Vicky par Kelya
Avertissement : récit contenant des passages scatos explicites
Chapitre 1 : Contact sur le net
Mon copain venait de me laisser pour une autre. J’ai eu énormément de peine, je me suis enfermée sur moi-même. Je » chattais » de plus en plus sur Internet… sans trop savoir d’ailleurs ce que j’y cherchais… Puis un soir, j’y ai fait la connaissance de Vicky. On a parlé un peu de tout, mais comme très souvent sur le net, la conversation a bifurqué sur le sexe. Les choses allèrent alors assez vite. Elle me confia sa bisexualité et me demanda si de mon côté j’étais intéressée par ce genre de choses
– Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait ! Répondis-je alors.
– Mais si avais l’occasion d’essayer ?
– Je ne dis pas non, en fait, je n’en sais rien !
– Ecoute, je te propose une chose, je t’envoie ma photo, et toi tu fais pareil, si on se plait, on peut peut-être aller plus loin ! Me proposa Vicky.
Nous n’habitions pas si loin l’une de l’autre et le lendemain soir, je l’invitai à venir chez moi. Elle accepta, tout en précisant que ce serait une rencontre d’essai et qu’elle n’aurait pas beaucoup de temps. Elle vint vêtue d’un jean très moulant et d’un tee-shirt laissant voir subtilement ses jolies formes… Moi, j’étais en culotte et en nuisette. Pas de soutien-gorge, rien d’autres ! Vicky l’avait bien remarqué… Elle me regardait avec envie, l’ambiance était électrique !
– Bonjour, je suis Vicky !
– Ça je m’en doute bien ! Rentre donc !
– Tu es très belle !
J’allais répondre je ne sais plus quoi, mais je n’en ai pas eu le temps. Vicky s’est approchée de moi, je savais ce qui allait se passer, je l’ai accepté et nos lèvres se sont soudées. Nos langues se frôlaient, doucement, puis presque violemment. Je sentis les mains de Vicky soulever ma nuisette, puis me l’enlever… Elle me massait les seins, me les pressait. Je me décidai à lui enlever son tee-shirt et découvrit un joli soutien-gorge en dentelle. Je n’ai pas tardé à lui enlever ce soutif et lui presser à mon tour les seins fortement. Je la sentis très excitée et je lui baissais son jeans, sous lequel elle n’avait pas mis de petite culotte… Ma main descendit sur ses fesses, pour découvrir son vagin déjà tout mouillé. Je pris son jus dans ma main et massa ma visiteuse avec son jus. Puis je me mis à la lécher… N’en pouvant plus, elle enleva ma culotte et me serra fortement la chatte. Elle trouva rapidement mon clitoris, le pressa, il durcit. Je mouillai… Vicky m’a couché sur le plancher et elle commença à me lécher mon sexe. Je criais !! Je sentis sa langue pénétrer dans mon vagin… Je branlais de plaisir et lui tenais bien la tête entre mes cuisses pour ne pas qu’elle arrête…
Oh ! Mais elle n’a pas arrêté !!
Elle buvait mon jus, qui ne cessait pas de couler. Puis elle vint se coucher sur moi, m’embrassa, me pressa les seins… Elle me mordillait les mamelons. Et je me suis retrouvée sur Vicky. Je descendais tout en la léchant… Et je me retrouvais le nez devant son sexe que je caressais doucement et violemment avec mes mains débutantes. Elle était toute mouillée. Vicky criait des » Continue !! » J’introduisis ma langue dans son vagin, puis je la retirais, pour la réintroduire aussitôt, je fis ce petit manège plusieurs fois de suite. Vicky était au septième ciel !! On s’est arrêté là pour cette soirée mais ce n’était pas fini. Elle est partie après m’avoir invité à passer une fin de semaine à son chalet…
Chapitre 2 : Arrivée au chalet
Alors, comme prévu, nous nous sommes retrouvées au chalet de Vicky pour la fin de semaine. Elle était venue me chercher chez moi, ce n’était pas tout près, et j’avais malgré tout, une certaine appréhension de me retrouver dans un endroit quasi désert. Mais je me rassurai en pensant à la sensuelle femme qui m’accompagnait. Arrivé sur les lieux, elle me fit, comme le veulent bonnes manières et traditions visiter les lieux. En les découvrant, je m’amusais à scruter tous les endroits qui étaient susceptibles d’accueillir nos ébats. Elle me demanda ensuite si j’avais faim ?
Oh mais j’avais faim mais pas juste de bouffe ! Ah la maudite, elle me faisait languir et elle le savait ! J’avais si hâte qu’elle s’approche de moi…
Mais elle devait avoir d’autre projet, elle s’en alla vers le coin kitchenette et en rapporta du pain et de la confiture. Puis elle prétexta une envie de pisser. Lorsqu’elle fut sortie de la salle de bain, j’avais devant moi une Vicky toute nue que je mourrais d’envie de dévorer. Elle s’avança vers moi, m’embrassa tendrement… Puis, elle prit de la confiture, s’en étala sur son sexe et m’ordonna d’essuyer ce » dégât « . Elle ne m’a pas suppliée ! Vicky s’assit sur le bord du comptoir. Alors, je lui écartai les jambes et commençai à la lécher… Elle avait mis de la confiture jusque dans son vagin et même dans son anus ! J’ai tout léché… Vicky ne se contenait plus. Ahhh elle serrait la tête et s’accotait sur mon visage. Elle jouissait ! Je relevai ma tête, l’embrassai. Puis je montai sur elle, je m’assis sur elle. J’enlevai mon chemisier, puis mon soutien-gorge. Elle pressa mes seins…
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh j’en voulais encore plus ! Puis je sentis sa main dans ma petite culotte… Alors j’enlevai cette culotte ! On s’est ôté de sur le comptoir pour se retrouver debout, collées l’une contre l’autre. Elle me dit de me coucher sur le divan et d’écarter mes jambes au maximum. Puis elle s’approcha et amena sa chatte toute mouillée contre la mienne… Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Nos chattes se frottaient doucement puis violemment. On pouvait crier autant que nous le voulions puisque personne ne nous entendait ! Alors je me lâchais, je hurlais et ça excitait Vicky ! J’avais envie de la manger toute crue tellement je l’aimais!! Puis épuisées, nous nous sommes endormis l’une contre l’autre, par terre, mortes de fatigue.
Chapitre 3 : Lendemain au chalet
Le lendemain matin, je me réveillai la première. J’ai toujours été une lève-tôt. J’allai sur le bord de la porte-patio et contemplais la neige qui tombait. Il y avait un lac derrière le chalet de Vicky, il était bien dommage que nous soyons en hiver car j’aurais aimé me baigner avec Vicky. Ce sera pour l’été prochain, me dis-je, alors ! J’allai à la salle de bain, souhaitant prendre une douche j’ouvris alors ce que je croyais être une sorte de garde-robe mais je découvris une nouvelle pièce adjacente à celle-ci et découvrit un bain-tourbillon ! Quelques secondes plus tard, je sentis les bras de Vicky m’enrouler voluptueusement, et de sa voix sensuelle me proposa :
– Tu aimerais qu’on prenne un bain toutes les deux ?
Sans attendre ma réponse, elle fit couler l’eau et démarra le tourbillon. Elle m’invita à pénétrer dans cette eau très chaude… Elle vint me rejoindre et s’assit face à moi. Je fus un peu déçue qu’elle se place si loin de moi, elle le remarqua, elle jouait, alors elle descendit sous l’eau et je sentis ses mains caresser mes jambes sous la surface. Vicky réapparut hors de l’eau, son visage à quelques tous petits centimètres du mien. J’approchai mes lèvres des siennes et nous nous sommes embrassées passionnément. Mes mains se promenèrent sur son corps et s’attardèrent sur ses fesses. Je les caressais, les pinçais… Nous sommes sorties du bain.
Ma main lui chatouillant sa chatte. Je sentis que Vicky aimait mes caresses. Me voilà enfin sur sa chatte, je trouvai son clitoris et le titillais. Vicky me serrait très fort, ce qui signifiais que je lui procurais du plaisir. Lentement, j’approchais ma main de son vagin et j’introduis deux doigts, puis trois… Je fis des mouvements de va-et-vient qui faisait hurler Vicky de plaisir. Elle pressa maintenant mes seins alors que moi, de mon autre main, je m’attaquais à son anus. Je fis tourner mon index plusieurs fois autour de son petit trou, ce qui augmentait son plaisir. Puis mon index s’introduit dans son anus, je fis quelques mouvements de va et vient et j’introduis un deuxième doigt puis un troisième… Mes doigts touchaient sa crotte, j’hésitais à continuer mais le fis quand même, C’était tellement pervers. Mes doigts ressortirent légèrement merdeux.
– Lèche les, lèche ma merde !
Je le fis sans problème
– C’était bon ? Me demanda-t-elle.
– Humm, délicieux !
– Tu as déjà joué à des trucs scatos ?
– Seulement dans mes fantasmes.
– On peut essayer si tu veux ! Tu aimeras me voir chier ?
– Pourquoi pas ?
– Allonge-toi, on va faire ça !
Vicky me chevaucha et commença par me pisser dessus, je reçu plein d’urine sur les seins et me badigeonnais avec. Elle me proposa d’ouvrir la bouche et je pu me régaler de ce divin nectar.. Ensuite elle se retourna me présentant ses jolies fesses, Son anus s’écarta laissant passer un petit étron qui s’agrandit et me dégringola sur le ventre, un second suivit, puis un troisième.
Vicky ramassa l’un des étrons et le porta à ses lèvres pour le lécher, puis me le présenta. Je léchais sa bonne merde dans un état d’excitation inimaginable. Elle me badigeonna tout le corps avec la merde : les seins, le ventre, les cuisses, puis me demanda de lui rendre la pareille. Toutes enduites de merde, nous nous sommes embrassées à pleine bouche et léché les tétons. Que c’était bon !
Vicky se tordait de plaisir et laissa aller sa jouissance que je sentais retenue depuis quelques minutes. Elle s’écroula sur moi, sa tête sur mes seins. Je continuai à lui faire des caresses tout le long de son corps.
Quelques minutes plus tard, elle leva la tête pour m’embrasser avec passion. Ses mains côtoyaient ma poitrine qu’elle pressait. Mes seins raidissaient de plaisir. Ses mains descendaient doucement sur mon corps déjà tout excité par les caresses qu’elle me donnait. Elle sentit mon excitation et ne me fit pas languir, elle pénétra immédiatement deux ou trois doigts dans mon vagin. Dans un réflexe, mes jambes s’enroulèrent autour de son corps, lui disant de continuer. ses va-et-vient me firent immédiatement jouir…
Nous nous somme rincées dans le bain et nous nous sommes dirigées main dans la main vers le salon. Nous nous sommes assises sur le divan, toujours collées l’une contre l’autre. Je me suis assise sur elle, face à face. Elle mit ses mains sur mes fesses et moi mes bras étaient autour de son cou et nous nous embrassions avec fougue et amour
Nous ne sommes pas allées plus loin car la sonnerie de la porte qui retentit à ce moment-là, nous dérangea…
Chapitre 4 : Jonathan et Frédéric …
Vicky, toujours nue, se dirigea vers la fenêtre située à côté de la porte et regarda discrètement s’enquérant de l’identité de l’opportun, puis parut rassuré et toujours à poil alla ouvrir. Et tandis que j’essayais de couvrir ma nudité avec une serviette de bain qui traînait là, je vis deux sympathiques messieurs entrer. Vicky me les présenta :
– Kelya, je te présente Jonathan et Frédéric… Je leur avais demandé de passer vers midi… On va bien s’amuser, tu vas voir, ils sont un peu pédés tous les deux ! Vous êtes en avance les gars !
– Je sais, répondit Jo. On s’était dit qu’on pourrait peut-être faire les courses ?
Jo est un blond musclé, d’environ 1,70 m) avec des yeux verts, magnifiques ! Fred a le teint basané et les cheveux noirs. Il mesure presque 1,80 et il n’est pas très baraqué.
Croyant, ou plutôt voulant croire que nous regardions la télévision, (allumée mais que personne ne regardait) nos deux compagnons s’installèrent sur le divan. Je regardai Vicky, nous étions nues, pas eux… Elle s’approcha de moi et me dit glissa à l’oreille :
– Et si nous leur faisons un petit spectacle ? Je lui souris…
Elle prit la télécommande et éteint la télévision. Les gars lâchèrent un hypocrite soupir de désappointement. Vicky se mit face à la télé et commença à se dandiner. Puis, elle me fit signe de venir la rejoindre. Elle m’attira vers elle et on s’embrassa. Nous nous caressions mutuellement et en passant ma main entre les jambes de Vicky, je remarquai qu’elle mouillait, moi aussi d’ailleurs… J’eus alors la surprise de voir les gars se caresser mutuellement les cuisses. Vicky me dit discrètement
– Je m’occupe de Jo, prends Fred…
Je m’approchai donc doucement de Fred qui, visiblement, n’attendait que ça. Je m’assis sur lui et l’embrassa tendrement. Pendant ce temps, je sentis ses mains me parcourir le dos sans descendre plus bas. Je lui enlevai son pull-over et couvrais son torse de baisers. Fred caressa mes seins d’une main et approcha l’autre de mon endroit intime. Sous son jeans, je sentais que son pénis allait bientôt manquer de place. Je dis donc à Fred de se lever et je lui enleva tranquillement son jeans en prenant soin d’embrasser tout ce que je pouvais. Le pénis de Fred était en pleine érection, j’y déposais une langue coquine qui eut tôt fait d’en accroître encore la raideur, mais, ce pénis je mourrais d’envie de le sentir en moi. Fred s’assit et je m’agenouilla sur lui. Son sexe me pénétra. Je fis des mouvements avec mon bassin qui aidait au pilonnage de mon vagin. Fred se cabra et éjacula en moi. Je me laissai tomber sur lui, son pénis toujours en moi.
Reprenant nos esprits, nous aperçurent alors Vicky et Jo embarqué dans des ébats qui n’avaient rien à envier à ceux que nous venions de, sauf qu’eux, ils le faisaient debout, Vicky ayant les jambes autour de Jo. Nous nous sommes alors approchés d’eux. Je me plaçai sous Vicky, la caressai et lui léchai l’anus alors que Jo pénétrait dans son vagin. Je me demandais bien ce qu’allait entreprendre Fred, les possibilités n’étant pas vraiment infini. C’est alors qu’il se plaça juste derrière Jo et, son sexe étant de nouveau en érection, il encula son ami. Moi, j’introduisis mes doigts dans l’anus de Vicky et je pus rejoindre en elle le pénis de Jo, puisque seule une mince paroi nous séparait. Vicky eut une énorme cri de jouissance. Jo la laissa tomber sur moi, par terre.
J’entourais Vicky de mes bras et mes jambes et lui donna des petits bisous dans le cou. Je vis les deux gars qui étaient maintenant en soixante-neuf. C’était la première fois de ma vie que je voyais deux hommes faire l’amour ensemble et j’étais particulièrement excité de les voir se sucer le sexe mutuellement.
Quelques minutes plus tard, Jo s’approcha de moi et me murmura :
– Dis-moi ma belle, est-ce que tu aimes te faire sodomiser ?
– Ben, quand c’est bien fait…
Je me mis à quatre pattes, comme une chienne. J’étais déjà tout excitée de l’étreinte que je venais de donner à Vicky. Et le pénis de Jo stimulé par les caresses que lui prodigué Fred se portait plutôt bien
Jo se mit donc derrière moi, par-dessus moi. Je sentis son gland frotter mon anus. Vicky aida Jo à me pénétrer. Lorsque le pénis de Jo me pénétra, je sentis une douleur si terrible… que je hurlais ! Mais le temps que dure mon cri, et le pénis de Jo était complètement entré dans mon cul. Il fit des mouvements de va-et-vient tout en me tenant les cuisses pour bien me tenir. J’étais incontrôlable, j’adorais ce qu’il me faisait ! Puis, il se cabra et éjacula dans mon cul… Vicky s’approcha et s’amusa à me lécher mes fesses dégoulinantes de sueur, de mouille et du jus de mon cul. Fred était assis sur le divan et se masturbait… Après avoir nettoyé avec sa langue le sperme qui imbibait la bite de son copain, Il s’approcha et moi et m’embrassa. Puis il me dit :
– C’était bon ! Tu as vu, je suis tout excité…
Je me lançai alors dans ses bras, croyant avoir la force de repartir vers de nouvelles fantaisies, mais tout ce que je réussis à faire c’est de poser mon visage sur son épaule et de m’y endormir, complètement épuisée…
Kelya
Ce récit a déjà fait l’objet d’une publication sur le site québécois sophiexxx, aujourd’hui disparu. Le récit a été un peu remanié pour cette double réédition (revebebe en juillet 2002, avant d’y être retiré et vassilia en octobre 2002)
Délicieusement pervers
Quand on aime son (sa) partenaire, il faut accepter le « cadeau » qu’il nous fait.
Le passage avec les deux mecs n’ajoute pas grand-chose à l’histoire. Sinon la relation est bien décrite y compris le passage scato
Comment ais-je pu rater cette lecture ?
C’est vrai que c’est un peu décousu, mais c’est décontracté, tout tendre et très cochon
Pas mal du tout, j’ai apprécié malgré le fait que soit un peu décousu !
Belle histoire, vraiment (même si le passage à la scato est un peu rapide
Une joyeuse ambiance où tout le monde se mélange dans la plus belle des décontractions, j’adore !
Encore un récit oublié à redécouvrir d’urgence