Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 7 – Partouze chez Henriette par Maud-Anne Amaro

Revenons au cœur du récit de Diégo.
Celui-ci se demande comment agir et n’ose pas le faire au Café des Oiseaux où il est trop connu, par crainte de se faire repérer. Sachant que Baudoin se rend l’après-midi au Bistrot des Chasseurs, c’est le matin qu’il y effectue une petite visite.
Et c’est là qu’il aperçoit Bruno Lelong attablé devant un échiquier et absorbé par la position de ses pièces…
Les deux hommes ne se fréquentent pas, ils ont fréquenté le lycée dans la même classe mais ne jouaient pas dans les mêmes bandes. Si Diego faisait partie des caïds de cours de récréation, trouvant fort malin d’harceler les plus faibles, Lelong, lui en raison de son aspect chétif se faisait constamment chahuter et humilier. Donc aujourd’hui non seulement ils ne se fréquentent pas mais ils s’ignorent superbement.
Et pourtant aujourd’hui Diego s’approche de lui.
– Alors on ne salue pas les vieux potes ?
– Fous moi le camp ! Je te connais pas ! Répond Lelong.
– Je voulais juste te proposer une affaire…
– Ben ça tombe mal, je n’aime pas les affaires louches.
– Je te files 300 balles pour un truc qui va durer un mois, ce sera peut-être renouvelable.
– Fous-moi le camp !
– Tu connais le fils Bayeul ?
– De vue ! J’ai joué aux échecs une fois avec lui, mais c’est tout.
– Il est fort aux échecs ?
– Pas trop, non !
– Tu vas t’arranger pour jouer tous les jours avec lui et tu le laisseras gagner on va dire quatre fois sur cinq.
– C’est tout ?
– Ben oui tu vois, c’est pas terrible !
– Et l’intérêt ?
– On va dire que ça ne te regarde pas. Ah, il y a un petit truc en plus, une fois la partie terminée, tu l’accompagneras à la sortie et tu lui offriras une cigarette…
– Je ne fume pas…
– T’as raison, c’est pas bon pour la santé, donc je te file trois paquets de Marlboro, à la sortie tu lui en offre une, la tienne tu fais semblant de l’allumer et tu la jettes sans qu’il ne le voie. (ou tu l’as remet dans le paquet)
– Attends, ça devient louche, là !
– Y’a rien de louche, mais je ne peux pas t’en dire plus.
– Si tu ne me dis pas ce qu’il y a dans les cigarettes, je laisse tomber !
– Tu fais chier ! C’est juste un philtre d’amour !
– Hein ?
– Tu connais Garance Nouret ?
– Non !
– C’est un canon, avec des formes, je ne t’en parle même pas… Je suis amoureux d’elle, seulement le fils Bayeul lui tourne autour et ça à l’air de marcher. Alors mon plan c’est de rendre Bayeul amoureux d’une autre et comme ça la voie sera dégagée pour moi.
Il est tout fier de son improvisation, Diego !
– Mais concrètement tu vas faire comment ? Demande Lelong.
– Bon t’en sais déjà assez, je ne vais pas te raconter ma vie. Alors tu marches ou pas ?
– Tu ne peux pas augmenter la prime… un tout petit peu ?
– On passe à 400, mais je n’irais pas plus haut !
La procédure était lancée, mais Diego se demandait comment vérifier que le produit agissait correctement.
Ce n’est qu’une dizaine de jours plus tard qu’eut lieu cette scène au Café des Oiseaux.
– Ben dit donc, Baudoin, t’en fais une tronche, t’as des ennuis ? Lui demande Pédro, un petit moustachu tout en nerfs.
– Des ennuis, non mais je dors mal !
– Et t’as cherché à savoir pourquoi ?
– En fait j’ai comme des hallucinations, des visions même !
– Et c’est quoi tes visions ?
– La Vierge Marie !
– V’la autre chose ! Et elle te parle ?
– Non, elle suce des bites !
– T’as pas honte de dire des choses pareilles ?
– Non puisque c’est la vérité !
– T’es en train d’insulter la religion là ! S’énerve Pedro en attrapant Baudoin par le colbac.
– Mais pas du tout, calme-toi !
– Barre-toi d’ici, si tu veux déconner avec la religion, tu vas avoir affaire à moi, il y a des choses que je n’admets pas ! La religion c’est sacrée !
Et Pedro continue à le secouer, Baudoin le pousse violemment pour se dégager. Mal lui en a pris, l’autre se jette sur lui et le tabasse à ce point qu’on est obligé de les séparer.
Le nez et les lèvres en sang, Baudoin quitte l’établissement.
Diégo qui était tout près pendant la bagarre boit du petit lait ! Le plan cigarettes fonctionne à merveille !
Et c’est quelques jours plus tard, toujours au Café des Oiseaux qu’un autre des piliers de bar fit savoir à Diego que Baudoin avait sollicité le concours d’un exorciste pour le libérer de ces visions.
– Mais ça ne va pas du tout, ça !
Sans plan précis Diego fit le pied de grue devant la résidence des Bayeul et quand Béatrice en sorti, il voulut l’intimider, ce qui faillit marcher, mais faillit seulement.
Et après ce long et nécessaire flash-back on peut revenir au présent.
– Vous vous intéressez à l’occultisme ? Demande Diego.
– Qu’est-ce que ça vient foutre là-dedans ? Répond Gérard qui ne comprend pas cette digression.
– J’ai droit au silence, non ? Rétorque Diégo retrouvant une partie de sa superbe.
– Non ! Pour l’instant tu n’es pas en garde à vue. Tu n’es qu’un minuscule maillon dans une affaire dont tu ne peux même pas imaginer l’importance.
Gérard a toujours eu le don de raconter n’importe quoi pour déstabiliser ses interlocuteurs.
– Alors reprend-il, je te propose un deal, tu m’expliques pourquoi tu voulais rendre dingue Baudoin Bayeul, et on te foutra la paix.
– Je peux me consulter avec mon épouse ?
– Certainement pas !
Diego souffle un grand coup et se lance.
– Je vous ai parlé d’occultisme, on est tombé sur un vieil opuscule pas très clair mais qui raconte que quelque chose d’important est caché dans le domaine de Madame André. Seulement ça peut être n’importe où, autant chercher une aiguille dans une botte de foin.
– N’importe quoi…
– Non, non ce n’est pas n’importe quoi, on a relu le texte et on a traduit les passages en latin. Et l’un de ces passages précise que si on veut trouver ce qu’on cherche il faut se faire aider par un fou
– J’ai bien l’impression que le fou dans cette affaire c’est toi. Alors dernière chance tu me racontes quelque chose qui tienne debout, sinon on t’embarque.
– Mais je vous dis la vérité ! Yvette montre le bouquin au monsieur.
Yvette sort d’un tiroir l’opuscule et l’ouvre à la bonne page.
– Voilà, c’est là ! Vous lisez le latin ?
– J’ai des vagues souvenirs… Intervient Brigitte Silverberg qui lit difficilement le passage
– Alors ? S’impatiente Gérard.
– La fin peut se traduire par « un fou pourra t’aider »… non c’est « seul un fou pourra t’aider. »
Du coup Gérard est sur le cul ! Jamais quelqu’un n’aurait pu inventer ou préparer un alibi pareil. Il est persuadé que Diégo ne ment pas et que l’individu est réellement un fada d’occultisme.
– Bon ! Je vais tenir parole et on va te foutre la paix, j’y mets cependant deux conditions. La première c’est ta promesse de laisser le fils Bayeul tranquille…
– Pas de soucis…
– La seconde c’est d’éviter tout acte malveillant envers qui que ce soit.
– Comment ça ?
– Je suis assez clair, non ? Pour ma part je vais faire un rapport que je garde pour moi pour l’instant. Au moindre écart, je sors le rapport et tu tombes pour trafic de drogue. Maintenant on va vous laisser. Ah, évidemment j’embarque les paquets de cigarettes.
En descendant Gérard et Brigitte rejoignent Florentine et Lelong dans la voiture
– Bon, toi, en principe tu n’as rien à craindre, j’ai foutu une trouille bleue à ce Diego Lopez. Si toutefois il tentait quelque chose, tu iras déposer une main courante à la gendarmerie et surtout tu m’appelles, voici mon numéro. Allez, on te raccompagne chez toi, on n’est pas si vache.
Gérard téléphona ensuite à Martinov.
– Ça y est, c’est réglé, on rentre à l’hôtel et on pourrait faire le point chez Bayeul demain matin disons à 10 heures.
Mais le professeur rappelait quelques minutes plus tard.
– Bayeul et sa mère sont impatients de savoir comment ça s’est passé. Ils vous proposent de passer ce soir…
– On n’a pas bouffé…
– Eux non plus, ils mangent tard, ils m’ont dit qu’ils pourraient gérer.
Après avoir recueilli l’avis favorable de Florentine et de Brigitte, Gérard accepta donc cette invitation.
– On va faire ça à la bonne franquette, patates au four, charcuterie et fromages, ça vous va ?
– Mais avant on va sabler le champagne…
– On en a à la cave… et du bon !
Et c’est dans une joyeuse ambiance que Gérard décrivit sa virée chez Diego Lopez.
– Me rendre fou ! Mais c’est lui qui est dingue ! Mais l’essentiel c’est que vous avez fait du bon boulot ! S’écria Baudoin en levant son verre.
– Pour nous l’affaire est terminée, mais bien sûr si ce Diego retentait quoi que ce soit, il faudra me prévenir d’urgence ! A la vôtre !
Il faut attendre un peu afin que les patates soient prêtes. Le professeur est assis à côté d’Henriette mais reste sage, présence du fiston oblige.
Henriette n’a pas ses scrupules et lui prend la main et la caresse. Elle devient chaude l’Henriette.
Alors récapitulons, nous avons autour de la table, d’un côté, Henriette entourée de son fils et du professeur Martinov. De l’autre côté, Gérard entouré de Brigitte et de Florentine. Quant à Béatrice, elle est en bout de table.
Baudoin se lève pour servir le champagne, on boit, on trinque, Gérard raconte ses exploits du jour avec force détails captivant l’assistance.
– C’est magique le champagne, ça a tendance à me rendre amoureuse ! Reprend Henriette en saisissant de nouveau la main du professeur qui ne la refuse pas…
Ses yeux parlent pour elle, manifestement, elle a envie de se taper le professeur, ne pouvant pour le moment rien faire de plus elle se contente de lui susurrer à l’oreille :
– Tout à l’heure dans ma chambre ?
– Avec plaisir !
Gérard qui a perçu leur manège tente un « coup de poker »
– Seriez-vous libertine, Madame Henriette ?
– Pourquoi cette question ? Disons que j’aime bien les bonnes choses de la vie.
– Mon épouse et moi sommes assez libertins, nous fréquentons le Cap d’Agde et parfois ce n’est pas triste.
Gérard attend donc une éventuelle relance et ça ne loupe pas…
– Pas triste ? Vous n’en dites as assez !
– Disons que les occasions de partouzer sont fréquentes, alors on ne se prive pas.
– Et en dehors du Cap d’Agde ?
– Quand on est libertins, on l’est partout ! Ce n’est qu’une question de circonstances.
– Je vois, je vois ! Et vous, Mademoiselle Béatrice.
– Moi ? Je suis assez libérée en fait.
– Arrêtons cette conversation, ça devient chaud, nous allons finir par choquer Madame la détective.
– Mais je ne suis pas du tout choquée, je trouve cette conversation très intéressante, ne vous gênez pas pour moi. Répond cette dernière.
– Donc personne né sera gênée si j’embrasse ce cher professeur, là, tout de suite.
Et comme personne n’objecte, Henriette roule une pelle à Martinov devant tout le monde.
Ce dernier se doutant que les barrières sont prêtes à tomber en profite pour lui peloter les seins d’abord à travers son vêtement, puis en la dépoitraillant carrément.
Gérard se dit alors qu’il peut lui aussi donner un coup de pouce afin de faire démarrer cette partouze. Il attire donc Brigitte qui est à ses côtés, l’enlace, l’embrasse goulument et lui glisse sa main dans le soutien-gorge.
Voyant cela, Henriette n’a plus aucun scrupule et remisant ses hésitations au placard, vient tripoter la braguette du professeur, la dézippe et en en extrait un pénis quasi-raide
Nous avons donc à ce moment deux couples en action d’autant que Brigitte se retrouve complétement dépoitraillée sous les mains audacieuses de Gérard Petit-Couture
Florentine se lève et s’en va offrir ses lèvres à Béatrice qui ne saurait les refuser.
Seul Baudoin semble faire banquette ! Serait-il timide à ce point ? Mais pas du tout ! Regardez mieux où sont ses mains à ce petit cochon !
Elles sont sur les cuisses de Maman Henriette, d’ailleurs on devrait dire entre ses cuisses, laquelle ne s’offusque pas le moins du monde de ce geste incestueux.
La porte de communication qui était juste poussée grince. Et si elle grince ce n’est certes pas parce qu’elle est outrée par cette orgie naissante, mais parce que le chien de la maison à l’odeur alléchée vient voir ce qui se passe en ce lieu !
Brigitte le voit arriver et se dit « Tiens ! »
– Oh le gentil toutou ! Viens voir Tata Brigitte.
Le chien ne connait pas cette personne, mais devine qu’elle n’a pas de mauvaises intentions, il se dirige donc vers elle dans l’intention de faire ami-ami.
Il pose ses pattes avant sur les cuisses de Brigitte en frétillant de la queue.
– Mais oui , t’es un beau chien…
– Méfiez-vous Intervint Henriette, il est gentil mais parfois il est un peu trop affectueux.
– Ça ne me dérange pas !
– C’est comme vous voulez, mais je vous aurais prévenu !
– Il est si coquin que ça ?
– Il n’est pas coquin, il est vicieux, mais c’est un bon chien. Je vous dis, si vous n’avez pas peur qu’il vous mette sa langue partout…
– Parce qu’avec vous il met sa langue partout ?
– Hi ! Hi !
Ce qui ne constitue pas une réponse mais un peu quand même !
– Alors d’accord je vais me laisser faire ! Répond Brigitte par défi.
Cachée partiellement par la table, Henriette entame une double branlette, Martinov d’un côté, son fils Baudoin de l’autre… On ne la voit pas mais elle ne peut dissimuler ses mouvements de de bras.
« La province profonde, terre de tous les vices cachés et de toutes les hypocrisies… » Disait le curé local qui pourtant ne donnait pas l’exemple.
On rigole, on picole, on ne s’enivre pas, il faut bien rester conscient dans ces moments-là, n’empêche que l’alcool est un excellent désinhibiteur. A ce point que la Henriette complétement barrée, finit par s’écrier :
– Lâchez-vous tous, ce soir tout est permis ! C’est la fête !
Et le voilà qui disparaît du champ de vision de ceux qui sont en face d’elles (a-t-on idée aussi de partouzer autour d’une table ?) Alors on ne voit rien mais on devine qu’elle est en train de sucer la bite de Martinov.
Brigitte et Béatrice s’en foutent, elles jouent avec le chien… un drôle de jeu, puisqu’elles ont chacune baissé pantalon et culotte pour laisser libre accès à la langue du chien.
– C’est bon la chatte, hein mon toutou, c’est meilleur que le Fido !
Il ne répond pas (c’eut été surprenant) mais la façon dont il agite la queue tel un métronome montre qu’il apprécie la situation.
Seuls Gérard et son épouse Florentine ne sont pas entrés dans la danse. Les règles non écrites d’une partouze veulent que lorsqu’un couple participe, chacun se débrouille de son côté.
Aussi Gérard se lève-t-il pour aller voir de l’autre côté de la table ce qui s’y passe d’autant qu’il n’est guère indifférent aux charmes matures de la belle Henriette.
Il pensait trouver Henriette en train de turluter le professeur Martinov. Mais ce n’est pas à lui que la mature prodigue une gâterie, mais à son propre fils. Tandis que sa main branle énergiquement la bite du professeur.
– J’espère que je ne vous choque pas ! Dit simplement Henriette en remarquant son arrivée.
– Oh ! Vous savez, j’en ai vu d’autres.
– J’admire votre ouverture d’esprit ! Je ne sais pas si c’est normal ou pas mais je m’en fous, je ne fais de mal à personne. Que voulez-vous, il a des choses que je ne peux m’empêcher de faire. Je ne vois pas pourquoi je me priverais d’une si belle bite !
– C’est vrai qu’elle a l’air appétissante !
– Ah ? Parce que vous aussi ?
– Comment ça moi aussi ?
– Vous ne seriez pas un peu à poil et à plume ?
– Je ne la connaissais pas celle-ci, mais c’est un peu ça, oui !
– Alors, allons-y, Baudoin je crois que le monsieur aimerait te sucer un petit peu…
– Puisque c’est la fête !
Et c’est ainsi que Gérard se retrouva avec la bite du fils Bayeul dans la bouche.
Déplaçons-nous d’un quart de table pour retrouver Béatrice et Brigitte désormais affalées sur le tapis et tripotant le chien couché à l’envers. La détective privée a tôt fait de sortir la bite du chien de son fourreau et de la branloter avant la prendre en bouche et de la partager avec Béatrice.
Quelle orgie, mes mais ! Mais quelle orgie !
Et Florentine ?
Elle fait banquette.
« Personne ne s’intéresse à moi, je suis peut-être devenue moche ! »
Florentine moche ! Allons donc ! Ce n’est plus vraiment une jeune fille, mais dans la catégorie MILF elle ne rencontre aucune difficulté à jouer les canons !
Martinov excité comme un pou complimente Henriette :
– Madame Henriette, votre poitrine est magnifique !
– Hi ! Hi !
– Si j’osais je coincerais volontiers ma bite entre vos nichons !
– Mais faites donc, gros coquin.!
Et voilà donc Henriette et Martinov en pleine cravate de notaire.
– Hum, cette jolie bite je la verrais bien dans mon cul !
– Ce sera avec plaisir !
– Mais léchez moi le fion d’abord, ça entrera mieux
Pas contrariant, le professeur fit donc feuille de rose à la belle mature.
– Le goût de mon cul vous plait-il ?
– Ma foi il sent un peu l’andouillette, mais ce n’est pas pour me déplaire.
Et sur ces entrefaites le professeur après s’être encapoté se mit à enculer la belle Henriette en cadence, la faisant miauler de plaisir jusqu’à ce qu’il prenne à son tour son pied en gueulant comme un putois
Florentine aperçoit Martinov qui se redresse ! Il est fâché ? Non pas du tout, il s’en va pisser… Voilà donc une place qui se libère… et hop la voilà qui se dirige de l’autre côté de la table.
– Oh les petits cochons ! S’exclame-t-elle quand elle découvre Gérard en levrette à même le sol se faire sodomiser par le fils Bayeul en plein forme.
– M’en parlez pas ! Se gausse Henriette.
– Vous avez une bien jolie poitrine Madame Henriette.
– Je ne me plains pas ! Mais je suis certaine que la vôtre est encore plus belle.
– Vous voulez donc la voir ?
– Ben oui !
Florentine retire son chemisier puis son soutien-gorge. Les deux femmes se font face à face, seins contre seins, mais aussi bouche contre bouche. Le baiser est fougueux et après quelques pelotages bien partagés, les deux femmes roulent dessous la table pour entamer un soixante-neuf torride.
Et quand le professeur Martinov revient des toilettes, il ne peut que constater que tout le monde est au sol Brigitte et Béa avec le chien, Henriette et Florentine qui se gouinent et Gérard et le fils Bayeul qui joue à la bête à deux dos.
Ces deux-là ont quasiment terminé, Baudoin crie sa jouissance avec un cri de loup garou. Gérard qui se masturbait en même temps a le trou du cul en choux-fleurs mais se termine manuellement.
Et quasiment en même temps nos deux gouines matures s’envoient au ciel et se relèvent à moitié groggys.
– On sont les toilettes demande Gérard.
– Coquin comme vous êtes, je me demande si cela ne vous amuserait pas de me pisser dessus..
– Mais vous êtes vraiment une coquine !
– Une gosse coquine !
– Alors ouvrez la bouche !
Inutile de préciser que la belle Henriette apprécia ce divin breuvage.
Tout le monde est debout à présent… mais il manque Béatrice et Brigitte, elles ne sont pas sous la table, ni dans la salle bain ni aux toilettes. Quel est donc ce mystère ?
En fait elles avaient emmené le chien à l’extérieur afin qu’il fasse son petit pipi ! Donc point de mystère
A suivre
Tant que les partouzes ne sont pas interdites par les revenant(e)s de l’odre moral, profitons-en gaiement !
Délicieux épisode ! Pourquoi n’ai-je pas été invité à cette partouze ?
Henriette aime la quéquette…
D’ordinaire ces partouzes infernales où tout est possible intervenient en fin de récit
Mais je ne pense pas que le récit soit fini… Ça promet !