Clotilde 4 – Soirée torride par Fafalecureuil

Clotilde
4 – Soirée torride
par Fafalecureuil

Doucement, la main de Gaëlle remonta le long de ma cuisse. Ses yeux plongés dans les miens en disaient long sur ses envies. Ses doigts palpaient mon sexe, je déboutonnais ma robe et caressais mes seins. Sa bouche se posa rapidement sur mon téton gauche, elle reconnut aussitôt le goût et eut un mouvement de recul.

– Lèche, Gaëlle

Et sa langue se posa sur mon sein, un peu hésitante.

– Lèche mes seins !

Et Gaëlle pour toute réponse ouvrit la bouche et se mit à lécher le sperme maculant mes seins, ma gorge, mon ventre pendant de longues minutes. Puis elle m’embrassa à pleine bouche, la tête me tournait. Brusquement, elle écarta mes cuisses et sa tête ne tarda pas à s’enfouir entre mes cuisses. Sa bouche aspira mon sexe entier comme une ventouse. Sa langue me fouillait, je pressais sa tête contre mon con.

– Bouffe-moi Gaëlle !

D’une main, je malaxais mes seins et mon autre main se glissa sous mes fesses. Je caressais mon anus doucement, puis mon doigt fut engloutit dans la bouche de mon amante. Enduit de salive il pénétra facilement mon petit trou. Gaëlle me léchait de plus belle et je vacillais. Je devais prendre appui sur mes deux mains pour ne pas tomber. Un doigt agile se glissa aussitôt entre mes fesses. Le majeur de Gaëlle s’enfonça entièrement dans mon cul alors que son pouce pénétra ma chatte. Elle commença des mouvements de pince et je me mordais les lèvres pour ne pas crier.

Gaëlle se releva, arrêtant ses caresses.

– Enlève ta robe Clo, et mets toi à quatre pattes

Ma robe glissa sur le sol, je me baissais. Devant mon visage je vis les pieds de Gaëlle, les lanières de ses chaussures défaites. Sans un mot, je baissais la tête et posais mes lèvres sur son pied gauche. J’embrassais les pieds de Gaëlle, alternant les coups de langue et les baisers. Gaëlle leva son pied, je pris son orteil en bouche, le suçant comme un petit sexe. Une culotte tomba sur les chevilles de Gaëlle. Sans un mot elle la saisit et la fourra dans ma bouche. Son odeur était forte et la tête me tournait. Après quelques instants, Gaëlle me repoussa et de son pied plaqua ma poitrine contre le sol. Par réflexe je me cambrais. Gaëlle passa derrière moi. Elle caressait mes fesses de son pied. Je sentis un filet humide couler entre mes fesses, puis un orteil glissa contre mon petit trou. Je me cambrais plus encore. Gaëlle me branlait doucement et ses mouvements de va-et-vient étaient de plus en plus profonds. Je comprenais pourquoi j’avais sa culotte en bouche, pour m’empêcher de crier de plaisir. Un deuxième pied se posa sur mon sexe, Gaëlle écrasait son pied nu contre mon intimité. Le plaisir montait de plus en plus et au moment crucial alors que je commençais à trembler, ma compagne arrêta brusquement ses caresses. Elle se releva, retira la culotte de ma bouche.

– Viens Clo, entrons
– Je n’en peux plus Gaëlle,
– Fais moi confiance Clo, relève toi et suis-moi.

Je passais la clé dans la serrure et j’entrais. Aussitôt Gaëlle se plaqua contre moi et me poussa contre le mur. Elle m’embrassa à pleine bouche et je n’hésitais pas à lui prouver ma motivation. Sa langue fouillait ma bouche, ses mains empoignaient mes fesses, les malaxant. Je sentais sa poitrine ferme contre moi. C’était délicieux, sa main remonta entre mes cuisses et ses doigts investirent ma chatte. Gaëlle recula, ouvrit sa robe sous mon regard envieux. Elle sortit ses seins généreux des bonnets de son soutien gorge. Ils étaient superbes, ses tétons pointaient. Gaëlle se baissa devant moi.

– Ecarte bien tes cuisses.
– Oui…

Et elle plaqua sa poitrine contre mon entrejambe. Puis elle prit ses seins à pleine main et faisant saillir ses tétons, elle commença à caresser mon sexe avec la pointe de ses seins. Je caressais ses cheveux en l’encourageant. Ses caresses me rendaient folle et lorsqu’elle me pénétra, enfin, j’explosais sans retenue. Gaëlle plaqua sa bouche sur ma chatte et mon orgasme se multiplia par deux. J’avais rarement joui aussi fort et je me laissais tomber à terre, incapable de rester debout.

Gaëlle ne me laissa pas de répit. Elle monta à l’étage, m’invitant à la suivre. Elle trouva le sac de Nadia, grand ouvert. Elle en sorti un beau gode.

– Dis-moi, c’est à toi tout ça ?
– Euh, non, c’est à…
– A la femme avec qui tu étais ?
– O…oui…
– C’est une vraie caverne d’Ali Baba ce sac… regarde-moi ça !

Elle vida le sac sur le sol, et on pouvait y trouver beaucoup de « jouets », une paire de menottes, un bâillon, un collier de cuir, des godes de toutes tailles, des bracelets de métal.

– Clo, j’ai bien envie d’essayer quelques jouets avec toi, ça te dirait ? D’autant plus que c’est ton tour de m’envoyer au septième ciel.
– Bien sur, Gaëlle
– Alors tourne-toi, donne-moi tes mains.

Elle me passa des fins bracelets de métal aux poignets. Puis elle se baissa et emprisonna mes chevilles.

Sans un mot, elle reboutonna sa robe, Elle m’emprunta des mules à talon haut. On devinait la pointe de ses seins à travers le tissu léger.

Elle me tendit une robe ultra courte et moulante que j’enfilais rapidement.

– Allons nous promener un peu Clo, dans ton jardin nous pourrons profiter du soleil
– Si tu veux…

Gaëlle passa dans la cuisine avec le grand sac de Nadia et farfouilla dans le frigo, puis, elle me demanda de fermer les yeux. Après quelques instants, elle m’embrassa et main dans la main nous sortîmes.

Gaëlle sortit et me fit signe de la suivre. Elle s’engagea sur l’allée du jardin. Après quelques mètres, au milieu de quelques arbres. Gaëlle se tourna vers moi.

– Déshabille-toi, Clo, entièrement, garde tes chaussures, accroupis-toi et mets tes bras dans ton dos.

Elle passa un cadenas dans les anneaux qui ornaient les bracelets. J’étais presque incapable de bouger. Je sentais le vent sur ma peau nue, devant moi, Gaëlle se planta devant moi et enleva sa robe. Je la voyais nue pour la première fois. Son sexe touffu, ses lèvres charnues. J’avançais la tête. Gaëlle s’avança vers moi et pris ma tête entre ses mains pour la plaquer contre son sexe ruisselant.

Je la léchais sans retenue, son odeur forte m’excitait encore plus. D’un coup elle repoussa ma tête et me fit lécher ses seins.

– Tu vois comme ils sont beaux.

Gaëlle crachait sur ses seins, ils étaient luisants de salive. Peu de temps après sa poitrine déjà généreuse saillait encore plus, ses tétons dardaient. Elle me demanda de les mordiller. Mes dents commençaient à agacer ses seins.

– Plus fort ! Je veux sentir tes dents !

Je serrais plus fort, Gaëlle se tordait de plaisir. Elle se redressa et pinça ses pointes en les tournant entre ses doigts, j’étais surprise qu’elle ne crie pas de douleur. Elle me bascula sur le côté, puis sur le dos. Pour ne pas que je souffre, elle me détacha. Puis elle s’assit sur mon visage.

– Je veux sentir tes dents Clotilde !

Et elle empoigna mes seins. J’avais du mal à respirer mais mon plaisir montait aussi vite que celui de ma partenaire. A présent elle giflait mon sexe aussi fort que je mordais le sien.

Gaëlle explosa, retenant ses cris. De son sexe coulait une mouille abondante, je la sentais couler sur mon visage, dans mes cheveux. Après quelques instants, elle se releva,

– A genoux, tu vas encore me faire jouir. Ecarte les bras, mains sur la tête !

Elle tordit mes tétons, je gémissais.

– Chut, on va t’entendre… Remets ta robe maintenant, enlève les bracelets, nous allons nous promener.
– Mais…

Gaëlle avait remis sa robe, je m’habillais rapidement. Elle m’embrassa et nous sortîmes. Il n’y avait pas grand monde, un peu plus loin, elle m’entraîna dans une petite impasse. Elle se baissa devant moi et me tendit un chapelet.

– Mets les moi, s’il te plaît.
– Dans la rue comme ça ?
– Vas-y…

Son petit trou luisait alors que je soulevais sa robe, je me penchais et du bout de la langue je rajoutais de la salive. Ensuite j’enfonçais chaque boule. Gaëlle gémissait de plaisir. Une fois ma tache finie, elle se releva et m’emmena dans un cinéma voisin. Le film importait peu, il y avait peu de monde. Gaëlle semblait connaître la caissière une jeune asiatique qui lui fit un clin d’oeil. Nous étions au dernier rang. Le film commençait déjà. Après quelques minutes, la caissière arriva et s’assit à côté de nous. Merde, il allait falloir se calmer… Mais lorsque Gaëlle l’embrassa sur la bouche et que la jeune fille lui répondit, je faillis avaler de travers. La main de Gaëlle caressait les cuisses de la fille, remontant sous sa jupette à carreaux. Je me levais doucement et remontait ma robe sur mon ventre. Je me rassis, les jambes écartées, la main de ma compagne gagna aussitôt mon sexe. Son autre main déboutonna ma robe et mes seins étaient à l’air.

La jeune fille sans un mot fit jaillir les seins de Gaëlle et se mit à les lécher. Moi, je me baissais, prenant en bouche un téton libre. Gaëlle me prit par les cheveux et je me retrouvais nez à nez avec la jolie asiatique. J’entrouvris la bouche et aussitôt elle m’embrassa. Elle me faisait sucer sa langue et je sentais ses doigts sur mes seins. Après quelques instants, elle se redressa et se leva. Gaëlle prit ma main et la suivit. Dans les couloirs déserts du cinéma, je voyais mon image dans les glaces, la robe ouverte sur ma poitrine nue.

Nous nous retrouvâmes dans un réduit, une fois la porte fermée, la jeune fille se mit face à moi et releva sa jupe, dévoilant son sexe. Sans un mot je m’agenouillais et embrassais sa vulve trempée. Elle écarta les jambes pour me donner accès à tous ses trésors. Je retrouvais la langue de Gaëlle qui s’activait entre ses fesses. Je suçais les lèvres charnues comme une folle et les soubresauts de la fille me laissaient deviner qu’elle n’allait plus tarder à jouir. Soudain, elle se retourna et Gaëlle et moi nous changeâmes de rôle. Je glissais ma langue entre les fesses musclées pour y trouver un petit trou dilaté par le plaisir. Je n’hésitais pas une seconde à y plonger ma langue.

Le parfum de cette fille, musqué et puissant me rendait dingue. Elle aurait pu faire n’importe quoi à ce moment là et je n’aurais pas cessé mes caresses.

Gaëlle arrêta tout et décréta que nous devions rentrer chez elle. Elle remit sa robe, la jeune fille se rajusta et je reboutonnai ma robe. La séance n’était pas terminée mais Sophie quitta son poste après avoir téléphoné à son responsable.

Dans la rue, Gaëlle se dandinait sur ses talons hauts et je me rappelais qu’elle avait toujours le chapelet. Arrivées chez elle, dans le vestibule, elle se baissa et releva sa robe, Sophie lui retira doucement le chapelet. Je me penchais et gobais les boules qu’elle me tendait. Sophie me prit doucement par les cheveux et plaqua ma bouche contre la raie de Gaëlle. Je ne tardais pas à lui prouver combien ma langue était agile et combien la situation m’excitait.

Gaëlle ne tarda pas à jouir sous mes coups de langue, le visage enfoui dans les petits seins de Sophie. Cette dernière se releva et comme si elle était chez elle passa dans la chambre de Gaëlle en nous disant de la suivre sans un mot. Elle se déshabilla entièrement et alors que mon amie me fit signe de ne pas bouger, Sophie garda uniquement ses hauts talons. Gaëlle entra et Sophie la déshabilla doucement.

– Gaëlle, amusons-nous avec ton amie. Ce soir, si elle accepte, elle sera notre jouet. Elle te doit bien ça pour ton anniversaire !
– Je ne sais pas si elle…

Je coupais son hésitation en m’avançant et en me mettant à genoux devant elles. Sophie s’avança et je baissais la tête, et j’embrassais son pied.

– Bien, relève toi et mets toi nue.

J’étais nue en trois secondes. Je me postais, jambes écartées et main sur la tête.

– Mais c’est qu’elle connaît la musique notre petite nouvelle ! Pince-toi les tétons maintenant et pas de cinéma !

Je pris mes tétons entre le pouce et l’index et serrais, la douleur était supportable mais déjà forte.

– Plus fort ! Tire sur tes petits seins de rouquine !

Je tirais, et je gémis de douleur autant que de plaisir.

– Bien, nous allons à la salle de bains maintenant.

Dans la salle de bains, je pris place dans la douche. Gaëlle lia mes poignets au dessus de ma tête et passa le reste de la cordelette dans un anneau au plafond qui semblait prévu pour ça. Puis, elle me lava avec soin, insistant sur mon entrejambe et mes fesses. Puis Sophie commença à me rincer. Peu à peu, elle baissait l’eau chaude et je frissonnais.

– Prête ?

Je la regardais dans les yeux, Gaëlle baissa la tête. J’acquiesçais. La sensation sur mes jambes était loin d’être agréable et Sophie remontait jusqu’à mon sexe. Je criais de surprise. Elle dirigea ensuite le jet d’eau presque froide sur ma poitrine, ce qui me figea.

Je tirais sur les liens de toutes mes forces. Sophie remit de l’eau chaude et elle entrèrent toutes les deux dans la douche pour couvrir mon corps de caresses, leurs mains, leurs doigts, leurs bouches leurs langues parcoururent chaque centimètre carré de ma peau. Elles me masturbaient doucement, longuement, me léchaient, je n’en pouvais plus et je criais mon plaisir, priant pour qu’elles cessent. Ivre de fatigue, je n’en pouvais plus, j’étais exténuée.

Gaëlle me détacha et m’embrassa. Puis elle me sécha avec douceur.

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