Lisette chez les bourgeois par Pivert

Lisette chez les bourgeois par Pivert

Lisette a 20 ans. C’est une belle jeune fille brune aux yeux noisette, pulpeuse aux formes généreuses. Mesurant 1,69 m, pour 65 kg, son principal atout est sa généreuse poitrine. Pour le reste ses quelques petites rondeurs et ses fesses généreuses lui donne beaucoup de charme. Après avoir quitté les études à 16 ans et être allée de petits boulots en petits boulots, elle se retrouve aujourd’hui sans emploi et désespère de trouver un nouveau travail lui permettant de ne pas se retrouver à la rue. C’est alors qu’elle tombe sur une annonce sur Internet : « Couple aisée, cherche jeune servante sans tabous aimant la discipline, pour ménage, repassages et tout autres services, logement sur place ». Lisette décide d’appeler aussitôt et parvient à décrocher un rendez-vous dans l’après-midi.

Il est 16 heures, Lisette arrive devant une grande demeure implantée au sein d’un grand jardin, le tout entouré de hautes grilles. Le portail est ouvert et elle avance jusqu’à la porte d’entrée. Elle sonne. La porte s’ouvre :

– Bonjour, vous devez être Lisette, moi c’est André, entrez donc !

André est un bel homme de 36 ans, brun aux yeux noirs et mesurant 1,80 m. Depuis que Lisette a franchi la porte, il ne cesse de la reluquer sous toutes les coutures.

– Etes-vous prête à commencer dès aujourd’hui ?
– Pourquoi pas ! Mais nous n’avons même pas eu d’entretien.
– Qu’importe ! Confirmez moi que vous aimer la discipline !
– Je suis très obéissante, monsieur !
– En ca de désobéissance, nous pratiquons les châtiments corporels et humiliations.
– Tant que ça reste raisonnable.
– J’ai besoin de quelqu’un rapidement et je suis certain que vous ferrez l’affaire.  La nudité ne vous choque pas ?
– La nudité ?
– Oui nous sommes plutôt décontractés dans cette maison, vous comprenez ce que je veux dire ou faut-il vous faire un dessin ?
– C’est-à-dire que ça fait beaucoup de choses, je ne m’attendais pas à ça…
– Nous payons nos domestiques le double du tarif syndical, à vous de voir. Les avantages l’emporte donc sur les petits inconvénients.
– Evidement vu comme ça… mais ne m’en voulez pas si je… enfin comment dire… je n’ai pas l’habitude.
– Bah, vous verrez les habitudes se prennent vite.
– Ah bon, très bien !
– Venez avec moi je vais vous faire faire le tour du propriétaire.

André et Lisette visitent chaque pièce de la maison. Il s’agit d’une grande demeure, deux salons, plusieurs salles de bain et de nombreuses chambres, ainsi qu’une très belle piscine dans le jardin. Ils s’arrêtent devant l’une des chambres.

– Comme convenu, vous serez logée ici, voici donc votre chambre, les comodités, c’est au bout du couloir…
– Très bien, merci monsieur, c’est parfait.
– Vous trouverez votre tenue de travail sur le lit, enfilez-la et rejoignez-moi dans le premier salon.
– Bien monsieur.

La tenue en question est une tenue de soubrette avec un haut largement décolleté et une jupe ample très courte. Lisette l’enfile, se sentant un peu mal à l’aise dans cet accoutrement, puis se rend au salon.

– Voilà monsieur, je suis à votre service ?
– Allez donc me servir un verre de whisky sans glace, le bar se trouve en face de vous.
– Bien monsieur.

Lisette se rend jusqu’au bar et se penche pour prendre une bouteille et un verre. André en profite pour admirer le haut de ses fesses que laisse entrevoir sa trop courte jupe. Lisette retourne ensuite vers André et se penche pour lui servir son verre offrant ainsi une vue imprenable sur son large décolleté. Lisette s’en rend compte et se sent quelque peu gênée.

– Voilà monsieur, que dois-je faire maintenant ?
– Eh bien allez donc me faire couler un bain à l’étage. Prévenez-moi quand ce sera prêt.
– Bien monsieur, j’y vais de suite.

Lisette monte à l’étage et remplit la baignoire en prenant bien soin de vérifier la température de l’eau. Une fois le bain prêt elle redescend voir André pour le prévenir.

– Votre bain est prêt monsieur !
– Parfait, suivez-moi à l’étage.

Lisette accompagne André jusqu’à l’entrée de la salle de bain. André commence alors à se dévêtir devant elle jusqu’à être entièrement nu. Lisette commence à rougir légèrement. Il entre ensuite dans son bain.

– Aller Lisette, au travail !
– Pardon monsieur mais que dois-je faire ?
– Eh bien lavez-moi voyons, prenez ce gant et frottez.
– Euh… oui, bien sûr monsieur.

Lisette enfile le gant et commence à frotter le dos d’André puis le torse.

– Voulez peut-être que je me lève afin que vous soyez plus à l’aise ?
– C’est comme vous voulez monsieur.

André se met alors debout et dévoile tout son corps à Lisette qui rougit de plus en plus. Elle continue de le laver, frottant les bras, les jambes, puis les cuisses, mais n’osant s’approcher de son sexe.

– N’hésitez surtout pas à frotter partout.
– Euh oui monsieur, pardon monsieur. C’est ce que j’essaie de faire.
– Non ! Partout, ça veut dire partout, les fesses, la bite…
– Oh, monsieur, cela me gêne un peu.
– Allons, allons, ma bite ne va pas vous manger.

Rouge de gène, Lisette commence à frotter le sexe d’André. Celui-ci entre alors en érection. Son sexe est plutôt long, 18 cm, et entièrement épilé. Lisette trouve la situation très embarrassante quand soudain la porte d’entrée claque.

– Cela doit être Odile, mon épouse, apportez-moi une serviette et allez donc l’accueillir.
– Bien monsieur.

Lisette tend une serviette à André et se précipite pour aller à la rencontre d’Odile.

– Bonjour madame, je suis Lisette la nouvelle servante.
– Ah, oui, très bien, dit-elle d’un ton très sec.
– Bon, eh bien rendez-vous utile, suivez-moi à la salle de bain.
– Euh oui, bien madame.

Lisette est un peu intimidée par cet accueil un peu froid et monte jusqu’à la salle de bain avec Odile.

Celle-ci est une belle femme blonde et élégante avec un air hautain et fier. Arrivée à la salle de bain elle se dénude entièrement devant Lisette et pénètre dans le bain.

– Et bien alors qu’attendez-vous ? Lavez-moi !
– Oh, oui, bien sûr madame.

Lisette enfile le gant et commence à frotter Odile. Elle est beaucoup plus à l’aise qu’avec André et n’hésite pas à frotter la poitrine de madame et son très joli 90 E bien ferme. Odile commence alors à observer Lisette.

– Vous avez l’air d’avoir une bien jolie poitrine.
– Merci madame.
– Mais n’allez pas croire qu’elle puisse être aussi belle que la mienne !
– Oh non madame, bien sûr que non, votre poitrine est magnifique.
– Enlevez votre haut j’aimerai en voir un peu plus.
– Mais, madame…
– Allons dépêchez-vous ! Je déteste me répéter, je déteste attendre.
– Oui, pardon madame.

Lisette ôte son haut et se retrouve en soutien-gorge devant Odile ce qui la fait rougir légèrement. Odile commence alors à lui palper la poitrine puis passe ses mains sous le soutien gorge et en déloge les deux gros seins.

– Voilà qui est très bien, pour l’instant je n’ai rien à redire quant au choix de mon mari.
– Euh merci madame.

Lisette ne sait trop quoi penser des paroles d’Odile quand soudain la porte d’entrée claque de nouveau.

– Cela doit être Mathieu, notre fils, descendez donc l’accueillir, je vais me débrouiller.

Lisette prend tout juste le temps de remettre ses deux seins dans son soutien-gorge et descend à la rencontre du fils. Kévin a 18 ans, il est grand et sec et est en pleine puberté sexuelle. Il a sans cesse des pensées obscènes.

– Bonjour, je suis Lisette la nouvelle servante
– Wha ! Sympa la nouvelle ! Elle se balade en soutif en plus ! Et elle a des gros lolos, trop de la balle !

C’est alors qu’André arrive.

– Tiens je vois que vous avez fait la connaissance de mon fils. Ne faites pas trop attention à ce qu’il dit, il est un peu obsédé en ce moment.
– Oh non c’est ma faute, je vais aller me rhabiller
– Non ce n’est pas grave, restez donc comme ça et allez plutôt préparer le dîner
– Bien monsieur

Lisette s’en va donc en cuisine préparer le repas en soutif. Une fois le repas prêt, elle va prévenir toute la famille et s’en va servir dans la salle à manger. Elle sert chacun des membres un par un. Lorsque c’est au tour de Kévin, celui en profite pour passer sa main sous la jupe de Lisette. Celle-ci sursaute puis poursuit le service sans mot dire. Elle reste ensuite plantée debout devant eux en soutif jusqu’à la fin du repas. Kévin lui lance de temps en temps des regards vicieux et pervers qu’elle fait mine de ne pas remarquer.

– Qu’est-ce que tu as Mathieu, tu m’as l’air bien excité lui dit Odile. C’est Lisette qui te fait cet effet là ! On ne va pas quand même pas lui demander de te sucer le premier jour, viens donc voir maman, je vais te soulager. Lisette j’espère que ça ne vous dérange pas que je suce mon fils devant vous.
– Non madame, faites comme chez-vous.

Lisette observa donc Odile prodiguer une fellation à son fils, se demandant dans quelle drôle de maison elle venait de débarquer.

Fatiguée de cette drôle de journée, Lisette décide d’aller se coucher de suite. Elle se rend dans sa chambre, se dénude et décide de prendre une douche afin de se relaxer. Complètement éreintée, elle s’allonge ensuite sur le lit et s’endort complètement nue, se demandant ce qui allait bien pouvoir lui arriver le lendemain…

Fin de l’épisode

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2 réponses à Lisette chez les bourgeois par Pivert

  1. Pilouface dit :

    Cette introduction est pleine de promesses et l’auteur ne prend pas de gants pour brosser le lecteur dans le sens du poil.

  2. Lousteau dit :

    – Lisette j’espère que ça ne vous dérange pas que je suce mon fils devant vous.
    – Non madame, faites comme chez-vous.
    Des dialogues comme ça on n’en lit pas tous les jours

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