Cela faisait bien 10 ans que je n’avais pas revu Alex… Nous avions fait nos années lycée ensemble et puis, nous avions pris des chemins différents pour nos études… Et il nous a fallu un client commun un jour pour qu’on se retrouve dans ce grand bureau pour signer, chacun pour notre patron respectif, un contrat avec cette nouvelle entreprise qui s’installait à l’autre bout de la France…
Le contrat signé, nous nous sommes retrouvés pour dîner à la terrasse d’un petit restaurant sympa. Il faisait bon ce soir-là et, le vin aidant, nous avons passé une très agréable soirée à nous raconter nos souvenirs… Il était marié depuis quatre ans alors que je ne restais jamais plus de six mois avec la même femme… Et en ce moment j’étais célibataire !!!
Nous y aurions sans doute passé la nuit, mais la semaine n’était pas finie et nous devions reprendre la route tôt le lendemain matin pour vaquer à nos différentes obligations professionnelles.
– Tu ne connais pas un petit hôtel dans le coin, me demanda Alex ? Je suis arrivé pile pour notre rencard et je n’ai même pas pris le temps de réserver une chambre !
– Ecoute, je loge à deux pas d’ici, ils vont bien te trouver une petite chambre au fond d’un couloir…
Mais arrivés à l’hôtel, la pancarte « Complet » m’a mis un peu dans l’embarras.
– Oh, c’est sûrement pour dissuader les mauvais coucheurs ! Viens entre avec moi, la fille de l’accueil est bien mignonne, elle ne résistera pas à ton charme !
– Ah, c’est comme ça que tu négocies une petite réduction ?
– Non, elle ne me rejoint pas pour me border si c’est ce que tu veux savoir !
Tiens ce n’était pas Nathalie qui nous accueillit ce soir-là… Mais le petit badge, bien en évidence sur les seins prêts à bondir hors du décolleté, nous apprit que nous avions à faire à Karen… Une nouvelle, me suis-je dit… Et une vraie bombe !
– Bonsoir mademoiselle, mon ami n’a pas réservé de chambre mais vous en avez peut-être encore une petite pour la nuit ?
– Oh, ce soir, ça va être difficile ! Avec ce salon du voyage qui se déroule ce week-end, tout est pris ! Je suis désolé, je ne vais rien pouvoir faire pour vous aider ! J’ai déjà renvoyé plusieurs clients qui ont fait le tour de la ville sans rien trouver.
Alex avait l’air un peu embêté. Alors je lui ai dit :
– Ecoute, j’ai un grand lit dans ma chambre, je peux peut-être te dépanner en te proposant de le partager avec moi !
– Ben, je crois que je n’ai pas trop le choix !!! Mais j’espère que tu ne ronfles pas, sinon, je préfère encore dormir dans la voiture !
– Non, non, lui dis-je en me marrant, je ne ronfle pas ! Mais je dors tout nu, et la première chose que tu verras en te réveillant ce sera mon cul !
– Bon, j’en ai vu d’autre, j’accepte. Merci, c’est sympa de ta part.
Le petit voyage jusqu’au 4ème nous a permis d’échanger sur le corps sculptural de notre charmante hôtesse et c’est en nous imaginant la petite en bikini que nous sommes arrivés devant la chambre 403.
– Chut, me dit Alex… Ecoute !
Je m’approchais doucement de la porte… Un lit qui grinçait et une faible voix qui gémissait… Et un mec qui n’arrêtait pas de dire « Oh, qu’est-ce qu’elle est chaude ta chatte », « qu’est-ce qu’elle est chaude ta chatte »… Ca a bien duré 5 minutes pendant lesquelles nous pouffions tous les deux en essayant de nous faire discrets… et puis plus rien.
– Viens, il a éjaculé et lui a sans doute inondé sa belle chatte toute chaude ! Il ne va pas tarder à se mettre à ronfler maintenant !
– Ouais, sûrement un commercial qui a profité de ce salon du voyage pour emmener sa petite collègue au 7ème ciel !
– Ce n’est pas à nous que ça arriverait ! Quelle fille voudrait bien nous suivre pour vendre des machines de haute précision à des industriels !
En arrivant dans la chambre, il y faisait une chaleur étouffante… Je me dépêchais d’ouvrir la fenêtre.
– Ca t’embête si je prends ma douche en premier, me fit Alex ?
– Non, non, vas-y
J’en profitai pour ranger quelques affaires et m’approchait de la fenêtre pour fumer une cigarette. J’étais là à rêvasser encore de la petite brune de l’accueil (il faudra que je m’y intéresse de plus prêt, ça doit être un bon coup) quand Alex sortit de la salle de bain. Il était nu et je ne m’étais pas trompé, il avait un corps de rêve… Un torse bien sculpté, des jambes fines mais musclées, et un petit cul bien moulé… Il se tourna vers moi et se rapprocha de la fenêtre… J’avais maintenant devant les yeux une belle paire de couilles bien lourdes… Sûr, sa femme ne devait pas s’ennuyer avec lui !
– Bon, je vais prendre une douche moi aussi…
Et en sortant de la salle de bain, je restai nu moi aussi.
– Viens voir Arnaud, j’ai déniché un film de cul à la télé…
Effectivement, à l’écran, une belle blonde était entrain de se faire baiser par trois mecs en même temps… A califourchon sur le premier, elle suçait un grand brun et le troisième entamait juste de la sodomiser alors que j’arrivais…
– Il est super bandant ce film, me dit Alex… C’est une sacrée cochonne cette blondasse…
– Oui, ça m’en a tout l’air, si j’en juge l’état de ta queue !
Il avait une belle érection qu’il n’avait même pas envisagé de me cacher… Sa queue devait faire 19 cm, épaisse, avec un gland qui luisait déjà à la lumière de la table de chevet…
– Ouais, c’est vrai, j’espère que je ne te choque pas ! Mais ça fait aussi quatre jours que je n’ai pas baisé, je n’ai pas pu empêcher la trique…
– Ce n’est pas un problème pour moi… D’ailleurs si je continue à mâter ce porno, je vais me retrouver à bander moi aussi…
Mais au fond, je ne regardais même plus l’écran de la télé, mais ce mec, allongé là devant moi, m’offrant le spectacle de sa belle queue et de ses couilles prêtes à exploser ! Je m’allongeais à mon tour sur le lit et je ne tardais pas à bander moi aussi… Alex, lui, se branlait doucement, complètement absorbé par le film.
– Ce n’est pas avec ma femme que je vivrais une expérience pareille… Mis à part, la position du missionnaire, elle connaît rien d’autre !
– Quoi, elle ne te suce même pas ?
– Non, elle n’a jamais voulu, elle trouve que c’est dégueulasse… Pourtant, je rêverai de me faire sucer en ce moment… Une belle bouche pulpeuse comme la fille de l’accueil…
– C’est sûr, mais je ne suis pas certain qu’elle lâchera son poste, même si c’est pour retrouver une belle queue comme la tienne !
– Alors comme ça tu la trouves belle ? Tu ne serais pas un peu homo sur les bords ?
– Disons que j’ai déjà eu quelques expériences avec les mecs et que c’était pas si mal que ça…
– Alors là, tu me troues le cul ! dit-il un peu surpris…
– Ca peut s’envisager aussi si tu insistes, lui répondis-je en plaisantant.
Je voyais bien au fond, qu’il ne savait plus quoi penser, alors je repris :
– Si t’as vraiment envie qu’on s’occupe de ta queue, laisse-moi faire…
Et avant même qu’il ne puisse réaliser, je m’étais penché sur sa queue et je la prenais en bouche… Mmm, elle était douce et ferme à la fois… et ses couilles que je pouvais enfin toucher roulaient entre mes doigts. Je n’avais pas besoin de regarder son visage pour sentir qu’il se détendait complètement sous l’action de mes lèvres, de ma bouche et de ma langue… Il écartait encore davantage les jambes pour me permettre d’accéder à sa queue et ses couilles… Je les léchais avec gourmandise et revenait à sa queue, sans arrêt. Il me caressait les cheveux et ses mains me guidaient dans mes va et vient. Je caressai ses couilles et me dirigeai lentement vers ses fesses et, en approchant mes doigts de son anus, je le sentis tressaillir et se figer… mais j’insistais et ses muscles se relâchaient… je caressais doucement sa rondelle et y immisçait le bout de mon doigt pour la détendre.
– Alors, çà fait quoi de se faire sucer par un mec ?
– C’est super bon… et si tu continues à me triturer mon petit trou, je ne vais pas tarder à lâcher la sauce…
Je sentais sa main descendre le long de mon dos et se diriger vers mes fesses… Là, il commença à me caresser doucement…
– Viens, tourne-toi, y a pas de raison que tu n’en profites pas un peu… Laisse-moi te branler pendant que tu me suces…
Je lui présentai ma queue, et il commença à me branler doucement, puis de plus en plus fermement…
A la télé, c’est une rousse qui, après avoir sucé un mec bien monté, changeait de position et, à genoux, présentait son cul pour se faire enculer… Je ne sais pas si c’est le film ou ma langue qui faisait le plus d’effet à Alex, mais j’avais envie de lui offrir plus encore…
– Eh bien, ce mec à l’air d’apprécier le petit cul de la nana… C’est vrai que c’est une sensation différente de plonger sa queue dans un petit trou bien serré que dans une chatte bien humide !
– Ben tu vois, Arnaud, je n’ai jamais essayé !
– Alors on y va…
Je me levai et il me regardait bêtement… le temps d’attraper un tube de vaseline et des capotes dans mon sac de voyage et je me mettais devant lui, à quatre pattes, mon cul offert…
– Tu sais au moins à quoi ça sert ce tube ?
– Ben oui, suis quand même pas ignorant à ce point…
– Alors enfile une capote et encule-moi !
– Tu déconnes !
– Non, vas-y, tu m’as excité grave, j’ai envie de prendre un peu de plaisir moi aussi maintenant…
Il s’enfila la capote, m’inonda la rondelle de vaseline et posa son gland contre mon anus…
– Vas-y molo quand même ! T’es pas la première queue à passer par là, mais je suis quand même fragile !!! J’ai plus souvent l’habitude d’être dans ta position !
Et c’est doucement qu’il s’aventura dans mon cul, qu’il commença à me limer… Puis il accéléra peu à peu la cadence… Au bout de quelques minutes il devint comme fou…
– Oh que c’est bon de te baiser comme une salope… Je me doutais que c’était bon, mais je ne pensais pas que je prendrai mon pied comme ça…
– Ouais vas-y Alex, défonce-moi le cul…
Je me branlais tant bien que mal en même temps, sous les assauts et les coups de boutoir de sa queue… Je regardais entre mes jambes et je voyais ses grosses couilles se balancer… Je crois qu’on a joui tous les deux en même temps… Lui dans un ultime élan vers le plus profond de mon cul et moi, dans ma main… La femme de ménage se posera sans doute des questions en voyant la flaque que mon sperme faisait sur le couvre-lit, mais peu importe, j’avais pris un pied total… Et Alex, s’écroula sur son oreiller, en sueur… je lui enlevais délicatement la capote et la posai sur la table de nuit… On a dormi comme des bébés cette nuit-là !
Il y avait du potentiel, mais tel que c’est un peu bâclé