Retour à la Terre 4 – L’après-midi par Lovelace

Nous sommes sur la terrasse, lézardant au soleil allongés dans nos transats, après avoir déjeuné sainement.

– Au fait, me dit Alice, j’avais oublié; Dr R… a appelé.
– Tiens donc ! Qu’est-ce qu’il voulait ?
– Savoir si notre week-end s’était bien passé, si nous étions contents du temps.
– C’est tout ?
– A mon avis, il venait à la pêche, glissant des perches du genre : « je pensais que vous feriez escale à Noirmoutier, on comptait vous y voir » – ou : « ma femme aurait été heureuse de vous rencontrer, vous lui semblez sympathiques », enfin tu vois quoi !
– Tu crois qu’ils auraient aimé partouzer ?
– C’est bien ce que j’ai senti en tout cas.

Un bruit de moteur et deux coups de Klaxon interrompent notre conversation, je reconnais la voiture d’Alice.

– Tu ne leur as pas expliqué que le portail s’ouvrait automatiquement ?
– Si, mais ils doivent sûrement vouloir nous prévenir de leur arrivée, au cas où !
– Ce serait drôle qu’ils soient gênés d’arriver pendant qu’on s’envoie en l’air !
– Ce n’est pas pareil de partouzer et de surprendre un couple qui fait l’amour !

Sur ces entrefaites, nos deux loustics débarquent et se plantent devant nous.

– Alors comment vont les tourtereaux ?
– Bien et vous, la plage était sympa ?
– Pas mal oui, quelques beaux couples, l’eau un peu fraîche, mais soleil brûlant !
– Vous allez faire du naturisme pour mater les autres ?
– Pas que, pour nous exhiber aussi !

Lucie me toise :

– Dis donc, vu l’état de ton gland, tout gonflé et irrité tu as bien donné non ?
– On s’est bien éclatés tout à l’heure; vous avez mangé ?
– Non on n’a pas faim, pas de bouffe en tout cas ! Mais tous ces corps nus autour de nous, ça nous a donné des idées ! !
– Vous êtes des obsédés !
– Et vous des pervers !
– C’est vrai ! Et le pire c’est qu’on aime ça ! Au fait le SPA est branché, si vous voulez vous détendre.
– Humm ! Sympa, ça c’est une bonne idée ! Tu viens Yann ? Demande Lucie en se déshabillant.
– J’arrive, dit-il en faisant de même.

Nous remarquons avec Alice, que le garçon a d’autres velléités que de se détendre ! Est-ce de nous voir nous prélasser à poil où des souvenirs de la journée à la plage ?

Lorsqu’ils reviennent, une demi-heure plus tard, Yann s’est vraiment détendu ! Son pénis est moitié plus petit ! Par contre Lucie a dû trouver le moyen de se faire plaisir avec les jets car elle a un air lubrique que nous connaissons bien maintenant. Ça ne manque pas

– C’est génial, votre truc, je devrais dire génital ! Quel pied !
– Et toi Yann, tu n’as pas aimé ? Lui demande Alice.
– Si si, mais je me suis fait mal aux couilles ! Les remous me les ont trop secoué.
– Montres-moi ça, c’est sûrement rien. Dit Alice
– Attends, j’ai un truc moi, pour ça

Je lui applique une technique apprise au Judo, pour soigner les petits bobos, et ça marche !

– Ça va mieux ?
– Oui, mais je sens encore une gêne, comme si elle avait été vrillée !

Alice l’embrasse sur la couille endolorie, et en profite pour lui lécher la queue, la prend en bouche et le regarde avec ses yeux coquins :

Effectivement, sa queue a retrouvé sa vitalité, et ses sacs, sont détendus !

– J’aime mieux te voir comme ça dit Lucie, j’ai eu peur.

Lucie et Yann s’asseyent près de nous. On se raconte notre journée; Alice ne peut s’empêcher de leur faire savoir que j’ai sauté mon assistante, ce matin.

– Et ça t’a plu de sauter une gamine ? Demande Lucie
– Ce n’est pas vraiment une gamine, elle a 22 ans !
– Et c’est quoi le mieux, une jeunette ou des vielles peaux comme nous ?
– Ce n’est pas pareil, à vrai dire, je vous préfère, sans conteste; l’expérience paye toujours !
– T’est quand même un beau salaud, faire ça dans le dos de ta femme !
– Ce n’était pas dans son dos, je l’ai même annoncé au téléphone juste avant !
– C’est vrai, dit Alice, il a osé me le dire au téléphone et devant-elle en plus !
– Quel pourri ! À la place de la fille, je t’aurai balancé une de ces baffes, moi ! Quel prétentieux !
– Elle en mourrait d’envie et ça se voyait, dis-je pour ma défense
– Il fallait vraiment qu’elle soit dans un drôle d’état pour accepter de se faire sauter, après que tu l’aie annoncé à ta femme, c’est super vexant !
– Elle avait très faim, avance Yann
– Une Biafraise de l’amour ! S’en amuse Alice.
– Remarque, dit Lucie, je suis un peu dans cet état là, moi en ce moment !
– Vu l’heure on ferait bien de se préparer à l’arrivée de Pierre et Viviane.
– Exact, ils seront là d’ici une demi-heure.

Nous nous dirigeons vers nos chambres, pour nous préparer. Je laisse Alice se doucher en premier, pendant ce temps, je me rase de près. Je remarque que madame, se lave de fonds en comble y compris à l’intérieur en prévision de la soirée qui s’annonce chaude; je ferai pareil, c’est plus agréable pour les ébats !

Alice enfile une petite robe rouge qui ne cache pas grand chose de son anatomie. Les bretelles larges et plissées, partent du nombril et recouvrent à peine la moitié de ses seins. Elle belle et d’un sexy !

Pour ma part, j’enfile un pantacourt blanc qui ne masque pas grand chose non plus, le tissu fin est presque transparent ! Et je mets une chemise blanche par dessus.

Quand nous redescendons, Yann et Lucie sont déjà en bas. Lucie est habillée, si l’on peut dire, d’une robe courte, blanche, tellement près du corps qu’on a l’impression qu’elle porte une deuxième peau. Ça va être dur de rester serein !

A suivre