Partie bourgeoise par Marine_et_Thibault

Partie bourgeoise par Marine et Thibault

Attention texte contenant de la scato explicite !

Je m’appelle Thibault et je viens d’être nommé directeur des ventes.

J’ai voulu fêter ma nouvelle promotion en organisant une petite fête à la maison.

J’ai invité Lysandre, un grand blond à lunettes. Comme moi, il est légèrement bisexuel et aime bien de temps en temps sucer une belle bite ou en sentir une s’agiter dans son joli petit cul.

Je ne sais pas où est passée Marine, ma délicieuse épouse qui me trompe à tour de bras, mais que j’adore ! Elle a dû sortir acheter des cigarettes, à tous les coups elle a rencontré une copine et s’est mise à papoter.

Lysandre est arrivé un peu après 18 heures, on a bu une bière, puis il m’a proposé que nous attendions les autres invités à poil. C’est effectivement une très bonne idée, je m’amuse à le provoquer en tortillant des fesses.

– Il te plait, mon cul de pédé ? Hein ? Dis-le-moi !

Ça ne loupe pas, trente secondes après, il me léchait la rondelle avant d’introduire son doigt dans mon cul. C’est lui qui m’a initié à ce plaisir, avant je ne faisais que sucer, maintenant j’adore qu’on m’introduise des objets, des doigts, des bites…

J’aurais aimé qu’il m’encule, mais la sonnette de la porte d’entrée retentit et j’allais ouvrir à Monsieur Andersen.

J’avais bien évidemment invité Monsieur Andersen, mon directeur puisque c’est à lui que je devais cette promotion..

Connaissant mes penchants pervers, celui-ci m’avais demandé si la petite fête serait du genre classique ou du genre partouze.

– La vie est courte, nous aimons tous le sexe, alors pourquoi nous en priver !
– Dans ce cas je viendrais avec ma femme et ma fille, deux belles cochonnes. M’a-t-il répondu.

Andersen me présente sa femme Léa, une jolie fausse blonde mature à l’œil coquin et Félicia, leur fille qui doit avoir une vingtaine d’années, une brunette au visage d’ange, tout sourire, ils sont venus avec leur chien, Koulis, un labrador noir qui frétille de la queue.

– Vous ne perdez pas de temps ! Me dit Andersen en rigolant, vous êtes déjà dans le plus simple appareil.
– C’est une idée de Lysandre, je vous présente Lysandre.
– Vous avez une bien belle bite, monsieur Lysandre !
– Vous pourrez en disposez à votre guise, cher monsieur !

Le père Andersen n’est pas du genre à se faire répéter deux fois ce genre de chose. Il prend en main la bite de Lysandre, lui soupèse les couilles, puis histoire de la faire bien bander, tortille les tétons de mon ami.

Quand Lysandre se retrouve en érection maximale, Andersen se penche et lui gobe la bite. Pas très longtemps, ce n’était qu’une mise en bouche, (c’est le cas de le dire)

Andersen commence à se déshabiller de façon méticuleuse.

– Dois-je dire à ces deux putes de se déshabiller également ? Me demande-t-il en désignant sa femme et sa fille.
– Mais très certainement !

Les deux nanas n’hésitent pas un seul instant et se retrouvent vite nues. Félicia est une très belle jeune femme avec des seins provoquants, ceux de sa mère ne sont pas mal non plus. Je remarque qu’Andersen a eu la bonne idée de poser un collier de chien autour du cou de son épouse. Que voilà une intention délicate !

Je demande à Betty, ma boniche de faire le service, on est tous à poil et on trinque.

Oh, toi le lecteur, là-bas, oui toi ? Tu crois que je ne t’ai pas entendu ? Oui, j’ai employé le terme de boniche, et si je l’ai employé ce n’est pas parce que je la méprise, ni elle ni sa fonction, c’est tout simplement parce qu’elle est complètement maso et qu’elle adore qu’on l’appelle comme ça !

– Me permettrez-vous de vous offrir mon champagne ? Me propose Léa.
– Mais bien certainement ma chère.
– Mademoiselle passez-moi donc un coupe vide que j’urine dedans ! Demande-t-elle à Betty.

Léa se place le verre entre les cuisses et pisse dedans avant de me l’offrir. Je me fais un plaisir de boire cet excellent breuvage et d’en féliciter la dame

– Si vous le désirez, je peux vous offrir quelque chose de plus consistant !

Et allons donc, j’aurais préféré que cette proposition vienne bien plus tard, mais si elle me le fait c’est que l’envie doit être pressante.

– A votre guise, chère madame !
– Je vais monter sur la table, comme cela tout le monde pourra en profiter.
– Excellente idée !

Léa grimpe sur la table et s’y accroupit.

– Si la boniche pouvait apporter un plateau afin que je défèque dedans ? Demande-t-elle.

Betty lui tend un plateau en argent qu’elle pose sous son fessier. Léa pousse et un très beau boudin marron bien moulé sort de son cul.

– Que voilà un beau caca ! La félicitais-je.
– A vous l’honneur de me nettoyer l’anus ! Me répond-elle.

Je ne saurais refuser une telle faveur et viens lui lécher la rondelle en me régalant des traces de merde entourant ce joli trou du cul.

On se passe ensuite le plateau contenant l’étron de Léa, chacun y va de son petit coup de langue afin d’y gouter.

Tout le monde est bien excité, et Félicia tient absolument à nous montrer comment elle suce bien la bite de son père.

– Ne le suce pas à fond, j’aimerais bien qu’il m’encule ! Interviens-je.

On a fait comme ça, Félicia a prodigué une jolie fellation à son paternel tout en lui doigtant le trou du cul, puis elle à stoppé, tout sourire :

– Qu’est ce qu’elle est bonne la bite à papa ! Maintenant elle est pour ton cul.

Je me positionne comme il convient et Monsieur Andersen vient m’enculer bien comme il faut, pendant que Lysandre encule Léa en lui tapant sur ses fesses avec un branche de céleri, et que Félicia pisse dans la bouche de la bonne après lui avoir introduit deux saucisses dans le cul. Quant à Marine que je n’ai pas entendu rentrer elle suce la bite du chien avec une telle fougue que de la bave dégouline aux commissures de ses lèvres.

Quelle ambiance mes amis, j’ai juste oublié de mettre un peu de musique !

Voilà qu’on frappe ! Oh là là ! Où suis-je ? Je suis seul dans le salon ! Putain je rêvais ou quoi, mais quel drôle de rêve ! Il y a des années que je n’ai pas vu Lysandre qui vit maintenant en province et nous n’avons guère les moyens de nous payer une bonne..

Je vais ouvrir c’est Marine !

– J’avais oublié de prendre du pain, il y avait une de ces queues au boulanger. Ils arrivent à quelle heure les Andersen ?.
– Ils ne devrait pas tarder.
– On va se faire chier, il faudra éviter les sujets qui fâchent. La politique, le football… quelle corvée !
– Bah, c’est un mauvais moment à passer, je ne pouvais pas faire autrement que de l’inviter à bouffer, ma promotion c’est à lui que je la dois.
– Au fait tu m’avais promis de me dire ce que tu lui a fait à Andersen pour mériter cette promotion.
– Ben je lui ai un peu sucé la bite ! Mais faudra pas le dire à sa femme.
– Cochon !

Délire sans prétention écrite dans le TGV Paris-Strasbourg en matant ma voisine d’en face

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13 réponses à Partie bourgeoise par Marine_et_Thibault

  1. Sorenza dit :

    Ce couple d’auteur fourmille d’idée insolite. Dommage que ce soit écrit trop vite

  2. Martin dit :

    Délire, quand tu nous tiens…

  3. Guizot dit :

    moi, j’appelle ça de la littérature de cabinet

    • Marine et Thibault dit :

      Voua avez bien tort de mépriser ce genre de littérature, savez vous que de grands auteurs ont taquiné le genre notamment Henry Miller auteur d’un étonnant « Lire aux toilettes »
      Thibault

    • Eddy dit :

      J’ai failli supprimer ce commentaire qui n’apporte rien, mais la réponse cinglante de Thibault m’a paru intéressante.
      Ce monsieur Guizot ne vient que pour rouspéter, je plains sa pauvre vie !

  4. Mariza dit :

    Alors là ils ont fait fort, les auteurs, tout y passe , c’est festif, c’est ludique, c’est réjouissant et tant pis pour les grincheux !

  5. Pozo dit :

    Soyons indulgent, un délire doit s’apprécier en tant que délire et celui-ci me plait bien

  6. Mélanie dit :

    J’adore ce genre de délire, c’est n’importe quoi mais ça fonctionne! Demandez donc à ma culotte de qu’elle en a pensé !

  7. Roxanne dit :

    Délirium trsè gros !

  8. Piloupilou dit :

    Wow j’aime ça

  9. Chung dit :

    Complétement déconnant

  10. Claire dit :

    Bon ce n’est pas de la grande littérature et je dirais qu’heureusement que le site nous propose d’autres choses, cela dit, lu comme un délire, ça le fait

  11. Chandernagor dit :

    Ils sont un peu fou ces deux là, non ?

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