Ma première rencontre
par Culman
J’enlève mon pantalon puis mon slip et là devant la glace je suis nu, j’ai envie de me toucher, d’abord la poitrine puis mon ventre, je sens monter en moi le désir, je n’y tiens plus mon sexe me réclame je commence à me branler, ma queue devient de plus en plus raide j’en oubli l’endroit ou je me trouve, je jette un regard entre le mur et le rideau et là je sens un regard, depuis quand est-elle là ?
Sait-elle que j’ai surpris son regard posé sur mon sexe. Je crois que cela lui plaît elle reste là, elle s’approche, alors pourquoi ne pas continuer, qu’elle sensation extraordinaire de ce sentir espionné. Je sens son souffle, sans rien dire elle glisse sa main sur mes fesses puis d’une main habille me prend les couilles à pleine main, je continue à me branler avec l’espoir de sentir sa main prendre ma queue et me finir sur elle. Que fait-elle… elle enlève sa culotte qu’elle pose devant moi que veut-elle, je continue de mastiquer, je sens que je vais éjaculer, sa main vient sur ma bouche masquer ma jouissance puis elle me dit de me vider sur sa culotte, et mon sperme vient inonder sa petite culotte, puis d’un geste lent prend sa culotte et la remet sur elle en la frottant sur sa vulve. Avant de partir elle me dit qu’elle reviendra samedi et qu’elle ramènera sa culotte puis disparaît.
A mon tour je sors de la cabine la cherchant du regard, je ne la trouve pas je décide donc de quitter le magasin, mais soudain je la croise elle n’est pas seule, je la suis, le type rentre dans un magasin elle reste à regarder la vitrine je m’approche et glisse ma main entre ses cuisses je sens sa culotte trempée de sperme elle me jette un regard. Vivement samedi
J’ai passé une semaine comme jamais, le fait de savoir que je serai là aujourd’hui ma donné la pêche. Ce matin je suis parti vers 11 heures de chez moi car suite à ma première rencontre dans le magasin de sport au centre commercial elle m’avait dit « à samedi » j’ai pensé revenir vers la même heure. Cela fait plus de trois quarts d’heure que je suis là et toujours personne… et si elle ne venait pas… et si elle s’était amusé avec moi et puis basta après tout cela favorisera peut-être une autre rencontre tout aussi prolifique et en plus j’ai rien contre.
Mais non je crois la reconnaître dans l’allée qui vient du parking. Oui c’est bien elle il me semble qu’elle est en compagnie d’une autre femme, elle fait demi tour, je la suis, elle traverse le parking se dirige vers la station service, elle entre, va vers la machine à café, se retourne elle sait que je l’ai suivi, me lance un regard, je suis fasciné par cette femme. Il faut absolument que je vous la décrive : pour moi elle à la quarantaine assez classe, taille 1,70 m lunettes noires petite robe et boléro.
Bon pourquoi sommes-nous dans cet endroit ? Je me rend compte que c’est encore elle qui dirige le bal, elle doit savoir ce qu’elle fait. A cette heure la station est pratiquement vide, elle se dirige vers les toilettes, oui mais dans la partie homme, pas de soucis j’emboîte le pas. Surprise : personne mince où est-elle passée ?
Je rentre dans une cabine en me disant que la dernière fois elle a bien su me trouver alors je laisse la porte légèrement ouverte et ouvre ma braguette pour laisser jaillir ma queue qui déjà réclame de la tendresse, comme d’habitude je me caresse les couilles puis saisis ma queue et me branle lentement. Que fait-elle cette « salope » ?
Comme par enchantement elle est de retour elle referme la porte et le verrou je tente de tourner la tête pour la voir mais elle refuse, sa main vient au creux de mon dos et me force à me tendre vers elle je n’ose imaginer ce qu’elle veut je sens son souffle ses mains écarte mes fesses sa langue lèche mes fesses je n’ose espérer que sa bouche se pose sur ma rondelle. Mon dieu elle me lèche la rondelle avec tellement de tendresse que je sens monter en moi une sensation très électrique, il faut que cela dure longtemps, longtemps, je sens que mon anus s’écarte doucement elle me lèche de plus en plus vite elle adore. Que me réserve t-elle ?
Et si elle glissait ses doigts dans mon cul me faire dépuceler par une femme pourquoi pas ?
J’entends que l’on frappe à la porte, elle ouvre puis la porte se referme. Je sens de nouveau ses mains sur mes fesses elle m’écarte et introduit un doigt dans mon cul. J’adore je lui fais savoir par un « encore » et là un autre puis un autre. Je viens de me rendre compte que nous ne sommes pas seuls, son amie nous a rejoint, elle fouille dans son sac sort un tube et m’enduit l’anus d’un gel, je trouve cela très agréable et en plus ses doigts rentrent bien, d’ailleurs je ne sens plus mon anus, un vrai délice, mais jusqu’où va t-elle aller ?
Je me demande comment cela va se terminer, la réponse vient de m’être donné car d’un seul coup je viens de sentir en moi un membre. Elle en fait est un travelo, sa copine est un travesti, je me fais enculer par un mec, le bonheur total.
Il est bien membré je sens ses couilles taper sur mes fesses. Pourvu que cela dure, je bouge mon cul pour lui faire comprendre que j’adore, elle vient enfin se positionner devant moi et me donne un baiser sans la langue puis remonte sa robe enlève sa culotte la même que la dernière fois pleine de son foutre et me montre sa chatte toute rasée elle est vraiment belle elle se caresse elle est toute trempée.
Elle me dit que son amie s’appelle Tania, mon cul est de plus en plus ouvert et réclame la jouissance suprême se faire remplir bien au fond je sens que cela ne vas pas tarder Tania à le râle de la jouissance plusieurs jets puissant m’envahissent l’anus le plaisir suprême, je sens que la salope qui se branle devant moi va aussi jouir sur ma figure et d’un seul coup des jets de pisse chaude m’arrose copieusement j’adore. Tania vient de quitter le toilette, ma divine me laisse sa culotte et me dit que samedi prochain je devrai la retrouver à la gare, que je devrais porter sa culotte toute la semaine et surtout jouir et pisser dessus car Tania aime bien lécher sa culotte. Elle m’embrasse de nouveau sur la bouche et me dit de l’appeler « Maîtresse »
Vivement samedi…
La dernière phrase ne sert à rien
J’ai beaucoup aimé, ma bite aussi