Plage
par picto
Quelques jours au soleil. Quelques jours à la mer.
La plage est belle, sable fin, odeur des forêts de pins pas loin. Un petit paradis.
Peu de monde en cette fin de saison.
Je nage un peu à l’écart. J’ai l’habitude d’enlever mon maillot que je garde noué au poignet.
Un délice d’être nu dans l’eau, au milieu des vagues.
Ce matin un jeune homme nage pas loin. Quelques regards échangés entre 2 vacanciers.
Crâne rasé, corps joliment dessiné, bronzage doré.
A la faveur des vagues, nous nous rapprochons. J’en profite pour me relever et lui dévoiler mes fesses alors qu’une vague arrive.
Nouveaux regards. Je retente l’expérience, histoire de voir s’il mord à mon hameçon ! Cela n’a pas l’air de le déranger, en tout cas il ne s’éloigne pas.
Pour finir d’éveiller son intérêt, je me retourne et lui laisse voir mon sexe. Je guette sa réaction. Ses yeux restent rivés.
– C’est agréable de nager nu, lui dis-je.
– Plutôt agréable oui, me dit-il.
Je remets mon maillot et lui souhaite une bonne journée. Je marche vers la rive et me retourne pour voir s’il nage encore. Il me suit.
Je ramasse ma serviette. Me sèche à peine et marche vers les pins. Il me suit toujours. Battements de cœur sourds.
Le sable colle à mes pieds et je sens mon maillot humide sur mon sexe et mes fesses. Impression moite et poisseuse qui finit de m’exciter.
Une fois éloigné de la plage, je m’arrête aux pieds de pins. M’adosse à un tronc.
Le garçon arrive. Serviette sur l’épaule. Lui non plus n’a pas pris le temps de se sécher.
Il s’approche et je me sens finalement un peu désemparé : que va-t-il faire ?
Il pose sa serviette et se colle doucement à moins. Je sens la forme de son sexe sur mon sexe alors qu’il m’embrasse le coin des lèvres. Tendrement. C’est comme une caresse. Ses lèvres ouvrent mes lèvres, sa langue cherche et trouve ma langue. Je tangue, je coule.
Il appuie fort son sexe contre le mien. Le maillot humide est comme une décharge glacée.
Je prends ses fesses dans mes mains. Je glisse sous son maillot. Sa peau est fraîche.
Il m’embrasse toujours aussi lentement. J’ai l’impression qu’il attrape tout mon corps par ses baisers.
Il s’écarte légèrement. Il descend mon maillot jusqu’aux genoux. Il me reprend dans ses bras. Je me sens bien, nu devant lui.
Son sexe barre mon sexe. Je dégage ma bouche. Je n’y tiens plus. Il me faut son sexe.
Je m’agenouille. Mon maillot entrave mes cuisses. Et j’ai l’impression d’être ligoté.
Je fais glisser son maillot. Son sexe tout frais glisse dans ma bouche. Un sexe épais. Gland large. Peau veinée. Je devine tout son sexe avec ma langue.
Mon visage glisse sur son ventre à mesure que je le suce. Tout son corps est doux, léger.
Je prends ses couilles dans ma main et il jouit. Dans ma bouche.
Je me relève et l’embrasse. Profondément. Je lui donne un peu de son foutre. Il le prend à pleine langue.
Je me retourne. Colle son sexe encore dur sur mes fesses. Mon maillot enserre toujours mes cuisses.
Je lui demande de me branler. Je me sens vulnérable, offert. Je me donne.
Il caresse mes seins, m’embrasse dans le cou. Je fonds sous ses caresses, contre sa peau. Mon sexe coule, mouille et j’explose alors que je sens son sexe mouiller mes reins.
Nous restons un moment accrochés l’un à l’autre. Je dormirai bien dans ses bras.
Je l’embrasse avant qu’il ne s’éloigne. C’est agréable de nager nu…
Une histoire flash qui n’a m^me pas le temps de nous exciter
court et sans style
Trop court, purement factuel, ni intéressant, ni bandant