Sous la douche par Belle-cour

Sous la douche par Belle-cour

Une fin d’après-midi où je me préparais à prendre une douche, quelqu’un vient sonner à ma porte. Comme j’étais pratiquement nu, j’enfilais mon peignoir de bain pour aller ouvrir et voir de qui il s’agissait. C’était Jolanda, une voisine célibataire assez délurée, joli brune à lunettes, la trentaine, mais dont les rapports avec elle n’avait jamais dépassés ceux du bon voisinage et d’un tutoiement de bon aloi . Elle venait me rapporter mes livres qu’elle avait emprunté depuis quelques semaines. J’allais les lui prendre quand elle me proposa d’entrer afin de les ranger elle-même et en choisir d’autres. Devant son charmant sourire, je n’ai pu refuser.

Elle se dirigea vers ma bibliothèque en me disant :

– Va prendre ta douche pendant que je choisis quelques livres, tu as le temps, après j’aimerais discuter avec toi de deux ou trois trucs.

Non au secours ! Elle va encore me prendre la tête avec ses interminables compte rendus de lecture ! Mais que voulez-vous, je suis bien éduqué et je ne vais pas la foutre à la porte. Je regagnais donc ma salle de bain et quelques instants plus tard, je savourais l’eau qui coulait sur mon corps quand, derrière la porte Jolanda me crie :

– Ça y est, j’ai trouvé des bouquins intéressants !

Je n’ai pas répondu pensant qu’elle allait m’attendre au salon. Mais voilà que la porte de la salle de bain s’ouvre, et Jolanda entre complètement à poil. Imaginez ma surprise et mon embarras.

La porte de la douche étant en verre, impossible de me cacher et l’eau qui coulait dessus empêchait la buée de se former et de rendre cette vitre opaque. Elle avança sur moi, puis d’un air innocent, me dit :

– J’espère que je ne te dérange pas, moi aussi j’aimerai prendre une douche, je ne peux pas la prendre chez moi, le robinet est cassé !

Alors elle me rejoignit comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Et sans me demander une quelconque permission, elle commença par me savonner sans que je puisse dire quoi que ce soit, elle mit sa main à ma bouche et dit

– Chut! laisses toi faire ! Tu ne vas me dire que tu n’aimes pas ça, non ?

Elle reprit du gel douche dans sa main et me frotta le dos, puis le ventre et puis tout le corps. Quand elle arriva à mon sexe bandé, elle s’écria :

– Je vois que ça te met en forme, mon cher voisin !

Elle me branla très légèrement puis pris ma bite dans sa bouche tout en continuant à masser mes couilles. Cela me fit beaucoup d’effet, mais lorsque je fus sur le point de jouir elle sortit mon sexe de sa bouche, se colla contre moi et me demanda de la savonner. Je pris du gel douche et commença à la frotter. Ses seins étaient devenus durs, je sentais en elle le désir de tendresse et je les ai massés calmement bien que mon envie devenait de plus en plus pressante. Alors je descendis plus bas vers son nid d’amour, je l’ai enduit de liquide savonneux et j’ai entrepris de le masser légèrement. Elle poussa quelques soupirs de satisfaction, alors j’ai introduit un doigt entre ses lèvres toutes humides et j’ai fait un mouvement de va-et-vient qui l’a rendu encore plus chaude et désirable. Quand j’ai retiré mon doigt, elle était presque en train de jouir. Enfin je la pénétrais, elle s’accrocha à mon cou, mit ses jambes autour de mon corps et effectua quelques déhanchements pour que je sois encore plus profond dans son corps de rêve. Dans un même élan de plaisir nous sommes montés au septième ciel dans un feu d’artifice de sensations.

Lorsque nous sommes revenus sur terre, les frémissements se faisaient encore sentir un peu. Nous fîmes une ultime petite toilette, et nous sortîmes nous sécher. Jolanda pris la première serviette et s’occupa de mon corps alors que moi avec la seconde je la séchai. Elle prit bien soin de ne pas trop perturber mon ‘appareil à sensation’ (suivant son expression). Comme je m’occupais de son dos, elle s’appuya sur le lavabo. Quand je parvint plus bas elle écarta légèrement les jambes afin que je puisse passer la serviette confortablement. Soudain, j’eu une envie, laisser tomber la serviette et la frotter avec mes doigts. Elle fut surprise, mais les frissons eurent le pas sur sa volonté et elle se laissa faire. Alors j’ai mis un doigt dans sa chatte encore toute lubrifiée puis avec quelques mouvements tendres, je l’ai massé tendrement. Je l’ai maintenue fermement pour qu’elle ne puisse pas bouger et avec l’autre main, j’ai pris en charge son cul. J’ai passé mes doigts le long de sa fente et ensuite, j’ai fait pénétrer un doigt dans son anus. Comme celui-ci était encore mouillé, je n’ai pas eu beaucoup de mal à l’enfoncer. Jolanda sembla apprécier. Je ressortis mon doigt et le suçais, me régalant du jus de son cul.

– Petit cochon ! Ma taquina-t-elle

Quelques minutes plus tard, je retirai mes mains de son corps en feu, et vu la position au combien tentante, je l’ai prise par derrière et dans un mouvement régulier comme une pendule j’ai commencé à la faire jouir.

– Oh, oui vas-y, c’est si bon de se faire enculer !

Une fois remise de ses émotions, Jolanda me prit par la main, elle m’emmena au WC afin de satisfaire une envie pressante. Je pu ainsi profiter de la vue de son petit pipi. Nous étions tous les deux nus et cela nous faisait baigner dans la douceur et le bonheur. Enfermés tous les deux dans les toilettes nous nous embrasâmes le temps pour elle de finir de se soulager. Cela semblait presque irréel. Quand elle eut fini, je dus pisser à mon tour.

– Pisse moi dessus, petit cochon !

Je visais sa jolie poitrine, mais elle se baissa en ouvrant la bouche. Pas difficile de deviner ce qu’elle souhaitait et je lui offris à boire ma pisse tiède… Nous sortîmes enfin des toilettes et nous sommes allés dans ma chambre.

La lumière de la veilleuse donna l’ambiance et je mis en marche la chaine hifi avec une compilation de musique classique pour piano. Jolanda s’étendit dur le lit et me tendit les bras pour me faire signe de venir sur elle. M’appuyant sur les bras je me mis sur son corps et lui donna un baiser fiévreux tant mon ardeur montait de plus en plus. Puis je parti à la découverte de son corps. Ses formes, ses contours, ses lèvres tous cela je le fis du bout des doigts. Les sensations pour elle devenaient de plus en plus fortes et je voyais que son trésor suintait de plaisir. Puis ce fut à mon tour de m’étendre, elle passa ses doigts le long de mon corps comme pour en faire le tour complet, puis elle me fit mettre sur le ventre et commença un massage. Elle se mit à califourchon sur mes fesses et me frotta le dos. Son massage était très sensuel et je sentais l’humidité de sa toison sur mon cul. Puis elle glissa un peu sur mes jambes et commença à frotter ses seins sur le bas de mon dos. Les petits bouts qui étaient à nouveau durs en disaient long sur ses désirs. Elle glissa une main sous mon corps et attrapa mon sexe. Je me remis sur le dos et elle me masturba quelques instants avant de s’installer dessus. Elle enfonça mon pénis dans son cul et par de petits mouvements en suivant le rythme de la musique, elle me fit parvenir au sommet de mes sensations en m’introduisant un doigt dans le cul au moment où elle aussi atteignait l’extase.

Fin

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Sous la douche par Belle-cour

  1. Sapristi dit :

    C’est très curieux les douches érotiques, car d’une part c’est très excitant mais d’autre part la peau mouillée cesse d’être douce

  2. Biquet dit :

    Prendre sa douche à deux, c’est économiser de l’eau

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *