Ma mère, ma sœur et moi par James01
Rapide présentation, Je suis Ludo 29 ans, ma sœur se nomme Claire, 25 ans et ma mère Virginie.50 ans
Je suis célibataire et je vis à Paris, ma sœur Claire est montée quelques jours dans la capitale pour affaires et je l’héberge, et comme nous sommes fort proches, l’hébergement comprend également le plumard dans lequel nous nous sommes échangés de douces caresses et de tendres câlins, mais là n’est pas notre propos d’aujourd’hui.
Ma mère revient aujourd’hui d’un déplacement professionnel à Frankfort et m’a demandé de la récupérer à la Gare de l’Est.
– Ça va faire un an que je ne suis pas montée à Paris, Maman va m’engueuler ! Me dit Claire.
– Elle n’aura pas tort, tu mérites une bonne fessée.
– Une fessée, oh, oui, je veux bien ! Sinon tu fais toujours des choses avec elle ?
– Les occasions deviennent rares, mais peut-être qu’aujourd’hui… J’aime tellement lui lécher la moule !
Un parfum capiteux envahi la voiture. Hypnotisé par la naissance de la culotte de dentelle qu’on devine au haut des cuisses nues de ma tendre sœur, la gorge nouée, le feu au ventre, je cale au premier feu rouge.
– Ne fais pas le collégien, nous sommes déjà en retard. Avance ! Regarde, elle est là, elle nous attend.
Devant la gare, sur le trottoir, ma mère, nous fait signe. Elle est très classe, tailleur pantalon vert olive, foulard Hermès, chignon apprêté, une belle bourgeoise désirable !
On s’embrasse…
– Alors Claire, t’as enfin trouvé le moyen de venir à Paris ?
– Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais je suis débordée.
– Je lui ai dit que ça méritait une bonne fessée ! Intervins-je
– Ça me parait une excellente idée en effet.! Répond Maman
– Il n’est pas loin de midi, je vous paye le restaurant ? Proposais-je.
– J’ai déjà mangé un petit truc dans le train. Je préfèrerais que nous allions chez moi, après une nuit de train, je veux me rafraichir, je dois avoir une mine à faire peur.
– C’était comment à Frankfort ?
– La routine, je me suis retrouvée avec une collègue au milieu de quatre gros porcs qu’il a fallu sucer et qui me foutaient leurs sales pattes partout. Parfois c’est amusant ce genre d’extra mais là ils n’étaient pas du tout respectueux ces mecs, et obligée de fermer ma gueule, vu les contrats qu’il y avait derrière… Enfin je ne vais pas me plaindre, c’est bien payé !
On arrive chez elle, ma mère nous indique qu’elle doit se rendre aux toilettes.
– Je vais regarder ! Lui dis-je
– Petit cochon !
– Tu ne veux pas ?
– Si ça te fait plaisir, je ne voudrais pas t’en priver.
– T’es gentille.
– Je peux même te pisser dans la bouche ! Tu aimerais bien, hein, petit salopard ?
Maman s’assoit sur la cuvette, chatte en avant… je me glisse entre ses cuisses, bouche grande ouverte et reçois directement ce bon jet doré dans le gosier.
– Alors elle est bonne la pisse de Maman ? Me nargue-t-elle
– Délicieuse.
– Essuie-moi maintenant… avec ta langue..
– Non, c’est moi ! Intervient Claire qui s’acquitte de cette tâche de façon un peu trop osée, le nettoyage de minou tournant carrément au cunnilingus.
– Tss, tss, je veux bien qu’on fasse des cochonneries, mais prenons nos aises. On retourne tous au salon.
On s’assoit sur le canapé, ma mère s’est débarrassée de son pantalon et de sa culotte, et elle est là à côté de moi, la chatte à l’air, spectacle fascinant.
– Ça te fait bander de me voir comme ça ? Hein ? Me nargue-t-elle en me mettant la main au paquet.
– Ben oui…
– Sors moi donc cet engin, au point où on en est…
Me voici donc la bite à l’air.
– Hum elle est trop belle la bite de ton frère ! Dit-elle à Claire, on la suce à deux !
Quel bonheur de sentir à la fois la langue de ma sœur et celle de ma mère sur ma bite tendue comme un arc. Je baisse mon pantalon pour rendre l’accès plus facile, du coup ma mère en profite pour m’introduire un doigt dans le cul.
– T’aime ça qu’on te doigte le cul, hein pédé ?
– J’adore !
– Tu te fais enculer de temps en temps ?
– Quand j’ai l’occasion !
– Il faudra qu’un jour tu te fasses enculer devant moi ce doit être un joli spectacle !
– Ça peut se faire…
L’excitation est trop forte, je décharge, Maman reçoit mon foutre sur le visage et sur ses lunettes, Claire vient lui lécher tout ça.
– Bien, Claire je te devais une fessée, enlève le bas et couche toi sur mes cuisses.
Claire s’exécute et Maman se met à taper à mains nues sur son ravissant joufflu qui ne tarde pas à devenir cramoisie. S’arrêtant de frapper, elle lui porte la main à la chatte.
– Ça t’a fait mouiller; espèce de catin !
– Oui Maman.
– Enlève moi tout ça qu’on voit tes nichons, je vais faire pareil.
Ma pine se cabre en de longues ondes incontrôlables, devant ces deux créatures perverses.
Sans un mot, ma mère s’est levée et commence à se caresser les cuisses et les épaules. Elle s’enlace elle-même, faussement gênée. Je lui parle sans pudeur à la limite de la vulgarité, je veux me régaler du spectacle de l’inceste lesbien.
– Vas-y Maman, gouine-toi avec ta fille. Ce sera quand même plus agréable que de faire la pute avec tes clients allemands !
Claire s’approche, les deux femmes se roulent une gamelle baveuse en se tripotant mutuellement leurs jolies poitrines. Puis Claire se couche sur le canapé, les jambes écartées, offerte.
Ma mère pantelante se couche sur le corps brûlant de passion de sa fille et commence à mimer l’amour. Nouveaux baisers sur la bouche, le cou, le haut des seins qu’elle tète en faisant de longs cercles avec sa bouche et ses lèvres. Elle descend vers le ventre tout lisse, caresse les fesses et niche la tête entre les cuisses, respirant la mouille qui suinte de la grotte interdite
– Vas-y bouffe moi ! implore sa fille qui devient folle, je mouille à en crever !
La bouche de ma mère trouve le clitoris en érection, s’acharne et aspire déclenchant un premier orgasme. Partageuse, Claire veut rendre tout ce bonheur à sa mère, elle lui demande de se mettre contre le mur, face à moi ouverte. Maman dolente s’exécute, ma sœur à genoux, lèche à rapides coups de langue le sexe maternel Je dois retenir ma mère qui chancelle et tremble sous la bouche de sa fille qui la broute et les doigts déchainés qui fouillent son intimité déclenchant orgasme sur orgasme dans un couinement de truie en chaleur.
Devant ces deux chiennes qui s’agacent et se tripotent, ivre du parfum intime de ses corps qui se cherchent, je me branle comme un malade.
Je plante mon nez à quelques centimètres de l’anus de ma mère et caresse son petit trou du revers de l’ongle.
– Viole lui le cul, à cette salope ! crie Claire
J’obéis et pousse mon index au fur et à mesure des soupirs de ma mère, le désir remonte entre mes jambes et j’encule sans ménagement maman, je coulisse de plus en plus vite dans son cul, excité par les doigts de Claire qui explorent l’autre côté de la fine cloison.
– Oui mes enfants baisez moi ! Hurle maman quand je décharge tout mon jus dans ses intestins.
Lentement, les corps mélangés, nous reprenons nos esprits. Mes deux putes saisissent alors ma queue en berne et commencent à la nettoyer, les langues se touchent sur mon gland inerte.
Ma toilette faite nous nous endormons sans regret ni culpabilité ivre de ces caresses interdites dont nous savons que nous ne pourrons plus nous passer.
Fin
De l’inceste bien torché,j’ai adoré
On pourra reprocher à ce texte sa narration mécanique, mais il réussi sa fonction : nous exciter. C’est si beau l’inceste !