Florence, femme soumise par Firmin Dumigron
Lorsque je suis entré dans la chambre, Florence s’y trouvait déjà…
Nous avons tous les deux la quarantaine, j’ai rencontré Florence un peu par hasard il y a environ un an. Elle était attablée au bistrot et chialait comme une madeleine. Je n’aime pas voir les femmes pleurer. Je suis allé la consoler, elle a mis un certain temps à m’expliquer que son jules venait de la quitter pour une autre et qu’elle ne savait même pas où dormir.
Je l’ai donc invité à venir chez moi. Nous n’avons pas baisé de soir-là, mais le lendemain on s’en est donné à cœur joie. Et tout de suite elle s’est révélée soumise et maso. Voilà qui tombait bien puisque je suis un tantinet dominateur.
Elle est brune, les cheveux longs, un beau visage avec un nez mutin, elle a une jolie poitrine dont les tétons s’ornent de piercing en anneaux.
Je suis cadre dans une grosse boite d’édition, et comme elle était sans travail, je lui ai obtenu un poste de traductrice qu’elle exerce à la maison.
Ce jour-là je suis rentré du boulot à 18 heures, un mot m’attendait :
« J’ai envie que tu me corriges, viens me rejoindre ! »
Je criais : « j’arrive dans cinq minutes »
Le temps de retirer ma veste et mes chaussures et d’aller faire pipi, non pas pipi, le pipi ce sera pour elle !
Elle était vêtue d’une simple chemise de nuit qui laissait découverts ses seins et ses épaules et lui descendait aux mollets, elle était debout au pied de son lit. Elle s’était attaché les mains à l’aide d’une corde fixée à la barre du lit.
Je viens m’asseoir tranquillement dans un fauteuil.
– Quelle correction ce soir ? Demandais-je
– Je veux que tu me fouettes les épaules et les seins avec le petit bouquet d’orties fraîches que je t’ai cueilli ce matin ! Ensuite je voudrais douze coups de martinet sur les fesses !
– A nu ?
– Evidemment !
J’ouvre une boite en carton dans laquelle se trouvaient rangée une dizaine de tiges d’orties bien garnies de feuilles. Florence avait entouré l’extrémité des tiges avec du papier d’aluminium afin d’éviter que je me pique. Délicate attention ! Je dénoue les rubans qui retenaient la chemise de Florence aux épaules. Elle tombe par terre, se retrouvant toute nue. Les épaules, le dos gracieusement incurvé, la poitrine bombée, les seins droits et blancs m’apparurent.
– Baisse ta tête, poufiasse, pendant la correction… Et je ne veux pas t’entendre !
Je brandis le bouquet d’orties, commence à flageller mollement les épaules les seins, le dos et les flancs de Florence. Elle se met à gémir tout doucement tandis qu’elle remue son buste en tous sens sous l’action cuisante des plantes urticantes.
– Je te défends de bouger ! Morue ! Baisse la tête sinon je te donne vingt-quatre coups de martinet sur le cul au lieu de douze ! T’as compris, trainée ?
Florence ne bouge plus. Maintenant la peau tout entière est rouge. Je décide d’arrêter la flagellation aux orties mais j’exige que ses fesses soient bien tendues.
– Tu vas être une bonne fille, n’est-ce pas? Une bonne et sage fille, bien soumise, bien obéissante ? Penche-toi encore un peu, je vais te donner tes douze coups de martinet sur tes fesses de salope.
Florence se penche en avant. Je lui passe la main gauche sous l’estomac, au creux, pour la soutenir et armée du martinet, je lui demande de compter les coups qu’elle désirait recevoir. Sur ses fesses tendues, le premier coup, donné en travers des fesses, je l’applique très bas, presque sur les cuisses, Florence sur ce coup rebondit en tressaillant tout entière en même temps que l’on entend le bruit de grêle des six lanières du martinet s’abattant presque simultanément et d’une voix étouffé Florence compte « un ».
Le second coup suit presque aussitôt, puis le mouvement se précipite. Florence est fouettée avec force et rage, sans que je donne une seconde de répit au pauvre derrière corrigé. Un dernier coup donné sur ses fesses rouges et boursouflées et Florence prononce avec soulagement le dernier chiffre. Je pose le martinet sur le lit. Je palpe un instant la partie fouettée, vérifiant si elle était suffisamment échauffée par le fouet.
Je détache les mains de Florence, qui se frictionne sans pudeur aucune, puis s’agenouille et vient vers moi… sur les genoux
– J’ai soif !
Alors je sors ma bite bandée de ma braguette, attend un petit moment et me met à pisser d’abondance dans son adorable petite bouche.
Ma miction terminée, je suis branlé un petit peu pour redonner vigueur à mon membre. Elle l’a pris entre ses lèvres et m’a sucé jusqu’à la jouissance. Vicieusement elle ouvre sa bouche remplie de sperme, puis se relève et me demande de l’embrasser.
Drôle de fille !
fin
Drôle de fille en effet ! C’est fou d’être maso à ce point !
Ce doit être super d’avoir une femme comme ça à la maison 😉
Dommage que ce soit si court…