie sa robe et je lui offre la seconde. Au moment où j’ouvre mon portemonnaie, je vois 3 billets de 200 euros. D’où viennent-ils ? Hier soir ? Mais… ? Bah, je paie la robe de Véra et nous sortons. Dès que nous sommes dehors, elle m’embrasse sur la joue.

– Je ne sais pas comment te dire merci, ça me fait tellement plaisir…
– A moi aussi, je t’assure.

Elle me paie un petit repas sur une terrasse, elle est nettement plus sexy que ce matin dans les couloirs. Nous passons un très bon moment. Au café, elle commence à me regarder avec insistance, je sens qu’elle va me faire des avances.

– Ca fait comment de te balader toute nue, comme ça sous ton robe ?
– TA robe, c’est très agréable en fait, et pour être honnête, c’est même assez excitant.
– Je crois que je n’oserai pas
– Pour moi c’est allé tout seul, l’envie m’a pris et voilà…
– Pourquoi ?

Que répondre ? Que je suis une nympho, que j’aime qu’on me matte ? Que j’aime me faire baiser, que j’aime me soumettre aux fantasmes de mes partenaires ? Que je me prostitue par plaisir ? Que j’ai bien envie de baiser avec elle ? Elle n’insista pas et changea de sujet. Elle prit l’addition et alla payer, après quelques instants, nous retournions au travail. Plusieurs fois, elle frôla mon bras ou ma main, c’était très agréable de se faire draguer, surtout par ma belle collègue anglaise.

Arrivées au bureau, elle me donna rendez-vous après le travail pour faire encore un peu de shopping. L’après-midi fut longue, Ronan m’appela pour annuler notre soirée, il devait partir pour trois semaines en mission. Après le coup de Nadia, ça me mit en rogne et je l’envoyais balader. Il s’excusa, il n’avait pas le choix, je raccrochais sans un mot.

Je pensais que ça me rendrait bien plus triste, mais en fait, j’avais la soirée devant moi et la perspective de me faire draguer par Véra commençait à m’exciter. Au milieu de l’après-midi, je passais dans son bureau pour lui apporter un dossier bidon. Je me penchais à ses côtés et exprès, je posais ma main sur son épaule. Elle frémit, je laissais ma main le temps de lui parler du dossier, je crois que j’aurai pu lui lire le journal, elle ne l’aurait même pas remarqué. Je me relevais,

– Vivement ce soir.
– Oh, oui, je suis très impatient.

Encore 2 heures à tirer, mon boulot était fait, j’appelais Gaëlle, elle répondit aussitôt.

– Tu as été impressionnante hier soir, je ne sais pas si tu as remarqué qu’ils sont restés plus de 2 heures ?
– C’est pour ça qu’ils m’ont filé le double ?
– Possible… Tu fais quoi ce soir ?
– Ah, je dois sortir avec une collègue…
– Mignonne ?
– Plutôt,
– Brune ?
– Blonde
– Alors je ne suis pas jalouse, tu me la présenteras ?
– Pour que tu la dépraves ? Peut-être… Il faut que j’y réfléchisse.
– Ce soir je serai absente, je devrais rentrer vers minuit, n’hésite pas à venir à la maison, tu as la clé, fais comme chez toi.
– Merci, je t’embrasse,
– à tout à l’heure, je t’embrasse aussi.

Après quelques dossiers de plus, je quittais le travail plus tôt pour aller faire quelques achats avec le reste de l’argent gagné hier soir, sans aucune gêne, j’entrais dans un magasin érotique du quartier de la gare, pas si glauque que ce que j’imaginais… Des dessous sexy, culottes fendues, soutiens gorges ouverts sur les tétons, bas, jarretelles, latex, cuir, vinyle, je ne savais même plus où donner de la tête. Je pris des bas et des porte-jarretelles, des bas noirs, une culotte fendue noire, une minijupe en vinyle, un top transparent et moulant, une robe ultracourte en latex au décolleté plongeant. Au rayon SM, je mis la main sur des pinces très fines et des chainettes assorties, ainsi qu’une paire de menottes. Enfin, je pris un beau double gode bien rugueux que je me réjouissais d’inaugurer, un gode ceinture. J’avais presque déjà claqué le fruit de ma passe d’hier… En sortant du magasin, un homme me rattrapa et m’aborda,

– Mademoiselle ?
– Oui,
– Je vous ai vue dans le, enfin, au…
– Au sex shop, oui.
– Est ce que vous êtes libre ? Enfin, je veux dire…

Que faire ? Plutôt mignon, pourquoi pas ?

– Ca dépend de ton portefeuille,
– Euh,
– 100 euros pour une pipe, 200 avec pénétration mais je n’ai qu’une heure alors décide toi !
– On va où ? Je connais un parking privé.
– C’est loin ?
– Non, la rue à côté.

Je n’en revenais pas, sans aucune gêne, avec un inconnu qui m’aborde dans la rue, comme une simple pute… Une fois dans le parking, il me tendit 200 euros, je l’entraînais dans un coin un peu sombre, derrière un gros 4×4 et je m’agenouillais devant lui, à voir la bosse qui déformait son pantalon, son imagination devait déjà bien travailler. Je posais ma main et ouvrit sa ceinture. Une queue bien gonflée, sans un mot j’enfilai un préservatif et je le pris en bouche. Après l’avoir sucé et léché quelques instants, il était déjà sur le point de jouir, aussi je ralentis et lui demandais d’enlever ma robe. Il l’enleva rapidement et me caressa, la situation n’étant pas assez excitante, je ne mouillais pas franchement et je lui demandais de me doigter après avoir pelotté mes seins. Ensuite il me demanda de le masturber encore un peu entre mes seins. Enfin il me prit en levrette s’enfonçant en moi brutalement. Après quelques instants, il changea de côté, il ne tenait déjà presque plus le coup, il me demanda si il pouvait jouir sur moi.

– Petit extra, ce sera cadeau pour toi !

Il se retira, je me mis à genoux devant lui, retirai la capote et le masturbais jusqu’à ce qu’il éjacule longuement sur ma poitrine. J’étalais le sperme du bout des doigts en le regardant dans les yeux. Il se rhabilla, je lui donnais un numéro de portable. Il se sauva. Je me nettoyais avec un kleenex et repassais ma robe. Il était temps de rejoindre Véra.

Je sortis et, après un peu de marche, je retrouvais Véra devant un magasin de chaussures. Nous entrâmes, pas de vendeuse à l’horizon, la seule vendeuse était en train de servir une dame entourée de marmots. Véra prit quelques modèles, elle les essaya, rien de terrible, je lui demandais de rester assise, et je revins avec plusieurs cartons de chaussures un peu plus féminines. Je m’agenouillais devant elle et ôtais sa chaussure, je jetais un coup d’œil, elle me laissa faire. Je profitais de la situation pour effleurer ses pieds ses mollets, l’air de rien en lui enfilant d’autres chaussures. Talons hauts, escarpins, chaussures à bride, ça lui allait très bien et je lui en montrais d’autres.

– Tu es encore plus craquante comme ça
– Ca veut dire quoi ?
– Craquante, c’est quand tu peux faire craquer les hommes, quand ils ne peuvent pas te résister.

Elle se redressa, me regarda, l’air un peu déçue, même un peu triste. Je compris de suite ce que j’avais dit. Je lui fis un clin d’œil,

– Comme ça, tu vas faire craquer les hommes… ou…
– Ou qui ?

Je me baissais, lui caressant carrément le pied en enlevant la chaussure.

– Ou les femmes…

C’était parti, j’avais passé la première vitesse, Véra rougit et bafouilla

– Oh, je,
– Essaye encore celles-ci s’il te plait.
– Si tu veux

Des petites sandales à talon qu’on lassait sur tout le mollet, je m’en donnais à cœur joie pour les nouer consciencieusement l’un après l’autre. La vendeuse arriva vers nous en s’excusant de ne pas nous avoir servi.

– Pas grave, nous avons eu tout notre temps pour faire notre choix.

Véra semblait être sur un petit nuage, je choisis presque à sa place deux paires de chaussures et payais. Une fois dehors, elle réalisa que je venais de lui faire un cadeau, elle me prit dans ses bras, un peu maladroitement, colla un énorme baiser sur ma joue. Elle rayonnait.
Je l’emmenais boire un verre, son regard croisait de plus en plus souvent le mien, de plus en plus souvent, sa main effleurait la mienne, sa jambe touchait la mienne. Son téléphone sonna, elle parla en anglais, tellement vite, que je ne saisis pas grand chose, elle était de très mauvaise humeur en raccrochant.

– Fuc******
– Que se passe t-il ?
– Je dois aller au bureau, le boss de Londres, veut que je lui envoie encore un dossier ce soir.
– Pas grave, allons-y toutes les deux.
– Je vais en avoir pour une heure au moins, pour scanner tous les documents. Je veux pas te imposer ça.
– A deux on ira plus vite.

Elle paya et nous retournâmes au boulot, les gardiens nous arrêtèrent, je pus passer sans souci avec mon badge, mais celui de Véra n’était pas valide pour le soir. Elle dut laisser sa carte d’identité et signer un tas de papier pour les vigiles un peu embêtés de la situation.

Une fois dans son bureau, elle sortit un gros dossier et brancha le scanner. Son humeur s’était nettement améliorée depuis que je m’étais assise à côté d’elle, et que nos jambes, nos bras se frôlaient. Après une demi-heure de travail, le plus gros de la pile était passé et elle envoya une première partie du dossier par mail. Elle appela son patron qui était en fait sa patronne pour l’avertir que le dossier arrivait. Cette dernière la remercia d’avoir fait le boulot en urgence et raccrocha.

Après 20 minutes, le dossier était transmis intégralement. Véra alla chercher une boisson, son sac était ouvert à côté du bureau, je jetais un œil, sa culotte de tout à l’heure était fourrée dedans. Je la pris en main, elle était franchement humide, je la portais à mon nez pour sentir son parfum intime, très fort, elle avait du mouiller comme une folle. Elle entra à ce moment. Elle me prit sur le fait, le nez dans sa culotte trempée. Moi je mouillais instantanément, son odeur m’avait totalement enivrée et la situation augmentait mon excitation. Elle me regarda sans un mot et posa deux bouteilles d’eau sur l’étagère. Je ne bougeais pas, en la regardant dans les yeux, j’embrassais le bout de tissu, passant ma langue dessus doucement, juste à l’entre cuisse. Véra était captivée, je lui demandais de s’asseoir sur le bureau, face à moi.

– Ecarte les jambes, Véra !

Sans oser me regarder, elle écarta ses jambes, je pris ses pieds et posait ses talons sur le rebord du bureau. Je décidais d’aller droit au but, toujours sans un mot, je remontais le tissu qui cachait encore un peu son sexe. C’est une vraie blonde, comme moi une vraie rousse, sa toison dorée comme les blés était plutôt fournie, ses lèvres roses, très grandes et gonflées, on voyait son petit trou tout foncé au milieu de quelques poils blonds. Je levais la tête, elle me regarda enfin, pleine de désir. Je m’avançais et embrassais son sexe. Elle posa sa main sur ma tête et me guida entre ses cuisses.

– It’s so gooooooood Clotilde !

Pas la peine de me le demander deux fois, même en anglais, ma langue, sans s’attarder attaque directement son sexe littéralement trempé. Elle mouille c’est impressionnant ! Je me régale, et elle aussi, ses gémissements vont au même rythme que mes caresses. Elle me plaque le visage contre son sexe, elle gémit en anglais, je ne comprends pas ce qu’elle dit, mais à l’intonation, je sais qu’elle aime ça. Je continue de plus belle, j’embrasse, je mordille, je lèche, je suce, j’aspire…

– I’m comming, I’m comming…
– MMMMmmmmm

Elle explosa alors que j’aspirai son sexe entier, surprise par le flot de sa jouissance, j’eus un mouvement de recul mais Véra serrait ses cuisses, m’empêchant de bouger mon visage contre son sexe ruisselant. Je la léchais, me régalant de son nectar qui dégoulinait sur mon visage, ma poitrine, le bureau. Elle se baissa et je plaquai ma bouche sur la sienne, sa langue s’enroulant autour de la mienne. Après un long baiser, nous nous relevâmes en nous regardant. Véra avait perdu son air un peu maladroit. J’ouvris sa robe et sortis ses seins, ronds à la pointe rougie. Je saisis ses tétons et les fit rouler entre mes doigts.

– Depuis ce matin ils ont très envie de faire ma connaissance, j’en suis sûre… Mets-toi debout et enlève ta robe mais garde bien tes chaussures.

Véra fit tomber sa robe, je lui demandais de se tourner.

– Montre-moi ton cul, baisse-toi ! – Mets les mains sur la tête, écarte les jambes.

Véra, hypnotisée, m’obéissait sans aucune hésitation.

Il m’en fallait plus maintenant et je saisis ses seins à pleines mains, les caressant, les serrant, les palpant, ce n’est qu’après un moment que je commençais à les embrasser et les lécher, puis à les presser l’un contre l’autre, à mordre les tétons rougis. Je la repoussai contre une armoire, mon pied s’insinua entre ses jambes qu’elle écarta aussitôt. Mon genou se colla contre sa chatte, ce qui lui arracha un petit cri de plaisir. Je glissais ma main entre ses cuisses et empoignai son sexe, écrasant ses lèvres et son clitoris tendu.

– Tu aimes ça, Véra, dis-le
– Oui, j’aime ce que tu me fais, c’est bon…

De l’autre main, je retirai ma robe, puis, je la plaquais contre l’armoire, le métal froid contre sa poitrine, son ventre m’excitaient de plus belle. Je lui ordonnai de se cambrer pour que je puisse mieux accéder à son entrejambe. J’enfonçais un doigt puis deux dans son con, fouillant son sexe. Elle haletait alors qu’un troisième doigt la pénétra, m’encourageant à continuer. Juste avant qu’elle jouisse, je lui ordonnais de se mettre à quatre pattes devant moi. Sans attendre, je lui ordonnais de baiser mes pieds, le bout de mes chaussures.

– Tu es bien obéissante, Véra, maintenant, sur le dos.

– Ecarte les jambes ! Caresse tes seins, oui comme ça serre les l’un contre l’autre !

Je pris un malin plaisir à lui faire lécher mes talons aiguille, ensuite, je triturais ses seins avec, lorsqu’elle me supplia de me pénétrer, je commençai, du bout de la chaussure à la masturber. Elle ahanait de plus en plus fort alors que le talon de ma chaussure pénétrait son sexe béant. Pour la faire taire je m’assis sur son visage, elle suffoquait, elle ouvrit la bouche, embrassant mon sexe entier, sa langue s’insinua en moi, j’écrasai mon sexe sur sa bouche. Je me relevai un peu pour qu’elle reprenne son souffle. J’ôtais ma chaussure et la montrai à Véra.

– Encore ?
– Oh, oui…. C’est booooooonn

Je recommençai, je sentais sa langue en moi, me fouiller, j’enfonçais le talon de ma chaussure en elle, doucement mais d’un seul coup puis je la branlais, tapant le cuir contre son clitoris rougi. Elle explosa, dans un torrent de cyprine, le corps convulsé de plaisir. Je me relevais, avide de jouissance. Je nettoyais un peu les traces de nos ébats le temps de la laisser reprendre ses esprits.

– Sortons du bureau, je veux pouvoir être tranquille. Rhabille-toi, mets ces vêtements.

Je lui tendis des bas noirs, un porte-jarretelles, la minijupe et le top transparents. J’avais bien envie de profiter à mon tour de cette petite cochonne. Elle s’habilla devant moi, ajusta ses porte-jarretelles. On voyait très bien ses seins ronds et tendus. Je m’habillais à mon tour enfilant la robe en latex échancrée.

– Allez, on va s’amuser, prends le sac et suis moi, ta voiture est au parking ?
– Mais on va pas traverser le bureau comme ?
– Il n’y a plus personne, ne t’inquiète pas.

Et dans les couloirs déserts, je la fis plusieurs fois se baisser pour prendre quelques clichés avec mon portable. Dans l’escalier, je lui pris le bras.

– Arrête toi là, remonte ta jupe, je veux voir ton sexe. Bien, écarte les jambes, touche toi maintenant.

Après quelques minutes, je l’arrêtais, et nous redescendîmes, nous arrivâmes dans le parking, près de sa voiture.

– Monte mieux ta jupe, qu’on voie ta chatte ! Plus haut ! Baisse-toi, je veux voir ton cul.

Véra se baissa, m’offrant ses fesses, son sillon trempé de sueur me tentait, je passais un doigt, doucement, elle frémit. Elle se cambra, je claquais ses fesses et reprit mes caresses.

– Tu aimes ça ?
– Ohhhhh
– Baisse toi, plus bas, oui comme ça.

J’enfonçais un doigt dans son sexe puis étalais sa mouille jusqu’à son anus, Véra gémit de plaisir. Doucement je la branlais, enfonçant deux doigts, elle allait en rythme accompagnant mes mouvements. Elle se caressait le sexe, tirant sur son clitoris gonflé. Ses grognements montraient qu’elle allait à nouveau jouir.

Soudain, deux hommes surgirent de l’escalier, l’équipe de nettoyage, un jeune blond à lunettes et un plus âgé, à la peau burinée. Ils nous regardèrent interdits, ne sachant que faire. Je maintenais fermement Véra dans sa position ne cachant pas grand chose de ses trésors et leur fis signe d’approcher.

– Pas un mot, continuez à regarder, si vous êtes sages, vous serez récompensés ! D’accord ?

Ils acquiescèrent. Je relâchais ma pression, Vera s’était redressée, rouge comme une pivoine, mais visiblement excitée, je la mis face aux deux hommes. Je la caressais, m’attardant sur ses seins. Je les fis sortir du body.

– Regardez comme elle est belle, tourne toi, montre leur !

– Ecarte les jambes ! Encore, montre leur tes trésors. Tu es excitée ?
– Mmmmm
– Venez, vous deux, caressez lui les seins, mais doucement !

Ils ne se firent pas prier, discrètement, je pris des photos de Véra en train de se faire peloter par les deux gars.

– N’hésitez pas à caresser sa chatte, elle adore ça !

Le plus jeune s’accroupit et se mit à la doigter doucement, puis me regardant, il posa sa langue sur le sexe blond de Véra, je lui fis un signe affirmatif. Il se mit à la lécher avec beaucoup d’adresse. Après un moment j’arrêtais tout,

– Véra, ces messieurs se sont donnés beaucoup de peine, je pense que tu devrais les récompenser. Enlève ton body et ta jupe et masturbe-toi devant eux.

Sans un mot, Véra me regarda, son body et sa jupe tombèrent rapidement, elle se tourna vers les deux hommes se mit face à eux. Elle enfonça directement deux doigts dans son sexe et se branla de plus en plus fort. Je lui demandai de s’arrêter et elle se retourna vers moi.

– Je crois que ces messieurs aimeraient beaucoup que tu leur montre si tu sais te servir de ta bouche et de ta langue.
– Oh a blow-job ?
– Oui, ma belle, vas-y

Et aussitôt deux belles queues surgirent dans les mains de Véra agenouillée devant eux. Elle les prit en bouche, léchant, aspirant, tétant, suçant comme une dingue. Je repris des photos de ma collègue. Je ne voulais pas être en reste et je la rejoignis pour moi aussi goûter à ces belles bites. Une pour chacune, je montrais à Véra que je savais aussi y faire, léchant les couilles poilue avec ardeur, gobant le gland violacé de mon partenaire. Je sortis des préservatifs, et je demandais à nos vigoureux mâles de me prendre devant les yeux de Véra et en leur recommandant de faire doucement, je voulais qu’ils durent. Ils ne tardèrent pas à me limer en alternance, l’un après l’autre, en levrette.

– Maintenant, occupez vous de ma copine, à son tour !

Ils la prirent en sandwich, un dans son sexe, l’autre dans sa bouche. Je repris des photos, et une petite vidéo pour souvenir… Je commençais à caresser Véra, glissant un doigt vers son petit trou. Elle gémit, je l’enfonçais, avant d’y mettre un deuxième. Elle était au bord de la jouissance, je la branlais de plus belle et elle se mit à crier, en anglais, des trucs du genre « fuck me… ». Tout son corps se mit à trembler, les deux hommes durent la soutenir pour qu’elle ne tombe pas. Véra était anéantie par sa jouissance, ils la portèrent dans sa voiture avec soin.

– Venez, je vais vous récompenser de vos efforts…

Je me mis à genoux en face d’eux et les suçait à tour de rôle tout en me doigtant. Puis je leur demandais de m’enculer. Je commençais à m’habituer et la pénétration fut facile, à tour de rôle ils me remplirent le cul jusqu’à ce que je jouisse sous leurs coups de boutoir. Un peu chancelante, je me remis à genoux et je léchais leurs glands prêts à exploser et les branlais pour qu’ils viennent sur mon visage et ma poitrine que j’avais découverte. Leur endurance avait été exemplaire et ils méritaient bien ça. Ils éjaculèrent presque en même temps, me couvrant de sperme pour mon plus grand bonheur. Je l’étalais sur mon corps, mes seins en les remerciant.

– Peut-être à une prochaine Messieurs, et surtout, pas un mot à quiconque !
– Au revoir, Madame…

Madame, quelle drôle d’idée, alors qu’ils venaient de baiser deux chiennes en chaleur. Dans la voiture, Véra s’était endormie.

Je m’installais au volant et relevais ma jupe avant de mettre le contact. Véra se réveilla et se rendormit aussitôt après m’avoir donné son adresse, dommage…

Je la ramenais chez elle, garais sa voiture dans sa cour. Je la réveillais, et lui montrant ma poitrine, je lui demandais de me lécher. Elle soupira de plaisir et de fatigue et posa sa bouche sur ma peau, elle eut un mouvement de recul. J’appuyais doucement sur sa tête.

– Lèche, ma belle,

Véra hésita et je sentis rapidement sa langue sur ma peau prendre de l’assurance. Après de longues minutes de plaisir (pour moi surtout) je l’aidais à sortir, toujours juste vêtue de porte-jarretelles et de hauts-talons. Elle vivait seule la majeure partie du temps, son ex-mari ayant quitté la maison depuis plusieurs mois. Une fois entrée chez elle, elle nous servit un jus de fruits, elle reprenait des forces et lorsque j’écartais les jambes devant elle, elle se baissa et commença à embrasser mes jambes, montant jusqu’à mon sexe en feu.

– Véra, donne-moi du plaisir !

Elle me lécha comme une folle, à grands bruits de succion, son énergie était revenue. Quelques instants plus tard, nous étions en 69, munies de godes en route vers un ultime orgasme.

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