Clotilde 19 – Dilemmes par Fafalecureuil

Clotilde
19 – Dilemmes
par Fafalecureuil


Angélique, nue devant moi, semblait attendre que je fasse quelque chose, que je réagisse. Mais pour l’instant, je me contentais de la regarder.

– Tourne toi Angélique, laisse moi te regarder.
– Comme ça ?

Elle se tournait, bras levés, jambes écartées devant moi.

– Détache tes cheveux.
– Oui Clotilde…
– Tu te souviens quand je me suis attachée pour toi ?
– Oui, c’était merveilleux…
– En fait m’exhiber m’a donné énormément de plaisir, tu aimes ça aussi ?
– Oui, depuis que je t’ai rencontrée, j’aime me montrer, j’aime qu’on me regarde.
– Alors continuons notre chemin.
– Comme ça ?
– Bien sûr… J’aime beaucoup te voir comme ça.
– Alors allons-y

Et je suivis Angélique, nue sur ce sentier ensoleillé. Il n’y avait personne aujourd’hui, presque à mon regret et moi qui imaginais l’exhiber, je fus un peu déçue. Une fois arrivées près du rocher où nous nous étions promenées la dernière fois, je l’arrêtais et lui ordonnais de se tenir bras et jambes écartés devant moi. La sueur perlait sur sa peau, entre ses seins où je passais ma langue. Elle bougea.

– Je t’interdis de bouger, si tu recommences je te punirai.
– Bien, mais…
– Pas de mais !

Je passais derrière elle et écartais ses fesses avant de passer ma langue, j’insistais un peu sur son anneau plissé et bien sûr elle bougea. Je forçais et la pénétrais de ma langue. Puis je me relevais et enfonçais un doigt dans son beau petit cul. Angélique ahanait, transpirait, se trémoussait. Je ressortis mon doigt et découvrit que la belle Angélique était un peu négligée. Je lui ordonnais de se redresser et présentais mon majeur devant sa bouche. Elle le lécha aussitôt et sans aucune appréhension… Je recommençais, et cette fois-ci je la fouillais de plus belle. Encore une fois elle nettoya mon doigt. J’eus envie de goûter à mon tour et j’ordonnais à Angélique de se doigter pour moi. Elle se cambra et aussitôt son majeur disparut dans son petit trou. Ensuite, je pris sa main et gobais son majeur. Pas du tout écœurée, je pris goût à ce nouveau plaisir, pas si différent finalement de ce que j’avais pratiqué jusque là.

– Attends Angélique, cambre-toi bien, j’ai quelque chose pour toi.
– Oui… ?

Je sortis de mon sac à dos un beau gode, rugueux à souhait et sans cérémonie, je l’enfonçais en elle. Angélique après un moment de surprise s’ouvrit pour l’accueillir en gémissant. Je la pilonnais durement, ma main gagna son sexe ruisselant et je malmenais ses grandes lèvres et son clito. Angélique se mordait les joues pour ne pas crier. Elle ne tarda pas à jouir et après l’avoir laissée reprendre ses esprits, je sortis le gode et devant elle, je le léchais intégralement après l’avoir frotté sur ma poitrine dénudée. Angélique eut comme un déclic, elle se releva et m’embrassa. En même temps elle me débarrassa de tout vêtement et lécha longuement ma poitrine. Ensuite, elle me demanda de me pencher contre un arbre auquel elle lia mes poignets à l’aide d’une corde d’escalade, puis elle écarta mes jambes et à chaque cheville passa une corde pour les maintenir écartées. Ses gestes étaient sûrs et rapide et je me trouvais bientôt immobilisée, nue et offerte au beau milieu de la nature. Angélique glissa un doigt dans mon petit trou et pendant de longs instants, elle me caressa uniquement par cette voie, que, je l’avoue, j’adorais…

Après m’avoir fait languir Angélique m’annonça qu’elle allait passer aux choses sérieuses et sans autre avertissement enfonça trois doigts dans mon petit trou. J’étais bien sûr bien préparée, mais la violence avec laquelle Angélique me doigta me surprit. Elle ajouta bientôt un quatrième doigt m’arrachant un petit cri de douleur mêlé de plaisir. Elle ressortit ses doigts et les remplaça par sa langue agile.

– Tu veux que je continue ?
– Mmmmmmmoui, Angélique…
– Supplie-moi alors
– Je t’en supplie Angélique, continue
– Continue quoi ?
– Défonce-moi Angélique, prends-moi comme une chienne,

Et aussitôt une formidable claque s’abattit sur mes fesses. Angélique ne me laissa pas le temps de réagir.

– Petite vicieuse, et ça tu aimes ?
– Mmmm s’il te plaît, prends-moi…
– Je crois que je vais d’abord te punir Clotilde, tu l’as bien mérité…
– Oh Angélique…

Elle me laissa seule quelques instant et je sentis soudain le contact d’une fine baguette sur mes fesses, pour l’instant, elle ne faisait que m’effleurer…

– Prête ?
– Prête…

Et la baguette s’abattit sur mes fesses, une fois, deux fois, la douleur était très supportable et Angélique le remarqua, le coup suivant tomba pile entre mes fesses, claquant sur la peau tendre et tendue. Je criais.

– OuiiiiIIIIIIIi !
– Tu en veux encore ?
– Oui, continue Angélique…
– Plus fort ?
– MMmmmm

Et Angélique continua de plus belle, la douleur était aussi cuisante que mon excitation et j’encourageais Angélique. Elle s’arrêta soudain et décréta que j’étais prête…

– Tu sais ce que je veux ?
– Je crois deviner…
– Tu m’arrêteras si ça ne passe pas ?
– Oui.

Elle me pénétra à nouveau avec trois puis quatre doigts. Son pouce se glissa lui aussi dans mon cul. Je me cambrais de plus belle, à ma grande surprise la douleur était tout à fait supportable et Angélique allait doucement et progressivement, rajoutant sans cesse de la salive. Quelques instants plus tard, sa main passa me procurant un orgasme quasi immédiat. Elle resta quelques instants et recommença à bouger en moi. Je n’en pouvais plus et je ne faisais que répéter son prénom sans cesse. Sa deuxième main entra d’un seul mouvement dans mon sexe et je hurlais bientôt ma double jouissance. Je m’écroulais dans mes liens et Angélique dût se retirer et me détacher. Elle s’allongea près de moi et m’embrassa.

Après quelques instants de répit, nous nous rhabillâmes et bientôt nous retrouvâmes le chemin de la maison. Angélique me prit la main et ne cessait de m’embrasser à la moindre occasion.

– J’ai encore envie de toi Clotilde
– Maintenant c’est à mon tour, mais je préfère attendre d’être arrivée.
– Si tu veux, dis-moi, tu as aimé ce que je t’ai fait ?
– Oui, même si je ne pensais pas que ça passerait…
– Je t’avoue que j’ai essayé sur moi hier et j’ai été très surprise d’y arriver facilement.

Après 15 minutes de route, Angélique s’arrêta et m’embrassa, je craignais déjà que nous n’arriverions pas à la maison.

Arrivées à la maison, je la pris fermement par la main et l’emmenai directement à la cave. Je la menottais rapidement à un anneau mural et lui dit de m’attendre.

Quelques instants plus tard j’étais de retour, je m’étais changée, combinaison de latex rouge, ouverte sur mon sexe, mes fesses et ma poitrine, haut talons. Gants de latex. Lorsqu’elle me vit arriver, Angélique se trémoussa,

– Attends, laisse-moi juste quelques instants pour me préparer… S’il te plaît.
– Chut !
– Mais …
– Pas de mais.

Et pour la faire taire, je lui passais un bâillon boule, puis je découpais purement et simplement son t-shirt, libérant ses seins que j’emprisonnais aussitôt à l’aide d’une longue et fine ceinture de cuir cloutée. Ses seins comprimés l’un contre l’autre m’excitaient beaucoup. Je la détachais ensuite et la guidais vers une table où j’attachais ses poignets bien au-dessus de sa tête. Puis je la glissais au bord de la table et à l’aide de longues chaînes, j’immobilisais ses chevilles. Angélique me présentait maintenant son intimité et lorsque je découpais son short, ses suppliques étouffées m’excitaient au plus haut point, je m’approchais près de son oreille et lui dis tout bas…

– Laisse-moi faire.
– Nnnnn
– Je veux te goûter Angélique
– ….

Lorsque je posais ma bouche sur son sexe, elle se détendit, longtemps je me focalisais sur ses lèvres et son clito, puis, ma langue glissa plus bas. Angélique se crispa et alors que je lui donnais un premier coup de langue, se détendit un peu. Je m’enhardis et pris ses fesses avec mes mains pour les écarter. Je repris mes coups de langue et bientôt Angélique se détendit totalement me laissant le passage. J’y pris énormément de plaisir… et elle aussi. Ayant fini de la préparer, j’ôtais son bâillon et m’approchais. Angélique se tordit le cou pour m’embrasser et sucer ma langue.

– Et maintenant ?
– Maintenant, je vais te faire ce que tu m’as fait tout à l’heure, tu ne veux pas ?
– Oh si…

Elle avait raison, le passage fut facile et ma petite main la pénétra rapidement. Je n’hésitais pas à enfoncer ma deuxième main dans son sexe ruisselant et à la pistonner rudement. Angélique ne tarda plus à hurler sa jouissance, je me retirais et la laissais là, ses orifices béants et offerts. Je la détachais ensuite et l’emmenai prendre un bain dans lequel nous nous prélassâmes longtemps.

La soirée commençait et j’appelai mon amant sur son portable, il était à l’instant même à l’hôtel où nous avions passé nos vacances…

– La jolie black est toujours là ?
– Je ne l’ai pas vue, pourquoi ?
– Oh, comme ça, nous avions passé de très bon moments elle et moi…
– J’imagine, surtout que je n’ai pu qu’imaginer ! Et là que fais-tu ?
– Je suis dans mon bain
– Tu es seule ? J’entends une autre voix.
– Non Angélique est avec moi
– Dans le bain, j’imagine…
– Bien sûr, mais elle est très sage
– Tiens ça m’étonne de votre part !
– Mais il faut que nous nous reposions un peu, notre journée à été très chargée…
– Tiens donc, ce qui veut dire ?
– Angélique et moi, nous nous sommes donné du bon temps…
– Et hier où étais-tu ? Je m’inquiétais un peu…
– Oh, hier ?
– Oui…
– Hier, oulalaaaa, c’était très, euh, hot…
– Tu peux y aller, j’ai eu quelques vidéos de la part de Gaëlle.
– Oh presque toutes en fait, je suis en train de les télécharger.
– Et qu’en penses-tu ?
– Il y a des fois où j’ai quand même peur pour toi tu sais ?
– C’est vrai ?
– Oui, je t’avoue que la jeune fille m’a fait flipper un peu…
– Oh, je suis désolée, mais tu sais que Gaëlle était au courant ?
– Oui, mais des fois j’ai quand même un peu peur…
– Et sinon ?
– Très excitant, bien sûr…
– Tu aimes me voir dans ces … euh… situations ?
– Oui et non, des fois je suis tout de même jaloux, mais je t’ai toujours dit que tu étais libre de tes actes et de tes … pulsions…
– Merci mon chéri…
– Ca fait drôle, que tu m’appelles comme ça après être passée entre toutes ces… mains… ?
– C’est vrai… Tu rentres quand ?
– Oh, normalement dans 2 jours… Tu fais quoi ce soir ?
– Je ne sais pas, on est pas mal fatiguées et on va peut-être se faire une petite soirée tranquille…
– Je ne sais pas pourquoi, mais j’en doute.
– Oh, tu as une idée particulière ?
– Non, mais je sais que Gaëlle t’a réservé deux ou trois surprises…
– ?
– Et en fait c’est moi, qui vais te guider, du moins pour le début de la soirée…
– Oh ?
– Pour commencer, tu vas te sécher et me rappeler lorsque tu seras dans la chambre.

Il raccrocha… J’obéis, déjà émoustillée… Je le rappelais peu après. D’une voix assez tranchante, il poursuivit

– Bas noir, porte jarretelles, culotte et soutien gorge noir.
– D’accord, voilà, j’enfile mes bas…
– Angélique est là ?
– Alors demande-lui de t’aider à t’habiller.
– Bien

– Ensuite ?
– Chemisier blanc, tailleur strict.
– Ok…
– Talons hauts noirs.
– Bien
– Un collier de perles, pas d’autre bijou.
– …
– Angélique ?
– Oui ?
– Chauffe là, excite là, mais surtout ne la fais pas jouir ! Et ne la déshabille pas non plus.
– Parfait…

Et Angélique glissa aussitôt ses doigts sous ma culotte et me branla doucement en me murmurant des insanités à l’oreille…

– Clotilde, maintenant tu vas aller à l’adresse que je vais t’indiquer par mail dans quelques instants. Tu prendras ta voiture et Angélique t’accompagnera, mais elle t’attendra dehors. Tu emporteras ta petite caméra, j’espère qu’elle est chargée. Glisse là dans ton sac.
– Bien
– Ensuite, tu imagines bien qu’il faudra te laisser… guider…
– D’accord et toi ?
– Moi, je vais attendre ton retour et tes impressions…
– Alors j’y vais ?
– Oui, le mail est parti…

Il raccrocha. J’imprimais son mail et sortis, suivie d’Angélique qui avait passé une robe tout de même. Je mis le contact et après quelques minutes de routes, je sortis vers un quartier que je ne connaissais pas, près d’une zone commerciale. Des blocs un peu tristes de quelques étages… Je m’arrêtais et garais le 4×4, aussitôt deux jeunes sifflèrent lorsque je sortis.

– Hé Mademoiselle, vous cherchez un chéri?
– Non, pas pour l’instant, merci…

Je montais l’escalier et entrais au numéro 12, puis sonnais là où Ronan me l’avait demandé. Une voix forte retentit.

– C’est pour quoi ?
– C’est Clotilde…
– Clotilde ? Qui vous envoie ?
– Euh… Ronan.
– Allez au fond du couloir et poussez la porte de droite, ensuite descendez les escaliers et attendez.
– Mais ?
– Pas de mais, vous pouvez faire demi- tour si vous voulez, c’est tout.
– Bien…

Je continuais dans le couloir, pas très propre, mais entretenu… La porte du fond était entrouverte. Je descendis les escaliers, un dédale de couloirs obscurs… Après une dizaine de minutes, mon esprit commença à travailler. Je voyais le fantasme, la petite bourgeoise coincée, victime des méchants banlieusards… Après quelques instants, des pas dans l’escalier et aussitôt plusieurs formes que j’eus du mal à distinguer… La lumière fusa, cinq jeunes en jogging s’avancèrent vers moi.

– Alors Madame, on s’est perdue ?
– Euh…
– Faut pas vous promener par là, il pourrait vous arriver des trucs…

Le premier me bouscula un peu, gentiment. Je ne réagis pas, le second lorgna mon sac.

– Vous pourriez vous faire voler votre sac, par exemple…

Il fouilla dedans…

– Tiens, une caméra, elle est chouette en plus…
– Mais ?
– Oh elle parle la Dame !
– Tu crois qu’elle est là pour quoi ?
– Je sais pas, mais j’aimerais bien lui faire quelques propositions…
– Elle ne dit rien, peut-être qu’elle serait d’accord…
– …
– Viens par là

Il me prit par la main, fermement, et m’emmena vers le fond du couloir, une porte s’ouvrit et il me fit entrer. Un de ses copains avait saisi la caméra…

– A ce qu’il paraît, c’est les petites bourgeoises comme toi qui sont les meilleurs coups… C’est vrai ?
– …
– Alors tu parles pas ou quoi ?
– Je ne sais pas
– Voyons voir…

Il glissa sa main le long de ma jambe, je me débattis un peu.

– Attends un peu toi, hé, donnez-moi un coup de main, tenez là !

Aussitôt des mains solides se saisirent de mes poignets. Cette fois-ci, je les laissais faire, bien sûr… La main se glissa entre mes jambes. Je les serrais.

– Elle est un peu farouche !!! Super c’est ce qu’on préfère avec mes potes.

Rapidement, ils forcèrent mes jambes pour découvrir ma culotte trempée.

– Elle mouille la salope, je suis sûr qu’elle n’attend qu’une chose.

Ma culotte fut arrachée, brusquement, tout comme ma jupe.

– Enlève le haut aussi, déboutonne ta veste, petite salope.
– Non….
– Alors c’est moi qui le fais !

Et ma veste vola en quelques secondes, j’étais presque nue devant eux… Une main se glissa sous mon chemisier et cinq seconde plus tard, mes seins pointaient.

– Matez ces pointes, elle est chaude comme tout celle là
– Ouais !!!
– Allez à genoux, petite pute, montre nous ce que tu sais faire !

Pour m’aider, il me prit par les cheveux et me força à m’agenouiller devant eux. Les bosses qui déformaient les pantalons étaient impressionnants et rapidement, je me retrouvais face à cinq sexes gonflés à bloc !

Le plus grand me prit par les cheveux et attira ma tête vers son sexe. Pour la forme je me débattis un peu, et il renforça sa prise.

– Ouvre grand petite rouquine, tu vas voir ce que c’est qu’une belle queue
– ..
– Allez, t’es là pour te faire baiser, alors profites en !
– S’il vous plaît…

Il prit ma tête entre ses mains et enfonça son sexe dans ma bouche, jusqu’à la garde, j’eus un haut le coeur et il recula un peu. Ensuite il me baisa la bouche devant ses copains qui se masturbaient.

– Occupe toi de mes potes, espèce de chienne, allez !
– Mmmmm
– Elle aime ça les gars, elle adore sucer, je vous le promets !
– Ouais, elle est trop bonne la petite bourge, on va la défoncer, tu va voir comme elle va nous supplier de la niquer !

J’étais effectivement dans cet état, prête à les supplier à genoux de me niquer, de me baiser, de me défoncer. Je pris ensuite les sexes à tour de rôle dans ma bouche jusqu’à ce qu’il décident de s’occuper de moi ! Ils me couchèrent sur une grande table, jambes écartées et sans aucune cérémonie, après m’avoir masturbée un peu (et avoir mis des préservatifs) s’enfoncèrent dans mon sexe. Je dois dire qu’ils étaient plutôt bien membrés et je pris pas mal de plaisir, deux des gars s’occupaient de ma poitrine, pincée et un peu malmenée, un autre se mit près de ma bouche et y enfonça son sexe.

– Mattez là, elle aime ça la salope !
– Ouais, et elle suce trop bien…
– Je suis sûr qu’elle veut se faire enculer en plus, regarde son petit trou, il est tout mouillé !

Pour seule réponse, je bougeais de plus belle, aspirant les couilles qui étaient près de ma bouche. Un doigt s’enfonça dans mon cul, je gémis aussitôt.

– T’as raison, elle attends que ça !
– Allez à quatre pattes, on va s’occuper de ton petit cul tout blanc :

Je ne demandais que ça et me mis à quatre pattes pour me retrouver quelques secondes plus tard avec un sexe de belle taille dans l’anus. Toujours sous le regard de la caméra. Bizarrement, je ne réussis pas à jouir, malgré mon excitation et la pénétration…

A tour de rôle il me sodomisèrent, je les sentis grossir en moi. Je réussis à les arrêter, avant qu’ils éjaculent.

– Attendez, venez sur moi, donnez-moi votre jus. Là sur mes seins, ouiii, laissez-moi vous branler, lààààà, ouiiiii

Ils étalèrent leur foutre sur mes seins que je caressais sous leurs yeux ravis. Le plus grand posa la caméra et fit un signe à ses copains. Il leur dit quelque chose à voix basse. Deux d’entre eux sortirent.

– Je suis sûr que t’as pas joui, ma belle… Alors comme je suis sympa, je pense à toi !
– ???
– Tu vas voir, on manque pas de ressource ici…
– Vous allez ?
– Tu imagines très bien ce qui va se passer, avoue, que tu rêves que d’une chose…
– Mais…
– Pas de mais, tu vas avoir ce pour quoi t’es venue, petite salope…
-…

Et pendant ce temps, il commença à me branler doucement le clito. S’enfonçant de temps à autre dans mon sexe bien ouvert… Je pris sa main et la plaquais contre mon sexe. Il rapprocha son sexe de ma bouche et je le repris entre mes lèvres, léchant son gland tendu. Peu après, plusieurs hommes entrèrent, accompagnés d’une grande et belle black. Aussitôt, je dus me remettre à genoux et sucer tous les nouveaux venus. Je les comptais, ils étaient quatorze. en tout. Curieuse, je repérais la belle black qui avait glissé sa main dans le pantalon de son jean ouvert. Elle vit mon regard et s’adressa à ses copains.

– Allez maintenant, on y va les gars, remplissez moi cette petite bourge. Mettez là sur le dos !

Je me retrouvais sur le dos, jambes écartées, comme avant. Mais cette fois ci, la belle black leur dit de me prendre à deux.

– Ouais, elle va adorer ça, un dans le cul et un dans la chatte !

Aussitôt je fus soulevée et je m’allongeais sur un jeune beur bien musclé et plutôt mignon. Il s’enfonça facilement dans mon sexe. Derrière moi une belle queue s’enfonça dans mon cul et là, je sentais que ma jouissance allait venir. Mais après quelques minutes ils échangèrent leurs rôles, juste au moment où mon plaisir montait ! Et ainsi de suite, dès que mon plaisir remontait, ils tournaient ! La belle black s’approcha de moi et me sourit,

– Alors petite pute, t’as pas pris ton pied ?
– Nnnnn non…
– Dommage… Mais je pense qu’avec quelque chose d’un peu plus fort, ça devrait le faire. Hé les mecs, mettez vous à deux dans sa petite chatte de rouquine !
– Ouais, bonne idée, on va lui défoncer la chatte !

Honnêtement je n’avais rien contre et ils entrèrent (à regret pour eux…) facilement à deux en moi ! La sensation, était tout à fait spéciale et leur manque de douceur m’excitait au plus haut point, j’étais une vraie chienne, prête à tout pour jouir. De temps à autres, on forçait ma bouche, me baisant la bouche comme si c’était mon sexe. Mais au contraire, j’aimais être malmenée comme ça… Cette fois-ci, je jouis enfin, hurlant à plein poumons mon plaisir. Mais ils n’avaient pas fini et bientôt, sans me laisser de répit, et sous les conseils de leur amie, se mirent à deux pour me sodomiser. La douleur était – à ma surprise – très supportable surtout comparée au plaisir immédiat qui me gagna ! Je grognais comme une bête, les suppliant de continuer, de me faire mal, de me prendre comme une chienne ! Cette fois-ci mon orgasme me terrassa, je m’écroulais, ivre de plaisir sur la table. Ils se retirèrent et vinrent éjaculer sur mon visage et ma poitrine. Peu de temps après, ils sortirent tous, sauf… la belle black.

– Tu m’as bien excitée toi, pour une petite bourgeoise, tu semble bien décoincée !
– Je m’appelle Clotilde..
Elle s’approcha de moi, s’assit à côté de moi, son jean était toujours ouvert, laissant apercevoir sa toison crépue. Elle plongea ses yeux verts dans les miens.
– Je m’appelle Léa… et je préfère….
– Les femmes ?
– …

Elle était presque devenue timide, alors qu’il y a quelques instants elle demandait à une dizaine de mecs de me prendre par tous les trous et de me défoncer. Sa main caressa mes seins poisseux. Pour toute réponse, elle se leva et son jean tomba sur le sol. Elle sauta sur la table et plaça ses pieds de part et d’autre de mon visage. Son t-shirt valsa et elle s’assit sur mon visage.

Son entrejambe était trempée, totalement, son odeur ennivrante et musquée. Sans attendre, j’embrassais son sexe, aspirant dans ma bouche sa mouille surabondante. Et je m’en régalais, je la sentais presque couler dans ma bouche. Elle ne résista pas longtemps et jouit à flots continus. C’était une vraie femme fontaine, je m’étouffais, ne réussissant pas à tout avaler. Léa se redressa et me demanda de me relever, ruisselante de mouille. Elle se mit sur la table à quatre pattes,

– Encore ! Bouffe-moi, plus fort !

Je ne me fis pas prier et rapidement je lui obéis, n’hésitant pas à mordiller ses grandes lèvres et à glisser ma langue vers son petit oeillet plissé. Pour m’encourager, elle prit ses belles fesses à pleines mains et les écarta ! La voie étant ouverte, ma langue et mes doigts s’attaquèrent furieusement à ses orifices délicieux. A nouveau elle jouit très fort sur mon visage et ma poitrine alors que ma langue pénétrait son petit trou comme un petit gode. Après avoir joui, elle se releva et sans autre forme de politesse s’adressa à moi.

– Tu vas m’emmener chez toi maintenant petite pute et je vais te montrer comme j’aime bien baiser les petites bourgeoises…
– O….oui…

Et elle me tendit mes vêtements ou plutôt ce qu’il en restait, gluants de sperme, ils collaient à ma peau. Je m’habillais tant bien que mal tandis que Léa fermait son jeans et passait son t-shirt. A travers les caves maintenant désertes, mes talons résonnaient, Léa me prit par la main et m’embrassa sauvagement, mordant mes lèvres, me serrant contre elle, puis, elle me guida vers la sortie. Dehors, je retrouvais Angélique faisant les cents pas devant la voiture. Léa me serra le bras en la désignant, Angélique me regarda de bas en haut…

– C’est ta soeur ?
– Non…
– Qu’est ce qu’elle fait là ?
– Elle m’attends…
– Et c’est aussi une petite nympho bourgeoise comme toi ?
– D’après toi ?

Angélique sans se démonter arriva près de Léa et sans hésiter, prit sa main pour la plaquer entre ses cuisses nues. Léa sentis un sexe chaud et humide et sans lacher l’intimité d’Angélique, me désigna la voiture.

– Allons-y, ne restons pas là, tu conduis.

Je m’assis au volant alors que Léa et Angélique prenaient place à l’arrière. Je démarrais et déjà elles s’embrassaient à pleine bouche. Au premier feu les seins d’Angélique étaient nus, au deuxième, elle n’avait plus de robe et jambes écartées elle s’offrait à Léa, penchée sur son entrejambes. Angélique ahanait sous les caresses de Léa, je lorgnais leurs corps dans le rétroviseur. La route fut longue pour moi…

Une fois arrivée, Léa sortit avec Angélique et m’ouvrit la porte. Je sortis et aussitôt, je fus saisie par la belle black qui prit mes poignets et les maintint dans mon dos. Elle me guida tout en suivant Angélique qui la mena droit vers la cave.

Léa n’en croyait pas ses yeux, elle relacha la pression parcourant la salle des yeux. Je me dégageais et sans un mot, devant elle, j’ôtais mes vêtements, lorsqu’elle vit mes seins pointer, elle se ressaisit un peu et je baissais les yeux en faisant glisser ma jupe poisseuse le long de mes jambes. Puis, je mis mes mains derrière la tête et écartais les jambes. Léa s’approcha et me regarda de plus près attentivement… Sans un mot elle se détourna et rejoignit Angélique qui pour l’instant, préparait ses ustensiles… Léa se retourna vers moi après avoir discuté un court instant avec ma compagne.

– déshabille toi entièrement.
– Bien maîtresse…

Je défis mon porte jarettelles, fit glisser mes bas, ôtais mes chaussures. Totalement nue je repris ma position.

Devant mes yeux, Angélique mit à Léa un énorme gode ceinture et ensuite en passa un elle-même. Quelques instant après, j’étais à genoux entre elles et je les suçais avidement. Mais ce n’est pas après ma bouche qu’elles en avaient, je fus mise à quatre pattes et aussitôt et sans autre avertissement, Léa s’enfonça dans mon petit trou jusqu’à la garde, je criais de surprise et un peu de douleur, mais Léa n’en avait pas grand chose à faire. Elle me défonça sans aucune retenue alors qu’Angélique forçait ma bouche. J’étais leur jouet et rien ne les ralentissait. Après quelques instants, elles échangèrent leur place et j’embouchais le gode souillé par mes sécrétions. Léa appuyait sur ma tête s’enfonçant jusqu’au fond de ma gorge alors qu’Angélique me sodomisait sans retenue. La douleur et la jouissance montaient dans mon ventre, je me laissais totalement aller et lorsque la main d’Angélique se glissa entre mes lèvres trempées, je n’attendais plus que son poing entier ! Angélique me prit brutalement s’enfonçant loin dans mon ventre brûlant. De plus en plus fort, mes maîtresses me brutalisaient, gifflaient mes seins, tordaient mes tétons cruellement. Je jouis tellement fort que je m’écroulais sur le sol, presque inconsciente.

Lorsque je me réveillais, dans mon lit, je trouvais un petit mot sur l’oreiller. Il faisait jour, j’avais du dormir très longtemps. Je pris le mot pour le lire. Bien sûr il s’agissait des instructions d’Angélique pour ma journée…

Je me dirigeais vers la salle de bains où je me lavais consciencieusement, puis me maquillais avant de mettre une robe rouge moulante zippée sur le devant et pas trop courte. Aucun sous-vêtement, comme d’habitude… Ensuite, des escarpins à talons hauts et à bride.

A la cuisine, je pris le petit-déjeuner qu’Angélique m’avait préparé, jus de fruits, croissants, thé au jasmin… Ensuite, je me dirigeais vers la cour où se trouvaient les accessoires que je devais porter aujourd’hui. Et une caméra sur trépied que je lançais pour me filmer. Je me tournais à nouveau vers la petite table et remontais ma robe sur mes hanches, face à la caméra. Des petites annotations indiquaient l’usage des lanières de cuir que je fixais fermement sur le haut de mes cuisses, prenant bien soin de placer l’anneau métallique à l’intérieur des cuisses. Ensuite, j’écartais bien les jambes et plaçais de longues pinces sur mes grandes lèvres. Les pinces étaient munies de 4 vis de serrage que je tournais doucement jusqu’au moment où elles mordaient mes chairs gonflées. La douleur assez douce, gagnait mon bas ventre. Ensuite, je pris une lanière de cuir que je fixais aux pinces et très doucement, je reliais la lanière à l’anneau entre mes cuisses. Bien sûr le but était de mettre en tension la lanière et de tirer sur mes grandes lèvres. D’office, je choisis de ne pas mettre de mou. Fière de moi, je mordais mes joues pour ne pas crier et je tirais sur mon instrument de torture. Je ruisselais de sueur, mais aussi de plaisir… Mes lèvres écartelées me faisaient souffrir et je les exposais à la caméra sans pudeur, même avec fierté ! Suivant les instructions d’Angélique, je coupais la caméra et la pris avec moi. Je gagnais la voiture après avoir pris soin de baisser ma robe qui masquait bien mon attirail de torture. Chaque pas m’arrachait une grimace de douleur mais aussi des vagues de plaisir. Dans la voiture, je trouvais deux enveloppes et je devais en choisir une seule :

soumission totale, aucun tabou ou amour lesbien…

Et avec qui ? Etais-je prête à assouvir mes pulsions masochistes ou préférais-je une journée plus soft ? Je pris la première enveloppe et l’ouvrit pour découvrir mes instructions :

sors de la voiture
mets la caméra sur le capot et filme toute la suite
ôte ta robe
ouvre le sac parterre
mets le bustier de cuir
serre le bien
resserre les lanières entre tes jambes
mets toi accroupie devant la caméra
écarte bien tes jambes
pince tes tétons,
place les pinces à vis dessus
mets ensuite le carcan sur tes seins
serre le bien fort
mets le collier de cuir à ton cou et attaches la laisse métallique
ensuite attends, debout, jambes écartées, bras sur la tête.
interdiction de bouger.

Je suivis les instructions à la lettre, je passais le bustier et l’ajustais sous ma poitrine, puis, je tirais sur les lanières jusqu’à distendre mes lèvres. En écartant les jambes, je tirais de plus belle et je gémis de douleur. Après avoir trituré mes tétons, je m’occupais d’y placer les pinces à vis. La mise en place du carcan en 8 fut difficile et douloureuse, la surface irrégulière et glacée mordait ma peau sensible. Neanmoins j’y parvins et après avoir passé le collier à mon cou, je pris la position voulue.

Au beau milieu de la cour, j’attendais, ne sachant pas qui viendrait… La situation m’excitait et la douleur bien que réelle, ne diminuait en rien mes pulsions, bien au contraire. Après quelques instants, une voiture entra dans la cour. Léa en sortit, vêtue de cuir noir, plantureuse et sensuelle. Elle s’approcha de moi et m’embrassa, plongeant sa langue dans ma bouche. Je lui rendis son baiser, prenant bien garde de ne pas bouger de trop. Elle se dégagea et prit la laisse en main.

– Suis-moi !

Elle me promena dans la cour et me guida jusqu’au salon où elle me fit monter sur une table rustique et m’obligea à me mettre allongée sur le dos avant de m’entraver les chevilles et les poignets. Sur la largeur de la table, ma tête et mes fesses dépassaient de chaque côté et étaient totalement accessibles… Léa me banda les yeux. Peu après, des pas retentirent et j’entendis Léa parler

– Mesdames, Messieurs, elle est à vous ! Totalement, elle obéira à tous vos ordres et n’aura aucun tabou. Je dis bien aucun tabou ! Elle se pliera à toutes vos exigences, à vos fantasmes les plus inavouables. C’est votre jouet jusqu’à ce soir. Par contre, aucune marque, et je ne veux pas voir une goutte de sang.

Aussitôt une bouche se posa sur ma bouche, je reconnus Angélique, sa langue fine et agile. Puis un sexe tendu remplaça sa langue, puis une langue parcouru mon entrejambe, des dents mordirent mon bouton prêt à exploser. Ce ne fut que le début, bien sûr mes orifices furent comblés de nombreuses fois et je dois l’avouer, je restais presque sur ma faim jusqu’au moment où mes amants décidèrent de se mettre à deux dans le même trou… Là, je me sentais totalement chienne et les encourageais (dès que ma bouche était vide) à me défoncer. Un de mes tourmenteurs me fit gober de force ses testicules avant de s’avancer pour que je puisse lécher son petit anneau. Je m’y employais sans hésitation et aussitôt ils se relayèrent pour goûter à ces plaisirs très particuliers… Loin d’être écoeurée, je leur montrais que j’aimais ça et que cela m’excitait. Ils reprirent de plus belle leurs assauts alternant mon sexe et mon anus distendus et avides. Je jouis plusieurs fois, intensément, et bien que n’ayant aucun répit, je restais disposée à les accueillir, les lécher, les sucer sans relâche ! Les sexes étaient de plus en plus gonflés et jusque là, je ne sentis aucune éjaculation, ni en moi, ni sur mon corps, pourtant, j’étais persuadée qu’ils ne pouvaient pas tenir aussi longtemps. Soudain, je fus détachée, on me porta le long des couloirs, je sentis la lumière du soleil, sa douceur sur ma peau. On me mit à genoux, puis je fus enchaînée au sol et contre un poteau de bois, les bras et les jambes écartés, ma laisse maintenant ma tête haute. On avança mon bassin vers l’avant en tirant sur mes chevilles, la position était très inconfortable, aussi on glissa sous mes reins un banc ou quelque chose de ce genre. On plaça ensuite dans ma bouche un écarteur maintenant ma bouche grande ouverte. Des mains douces mais fermes glissèrent entre mes cuisses pour retendre les lanières de cuir meutrissant mes chairs. Je criais de douleur (et de plaisir). On me laissa là quelques instants, puis, j’entendis des voix. On commentait mon corps, mes liens, mes pinces, mes seins, ma bouche. Une langue agile se glissa dans ma bouche, c’était Angélique reconnaissable entre toutes. Soudain, je sentis sur ma peau une substance chaude et collante, pas tout à fait ce que j’attendais en fait, on me tartinait de miel ! Enfin surtout mes seins, mon ventre, mon sexe, mon cul, mes cuisses. Puis on me laissa seule quelques instants, les insectes arrivèrent aussitôt ! Mais ils furent vite remplacés par des langues agiles et gourmandes. Ma position était peut être inconfortable mais leur permettait de me lécher sous toutes les coûtures… Après de longs moments de plaisir, une voix (Léa ?) décreta qu’il était temps de me rincer… Bien sûr j’imaginais rapidement qu’il n’allaient pas utiliser d’eau. 10 secondes plus tard, le premier jet frappa ma poitrine, chaud et puissant. Le second frappa mon ventre, puis le troisième ma bouche maintenue ouverte… Je bus tout ce que je pouvais, comme si je n’avais rien bu de meilleur. Grognant mon plaisir sans honte. Je fus intégralement douchée pendant de longues minutes. Je tremblais de plaisir et sentais la jouissance monter. Peu de temps après la voix de Léa se fit sourde et douce dans le creux de mon oreille. J’ai envie de te souiller Clotilde, tu es prête ? Pour toute réponse, je me cambrais et dardais ma langues, sans aucune hésitation, ne pensant même pas au sens des paroles de Léa. Elle plaqua son superbe sexe contre ma bouche et aussitôt m’inonda à flots bouillants. Puis je sentis son sexe contre ma bouche. Puis je m’enhardis et plongeait ma langue en elle. Oh, je sentais son parfum musqué je, je…. Je continuais, du bout de la langue et Léa se pressa de plus belle contre mon visage. Je ne savais plus ce que je faisais, une langue agile avait gagné mon petit trou et me faisait les mêmes caresses. Oh, noooooon… Léa se retira subitement…. Je ne savais pas si je le regrettais ou non. Elle me glissa à l’oreille, tu n’es pas prête pour ça ma belle… Pas encore… Mais voici de quoi te faire patienter.. Et elle glissa son doigt dans mon petit trou puis dans ma bouche me le fit lécher et recommença plusieurs fois. Le plaisir grondait en moi, me brûlait le ventre. Je suppliais Léa de me faire jouir…

à suivre…

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